Nos sénateurs interrogent le gouvernement

Ce mercredi après-midi, lors de la séance de questions au gouvernement, cinq sénateurs du groupe les Républicains ont interpellé l’exécutif.

Pour commencer, Sophie Primas, sénatrice des Yvelines, a interpellé le ministre de l’Économie, des Finances et de la Relance sur la situation d’EDF.

“Avez-vous décidé de sacrifier #EDF ?”@sophieprimas interpelle le gouvernement sur la gestion des prix de l’électricité et son total manque de vision à moyen et long terme sur la politique énergétique.#QAG pic.twitter.com/6wqmDFBIV7

— Républicains Sénat (@lesRep_Senat) January 19, 2022

Pierre Charon, sénateur de Paris, a interrogé la ministre déléguée auprès du ministre de l’Intérieur, chargée de la Citoyenneté sur la circulation à Paris.

“La situation parisienne en matière de #circulation et de #stationnement n’est plus acceptable”@pierrecharon demande au gouvernement de se saisir de ces problématiques qui rendent la vie de nombreux franciliens impossible.#QAG pic.twitter.com/VH44zwjK6A

— Républicains Sénat (@lesRep_Senat) January 19, 2022

Christine Bonfanti-Dossat, sénatrice du Lot-et-Garonne, a questionné la ministre déléguée auprès du ministre de l’Intérieur, chargée de la Citoyenneté sur le bilan du gouvernement en matière de sécurité.

.@CBonfantiDossat (@lesRep_Senat) interroge @MarleneSchiappa sur la politique du @gouvernementFR: “Que regrettez-vous de ne pas avoir fait pendant ce mandat en matière de sécurité ? Êtes-vous vraiment fière de cette société fracturée, abîmée, que vous allez laisser aux Français?” pic.twitter.com/GmRS8ekmP0

— Sénat Direct (@Senat_Direct) January 19, 2022

Valérie Boyer, sénatrice des Bouches-du-Rhône, a interpellé le ministre délégué auprès du ministre de l’Europe et des Affaires étrangères, chargé du Commerce extérieur et de l’Attractivité sur les menaces du président d’Azerbaïdjan contre Valérie Pécresse.

“Pourquoi ne pas exiger des excuses solennelles de l’Azerbaïdjan ?”@valerieboyer13 interroge le gouvernement sur son manque de réaction à la suite des menaces du président azéri à l’encontre de Valérie #Pécresse lors de son voyage en Arménie. #QAG pic.twitter.com/WWhS7EeTcq

— Républicains Sénat (@lesRep_Senat) January 19, 2022

Pour finir, Martine Berthet, sénatrice de la Savoie, a interrogé la ministre de la Cohésion des territoires et des Relations avec les collectivités territoriales sur les finances des communes montagnardes.

.@MartineBerthet (@lesRep_Senat) interroge @j_gourault sur les difficultés financières des communes de montagne en cette période de pandémie : “Madame la ministre, je vous le demande, comment vont-elles faire ?”#QAG #DirectSénathttps://t.co/DiljGdfQ5Y pic.twitter.com/fiNV0zBJyW

— Sénat Direct (@Senat_Direct) January 19, 2022

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Eric Ciotti : « Supprimons l’impôt sur la mort sur les successions et donations »

Eric Ciotti, député des Alpes-Maritimes et président de la commission nationale d’investiture, était l’invité de France 2.

Il est revenu sur la gestion de la crise sanitaire à l’école, la présidence française de l’Union européenne et sur l’impôt sur les successions.

