Baisse de la prise en charge des soins dentaires : la décision brutale et incohérente du Gouvernement conduira les plus en difficulté à renoncer aux soins

La direction de la Sécurité sociale a brutalement annoncé cette semaine qu’à compter du 1er octobre prochain, la prise en charge des soins dentaires par l’Assurance maladie baissera de 70 % à 60 %. Le ticket modérateur, c’est-à-dire la part des dépenses qui reste à charge aux Français ayant besoin de soins bucco-dentaires, s’alourdira donc de 30 % à 40 %.

Les Républicains dénoncent un choix comptable aux conséquences lourdes à la fois pour les patients et la profession. Dans un contexte inflationniste, cette décision brutale et incohérente conduira de nombreux Français à renoncer à se faire soigner.

L’argument du renforcement de la prévention ne convainc pas. Pour Yannick Neuder, député de l’Isère et Secrétaire national à la santé du shadow cabinet, le périmètre élargi de ce transfert de prise en charge affectera bel et bien la prévention, comme le déplorent également les professionnels.

Selon le gouvernement, cette mesure s’inscrirait dans le cadre de la lutte contre les inégalités d’accès aux soins dentaires. C’est incompréhensible à l’heure où environ 3 millions de Français (près de 4 % de la population) ne sont pas couverts par un organisme complémentaire de l’Assurance maladie en 2019 et où 45 % des Français ont renoncé à des soins dentaires en raison du coût du traitement selon la Mutualité Française.
Les Républicains dénoncent la méthode à la fois injustifiée, en contradiction avec les engagements pris, et brutale :

– Cette décision ne respecte pas les termes du vote de la Loi de Finances de la Sécurité sociale pour 2023 qui consacrait 300 millions d’euros à ce transfert de dépenses et non 500.

– Cette décision n’a fait l’objet d’aucune concertation avec les représentants des professionnels du soin bucco-dentaire au premier rang desquels le syndicat des chirurgiens dentaires.

La réforme du 100% santé brandie par le gouvernement est contredite par une politique comptable insidieuse qui réduit encore plus l’accès aux soins dentaires des Français.

Les Républicains appellent le gouvernement à revenir sur cette décision et demandent la convocation d’une réunion de concertation qui puisse associer les parlementaires et les représentants de la profession.

Éric CIOTTI
Président des Républicains
Député des Alpes-Maritimes

Annie GENEVARD
Secrétaire générale des Républicains
Coordinatrice du shadow cabinet
Députée du Doubs

Dr. Yannick NEUDER
Secrétaire national à la santé du shadow cabinet
Député de l’Isère

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Éric Ciotti : « La droite doit prendre tous les risques »

Le président des Républicains veut poser ces « états généraux de la droite pour la France » comme la première pierre d’une indispensable reconstruction.

Quel message voulez-vous faire passer avec ces premiers « états généraux de la droite » ?

La droite est de retour ! Je veux que ces états généraux portent un message d’espérance pour notre famille politique, pour la droite républicaine et, bien au-delà, pour la France. Nous devons tourner la page d’une longue série d’échecs et porter le socle du redressement. Depuis quelques semaines, les briques de la reconstruction sont posées sur des fondations inscrites dans notre histoire. Ces états généraux doivent porter un souffle nouveau.

Pourquoi Laurent Wauquiez n’est-il pas présent samedi ?

La première étape régionale des états généraux se fera chez lui, en Haute-Loire, dans quelques jours. Nous sommes en phase sur les objectifs. Laurent Wauquiez décide de sa stratégie mais celle-ci s’inscrit pleinement dans une volonté d’unité et de rassemblement.

L’absence de certains candidats potentiels à la présidentielle, comme Laurent Wauquiez et David Lisnard, n’annonce-t-elle pas des difficultés à venir sur l’unité LR ?

Aujourd’hui bien malin qui peut dire qui sera réellement candidat à la présidentielle ? Nous n’attendrons pas cela pour reconstruire. Nous serons rassemblés avec Gérard Larcher, les trois présidents de groupes parlementaires, Olivier Marleix, Bruno Retailleau et François-Xavier Bellamy, nos militants et nos cadres. Ce rassemblement ne doit pas ressembler à une énième réunion ponctuée par une litanie de discours que personne n’écoute. Nous ferons un état des lieux de nos faiblesses, sans tabous, et nous déposerons les balises qui doivent guider notre chemin vers l’Elysée en 2027. J’ai fait un serment devant les militants : Les Républicains restaureront la place qu’ils n’auraient jamais dû quitter c’est-à-dire la première. Plus que jamais, je suis convaincu que nous réussirons.

Quels sont les temps forts de ce rassemblement ?

