Julien Dive : « L’accord franco-algérien de 1968 sont à sens unique »

Julien Dive, vice-président de notre mouvement et député de l’Aisne, était l’invité de RFI.

Il est revenu sur l’immigration.

.@JulienDive, député @lesRepublicains, vice-président de la commission des Affaires économiques de l’@AssembleeNat
«L’accord franco-algérien de 1968 sont à sens unique. Cette proposition de résolution pour dénoncer cet accord sera déposée.» #immigration #Algerie
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— RFI (@RFI) June 8, 2023

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Stéphane Le Rudulier : « Marseille est l’otage des cartels, il faut un état d’urgence contre la drogue »

Le sénateur des Bouches-du-Rhône décrit une situation de plus en plus intenable dans la Cité phocéenne où se multiplient les règlements de comptes.

Aujourd’hui, vous sonnez à nouveau l’alarme. Désespérez-vous de la situation à Marseille ?

En dix ans, la guerre des cartels a fait 300 morts. Il y a urgence, Marseille est l’otage des cartels et peut se transformer en Medellin, la Kalachnikov a remplacé Marianne sur fond d’enclave islamiste dans de nombreux quartiers. Il faut mener une guerre totale contre ce fléau !

En réponse, le ministre de l’Intérieur, Gérald Darmanin, a annoncé 300 policiers supplémentaires et 3 nouvelles compagnies de CRS. Est-ce suffisant ?

Mais Gérald Darmanin peut continuer à fournir le meilleur travail possible, sans reconstitution de l’effectivité de la chaîne pénale, il est condamné à vider les cités des narcos à la petite cuillère percée. Par manque de places de prison, la France incarcère moins que ses voisins : 105 incarcérés pour 100.000 habitants contre 138 au Royaume-Uni. Résultat, seulement 59 % des individus condamnés à une peine de prison ferme vont en cellule ! Parmi eux, des milliers de trafiquants de drogue. C’est un message d’impunité absolu envoyé par l’État aux cartels. Il faut une révolution pénale mais aussi un arsenal répressif renforcé comme jamais ! Des solutions existent.

Lesquelles ?

Un dealer pris en flagrant délit ne va presque jamais en prison. Il y a un sentiment d’impunité réel. Il faut restaurer le sens et l’effectivité de la peine en construisant des milliers de places de prison. Il faut un état d’urgence contre la drogue. J’appelle à un régime d’exécution des peines d’exception pour les trafics de drogue. Il faut durcir les peines des trafiquants. Les têtes de réseaux doivent écoper de peines exemplaires et planchers, 30 ans incompressibles. Quant aux petites mains, elles doivent écoper de fortes peines, là aussi incompressibles et automatiques, 5 ans minimum. Il faut que la peur change de camp. Un trafiquant arrêté doit avoir la certitude de finir derrière les barreaux, et pour longtemps! Il ne doit pouvoir bénéficier d’aucune remise de peine. De plus, je demande à ce que, une fois la peine purgée, ils ne puissent plus revenir sur le territoire de leur trafic. Il faut leur interdire un périmètre assez large pour empêcher toute reconstitution des réseaux. Il faut les bannir des quartiers et des villes où ils sévissent, nettoyer Marseille des narcos.

Enfin, il est primordial d’expulser des logements sociaux les trafiquants et leurs familles lorsqu’ils sont mineurs, et de couper les aides sociales dont ils bénéficient. Il faut responsabiliser les familles et les habitants des quartiers. Un point de deal, c’est entre 80.000 et 130.000 euros par jour. Il y a des quartiers entiers qui en bénéficient. Le trafic ruisselle en milliers d’euros dans des immeubles et familles. Il faut casser le ruissellement de l’argent de la drogue et du crime.

Faut-il, comme le soutient Éric Ciotti, « placarder le nom » des personnes arrêtées en possession de stupéfiants ?