Vacances de Jean-Michel #Blanquer – “Ce qui est déplorable, dans cette affaire, c’est l’impréparation de la rentrée scolaire. Toujours dans l’improvisation totale !”@ECiotti , député @lesRepublicains

#Les4V avec @Caroline_Roux pic.twitter.com/WXTkGvhxyi

— Info France 2 (@infofrance2) January 19, 2022

Présidence de l’Union européenne – “Emmanuel Macron va tenir un discours de candidat plus qu’un discours de président. Il est dans une démarche électorale”@ECiotti , député @lesRepublicains

#Les4V avec @Caroline_Roux pic.twitter.com/2gv9bXIMs0

— Info France 2 (@infofrance2) January 19, 2022

Supprimons l’impôt sur la mort sur les successions et donations

Les familles sont accablées d’impôts et sont doublement taxées sur le fruit du travail de toute une vie

Mettons fin à cette injustice inacceptable pic.twitter.com/VL2VDgIJXL

— Eric Ciotti (@ECiotti) January 19, 2022

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Valérie Pécresse : « Je propose un choc de pouvoir d’achat »

Hier soir, Valérie Pécresse, notre candidate à l’élection présidentielle, répondait aux questions des Français lors de l’émission La France dans les yeux sur BFMTV.

“La rentrée scolaire à été calamiteuse. Il y a eu une désorganisation affolante autour de cette rentrée.” @vpecresse #LaFranceDansLesYeux #Pecresse2022 pic.twitter.com/ecQPdeC80j

— Pécresse 2022 (@avecValerie) January 18, 2022

La loi #Handicap de 2005 portée par Jacques Chirac n’est pas “une loi de président de conseil général” comme l’affirme Eric Zemmour. C’était une loi d’un grand Président de la République qui avait une vision de la société et de la vulnérabilité. #LaFranceDansLesYeux #Pécresse2022 pic.twitter.com/lFMoaon1rq

— Valérie Pécresse (@vpecresse) January 18, 2022

J’organiserai un service public de la petite enfance en milieu rural. #LaFranceDanslesYeux #Pécresse2022 pic.twitter.com/cR5mq4dQPl

— Valérie Pécresse (@vpecresse) January 18, 2022

Je propose un choc de pouvoir d’achat.

Je défiscaliserai complètement toutes les heures supplémentaires sans restriction ni plafond et je permettrai également de convertir les RTT en salaire, sans limite ni charges patronales. #LaFranceDansLesYeux #Pécresse2022 pic.twitter.com/0TIAkiq1wx

— Valérie Pécresse (@vpecresse) January 18, 2022

Je ne veux pas de quartier d’enfermement.

Je propose qu’on mette en place un plafond anti-ghetto : pas plus de 30% de logement très social par quartier. #LaFranceDansLesYeux #Pecresse2022 pic.twitter.com/X2xMXRtCOd

— Valérie Pécresse (@vpecresse) January 18, 2022

La désertification médicale est un fléau national. Je propose de déployer 4000 jeunes médecins généralistes chaque année dans les territoires sous-dotés. #LaFranceDansLesYeux #Pécresse2022 pic.twitter.com/6wn25QMHAC

— Valérie Pécresse (@vpecresse) January 18, 2022

“Je souhaite qu’on vote chaque année une loi constitutionnelle pour mettre des quotas migratoires pour choisir qui l’on accueille.

Il faut mettre fin à l’immigration incontrôlée.” @vpecresse #LaFranceDansLesYeux #Pecresse2022pic.twitter.com/Bs4XrFZ5dl

— Pécresse 2022 (@avecValerie) January 18, 2022

Je veux qu’on redonne foi en l’avenir à nos agriculteurs. J’augmenterai leurs revenus, j’allègerai leurs charges et je faciliterai les transmissions.

Mon projet pour l’agriculture https://t.co/sgAa5Z7hmr #LaFranceDansLesYeux #Pécresse2022 pic.twitter.com/d0jTjZRPB0

— Valérie Pécresse (@vpecresse) January 18, 2022

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Valérie Pécresse : « Ma France est une France qui est fraternelle avec les plus vulnérables »

Lors de son déplacement dans le Lot ce mercredi, la candidate LR à la présidentielle, a souhaité rendre visite à des enfants handicapés afin de répondre aux propos d’Eric Zemmour.