Nous débattrons avec des personnalités extérieures. Samedi marque le début d’une longue aventure qui mobilisera au-delà de nos cadres et de nos militants jusqu’au début de l’année 2024. Nous aurons la présence de Dominique Reynié, Olivier Babeau, Eric Naulleau, Chloé Morin, Mathieu Bock Coté… Nous dévoilerons une plateforme « FrançaisesFrançais.org » destinée à recueillir l’assentiment de l’ensemble de nos concitoyens sur des sujets majeurs. Je veux que nous parvenions à affirmer une droite des idées : la baisse des impôts, la droite de la feuille de paie et de l’augmentation des salaires. Mais je veux aussi fixer un objectif nouveau, inédit et majeur : l’augmentation de l’espérance de vie. Elle ne progresse plus, il y un déséquilibre de deux ans entre la ville et les zones rurales. Et derrière ce sujet se cachent des problématiques majeures de santé, de prise en charge de nos aînés, d’inégalités entre les territoires. Enfin, si tout le monde s’accorde sur les défis climatiques, évitons de tomber dans un retour en arrière sur nos libertés. ZFE, ZAN, DPE… Ces acronymes marquent une atteinte majeure à nos droits individuels et un retour inédit sur la décentralisation. Ces mesures conçues par des bobos déconnectés préparent un mouvement des gilets jaunes puissance dix.

Après les divisions lors des débats parlementaires sur les retraites, ces états généraux doivent-ils définir une bonne fois pour toutes la ligne idéologique de votre parti ?

Sur les retraites, il n’y a pas eu de clivages idéologiques au sein de notre famille politique mais des différences personnelles et de positionnement vis-à-vis du pouvoir actuel. Tout le monde s’accordait néanmoins pour dire qu’il y avait la nécessité de réformer le système des retraites. Sur d’autres sujets, comme l’immigration, il y a une unité totale. Sur ce point, j’ai l’impression que nous avons progressé. Hier, on m’interrogeait sur nos divisions, aujourd’hui on débat sur nos propositions. Sur tous les sujets, nous sommes en train de construire une méthode de travail nouvelle. Je suis confiant.

Comment résoudrez-vous la question du mode de désignation de votre candidat à la présidentielle ?

Pour ma part, j’ai affirmé ma position dès mon élection mais je ne veux pas que ces états généraux soient perturbés par ces débats qui arriveront le moment venu, dans la sérénité. En revanche, j’ai été élu sur l’idée d’une fin des primaires qui, par deux fois, nous ont conduits à l’échec. Sachons en tirer les conséquences avec lucidité. Mais il est évident que le choix du candidat doit correspondre à une évidence partagée, sinon à l’unanimité, au moins par une écrasante majorité. Cela ne peut pas être un coup de force ni une contrainte. Ce n’est pas la procédure qui fera la candidature mais la qualité de la candidature qui s’imposera naturellement.

Que pouvez-vous dire concernant la constitution du nouveau bureau politique LR, samedi ?

Ce bureau reflètera et comprendra l’ensemble des sensibilités de note famille politique. Toutes les grandes personnalités de notre mouvement y figureront et y seront représentées.

Pourquoi les électeurs, que vous n’avez pas réussi à convaincre lors de la dernière élection présidentielle, devraient-ils croire en votre capacité à diriger le pays ?

C’est le premier défi pour nous. C’est pourquoi, lors de nos états généraux, nous écouterons des électeurs qui sont partis. Tout l’enjeu est là : nous devons retrouver de la crédibilité. Jamais le pays n’a été autant à droite et pourtant, nous avons quitté le pouvoir il y a plus de onze ans ! Mais depuis nos propositions sur l’immigration, je sens un frémissement. Certains se disent que la droite n’est finalement pas morte. C’est le chemin qu’il faut suivre : rompre avec les tabous. La droite doit prendre tous les risques, dépasser l’immobilisme de la majorité actuelle, sortir des slogans simplistes et inapplicables des extrêmes.

Croyez-vous-en un remaniement avant le 14 juillet ?

Ce n’est pas notre sujet. Je n’ai aucun conseil à donner à l’exécutif, empêtré dans une situation très difficile.

Olivier Marleix, sur l’immigration, et Gérard Larcher, sur le budget, ont chacun fait planer la menace d’une motion de censure LR en cas de passage en force. Le temps est donc venu pour la droite de faire pression sur l’exécutif ?

Il ne s’agit pas de pressions mais simplement de cohérence de notre part. Nous n’accepterons pas l’inacceptable alors que notre pays est menacé par une immigration de masse source de communautarisme. Nous le voyons avec les atteintes à la laïcité à l’école par les islamistes, très récemment dans ma ville de Nice. Mais aussi une immigration source de délinquance puisque 25% des places de prison sont occupées par des étrangers. Il est temps de dire stop et de couper le robinet d’eau tiède.

L’exécutif doit-il assumer un virage à droite, ainsi que le poussent certains de votre famille politique dont Nicolas Sarkozy ?