Oui, évidemment! Toute idée pour responsabiliser le consommateur est bonne mais il faut avant tout augmenter massivement l’amende forfaitaire. Les consommateurs doivent comprendre la gravité de leur geste, il faut les mettre face à leurs responsabilités. Par leur consommation, ils financent le terrorisme et le crime. Ils ont indirectement du sang sur les mains. L’amende forfaitaire pour un consommateur s’élève à 200 euros. C’est loin d’être dissuasif. L’amende devrait être au minimum à 1000 euros. En cas de récidive, le consommateur doit être considéré comme malade d’une addiction et ainsi être soumis à une obligation de soins. En trente ans, le nombre de consommateurs a explosé. En 1992, 7 % des Français avaient consommé au moins une fois du cannabis, contre 45 % en 2020. C’est vertigineux. Il faut cesser de banaliser la consommation de drogues et entamer une grande campagne nationale de prévention, comme nous le faisons contre l’alcool au volant. Il n’y a jamais eu une guerre nationale contre la drogue en France, comme l’ont menée Reagan ou Clinton outre-Atlantique. Les jeunes doivent être soumis à un dépistage obligatoire régulier dès la seconde, dans tous les lycées de France.

Vous estimez par ailleurs la municipalité marseillaise coupable d’inaction.

La municipalité de gauche de Benoit Payan a une lourde responsabilité. Elle ferme les yeux. Il y a trop peu de vidéoprotection. À titre de comparaison, il y a 18 caméras pour 10.000 habitants à Marseille contre 72 à Nice. À Aix-en-Provence, à quelques kilomètres de là, il y a deux fois plus de caméras qu’à Marseille. Ce sous-équipement met en danger les Marseillais. En France, des personnalités courageuses, comme Bruno Retailleau, Gérald Darmanin ou Éric Ciotti, dénoncent l’inaction des grandes villes de gauche face à l’insécurité. Mais Marseille est la plus en danger ! 68 % des Marseillais se déclarent mécontents de l’insécurité dans leur ville. Deux Marseillais sur trois sont en colère contre leur maire sur ce sujet. Aujourd’hui, cette insécurité se paie en vies humaines. Alors que le ministre de l’Intérieur envoie de nouvelles unités de CRS, la municipalité veut ouvrir une salle de shoot près de la gare Saint-Charles. Le signal envoyé est dramatique : le maire est indirectement du côté des trafiquants de drogue. Depuis le départ de Jean-Claude Gaudin (LR), au bilan bien plus positif que son successeur, la situation s’aggrave et risque d’atteindre un point de non-retour. La mobilisation remarquable de Martine Vassal avec le département et la métropole, de Renaud Muselier à la région, va être capitale dans les prochains mois pour empêcher le pire. Les municipales de 2026 seront sans doute l’élection de la dernière chance pour Marseille.

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Nos sénateurs interrogent le gouvernement

Ce mercredi après-midi, lors de la séance de questions au gouvernement, six sénateurs du groupe les Républicains ont interpellé l’exécutif.

Pour commencer, Jérôme Bascher, sénateur de l’Oise, a interpellé le ministre délégué auprès du ministre de la Transition écologique et de la Cohésion des territoires, chargé de la Ville et du Logement sur le plan gouvernemental sur le logement.

“Fin de vie pour le pavillon individuel, fin de vie pour les investisseurs, fin de vie pour les emprunteurs modestes ! Rien sur l’offre de logement !” @JeromeBascher interpelle le gvt à la suite du CNR logement. #QAG https://t.co/SIToi6lVbf

— Républicains Sénat (@lesRep_Senat) June 7, 2023

Alain Milon, sénateur de Vaucluse, a interrogé la ministre déléguée auprès du ministre de la Santé et de la Prévention, chargée de l’Organisation territoriale et des Professions de santé sur l’inégalité des professionnels de santé du public et du privé.