Jean-Michel Blanquer est au cœur d’une polémique après avoir annoncé le protocole sanitaire depuis son lieu de vacances, demandez-vous sa démission ?

J’ai exprimé toutes les critiques qui étaient les miennes sur la gestion de cette rentrée et évidemment cette information ne diminue pas mes critiques, c’est très choquant. Mais je ne ferais pas sauter le fusible car Jean-Michel Blanquer n’est qu’un rouage dans cette affaire. Je demanderai des comptes au président de la République pour avoir totalement désorganisé cette rentrée et ne pas avoir pris des mesures pour freiner la propagation du virus. Si on avait laissé les enfants en distanciel durant une semaine, on aurait aplati la courbe. Sous ma présidence, mes ministres seront au travail et à l’écoute.

La loi sur le passe vaccinale a été votée dimanche, êtes-vous satisfaite ?

Le gouvernement a toujours un temps de retard sur l’actualité. Sur les tests il aurait fallu les faire, dans les écoles, dès septembre. Le passe vaccinal va entrer en vigueur à un moment où l’épidémie sera en décrue. Je demande que le gouvernement arrête le passe vaccinal dès qu’il ne sera plus strictement nécessaire.

Quels sont les critères ?

Le Sénat va proposer de mettre en place un comité de coordination pour voir à quelle date il faudra arrêter le passe vaccinal.

La droite sénatoriale ne souhaitait pas autoriser les contrôles d’identité, regrettez-vous que les députés n’aient pas respecté ce souhait ?

Je pense que les sénateurs avaient raison.

Le texte sur l’allongement de l’IVG de 12 à 14 semaines arrive au Sénat aujourd’hui, y êtes-vous favorable ?

Je suis attachée aux équilibres de la loi Veil et à ce qu’on donne les moyens aux centres d’IVG et aux plannings familiaux d’appliquer cette loi mais je ne suis pas pour la fuite en avant des délais.

Vous étiez hier en Corrèze, aujourd’hui dans le Lot. Après avoir sillonné l’Île-de-France durant des années, quelles différences majeures ressentez-vous ? Sentez-vous ces fractures qui clivent le pays ?

Notamment dans la ruralité, c’est un monde post-Covid qui est en train de s’écrire. Les Français aspirent à retrouver une nouvelle qualité de vie. Des aménagements d’infrastructures massifs doivent permettre aux zones rurales de profiter de ce nouvel engouement des familles. Mon engagement est clair : lorsqu’on donne un euro pour la politique de la ville on doit donner un euro pour la ruralité.

Vous voulez supprimer 200 000 postes de fonctionnaires mais à l’heure où les hôpitaux souffrent, tout comme les écoles ou les commissariats, comment fait-on ?

Je supprimerai les postes de fonctionnaires de l’administration administrante pour pouvoir recréer 50 000 postes dans les trois missions essentielles de l’État qui sont aujourd’hui en grande souffrance : protéger, éduquer, soigner.

Les petites villes souffrent aussi du départ d’autres services publics comme les impôts, les services sociaux…

Les maisons France services sont une bonne intuition du gouvernement mais elles fonctionnent avec des personnels municipaux, ce qui n’est pas acceptable. Il faut que l’État s’engage.

Autre sujet majeur en milieu rural, les déserts médicaux. Comment attire-t-on des médecins, de qualité, dans ces zones ?

Je proposerai aux infirmiers, aux sages-femmes qui le souhaitent de devenir médecin en réintégrant un cursus en deuxième cycle. Nous devons étudier l’idée de Philippe Juvin d’allonger d’une année l’internat en médecine générale et créer ainsi un statut de docteur junior, et que cette année se fasse dans les territoires carencés.

Domaine incontournable de la ruralité, la chasse. Certains souhaiteraient sanctuariser un jour le week-end afin que les non-chasseurs puissent profiter de la nature, qu’en pensez-vous ?

Si on interdit la chasse le week-end, on interdit la chasse tout court. Cette proposition est totalement inenvisageable.