Je n’ajouterai pas un commentaire à des commentaires. Mais j’affirme que le « en même temps » n’a apporté rien de bon à notre pays. C’est pourquoi nous proposons d’en sortir avec une vraie politique de droite, lors de la prochaine élection présidentielle. Je ne suis pas convaincu que d’ici là, se passeront des choses décisives pour notre pays. Nous avions demandé par écrit à être reçus par Emmanuel Macron sur un sujet d’urgence vitale qu’est l’immigration. Je note avec regret qu’il ne nous a pas répondu ni a accepté de nous recevoir sur le sujet de l’immigration. Renvoyant une éventuelle rencontre pour parler des institutions, avec les amis de M. Mélenchon et avec Mme Le Pen. Je crois que le message est clair.

Le parti présidentiel Renaissance doit plancher sur l’idée d’un rapprochement avec la droite le 21 juin. Que leur dites-vous ?

Cette démarche est assez ridicule, aussi bien sur la forme que sur le fond.
Moi, je veux m’adresser à ceux qui nous ont quittés. Emmanuel Macron ne sera plus candidat en 2027. Ses électeurs vont être à la recherche d’un nouveau leader. Nous n’arriverons pas à les convaincre par le biais de petites combinaisons. J’ai bien lu les propositions d’Edouard Philippe sur l’immigration qui propose de faire l’inverse de ce qu’il a fait à Matignon. Je l’ai entendu parler de l’AME… De notre côté, nous débattions d’une résolution des Républicains portée par Véronique Louwagie proposant de supprimer les dérives insupportables de cette Aide Médicale d’Etat qui coûte 2 milliards d’euros. Non sans surprise, j’ai constaté que les députés Horizons s’étaient opposés à cette résolution. Nous aurons ce même débat avec notre résolution sur la suppression des accords de 1968 avec l’Algérie. Notre résolution a été déposée cette semaine à l’Assemblée et au Sénat pour dénoncer ces accords alors que l’Algérie multiplie les provocations vis-à-vis de la France. Quand certains parlent, d’autres agissent.

Quand François Bayrou s’oppose à un tel virage, entendez-vous cela comme une menace adressée au président de la République ?

Moi, je suis dans l’opposition et pas dans la majorité. J’observe avec amusement la compétition qui s’ouvre dans la majorité pour l’après Macron. Elle ne nous concerne pas.

Dans Le Figaro, Elisabeth Borne a souligné votre absence de signaux en faveur d’une coalition. Que lui répondez-vous ?

D’éviter de donner des leçons à une droite qui assume ses responsabilités. Je rappelle que si nous n’avions pas été au rendez-vous de la cohérence et de la responsabilité, il n’y aurait pas eu de réforme des retraites. Le reste n’est que posture. Nous aurons la même position sur la dérive de nos finances publiques, sur le chaos migratoire. Libre au gouvernement de venir sur ce terrain. Nous posons les sujets au grand jour. Ils sont vitaux pour sortir la France de l’urgence absolue dans laquelle elle se trouve. Pour parler à la droite, il ne suffit d’aller dans les colonnes du Figaro même si cela est une bonne chose. Il faut surtout avoir le courage d’appliquer une politique utile pour le pays.

Quand la première ministre évoque des adaptations possibles sur l’une de vos lignes rouges, la régularisation des étrangers pour les métiers en tension, que lui répondez-vous ?

Il n’y a pas d’adaptation ou accommodement possible, juste la suppression de cette mesure qui est l’inverse de ce qu’il faut faire. Notre politique migratoire est la plus généreuse d’Europe. Il faut adresser un message à ceux qui veulent venir en France : ce n’est pas dans notre pays qu’ils trouveront l’El Dorado le plus favorable. Arrêtons avec ces appels d’air. Près de 5 millions de Français sont inscrits à Pôle Emploi. Travaillons d’arrache-pied pour les orienter vers ces métiers en tensions plutôt que d’imaginer une main d’œuvre bon marché d’origine irrégulière.

Mais que dites-vous aux entreprises concernées qui sont en attente de solutions urgentes ?

Que les métiers en tension relèvent d’une vraie politique de l’emploi et des rémunérations. Cela n’est en aucun cas un problème migratoire. Adresser ce message de régularisation est irresponsable et dangereux.

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Nos sénateurs interrogent le gouvernement

Ce mercredi après-midi, lors de la séance de questions au gouvernement, cinq sénateurs du groupe les Républicains ont interpellé l’exécutif.

Pour commencer, Cyril Pellevat, sénateur de l’Isère, a interpellé la Première ministre sur l’attaque au couteau à Annecy.

Annecy : “Comment se fait-il que les délais de traitement de la demande d’asile de cet homme, pourtant irrecevable, aient été si longs ?” @CyrilPellevat interroge le gvt. La présence de l’assaillant sur le territoire pose question. #QAG https://t.co/XMokmwPRPG

— Républicains Sénat (@lesRep_Senat) June 14, 2023

Laurence Garnier, sénatrice de Loire-Atlantique, a interrogé le ministre délégué auprès de la Première ministre, chargé du Renouveau démocratique sur la dissolution de l’association “Les Soulèvements de la Terre”.