“Alors que la situation appelle à la mobilisation de tous, comment expliquer cette inéquité ?” @SenateurMilon interpelle le gvt sur les inégalités de traitement entre les professionnels de santé du public et ceux du privé. #QAG https://t.co/NWHfSw2M6E

— Républicains Sénat (@lesRep_Senat) June 7, 2023

Véronique Del Fabro, sénatrice de Meurth-et-Moselle, a questionné la ministre déléguée auprès du ministre de l’intérieur et des outre-mer et du ministre de la transition écologique et de la cohésion des territoires, chargée des collectivités territoriales sur les violences envers les élus.

« Le constat est sans appel : votre action ne suffit plus face à la déshumanisation de la société qui voit nos policiers, nos pompiers agressés, nos soignants, nos enseignants et nos élus tués. » Véronique Del Fabro interpelle le gvt. #QAG https://t.co/1hTl1GucG7

— Républicains Sénat (@lesRep_Senat) June 7, 2023

Max Brisson, sénateur des Pyrénées-Atlantiques, a interpellé le ministre de l’Agriculture et de la Souveraineté alimentaire sur la grippe aviaire.

« Les quatre Chambres d’Agriculture réclament pour cet été le déploiement du vaccin. » @max_brisson interpelle le gvt sur la campagne de vaccination contre la grippe aviaire attendue par les agriculteurs. #QAG https://t.co/yAnyyWieHt

— Républicains Sénat (@lesRep_Senat) June 7, 2023

Cédric Perrin, sénateur du Territoire de Belfort, a interrogé la secrétaire d’État auprès du ministre des Armées chargée de la Jeunesse et du Service national universel sur la lutte anti-drones lors des Jeux Olympiques de 2024.

“L’enjeu est crucial, les Français et les visiteurs du monde entier ont besoin d’être rassurés. Notre dispositif de lutte anti-drone est-il opérationnel ?” @cperrin90 interroge le gvt à la veille de la Coupe du monde de rugby & des #JO2024. #QAG https://t.co/q2avYSb7zf

— Républicains Sénat (@lesRep_Senat) June 7, 2023

Pour finir, Stéphane Piednoir, sénateur de Maine-et-Loire, a questionné la ministre de la Transition énergétique sur l’interdiction du remplacement des chaudières à gaz.

“Notre pays a besoin de constance dans la parole de l’Etat et d’en finir avec une politique écologique punitive.” @StephPiednoir interroge le gvt qui a annoncé la fin des chaudières à gaz, une mesure qui concerne 12 millions de foyer. #QAG https://t.co/LCRu76NKH6

— Républicains Sénat (@lesRep_Senat) June 7, 2023

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Dominique Estrosi-Sassone : « Tous les acteurs de l’immobilier ont la même réaction, mépris, désillusion, déception »

Dominique Estrosi-Sassone, secrétaire nationale au logement du shadow cabinet et sénatrice des Alpes-Maritimes, était l’invitée de Public Sénat.

Elle est revenue sur le plan logement du gouvernement et le trafic de drogue.

Plan logement : “Tous les acteurs de l’immobilier ont eu la même réaction, mépris, désillusion, déception”, raille @Dominiq_Estrosi “Ce sont quelques mesures techniques et court-termistes qui n’apportent aucune réponse à la gravité de la crise du logement”#BonjourChezVous pic.twitter.com/QEyh3eBlqB

— Public Sénat (@publicsenat) June 7, 2023

Nice : le quartier des Moulins gangrené par le trafic de drogue
L’info vue par la presse régionale avec @DenisCarreaux, directeur des rédactions du groupe @Nice_Matin
La réaction de @Dominiq_Estrosi, sénatrice @lesRepublicains des Alpes-Maritimes#BonjourChezVous pic.twitter.com/JsCV1rRVVX

— Public Sénat (@publicsenat) June 7, 2023

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Jean-Louis Thiériot : « Pourquoi je voterai la Loi de programmation militaire »

Le député LR, principal orateur de son groupe sur le texte, estime que le gouvernement a accepté de nombreuses améliorations du projet. Les Républicains voteront finalement pour.

