Valérie Pécresse face à la rédaction de ELLE

Longtemps sous-estimée par son propre camp, Valérie Pécresse s’est imposée comme la candidate de la droite à l’élection présidentielle. Fausse discrète et vraie ambitieuse, diplômée de HEC et de l’Ena, l’ancienne députée des Yvelines est née à la politique sous Jacques Chirac. Deux fois ministre sous Nicolas Sarkozy, elle prétend faire de la région Île-de-France, qu’elle préside depuis 2015, son laboratoire à idées. Comment celle qui se revendique féministe, en en faisant même un argument de campagne, compose-t-elle avec sa famille politique conservatrice ? Parité, PMA, violences, santé des femmes… Dans son QG parisien aux allures de start-up, rencontre avec celle qui veut amalgamer toutes les nuances de la droite.

Tout juste entrée en politique, vous avez été mise en garde par Dominique de Villepin : « vous ne ferez jamais de politique parce que vous êtes une femme normale. Vous avez un mari, des enfants. En politique, il n’y a pas de femmes normales, il n’y a que des névrosées. » Êtes-vous donc anormale ?

C’était de la provocation. Il voulait voir comment j’allais réagir. Je ne l’ai, bien sûr, pas pris au premier degré et je lui ai dit que si j’intégrais son équipe, ce serait le meilleur choix possible. Quant à la normalité qu’il évoque… très clairement, je suis anormale ! J’ai réussi à concilier ma vie familiale et ma vie professionnelle. Ça n’a pas été une affaire de mauviette, comme dirait Bette Davis. Car je rappelle que, quand je suis arrivée en politique, j’étais une femme dans un monde d’hommes. Où l’on disait que ce n’était même pas la peine de présenter des candidates aux élections parce que les électrices ne voteraient pas pour des femmes.

Votre équipe de campagne n’est pas paritaire. Est-ce qu’être une femme candidate vous exonère de quelconques obligations en la matière ?

Absolument pas. Aux législatives, nos investitures seront totalement paritaires. La parité, c’est un moyen pour arriver à une fin. Je veux une société mixte, qui s’enrichit des différences. Mais je n’y peux rien si, dans ma famille politique, mes quatre adversaires à la primaire étaient des hommes, si les trois chefs de parti sont des hommes, si les trois présidents de groupe sont des hommes, si le président du Sénat est un homme, si trois présidents de région sur quatre sont des hommes, il faut bien que je travaille avec eux ! Je suis héritière de cette situation.

Et au gouvernement, ce sera le même genre de parité ? Les femmes à la Santé et à l’Éducation ? Aux secrétariats d’État ? Quels engagements prenez-vous aujourd’hui ?

Bien sûr, en fonction des compétences de chacune et chacun. Il se trouve que la droite a la chance de disposer d’un vivier de femmes et d’hommes exceptionnels. Quand on veut faire la promotion des femmes, il faut être directeur de ressources humaines. À chaque fois que je rencontre une femme qui a du talent, je lui demande pourquoi elle ne s’engagerait pas en politique. En général, elle répond qu’elle ne voit pas comment elle pourrait faire entre des vies personnelle et professionnelle, déjà si chargées. Quand j’étais ministre de l’Enseignement supérieur, j’étais la seule membre du gouvernement à avoir un cabinet paritaire. Pourquoi ? Parce que les jeunes femmes s’étaient passé le mot. Elles avaient entre 30 et 35 ans, et se disaient « Valérie Pécresse a des gosses, petits, donc elle comprend ».

Les résistances persistent. Comment dès lors améliorer la parité sur les postes stratégiques ?

Je ne vais pas vous donner les futurs occupants des postes avant l’élection, en revanche, j’ai demandé à l’association Hubertine Auclert, qui est mon bras armé en matière de droits des femmes à la région, de réaliser une étude sur ce que j’appelle « les Everest », à savoir tous les postes de la République qui n’ont pas encore été féminisés : présidence de l’Assemblée nationale, présidence du Conseil constitutionnel, vice-présidence du conseil d’État…

Sous votre présidence, une femme à Matignon, c’est envisageable ?

Absolument. La seule question qui compte c’est qui est le ou la meilleur(e) à quel poste.