“L’écologie devient le totem d’immunité d’une extrême gauche qui souhaite la zadisation du pays. Ne cédez pas face au totalitarisme vert !” @LGarnier44 interpelle le gvt après le saccage de cultures maraîchères par les Soulèvements de la terre. #QAG https://t.co/FXl4cmfRHX

— Républicains Sénat (@lesRep_Senat) June 14, 2023

Philippe Tabarot, sénateur des Alpes-Maritimes, a questionné le ministre de la Transition écologique et de la Cohésion des territoires sur les zones à faible émissions.

“Les lois LOM et Climat et résilience ont engagé la mise en place de ZFE.” @PhilippeTabarot interpelle le gvt sur les inquiétudes et tensions générées par le manque d’information et d’accompagnement sur l’avènement des ZFE. #QAG https://t.co/CLXpAzcvnt

— Républicains Sénat (@lesRep_Senat) June 14, 2023

Jacqueline Eustache-Brinio, sénatrice du Val-d’Oise, a interpellé la secrétaire d’État auprès du ministre de l’Intérieur et des Outre-mer, chargée de la Citoyenneté sur le port des abayas à l’école.

“Ne pas choisir, c’est laisser l’offensive islamiste progresser. Vous en serez redevables devant les Fçs.” J. Eustache-Brinio interpelle le gvt qui affiche puis retire 1 jeune fille voilée sur un de ses sites et tient un discours ambiguë sur l’abaya. https://t.co/5SMLh6pvXy

— Républicains Sénat (@lesRep_Senat) June 14, 2023

Pour finir, Bruno Sido, sénateur de Haute-Marne, a interrogé la ministre déléguée auprès du ministre de l’intérieur et des outre-mer et du ministre de la transition écologique et de la cohésion des territoires, chargée des collectivités territoriales sur le financement du Centre National de la Fonction Publique Territoriale

“Vous incitez les collectivités à recruter et à former plus de jeunes mais sans moyens financiers, elles n’y parviendront pas.” @bruno_sido interpelle le gvt sur le besoin financier des territoires pour développer l’apprentissage. #QAG https://t.co/p7paZ8TLxu

— Républicains Sénat (@lesRep_Senat) June 14, 2023

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Éric Ciotti : « Il y a trop d’étrangers que nous ne pouvons intégrer et la solution c’est de limiter les flux migratoires ! »

Éric Ciotti, président de notre mouvement et député des Alpes-Maritimes, était l’invité de France Info.

Il est revenu sur nos propositions sur l’immigration, la consommation de stupéfiants, la lutte contre les déserts médicaux et la facilitation à l’accès au permis de conduire.

Selon le ministre de l’Intérieur, 50 % des mis en cause dans les grandes villes sont des étrangers.

25% des détenus dans nos prisons sont des étrangers, il y a une surreprésentation.

Aujourd’hui, il y a trop d’étrangers que nous ne pouvons intégrer et la solution c’est de… pic.twitter.com/7KgnVZve8u

— Eric Ciotti (@ECiotti) June 14, 2023

J’ai toujours porté des propositions en matière d’immigration.

En 2016, j’ai déposé une loi qui va totalement dans cet esprit de reprendre notre destin en main.

J’ai mes convictions et mes valeurs, les Français ne supportent plus ces procès d’intention ! pic.twitter.com/lpwsPaBOnA

— Eric Ciotti (@ECiotti) June 14, 2023

La consommation de stupéfiants explose dans notre pays.

Si on veut s’attaquer au trafic qui représente près de 3 milliards d’€ de chiffre d’affaires, nous devons attaquer cette consommation.

On a trop banalisé la consommation de drogues.

Je propose d’élever l’amende… pic.twitter.com/XtmKKanx5w

— Eric Ciotti (@ECiotti) June 14, 2023

On a formé trop peu de médecins en France.

Pour lutter contre les déserts médicaux, nous devons aller vers l’incitation, je me refuse d’emprunter la voie de la coercition et de l’obligation.

Je suis attaché à la médecine libérale et à liberté d’installation ! pic.twitter.com/dp7AQn7FAf

— Eric Ciotti (@ECiotti) June 14, 2023

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Nos députés interrogent le gouvernement

Ce mardi après-midi, lors de la séance de questions au gouvernement à l’Assemblée nationale, trois députés du groupe les Républicains ont interpellés l’exécutif.

Pour commencer, Véronique Louwagie, députée de l’Orne, a interpellé le ministre de l’Intérieur sur la dissolution de l’association “Les Soulèvements de la Terre”.

À l’appel du collectif Les Soulèvements de la Terre, des militants écologistes ont arraché près de Nantes des plants de muguet.

@VeroLouwagie « Aucun prétexte, aucune cause ne peuvent justifier de détruire ainsi le pacte républicain ». pic.twitter.com/reYHKLN6ev

— Députés Les Républicains (@Republicains_An) June 13, 2023

Aurélien Pradié, député du Lot, a questionné la Première ministre sur le meurtre de Shaïna.