Le projet de loi de programmation militaire (2024-2030) est soumis, mercredi 7 juin, au vote solennel des députés. Il prévoit 413 milliards d’euros de dépenses pour les armées au cours de cette période, un montant en forte hausse. Son adoption ne fait aucun doute, mais l’incertitude demeure quant aux abstentions. Le Sénat doit encore s’emparer du projet de loi. Le gouvernement espère toujours une promulgation à la veille du 14 juillet.

Le député de Seine-et-Marne Jean-Louis Thiériot a été le principal orateur et acteur de son groupe parlementaire lors de l’examen du projet de loi de programmation militaire (2024-2030), d’abord en commission de la défense, puis dans l’Hémicycle. Il est un interlocuteur privilégié du ministre des Armées Sébastien Lecornu. Le groupe LR devrait finalement approuver le texte, après un fort débat interne entre les partisans du soutien et de l’abstention.

A l’Assemblée nationale, le groupe LR était divisé sur la loi de programmation militaire, entre soutien et abstention. Qu’allez-vous faire finalement ?

Au regard des gains obtenus à l’Assemblée nationale pour notre outil de défense et des ouvertures faites par le ministre Sébastien Lecornu pour la suite du débat au Sénat, je ne voyais pas comment il serait possible de ne pas voter ce texte en première lecture. Il me paraissait inconcevable de faire de l’opposition stérile et de la politique politicienne sur ce sujet. Mon point de vue semble l’avoir emporté et un vote favorable a été acté, mardi, en réunion de groupe. Mais ce n’est pas un soutien inconditionnel. Il faudra encore des avancées au Sénat sur les marches, c’est-à-dire les augmentations annuelles, pour pouvoir le soutenir en commission mixte paritaire, lorsque le texte achèvera sa navette parlementaire. La balle est donc dans le camp du gouvernement pour un vote définitif.

Quels sont les points sur lesquels vous attendez que le gouvernement bouge encore ?

Une LPM, c’est un subtil mikado. Augmenter ce que nous appelons les « cibles capacitaires » – plus d’avions, plus de blindés, etc. – n’a pas de sens si on ne prévoit pas le soutien, la maintenance et l’entraînement qui vont avec. Un des axes d’amélioration serait d’accélérer le niveau d’entraînement opérationnel (nombre de jours sur le terrain ou à la mer, nombre d’heures de vols…) qui n’est aujourd’hui qu’à 70 % de l’optimum. Le ministre a accepté de travailler sur ce point en vue des débats au Sénat et a laissé entendre que, c’est dans cette matière qu’une hausse des marches aurait tout son sens. Je crois savoir que le Sénat est très désireux d’obtenir gain de cause sur ce point.

Qu’avez-vous obtenu de la part du gouvernement au cours du débat parlementaire ?

Je suis en effet très heureux des amendements que nous avons pu faire adopter. Le plus important est l’obligation de transformer en recettes budgétaires les 13 milliards d’euros de recettes extrabudgétaires si elles devaient s’avérer insuffisantes. C’est une avancée majeure qui garantit la réalité des 413 milliards et donc la sincérité de la loi. C’était très attendu par les armées. Le nombre de messages de remerciement que j’ai reçus en témoigne. Pour le reste, nous avons bien fait évoluer le texte : garantie sur la souveraineté avec un vote du Parlement sur le passage à la phase 2 du Scaf, moyens nouveaux pour les Outre-Mer avec quatre Batral (bâtiments amphibies légers), étude sur un port en eau profonde à Mayotte, attention aux nouvelles technologies du drone aérien de combat ou de l’aviation spatiale. J’ajouterai la création d’un médiateur du crédit Défense – un combat que je menais depuis deux ans et qui devrait garantir que les institutions financières ne se détournent pas de la défense pour éviter les risques réputationnels, alors que leur engagement est vital pour les 4 000 PME et les 200 000 salariés de l’industrie de défense. Il n’est qu’un sujet où nous n’avons pas réussi à faire bouger le gouvernement, c’est celui de la hauteur des marches budgétaires, en augmentation de 3 milliards par an durant les quatre premières années et de 4,3 en suite.