Vous allez aussi visiter une école pour enfants autistes, vous voulez répondre à Eric Zemmour ?

Ma France est une France qui est fraternelle avec les plus vulnérables. Je propose 3 choses : je veux déconjugaliser l’allocation adulte handicapé car aujourd’hui, si votre conjoint gagne bien sa vie, vous ne la touchez pas. Je proposerai aussi qu’un enfant handicapé, qui n’a pas de moyens, puisse toucher la pension de réversion du dernier parent survivant tout au long de sa vie. Enfin, nous n’avons n’a pas assez d’accompagnants spécialisés. Je veux qu’ils aient un vrai diplôme, des contrats de 3 ans minimum, que l’on harmonise leur rémunération et qu’on leur donne des temps pleins.

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Christian Jacob : « Un match Macron-Pécresse se dessine au deuxième tour »

À l’occasion de la campagne présidentielle, vous multipliez les déplacements en province ?

Oui chaque semaine, j’effectue plusieurs déplacements. Là je fais un meeting à Canet-en-Roussillon mercredi, puis jeudi je rencontre des viticulteurs dans l’Aude, je verrai aussi Gérard Larrat, le maire de Carcassonne, Isabelle Chesa, des militants et des candidats aux législatives, avant de passer à la séquence héraultaise. Avec, là aussi, des candidats aux législatives avant la réunion publique de La Grande-Motte.

Vous avez le sentiment que Les Républicains reviennent de loin ?

Si on refait le film depuis deux ans, on a réussi quelque chose qui n’était pas gagné. Il y a deux ans, on avait perdu deux présidentielles de suite, deux législatives de suite et un score catastrophique aux européennes. Et depuis, on a gagné toutes les élections territoriales, les municipales, sénatoriales, départementales, régionales.
Il y a deux ans on avait 60 000 militants, on est à 160 000 aujourd’hui. On avait 1 600 jeunes adhérents à LR, on en a entre 12 000 et 15 000 aujourd’hui. Et puis on a réussi à rassembler toute la famille, ce qui n’était pas rien. Avec un parti complètement derrière et en soutien total de Valérie Pécresse.

Comment jugez-vous les retours sur le terrain vis-à-vis de la candidature Pécresse ?

Ça se passe vraiment bien. Alors que les LR n’étaient pas dans le match, depuis décembre, on voit bien que se dessine un match Macron-Pécresse au deuxième tour. Elle a bien tenu, elle est à touche-touche avec le FN. On est sur une phase de stabilité. Fillon, en 2017, entre le moment où il est désigné et avant les affaires, en six semaines, il perdait six points dans les sondages. Valérie, elle, elle a tenu ses positions. Maintenant, elle décline ses propositions. Et elle est très à l’écoute, tout en continuant à beaucoup bosser sur le fond.

N’est-elle pas obligée de se droitiser pour s’imposer devant Marine Le Pen ?

Non, elle a toujours été très ferme sur le régalien, regardez en Ile-de-France. Une campagne c’est un marathon, et là, elle tient sa position. Et Valérie Pécresse, c’est la capacité de faire, elle dit les choses et elle les fait. D’ailleurs, En marche est incapable de l’attaquer sur son bilan en Ile-de-France. Après une présidence du verbe, ce sera une présidence de l’action.

Valérie Pécresse a été ministre de Nicolas Sarkozy, qui reste silencieux. Vous attendez son soutien avec impatience ?

Il viendra en son temps. Je n’ai aucune inquiétude, ni aucun doute sur son soutien. Pas une seule seconde. Il est ancien président de la République, il ne va pas descendre dans l’arène politique. Il dira ce qu’il a à dire le moment venu.

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Nos députés interrogent le gouvernement

Ce mardi après-midi, lors de la séance de questions au gouvernement à l’Assemblée nationale, six députés du groupe les Républicains ont interpellés l’exécutif.

Pour commencer, Virginie Duby-Muller, députée de Haute-Savoie, a interpellé le ministre de l’Éducation nationale, de la Jeunesse et des Sports sur la gestion de la crise sanitaire à l’école.