Humiliée, violée, tabassée, poignardée, que vaut dans notre République le martyre de #Shaïna?@AurelienPradie dénonce « Notre justice ne sait plus prononcer la perpétuité réelle. Elle aménage. Elle excuse. Vous êtes devenu le Gouvernement d’une justice impuissante et injuste ». pic.twitter.com/77bdhLWxHq

— Députés Les Républicains (@Republicains_An) June 13, 2023

Pour finir, Jean-Yves Bony, député du Cantal, a interrogé le ministre de l’Agriculture et de la Souveraineté alimentaire sur l’élevage.

En 60 ans, la France a perdu 3 millions de vaches et cette dynamique terrifiante s’accélère

Jean-Yves Bony interroge le ministre de l’Agriculture et de la Souveraineté alimentaire « La France veut-elle encore de ses troupeaux de vaches ou préfère-t-elle miser sur les… pic.twitter.com/E3GXuWNwxy

— Députés Les Républicains (@Republicains_An) June 13, 2023

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L’appel de la droite LR pour soutenir le Haut-Karabakh

Plus de 170 élus LR, dont Gérard Larcher, Xavier Bertrand, Valérie Pécresse, Laurent Wauquiez, David Lisnard, Bruno Retailleau, Olivier Marleix, Francois-Xavier Bellamy et Éric Ciotti, lancent un appel pour empêcher « la fin programmée » du Haut-Karabakh et les risques de massacre encourus par les populations arméniennes de ce territoire.

C’est un cri d’alarme que nous voulons ici lancer. Le cri d’alarme de ceux qui ne veulent pas rester silencieux face à la fin programmée de la République autodéterminée du Haut-Karabakh et les risques de massacre encourus par les populations arméniennes de ce territoire.

Le pouvoir arménien se trouve dans un état d’affaiblissement et d’isolement extrêmes depuis la guerre qu’il a perdue face à l’Azerbaïdjan à l’automne 2020. Les « négociations de paix » qu’il mène depuis lors avec le régime de Bakou se déroulent de manière totalement déséquilibrée : le pouvoir azerbaïdjanais – allié de facto et de jure de la Russie, comme l’a rappelé il y a quelques jours encore le président azerbaïdjanais, Ilham Aliyev – opère depuis six mois un blocus inhumain contre la zone restée libre de République du Haut-Karabakh avec l’ambition ouvertement affichée d’en affamer et d’en chasser les 120.000 Arméniens qui y vivent.

Les forces russes de maintien de la paix, qui devaient garantir la libre circulation entre l’Arménie et le Haut-Karabakh – et ipso facto son approvisionnement – ont révélé leur impuissance à jouer leur rôle. L’ordonnance rendue le 22 février dernier par la Cour internationale de justice et exigeant la levée du blocus s’est révélée sans effet sur Ilham Aliyev.

Face aux velléités belliqueuses et irrédentistes d’un Azerbaïdjan surarmé, l’Arménie impuissante tente déjà, quant à elle, de sauver sa propre souveraineté territoriale. Dans ce contexte, nous lançons un appel solennel au président de la République : la France peut intervenir ; la France doit intervenir. Nous le devons parce que les Arméniens d’Arménie comme du Haut-Karabakh incarnent, non seulement le visage de la démocratie dans une région où règnent sans partage des États autoritaires, voire dictatoriaux, mais aussi le poste avancé d’une culture chrétienne que nous avons en partage. Nous le devons parce qu’il en va de notre responsabilité de protection, qui s’impose à nous au titre des engagements pris en 2005 devant l’Assemblée générale des Nations unies.

Nous pouvons et nous devons intervenir en saisissant à nouveau le Conseil de sécurité de l’ONU pour recadrer les négociations en cours. Car consentir aux négociations telles qu’elles ont été menées jusqu’à Chisinau, c’est-à-dire en évacuant toute responsabilité française et occidentale pour abandonner à nouveau les Arméniens du Haut-Karabakh comme naguère nous avons abandonné les Arméniens de Cilicie, c’est consentir au retour de la guerre à courte échéance, à une déstabilisation de l’Arménie et de la région qui ne jouera pas en notre faveur.

Le Conseil de sécurité doit donc imposer par une résolution le fait que ces négociations doivent avoir pour préalable la garantie absolue de l’exclusion de tout processus d’épuration ethnique des Arméniens du Haut-Karabakh. Une telle garantie de sécurité – la France doit l’exiger et l’imposer – ne s’appuiera que sur un mandat donné à une force d’interposition internationale qui suppléera les forces russes de maintien de la paix ayant fait montre de leur inefficacité et dont le mandat risque du reste de ne pas être prorogé au-delà de 2025. Somme toute, cette résolution doit poser, en fait rétablir, le principe du droit à l’autodétermination des Arméniens du Haut-Karabakh comme garantie ultime de leur droit fondamental à la vie et à la dignité face à un État azerbaïdjanais construit sur la haine raciale à leur endroit.