Sur BFM, vous avez apporté votre soutien aux femmes victimes de violences sexuelles face à Jean-Jacques Bourdin, accusé par l’une d’entre elles. Quel message souhaitiez-vous envoyer ?

J’ai dit que je respectais totalement la présomption d’innocence, que Jean-Jacques Bourdin réfutait ces accusations mais que si ces actes étaient avérés, ils étaient graves. Avec moi Présidente, la parole des femmes sera respectée. Je ne laisserai plus jamais les femmes avoir peur de porter plainte. Je le dis d’autant plus que j’ai eu à subir dans ma jeunesse, comme tant de femmes ce genre de comportements.

Sous votre présidence, si un ministre était poursuivi pour agression sexuelle, comment réagiriez-vous ?

S’il y a un faisceau d’indices convergents qui laissent à penser que les choses sont sérieuses, je suis d’avis que la personne mise en cause ne pourrait pas rester en place. Il faut néanmoins prendre garde aux faux procès et aux dénonciations calomnieuses. En politique, ça existe. Ça dépend évidemment de la situation, mais s’il y a une mise en examen, pour moi, un ministre doit démissionner.

Dans votre programme, vous écrivez : « Avec votre confiance, je serai, mes chers compatriotes, LE chef dont la France a besoin. » Pourquoi pas LA cheffe ?

C’est parce que je n’ai pas relu cette phrase. Et qu’elle a dû être écrite par un garçon !

Si vous étiez élue, comment devrait-on vous appeler : Madame la présidente ou Madame le Président ?

« La », bien sûr. Cette question des titres est intéressante car la misogynie est ancrée dans les têtes, y compris celles des femmes. Quand je suis devenue présidente de Région, il est arrivé plusieurs fois que les élus de l’opposition m’appellent « Madame la vice-présidente ». Et ce n’était pas fait exprès. C’étaient des lapsus. C’est ce que j’appelle « l’école du vice ». Les femmes sont toujours « vice » quelque chose.

Vous vous prévalez souvent de votre genre. Que change le fait d’être une femme dans l’exercice du pouvoir ?

Être une femme est un combat de tous les instants. On ne m’a jamais vue venir. Personne ne croyait à ma victoire aux régionales, ni à la primaire de la droite. Le mur de la misogynie est encore très présent. Je gère la première région d’Europe d’une main à la fois ferme et aimante. Je pense que ce qui caractérise les femmes, c’est qu’elles ont les deux pieds ancrés dans la réalité de la vie quotidienne. Même si des hommes, comme les maires, les ont aussi. Est-ce qu’être une femme m’a fait porter une attention particulière à la situation des femmes ? C’est une évidence. C’est, en tout cas, ce qui m’a fait prendre conscience de situations d’inégalités flagrantes.

Que comptez-vous faire pour y remédier ?

La fiscalisation des pensions alimentaires des mamans solo est un scandale auquel je compte remédier. Rendez – vous compte : quand on est en couple, l’argent pour les dépenses des enfants n’est pas fiscalisé, mais quand on se sépare et que le coût de la vie augmente de 20 %, les pensions alimentaires sont défiscalisées pour le père, et la mère se retrouve à devoir payer des impôts sur cette même pension ! Ce qui peut lui faire perdre les APL, la prime d’activité… Je défiscaliserai ces pensions alimentaires. La TVA à 2,1 % sur les protections menstruelles ou sur les couches est aussi une évidence. Ce sont des produits de première nécessité, et, pourtant, c’est un gros budget. Évidemment, les hommes qui nous gouvernent ont laissé tous ces sujets sous les radars. Je suis la première à avoir installé des distributeurs de protections périodiques gratuites dans tous les lycées d’Île-de-France. Autre sujet d’importance : la précarité des femmes qui n’ont pas une carrière complète parce qu’elles ont arrêté de travailler pour s’occuper de leurs enfants. Ce n’est pas normal. Dans ma réforme des retraites, je ferai passer les pensions de réversion des femmes qui n’ont pas une carrière complète de 54 à 75 % de la retraite du conjoint.