Après une semaine en commission et deux semaines dans l’Hémicycle, quel regard portez-vous sur les débats et le texte qui en résulte ?

Ce fut un débat de haute tenue, loin du grand charivari qui a récemment caractérisé notre enceinte parlementaire. La gravité du sujet y est sans doute pour beaucoup. Les qualités du ministre aussi. Il a su écouter, répondre, entendre et respecter. Même si nous n’avons pas pu faire bouger le gouvernement sur la hauteur des marches budgétaires [en augmentation de 3 milliards par an durant les quatre premières années et de 4,3 en suite], nous sommes arrivés à un texte équilibré, qui a les qualités de ses limites : la dissuasion étant sauve, c’est une LPM qui privilégie la cohérence sur la masse, préserve les grands programmes, garantit la préparation de l’avenir, traite des nouvelles conflictualités (cyber, spatial, fonds marins) et assume la dimension mondiale de la France avec ses Outre-Mer. Demeurant à 2 % du PIB avec 413 milliards d’euros sur sept ans (contre 3 % durant la guerre froide), elle ne permet pas un renforcement majeur. Cela aurait représenté une quarantaine de milliards de plus, comme notre rapport parlementaire de 2022, sur la haute intensité, avec Patricia Mirallès l’avait chiffré. Compte tenu de l’état de nos finances publiques, on pouvait difficilement faire mieux. Ce n’est certainement pas une loi historique mais c’est une loi raisonnable qui sauvegarde l’essentiel et qui a été largement amélioré durant les travaux parlementaires.

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Gérard Larcher : « L’urgence c’est une vraie politique migratoire, c’est l’objet des deux textes déposés par les Républicains »

Gérard Larcher, président du Sénat, était l’invité de France Inter.

Il est revenu sur la fiscalité, la proposition de loi sur l’immigration et la réforme des retraites.

L’égalité devant l’impôt est un principe fondamental mais attention à ce réflexe qui fait de nous le pays le plus fiscalisé de l’Union Européenne ! https://t.co/VdBXkzNywY

— Gérard Larcher (@gerard_larcher) June 7, 2023

#Immigration L’urgence c’est 1 vraie politique migratoire, c’est l’objet des 2 textes déposés par #LR au @Senat & à l’@AssembleeNat . Si nécessaire, oui, il faut modifier la Constitution. Les populistes n’ont pas le monopole du sujet, le laisser au RN l’a fait monter à 40% ! https://t.co/A9IMist3Ok

— Gérard Larcher (@gerard_larcher) June 7, 2023

Retraites : “Ce qui a vraiment manqué, c’est le dialogue préalable.”

L’exécutif “ne s’est guère penché” sur le dialogue social avec partenaires sociaux et corps intermédiaires, estime @gerard_larcher. Pour le président du @Senat, “c’est une marque depuis 2017”.#le7930inter pic.twitter.com/dn5xWmLR9n

— France Inter (@franceinter) June 7, 2023

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Nos députés interrogent le gouvernement

Ce mardi après-midi, lors de la séance de questions au gouvernement à l’Assemblée nationale, trois députés du groupe les Républicains ont interpellés l’exécutif.

Pour commencer, Marc Le Fur, député des Côtes-d’Armor, a interpellé la Première ministre sur la crise du logement.

Une très grave crise de la construction et du logement est devant nous @marclefur dénonce le manque d’ambition des propositions de la Première ministre « Notre président de groupe @oliviermarleix vous l’a dit mardi dernier : mettez un moratoire sur le ZAN, le fameux Zéro… pic.twitter.com/Rct18r9mCF

— Députés Les Républicains (@Republicains_An) June 6, 2023

Alexandra Martin, députée des Alpes-Maritimes, a questionné le ministre de l’Éducation nationale et de la Jeunesse sur le harcèlement scolaire.