Et ce droit fondamental à la vie et à la dignité, il nous semble impérieux que le président Macron vienne en réaffirmer le principe à Goris même, aux portes du Haut-Karabakh assiégé, comme ses prédécesseurs François Mitterrand et Jacques Chirac avaient su le faire à Sarajevo. Enfin, dans un monde où les forces de destruction et d’asservissement progressent, la France peut et doit prendre l’initiative de rééquilibrer les négociations arméno-azerbaïdjanaises en repensant avec tous nos partenaires l’architecture de sécurité qui prévaut au Caucase du Sud.

Cette reconfiguration passe aussi par le renforcement des capacités de défense de la République d’Arménie, renforcement auquel nous devrons contribuer. Car seule une Arménie capable de se défendre, ce qui n’est plus le cas aujourd’hui, retrouvera confiance en soi, confiance en les vertus de la démocratie qu’elle incarne presque seule dans la région. Si demain, le Haut-Karabakh et ensuite l’Arménie succombaient définitivement face au condominium russo-turc, l’ombre de l’assujettissement planerait un peu plus sur l’Europe.

Liste des signataires :

Gérard Larcher, président du Sénat ; Xavier Bertrand, président du conseil régional des Hauts-de-France ; Valérie Pécresse, présidente du conseil régional d’Île-de-France ; Laurent Wauquiez, président du conseil régional d’Auvergne-Rhône-Alpes ; David Lisnard, maire de Cannes ; Bruno Retailleau, président du groupe Les Républicains au Sénat ; Olivier Marleix, président du groupe Les Républicains de l’Assemblée nationale ; Francois-Xavier Bellamy, vice-président de LR député européen ; Éric Ciotti, président de LR et député des Alpes-Maritimes ; Jérôme Nury, député de l’Orne ; Annie Genevard, secrétaire générale des Républicains et députée du Doubs.

ALLIZARD Pascal, ANGLARS Jean-Claude, ANTHOINE Emmanuelle, BABARY Serge, BACCI Jean, BANSARD Jean-Pierre, BAS Philippe, BASCHER Jérôme, BAZIN Thibault, BAZIN Arnaud, BAZIN-MALGRAS Valérie, BELIN Bruno, BELLUROT Nadine, BELRHITI Catherine, BERTHET Martine, BLANC Étienne, BLANC Jean-Baptiste, BONFANTI-DOSSAT Christine, BONHOMME François, BONNE Bernard, BONNUS Michel, BORCHIO-FONTIMP Alexandra, BOUCHET Gilbert, BOULAY-ESPÉRONNIER Céline, BOULOUX Yves, BOURRAT Toine, BOYER Jean-Marc, BOYER Valérie, BRISSON Max, BUFFET François-Noël, BURGOA Laurent, CADEC Alain, CALVET François, CAMBON Christian, CANAYER Agnès, CARDOUX Jean-Noël, CHAIN-LARCHÉ Anne, CHAIZE Patrick, CHARON Pierre, CHATILLON Alain, CHAUVIN Marie-Christine, CHEVROLLIER Guillaume, CINIERI Dino, COLIN-OESTERLE Nathalie, COURTIAL Édouard, CUYPERS Pierre, DARCOS Laure, DARNAUD Mathieu, DAUBRESSE Marc-Philippe, de CIDRAC Marta, de LEGGE Dominique, de MONTGOLFIER Albéric, de NICOLAY Louis-Jean, DEL FABROVéronique, DELMONT-KOROPOULIS Annie, DEMAS Patricia, DEROCHE Catherine, DESEYNE Chantal, DI FOLCO Catherine, DIDIER Geoffroy, DIVE Julien, DOMINATI Philippe, DREXLER Sabine, DUMAS Catherine, DUMONT Françoise, DUMONT Pierre-Henri, DUPLOMB Laurent, ESTROSI SASSONE Dominique, EUSTACHE-BRINIO Jacqueline, EVREN Agnès, FAVREAU Gilbert, FOURNIER Bernard, FRASSA Christophe-André, FROGIER Pierre, GARNIER Laurence, GARRIAUD-MAYLAM Joëlle, GENET Fabien, GERBAUD Frédérique, GOSSELIN Philippe, GOSSELIN Béatrice, GOY-CHAVENT Sylvie, GREMILLET Daniel, GROSPERRIN Jacques, GRUNY Pascale, GUENÉ Charles, GUERET Daniel, HETZEL Patrick, HUGONET Jean-Raymond, HUSSON Jean-François, IMBERT Corinne, JACQUES Micheline, JOSEPH Else, JOURDA Muriel, JOYANDET Alain, KAROUTCHI Roger, KLINGER Christian, LAMÉNIE Marc, LASSARADE Florence, LAURENT Daniel, LAVARDE Christine, Le FUR Marc, LE GLEU Ronan, LE RUDULIER Stéphane, LEFÈVRE Antoine, LEROY Henri, LHERBIER Brigitte, LONGUET Gérard, LOPEZ Vivette, LOUWAGIE Véronique, MALET Viviane, MANDELLI Didier, MARTIN Alexandra, MEIGNEN Thierry, MERCIER Marie, MEUNIER Frédérique, MICOULEAU Brigitte, MILON Alain, MORANO Nadine, MOUILLER Philippe, MULLER-BRONN Laurence, NEUDER Yannick, NOËL Sylviane, NOUGEIN Claude, PACCAUD Olivier, PANUNZI Jean-Jacques, PAUL Philippe, PELLEVAT Cyril, PEMEZEC Philippe, PERRIN Cédric, PETRUS Annick, PIEDNOIR Stéphane, PLUCHET Kristina, POINTEREAU Rémy, PRIMAS Sophie, PROCACCIA Catherine, PUISSAT Frédérique, RAIMOND-PAVERO Isabelle, RAPIN Jean-François, REGNARD Damien, RENAUD-GARABEDIAN Évelyne, RICHER Marie-Pierre, RIETMANN Olivier, ROJOUAN Bruno, ROLLAND Vincent, SANDER Anne, SAURY Hugues, SAUTAREL Stéphane, SAVARY René-Paul, SAVIN Michel, SCHALCK Elsa, SCHELLENBERGER Raphaël, SEGOUIN Vincent, SEITLINGER Vincent, SERRE Nathalie, SIDO Bruno, SOL Jean, SOMON Laurent, TABAROT Philippe, THOMAS Claudine, VENTALON Anne, VIAL Cédric, VOGEL Jean-Pierre