Ces inégalités valent aussi en matière de santé, et depuis longtemps…

J’ai trois priorités. La santé mentale, le cancer des enfants et la santé des femmes seront les grandes causes de mon quinquennat. Les femmes ne se soignent pas assez, en particulier les mères seules avec enfants. Je voudrais organiser des consultations mère-enfant. Quand vous emmènerez votre enfant pour ses consultations obligatoires, on vous fera votre examen gynécologique ou un bilan de santé. Autre sujet : la détresse des règles est complètement taboue. Elle génère pourtant beaucoup de souffrances. Il y a l’endométriose, et plus généralement les règles très douloureuses. Aujourd’hui, quand vous avez un lumbago, vous allez voir le médecin et il vous arrête. Si vous y allez pour des règles douloureuses et vraiment handicapantes, ce n’est pas reconnu. Je veux que l’on puisse avoir deux jours de congé possibles sur avis médical. Autre sujet tabou parce que féminin : la ménopause. Aucune consultation de prévention en médecine du travail n’est proposée, alors que l’on sait bien que cela peut entraîner des troubles de santé, voire des dépressions. Je veux ouvrir la voie sur ce sujet, comme je l’ai fait sur la précarité menstruelle.

Le 28 janvier, la France comptait déjà huit féminicides. Comment en finir avec ces crimes ?

Nous allons mettre en place un parquet spécialisé pour prononcer des ordonnances de protection, idéalement dans les 48 heures et, au plus tard, dans le délai de six jours qui est dans la loi, mais qui n’est pas respecté. Ce parquet verra le jour dans chaque tribunal de grande instance. La loi sera votée dans les cent jours suivant mon élection. Le parquet traitera des violences faites aux femmes, mais aussi aux enfants, qu’il ne faut surtout pas oublier dans ces contextes de violences intrafamiliales.

Pourriez-vous entrer dans le droit français la notion de féminicide ?

Oui ! Le féminicide se définit en droit pénal : c’est tuer une femme parce qu’elle est une femme. Il faut refuser la loi du plus fort. Nombre de pays l’ont fait. En Amérique du Sud, par exemple. C’est le père de Cassandre Bouvier, violée et assassinée en Argentine, qui est venu me demander de porter ce combat.

Reviendriez-vous sur les délais de prescription en matière de délits et crimes sexuels ?

Tous les crimes ne peuvent pas être imprescriptibles, il faut une gradation. En matière d’inceste, je suis favorable à l’imprescriptibilité. La parole met tellement de temps à se libérer… Mais là encore, il faut être vigilant. Je suis immensément respectueuse du travail de la justice. Quand il y a une accusation, il faut toujours douter. Quand on libère la parole, il faut être solide sur la question de la présomption d’innocence. De fausses accusations, ça brise une vie.

À 20 ans, est-ce qu’on aurait pu vous rencontrer dans les rues, aux côtés des colleuses qui se mobilisent contre les violences faites aux femmes ?

Oui. On y trouve ma fille aujourd’hui.

Quelle mesure avez-vous en tête pour que les femmes se sentent davantage en sécurité dans l’espace public ?

En Île-de-France, j’ai mis 30 000 caméras dans le métro et les villes ! La vidéoprotection ne résout pas tout, mais elle est très importante. Quand on se sait filmé, on se contrôle davantage. J’ai fait évoluer le 3117 (numéro et application d’alerte SNCF et RATP) pour intégrer les violences sexistes et sexuelles. Il faut généraliser ces dispositifs dans tous les transports locaux.

Vous annoncez dans votre programme vouloir interdire le port du voile forcé. Comment prouver qu’il est forcé ?

Il est forcé quand on n’a pas le libre-arbitre pour décider. Je n’accepte pas que l’on voile les fillettes. Il faut instaurer une amende – dissuasive – pour les parents de toutes les filles de moins de 15 ans qui seraient voilées, dans la continuité de ce qui a été fait à l’école. C’est plus qu’un symbole, c’est une question d’émancipation des femmes. Je suis une femme de libertés, je suis donc contre l’emprise. Dans le couple, c’est pareil. Si une femme ne veut pas se voiler, il faut qu’elle sache que la société la soutiendra contre toutes les pressions.

Allongerez-vous le congé paternité obligatoire, et si oui, de quelle durée ?

J’ai toujours voulu un congé paternité obligatoire. Idéalement, dans un monde sans dettes ou déficit, il faudrait que les congés paternité et maternité soient alignés. Le problème, je le dis franchement, c’est que l’on n’a pas l’argent, aujourd’hui, pour le financer. La priorité dans mon projet sera de donner des congés aux parents pendant la durée d’hospitalisation d’un enfant. Je propose ainsi six mois de congé parental à prendre jusqu’aux 18 ans de l’enfant, en cas de problème de santé.