@DubyMuller: “M. le ministre de l’Éducation, le Premier ministre vous a désavoué pour tenter de rétablir la situation dans les écoles. Malgré de maigres avancées, la situation est précaire. Pourquoi avoir tant tardé à suivre les recommandations, à distribuer des masques FFP2?” pic.twitter.com/eGJsTqBggT

— Députés Les Républicains (@Republicains_An) January 18, 2022

Eric Ciotti, député des Alpes-Maritimes, a questionné le Premier ministre sur les menaces du président d’Azerbaïdjan contre Valérie Pécresse.

@Eciotti: “Le Président de l’#Azerbaijan a proféré des menaces à l’encontre de @vpecresse qui ont suscité une réprobation unanime, sauf de votre part. Pourquoi n’avez-vous pas condamné ces paroles? Par complaisance pour l’Azerbaijan ou parce qu’il s’agit de Valérie Pécresse ?” pic.twitter.com/DOwjKG3izF

— Députés Les Républicains (@Republicains_An) January 18, 2022

marc Le Fur, député des Côtes-d’Armor, a interrogé le Premier ministre sur la hausse des prix des carburants.

@marclefur: “À ce prix-là, on ne va pas pouvoir tenir longtemps”. Voilà ce que j’entends dans ma circonscription à propos du prix du carburant. En 4 ans, votre gouvernement a réussi à faire de la voiture un produit de luxe. M. le Premier ministre, qu’entendez-vous faire?” pic.twitter.com/fUNXH1W68P

— Députés Les Républicains (@Republicains_An) January 18, 2022

Jérôme Nury, député de l’Orne, a interpellé le Premier ministre sur le prix de la baguette de pain.

@jeromenury: “Une enseigne de la grande distribution vient d’annoncer le gel du prix de la baguette à 29 centimes. Cette affaire pose de vrais problèmes, surtout pour la rémunération de nos agriculteurs et en concurrence avec nos boulangers. Comment comptez-vous les protéger?” pic.twitter.com/Cb1QiAEXSi

— Députés Les Républicains (@Republicains_An) January 18, 2022

Emmanuel Maquet, député de la Somme, a interrogé le Premier ministre sur les réouvertures de centrales à charbon et au gaz.

@emmanuel_maquet: “Faute d’investissement dans le nucléaire, nous dépendons de la météo pour notre approvisionnement énergétique. Vous fermez Fessenheim mais vous ouvrez de nouveaux EPR. Vous promouvez les énergies décarbonées mais rouvrez les centrales à charbon. Désastreux” pic.twitter.com/Oiyw1OKtTN

— Députés Les Républicains (@Republicains_An) January 18, 2022

Pour finir, Nathalie Porte, député du Calvados, a questionné le Premier ministre sur la situation dans les hôpitaux.

@nathporte : “Depuis deux ans, la crise sanitaire a révélé l’appauvrissement de l’hôpital public : manque de personnel, manque de matériel. Deux ans après, le bilan s’est encore aggravé. Allez-vous reconnaître l’échec de votre gouvernement dans ce domaine fondamental?”#DirectAN pic.twitter.com/QIVQRpJTJu

— Députés Les Républicains (@Republicains_An) January 18, 2022

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Un quinquennat de liberté

« Si Emmanuel Macron se voulait l’élève de Ricœur, il n’est certainement pas celui d’Alexis de Tocqueville », dénoncent les cinq membres de la cellule riposte de Valérie Pécresse.

Les cinq années de mandat d’Emmanuel Macron, qui voulait décoincer la société française, se soldent par un constat cruel : le « Nouveau Monde » se termine dans un clair-obscur inquiétant d’un monde d’avant-hier, moins libre, moins heureux, moins démocratique.