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Décès de Silvio Berlusconi

Entrepreneur conquérant et figure éminente de la droite italienne, Silvio Berlusconi aura marqué de son empreinte l’histoire politique de l’Italie durant ces trois dernières décennies.

Son énergie et sa personnalité inclassable avaient fait de lui un représentant majeur de la droite européenne qu’il nous appartient de saluer au moment où il se retire d’une scène qu’il a tant occupée.

Au nom des Républicains, j’adresse mes condoléances à la famille de Silvio Berlusconi ainsi qu’aux militants de Forza Italia, membre du Parti Populaire Européen.

Éric CIOTTI
Président des Républicains

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Eric Ciotti : « Je demande solennellement à Emmanuel Macron de nous recevoir »

Après avoir déposé avec Bruno Retailleau et Olivier Marleix deux propositions de loi, dont l’une vise à réformer la Constitution, Éric Ciotti presse le chef de l’État d’organiser un référendum.

Le président des Républicains estime que la discussion sur l’immigration doit s’engager avec le gouvernement sur la base des textes LR. « Une condition » non négociable selon Éric Ciotti. Au risque de tout bloquer ?

LR presse le gouvernement d’agir sur l’immigration. Arriverez-vous à trouver un accord avec l’exécutif ?

Plus que jamais, et l’actualité tragique d’Annecy l’a encore démontré, nous avons besoin de rompre avec l’immobilisme en matière d’immigration. Le chaos migratoire nous menace. Or, le texte proposé par Gérald Darmanin, c’est du « en même temps » ! La discussion doit s’engager sur la base de nos propositions. C’est une condition claire. Le ministre de l’Intérieur a demandé à nous voir. Nous le verrons par courtoisie. Mais c’est à l’Élysée que ça se décidera, c’est le président de la République qui a les clés et lui seul. Je l’appelle à dépasser les tabous. Avec Bruno Retailleau et Olivier Marleix, nous lui avons écrit le 23 mai et nous étonnons de ne pas avoir eu de réponse. Je demande solennellement à Emmanuel Macron de nous recevoir pour le convaincre d’engager cette réforme. Nous ne nous laisserons pas embobiner dans un énième scénario à l’eau tiède.

Après Annecy, assumez-vous de dire aux Français : « C’est tout ou rien », alors que le gouvernement vous tend la main et que les LR disent qu’il y a urgence ?

C’est une fausse main tendue. Il n’y a pas de fermeté dans la poignée de main. Les Français en ont assez des discours politiques non suivis de faits. Si nos propositions sont adoptées, nous résoudrons le problème de l’immigration dans notre pays.

Qu’attendez-vous de plus d’Emmanuel Macron ?

Nous sommes entravés par un cadre supranational européen et par une jurisprudence nationale qui reprend tous les poncifs de la gauche. C’est pour cela que nous proposons une réforme de la Constitution qui permette de dépasser certains obstacles conventionnels, constitutionnels ou jurisprudentiels quand « les intérêts fondamentaux de la nation » sont en jeu. Si cette proposition des Républicains était soumise aux Français par référendum, elle recueillerait une immense majorité. Aujourd’hui, seul le président peut convoquer ce référendum.

Édouard Philippe, populaire à droite, est souvent proche de vos propositions. Pouvez-vous refuser de travailler avec lui ?