Harcèlement scolaire : Lindsay, Dinah, Ambre et Lucas en sont les victimes…@MartinAlex06 interroge le ministre de l’Éducation nationale : qui aurait dû les protéger? D’abord la puissance publique ! #DirectAN pic.twitter.com/PfDRQpVmb6

— Députés Les Républicains (@Republicains_An) June 6, 2023

Pour finir, Vincent Descoeur, député du Cantal, a interrogé le ministre des Solidarités, de l’Autonomie et des Personnes handicapées sur les difficultés des EHPAD.

Situation dans les EHPAD | @VincentDescoeur (LR) alerte le Gvt sur “une situation d’une gravité inédite”, notamment sur les “difficultés budgétaires” dans le contexte d’inflation. Il demande quelles mesures mettre en œuvre pour les aider “à surmonter cette crise.”#DirectAN #QAG pic.twitter.com/cyfZTr6JbI

— Assemblée nationale (@AssembleeNat) June 6, 2023

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Bruno Retailleau : « Nous mettrons fin au chaos migratoire »

Bruno Retailleau, président du groupe les Républicains au Sénat et sénateur de Vendée, était l’invité de Sud Radio.

Il est revenu sur les propositions de notre mouvement sur l’immigration, l’AME et les annonces du gouvernement sur la crise du logement.

En 20 ans, 21 textes de loi sur l’immigration ont été votés et rien n’a changé. Les Français le disent : la coupe est pleine. Nous mettrons fin au chaos migratoire en changeant de cadre et en redonnant la parole au peuple français. @SudRadio pic.twitter.com/2WPlKq1KcD

— Bruno Retailleau (@BrunoRetailleau) June 6, 2023

Édouard Philippe “ne veut rien changer à l’aide médicale de l’État (#AME)”, selon @BrunoRetailleau

@EPhilippe_LH reste au milieu du gué. Il pousse des cris de vierges effarouchées”

https://t.co/5AW2thpqXv pic.twitter.com/vndVeKFt1G

— Sud Radio (@SudRadio) June 6, 2023

CNR #Logement : les annonces d’Elisabeth #Borne

@BrunoRetailleau : “Encore une fois, on va taper sur les classes moyennes. Le gouvernement a une vision anti-classe moyenne !”

https://t.co/5AW2thpqXv pic.twitter.com/3e1JRThdch

— Sud Radio (@SudRadio) June 6, 2023

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Notre méthode pour restaurer notre souveraineté sur les questions migratoires

Chers compagnons,

Le chaos de l’immigration de masse doit cesser. 74% des Français considèrent aujourd’hui qu’il y a trop d’immigrés en France. Ils étaient déjà 70%, il y a dix ans, et, pourtant, rien n’a été fait : en 2022, près de 500.000 étrangers sont entrés sur notre territoire légalement.

Avec Olivier Marleix et Bruno Retailleau, nous avons déposé deux propositions de loi pour répondre à cette situation intolérable et je voulais vous en exposer les principales mesures. Je suis fier de ce projet courageux : un projet de rupture, mûrement réfléchi et patiemment édifié, seul capable de résoudre enfin la crise migratoire.

La première exigence est de restaurer notre souveraineté sur les questions d’immigration. Sans ce préalable, rien n’est possible. Nous avons donc déposé un projet de révision de la Constitution pour réaffirmer ce principe essentiel : le peuple français est un peuple souverain.

Nous souhaitons que la France puisse déroger aux traités et aux accords, européens ou internationaux, dès qu’il s’agira d’assurer le respect de son identité constitutionnelle ou la sauvegarde de ses intérêts fondamentaux.

La France, maîtresse d’elle-même, doit librement choisir qui entre sur son territoire : nous instaurerons des quotas annuels pour l’immigration extra-communautaire, votés par le Parlement, tandis que les demandes d’asile devront désormais être déposées dans nos ambassades ou nos consulats, ou à la frontière de notre pays.