La bienveillante vitrine « sociale-libérale » de sa « Révolution » s’est craquelée et le vrai visage du macronisme se révèle : un pouvoir solitaire et vertical, un manque d’empathie pour ceux qui souffrent ou qui ne partagent pas ses opinions, un arbitrage continu des décisions politiques au détriment de la démocratie représentative et des libertés publiques et individuelles. Si Emmanuel Macron se voulait l’élève de Ricœur, il n’est certainement pas celui d’Alexis de Tocqueville.

L’héritage macronien est très lourd en matière de libertés. La violence de la répression opérée à l’égard des premiers Gilets jaunes a laissé un goût amer à des citoyens en grande souffrance sociale qui ont eu l’impression de se voir dénier leur droit de manifestation et qu’on a caricaturés à dessein en black blocks. La décision présidentielle de confiner l’ensemble des Français, assortie de formulaires kafkaïens pour pouvoir sortir son chien mais pas aller à la messe, a posé la question de la limite du pouvoir étatique et de la hiérarchie des valeurs d’une civilisation. Plus récemment, l’institution d’un pass sanitaire puis vaccinal pérennisé a semblé instituer – sciemment si l’on en croit le président Macron – deux catégories de citoyens en fonction de leur comportement vaccinal. La variable d’ajustement de nos libertés semble être devenue le niveau d’occupation des lits de réanimation.

Cette liste n’est pas limitative. Lorsque les experts scientifiques de l’Etat vont jusqu’à prétendre réglementer la place des convives autour de la dinde de Noël, ou lorsque le gouvernement réduit d’autorité la vitesse de circulation sur les routes en l’abaissant à 80 km/h, le citoyen finit par s’interroger sur ce qui relève de sa responsabilité/liberté, et ce qui relève de l’autorité étatique. L’impératif que représente une urgence doit bien entendu être pris en compte mais aucune société ne peut vivre plusieurs années en régime d’état d’urgence permanent. Toute la politique d’une Nation ne peut pas être conditionnée au « seul résultat qui compte ».

Machin. Avec cette philosophie utilitariste, le Parlement a d’emblée été considéré comme un machin ralentissant la belle mécanique macronienne. Il a souvent été malmené pour voter dans la précipitation des textes importants pour les Français, comme le texte de la Convention citoyenne bâclé en quinze jours.Le Conseil d’Etat, chargé de la qualité juridique des textes, a fonctionné au gré des foucades et des revirements gouvernementaux. Les élus locaux ont souvent été ignorés par le pouvoir central, pour ne pas dire piétinés.

Cependant, soyons honnêtes : le macronisme n’a fait qu’accélérer, faute de colonne vertébrale idéologique, les défauts d’une époque. Une époque qui entend non seulement nous dicter comment on peut boire, manger, fumer ou conduire, mais aussi de plus en plus comment on doit penser, dans les médias ou dans les universités. Sa faute aura été de laisser prospérer des idéologies illibérales comme le wokisme, l’écologisme décroissant ou l’islamisme radical.

Le chantier des libertés ne doit donc pas se limiter à une seule réflexion sur les institutions. Il inclut une réflexion sur la question des minorités en trouvant un point d’équilibre : comment ne pas basculer dans une tyrannie des groupes de pression sans tomber dans l’excès inverse qui est de vouloir aplatir toute différence de sensibilité d’opinion ? Cet équilibre, nous en aurons besoin lorsqu’on abordera des sujets qui déchaînent les passions comme certaines traditions culturelles locales, les sujets sociétaux ou encorele bien-être animal.

C’est ce chantier que la Droite devra engager comme sa grande cause philosophique pour que notre devise républicaine retrouve ses couleurs après cinq années d’illibéralisme.

Par Julien Aubert, député LR du Vaucluse, Valérie Boyer, sénatrice des Bouches-du-Rhône, Valérie Debord, vice-présidente de la Région Grand Est, Jonas Haddad, conseiller régional LR de Normandie et Charles Prats, secrétaire National de l’UDI

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Valérie Pécresse : « Oui, Molière entrera au Panthéon ! »

La candidate LR à la présidentielle s’élève avec véhémence contre le refus de l’Élysée de faire entrer le dramaturge dans le grand temple de la République.