Il est dans la majorité, nous sommes dans l’opposition. Lorsqu’il était à Matignon, il a souvent porté des politiques aux conséquences négatives en matière de sécurité, d’immigration, d’accroissement des dépenses publiques et des prélèvements obligatoires. Je ne vois pas sur quelle base nous travaillerions avec lui. Je relève son double discours. Les propos qu’il tient sur l’AME (aide médicale de l’État), pourquoi ne les a-t-i l pas mis en oeuvre quand il était Premier ministre ? Pourquoi ses députés s’y sont opposés cette semaine à l’Assemblée ? Sur le sujet spécifique de l’Algérie, nous venons de déposer une proposition de résolution pour dénoncer les accords de 1968. Je dis aux 29 députés Horizons comme à ceux de la majorité avec une sensibilité de droite de nous suivre. Passons aux actes !

Selon lui, vos propositions reviendraient à un « Frexit juridique » ?

C’est l’argument fallacieux des apôtres de l’immobilisme. Il est politiquement inepte et juridiquement non pertinent. Nous voulons défendre l’identité constitutionnelle, telle que la cour de Karlsruhe le fait en Allemagne dans une décision de 2020. Personne n’accuse les Allemands de « Deutsch-exit » ! Notre texte est profondément démocratique et n’a rien d’anti-européen. Au contraire, il permettra de sauver l’Europe. Lorsqu’on n’écoute pas les peuples, ils se révoltent.

Reprendrez-vous d’autres initiatives avec le Sénat ?

Oui, nous le reproduirons notamment au plan économique à l’automne. Nous devons être le parti de la baisse des impôts et des charges. J’ai par ailleurs installé un compteur des dépenses publiques. Chacun des déplacements d’Emmanuel Macron donne lieu à des dépenses supplémentaires. Depuis le 30 mars, le compteur s’élève à 5,3 milliards d’euros ! Bruno Le Maire, nous dit que la situation budgétaire est périlleuse. Il faudrait qu’il en informe le président !

Vous lancez, samedi, les états généraux de la droite. Quel est l’objectif ?

L’objectif est de redresser une France qui sombre en redonnant de la crédibilité à la droite républicaine, en la refondant totalement autour de valeurs et d’idées fortes. Jamais les valeurs de droite n’ont été aussi soutenues en France et en Europe, mais malheureusement, chez nous, elles ne sont pas au pouvoir. Il faut donc faire un état des lieux lucide de nos forces mais aussi de nos faiblesses.

Pourquoi réussiriez-vous là où vos prédécesseurs ont échoué ?

Les dernières idées neuves datent de 2007 et nous n’avons rien gagné depuis. L’enjeu est là : soit nous y arrivons, soit nous disparaissons. Nous avons montré avec nos propositions sur l’immigration que nous avons la capacité à sortir de la bien-pensance qui a trop longtemps paralysé l’action publique et qui, il faut bien le reconnaître, a aussi touché notre famille politique.

Mais l’élection à LR n’a-t-elle pas tranché la ligne ?

C’est cette ligne qui peut nous faire gagner : l’autorité pour mieux protéger les Français, l’identité pour préserver et transmettre notre civilisation, et la liberté pour débloquer un pays englué dans la fiscalité et les normes. Nous allons tout mettre à plat, sans tabou. Un congrès conclura les états généraux début 2024.

Vous avez été élu président de LR en annonçant vouloir acter vite la candidature de Laurent Wauquiez pour 2027. Où en êtes-vous ?

Je n’ai pas changé d’avis. La primaire, qui est associée à notre double défaite de 2017 et 2022, n’est pas le mode de sélection le plus approprié. Nous avons besoin d’une incarnation. Laurent Wauquiez est le mieux armé pour cela. Les difficultés que nous avons traversées, comme lors du débat sur les retraites, m’ont conduit à inverser le dispositif et à travailler d’abord sur les idées. Le chantier des statuts s’ouvrira à partir du second semestre 2023 et avant les européennes.

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Bruno Retailleau : « En politique, seuls les actes comptent »

Bruno Retailleau, président du groupe les Républicains au Sénat et sénateur de Vendée, était l’invité de Radio J.

Il est revenu sur le projet de loi sur l’immigration, l’accord franco-algérien de 1968 et la loi de programmation militaire.

“Un ancien premier ministre a dit que le texte de Gérald Darmanin était insuffisant, façon de dire qu’il n’est pas bon. “@BrunoRetailleau, Président du groupe LR au Sénat au micro de @C_Barbier sur @radioj pic.twitter.com/wR742lQYfy

— RADIO J (@RadioJFrance) June 8, 2023

Accord France-Algérie de 1968
Les Algériens considèrent qu’ils ont un droit de tirage illimité moral sur la France et ils considèrent que la colonisation leur a donné des droits éternels, notamment des visas.@BrunoRetailleau, Président du groupe LR au Sénat au micro de… pic.twitter.com/tJGOLWV5pi

— RADIO J (@RadioJFrance) June 8, 2023

“Nous la voterons à une seule condition: qu’on ne reporte pas demain l’effort budgétaire à l’après 2027. “@BrunoRetailleau, Président du groupe LR au Sénat au micro de @C_Barbier sur @RadioJFrance pic.twitter.com/50vi29lTCl

— RADIO J (@RadioJFrance) June 8, 2023

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