Nous durcirons l’accès au regroupement familial, avec un contrôle accru du niveau linguistique comme des conditions de ressource et de résidence. Pour l’immigration étudiante, nous instaurerons une « caution retour », restituée à l’issue du séjour mais confisquée en cas de maintien sur le territoire malgré un non-renouvellement du titre.

Nous proposons de consolider les prérogatives de l’État – bras armé de la souveraineté nationale – quant à la gestion de l’immigration : nous rétablirons la double peine et le délit de séjour clandestin, nous étendrons le champ d’action de la police aux frontières et élèverons la durée maximale des OQTF de 1 à 3 ans et celle des interdictions de retour de 2 à 5 ans. Nous renforcerons également les sanctions pénales contre les passeurs et les marchands de sommeil, « profiteurs de guerre » du chaos migratoire.

Notre projet entend aussi constitutionnaliser l’impératif de l’assimilation. Les titres de séjour de longue durée seront soumis à un examen de langue et à un examen civique, tandis que de nouveaux critères de retrait seront instaurés pour non-respect des principes de la République.

Devenir Français se mérite et nous réformerons les conditions de naturalisation. Nous mettrons notamment fin à son automaticité par droit du sol à la majorité : il faudra désormais exprimer son désir de rejoindre la communauté nationale. Une procédure dont nous priverons ceux déjà dotés d’un casier judiciaire ou nés de parents en situation irrégulière. Nous refusons l’instauration d’une prime à l’irrespect de nos lois, et nous continuerons d’ailleurs à combattre le projet gouvernemental de régularisation des travailleurs clandestins.

Afin de retrouver la maîtrise souveraine de notre territoire, nous devons impérativement couper toutes les pompes aspirantes qui nourrissent ces flux migratoires : les droits à la protection sociale et aux allocations non contributives (APL, ASPA, allocations familiales, etc.) ne s’ouvriront qu’après cinq années de résidence et nous remplacerons l’Aide Médicale d’État par un aide médicale d’urgence soumise à un droit de timbre.

Une Nation souveraine est enfin une Nation qui ose tenir son rang face au monde. Face à la mauvaise volonté des pays d’origine qui refusent de récupérer leurs ressortissants, nous assumerons une politique de fermeté, en agissant sur les visas et sur l’aide au développement.

Cette politique est celle que réclame le peuple français, qui soutient massivement nos propositions : nous souhaitons qu’il soit consulté pour exprimer solennellement sa volonté. Ainsi, nous avons appelé Emmanuel Macron à faire voter nos textes par ses parlementaires puis à soumettre notre proposition de révision constitutionnelle à référendum. Notre projet élargira d’ailleurs le champ de l’article 11, permettant de recourir au référendum sur tout projet de loi, ordinaire ou organique.

Comme vous le voyez, notre projet est structuré, puissant et cohérent. Il dotera enfin la France des moyens de faire face à la submersion qui nous menace. Déterminer qui entre et qui n’entre pas sur notre territoire n’est pas une question de détail : c’est une question de souveraineté et donc – in fine – une question de liberté. Une question fondamentale.

Éric CIOTTI
Président des Républicains

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Éric Ciotti demande des explications au ministre de l’Economie

Il est inacceptable que les Français ne profitent pas de la baisse du prix du pétrole.

Le cours du baril s’effondre. Depuis début mai, le baril de Brent est vendu en moyenne entre 70 et 75 dollars. Un niveau jamais atteint depuis le début de la guerre en Ukraine et un pic à 122,69 dollars en juin 2022.

Dans le même temps, en France, les prix à la pompe continuent d’augmenter : +2,4% pour l’E10, +2,5% pour le SP-95 et +2,1% pour le SP-98 depuis le début de l’année. Nos tarifs sont supérieurs à la plupart de nos voisins européens. Il est urgent d’agir en faveur du pouvoir d’achat des Français et surtout de mettre un terme à cette situation inacceptable.

Je demande au Ministre de l’Économie d’apporter des explications : qui s’enrichit sur le dos des Français ?

Éric CIOTTI
Président des Républicains

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