Avec Francis Huster et Anne Hidalgo, j’ai soutenu l’entrée au Panthéon de Molière. De façon singulière, l’Élysée a répondu : « Le Panthéon est un temple laïc, enfant de la patrie républicaine, elle-même engendrée par les Lumières. C’est pour cette raison que toutes les figures qui y sont honorées sont postérieures aux Lumières et à la Révolution. »

Le Panthéon a une histoire aussi mouvementée que celle de notre France tout entière et que cette communication de l’Élysée semble mal maîtriser. L’église Sainte-Geneviève, dont Louis XV avait posé la première pierre, fut certes laïcisée en 1791, mais le Panthéon servit au culte une grande partie du XIXe siècle… et trois cardinaux italiens y sont toujours inhumés parmi les six étrangers qui y dorment pour l’éternité.

Les panthéonisés ne sont pas tous postérieurs à la Révolution, Rousseau et Voltaire, tous deux morts en 1778, sont au Panthéon. En 1793, la décision fut prise d’y transférer Descartes, un grand homme du XVIIe siècle comme Molière, mais elle ne fut pas appliquée. Le Panthéon n’est donc pas réservé à nos illustres compatriotes d’après 1789.

Mais l’essentiel n’est pas là. Le Panthéon dit le rapport d’une époque à son Histoire, certains ainsi y entrèrent… pour en ressortir plus tard comme Mirabeau ou Marat. Il n’est que symbole. Eh bien, il est temps d’ouvrir le Panthéon aux femmes et aux hommes qui caractérisent le mieux le génie français dans la continuité des siècles ! La France ne naît pas en 1789, de même le progrès ne commence pas en 1789, ni heureusement le talent, l’esprit et la liberté.

La France, venue du fond des siècles, lente et patiente sédimentation de peuples issus de tous les hémisphères et de toutes les spiritualités, sur un socle judéo-chrétien, survivra, n’en déplaise à tous les déclinistes, tous les chagrins, tous les mesquins, car elle est une idée qui s’incarne dans d’innombrables talents et dans d’éternelles gloires. Je n’ai pas envie d’une France limitée, recroquevillée, sectaire dans ses admirations. J’ai envie d’une France fière, brillante, impertinente. J’ai envie d’une France qui ressemble à une pièce de Molière : vive, enlevée, tonique, profonde et drôle à la fois. Une France soucieuse d’intelligence, irrespectueuse des puissants dès lors qu’elle est talentueuse, libre et courageuse.

Cessons de nous quereller, de nous diviser, de nous fragmenter. Brisons les clivages, les verrous, les tabous et ne célébrons que le talent et l’esprit. Notre France est blessée, fracturée, compartimentée comme elle est corsetée, bureaucratisée, anesthésiée. Moi je veux écrire une France réparée, réunie, libérée. La mère Patrie est femme, elle protège, comprend, partage. Je serai la présidente de cette patrie-là et Molière entrera au Panthéon pour que sa lumière chatoyante symbolise cette France réconciliée avec son génie.

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Valérie Pécresse : « Il faut que le travail paie plus que l’assistance »

Valérie Pécresse, notre candidate à l’élection présidentielle, était l’invitée d’Europe 1.

Elle est revenue sur l’immigration, le bilan du gouvernement, la gestion de la crise sanitaire et l’augmentation des salaires.

“Sur l’immigration, les grecs ont réussi à allier l’humanité et la fermeté aux frontières. Je ne veux ni d’une Europe passoire, d’une Europe supermarché mais je ne veux pas non plus d’une Europe forteresse.” @vpecresse #Pecresse2022 pic.twitter.com/5d1gTxdBpo

— Pécresse 2022 (@avecValerie) January 17, 2022

“L’Europe n’est pas un supermarché où on rentre et on sort sans être contrôlé.” @vpecresse #Pecresse2022 pic.twitter.com/XGqc87QjPV

— Pécresse 2022 (@avecValerie) January 17, 2022

“On est au bal des tartuffes en macronie parce que les Macronistes savent bien que c’est la droite de gouvernement qui peut les remplacer.” @vpecresse #Pecresse2022 pic.twitter.com/OKn2EzpTNi

— Pécresse 2022 (@avecValerie) January 17, 2022

“Depuis septembre, on voit une gestion de la crise sanitaire totalement chaotique.” @vpecresse #Pecresse2022
pic.twitter.com/mIOANNdxxf

— Pécresse 2022 (@avecValerie) January 17, 2022

“Il faut que le travail paie plus que l’assistance. On va augmenter de 10% les salaires nets jusqu’à 3.000 euros.

Je défiscaliserai toutes les heures supplémentaires. Je veux que la participation devienne la règle” @vpecresse #Pecresse2022
pic.twitter.com/JroBSwe2kY

— Pécresse 2022 (@avecValerie) January 17, 2022

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Damien Abad : « Il y aura un effet boomerang pour le Président »

Pour Damien Abad, le président du groupe Les Républicains à l’Assemblée, les Français sont « fatigués des ordres et des contre-ordres » du gouvernement dans la crise sanitaire.

Craignez-vous qu’Emmanuel Macron utilise la crise sanitaire pour accaparer le débat présidentiel ?

S’il continue à le faire, il y aura un effet boomerang. Une lassitude est en train de monter dans l’opinion. Les gens veulent qu’on apprenne à vivre avec le virus. Ils commencent à être fatigués des ordres et des contre-ordres. Si les Français sentent que la corde est tirée jusqu’au bout, pour des raisons de politique politicienne, alors cela aura un effet contraire pour le gouvernement.

Les revirements sur le protocole à l’école sont-ils un tournant ?

Oui. L’école touche tout le monde. Et c’est un exemple très concret de l’échec d’une verticalité dans le processus de décision : brutal, sans concertation, et déconnecté de la réalité des familles. On l’a vu avec des queues à n’en plus finir devant les pharmacies. Il y a là une gestion de la crise qui apparaît comme chaotique. Et dans le même temps, des propos et des mises en scène faites pour provoquer et électriser le débat. Comme lorsque les députés En marche font capoter la commission mixte paritaire (instance de compromis entre le Sénat et l’Assemblée nationale) sous le prétexte d’un tweet, ou la sortie d’Emmanuel Macron sur les non-vaccinés. Au lieu de rassembler les Français, ce gouvernement mène la politique du « diviser pour mieux régner ».

Les parlementaires LR se sont fracturés sur le sujet. Macron n’a-t-il pas réussi à vous « emmerder » ?

70 % des députés LR ne se sont pas opposés à ce texte, c’est une large majorité. Et le vote en deuxième lecture est encore plus clair. Il a voulu nous déstabiliser et nous faire sortir du champ de la responsabilité. Mais notre volonté a toujours été de garder cette ligne de responsabilité pendant cette pandémie. Nous sommes un parti de gouvernement. Il est hors de question de laisser à Macron le monopole du camp des raisonnables.

Y a-t-il un risque de radicalisation sur le passe chez certains LR, à qui Eric Zemmour fait les yeux doux ?

Je regrette toujours quand il y a des propos excessifs. Mais il ne faut pas qu’Eric Zemmour prenne ses rêves pour la réalité. Tous les députés LR sont derrière Valérie Pécresse, le cas de Guillaume Peltier est isolé. Cette crise sanitaire montre qui peut être président et qui ne le peut pas. Eric Zemmour ne donne pas de ligne stratégique. On ne sait pas trop ce qu’il pense du passe vaccinal, quand Valérie Pécresse assume en disant : « Je suis pour la vaccination, et nous soutiendrons le passe même si ce n’est pas notre texte et qu’il est perfectible. » Ça, c’est du courage politique, contrairement à Eric Zemmour qui se cache beaucoup.

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