En 2014, vous avez voté en faveur de la réinscription de l’IVG comme droit fondamental. Que pensez-vous de l’allongement du délai à 14 semaines ?

C’est une fuite en avant qui détourne le regard du vrai problème : l’accès aux centres d’IVG, l’absence de gynécologues et de sages-femmes. L’accès à l’IVG doit être assuré sur tout le territoire. Il faut garantir le libre choix des femmes et protéger également les jeunes femmes enceintes que certaines familles – encore aujourd’hui – rejettent ! C’est ce que j’ai fait dans ma région. En matière de santé des femmes, je veux former davantage de gynécologues, mais aussi m’appuyer plus sur les sages-femmes, en les valorisant davantage : elles y sont prêtes.

En 2020, une famille sur quatre était monoparentale, dont une majorité de femmes, qui, à 45% vivaient sous le seuil de pauvreté. Quelle serait la première mesure que vous prendriez en leur faveur ?

Le premier problème pour les mères seules avec des enfants, c’est le logement. Je veux accorder un accès prioritaire au logement aux travailleurs de « première ligne » – aides-soignants, infirmiers, agents d’entretien… très majoritairement des femmes – dans la ville où ils travaillent.

Vous avez longtemps été hostile à la PMA sans motif médical. La soutenez-vous désormais ?

J’ai soutenu la loi dès lors que le gouvernement a accepté deux conditions : ouvrir l’accès aux origines de l’enfant à ses 18 ans et ne pas autoriser la GPA car je suis opposée à la marchandisation du corps de la femme.

Pour valoriser le pouvoir d’achat des femmes les plus précaires, vous proposez d’augmenter de 10 % les salaires nets jusqu’à 2,2 SMIC. Au-delà de la question financière, comment changer de regard sur ces femmes qui se sentent « invisibles » ?

Cela commence à l’école. Ainsi, dans les lycées de ma région, j’ai donné instruction aux proviseurs de présenter les personnels d’accueil et d’entretien aux élèves à la rentrée et d’expliquer leurs rôles. Par exemple, quand ils quittent la classe, ils doivent penser à eux et remonter leur chaise sur la table. Ça a l’air d’un détail et ça n’en est pas un, car beaucoup d’agents souffraient de mal de dos, à devoir remonter des centaines de chaises. Le respect s’apprend à l’école. Je demanderai aux chefs d’établissements de le faire, partout.

Votre fille, Émilie, est-elle woke, comme beaucoup de jeunes filles aujourd’hui ? Est-ce qu’elle essaie de vous déconstruire ?

Je ne parlerai pas de ma fille, je ne parlerai pas pour elle !

Considérez-vous que le féminisme de la jeune génération fait avancer la société ?

Les jeunes femmes ont une intransigeance vis-à-vis de situations que, plus jeunes, nous avons subies avec trop de fatalisme. Elles nous poussent à agir. Elles parlent de tout et ont une vision de l’égalité plus radicale que la nôtre.

À vos yeux, cette radicalité est-elle une bonne chose ?

Je ne veux pas déconstruire les hommes ! Sur la cause des femmes, il faut un « nous tous », hommes compris. Sinon, je crains un retour de bâton post-#MeToo. Je vois comment certains utilisent l’ultra-radicalité contre la cause des femmes. Si on va trop loin, on va relégitimer des comportements inacceptables. Ce que je veux, c’est mobiliser toute la société et pacifier le débat.

Si vous étiez élue, quel serait le rôle de votre mari ?

La réflexion est en cours. Jusqu’ici, nous avons mené nos vies professionnelles de manière totalement étanche. C’est sans doute une des clés de la réussite de notre couple. Jérôme est un industriel de l’environnement. Il a mené sa carrière dans des groupes mondiaux. Il est basé en France mais sa branche réalise 97 % de son chiffre d’affaires à l’étranger.

Habiteriez-vous ensemble à l’Élysée ?

Nous n’avons jamais vécu dans les ministères pour préserver l’équilibre de nos enfants. Là, pour des raisons de sécurité et de disponibilité, nous devrions habiter à l’Élysée. Alors oui, le rôle de mon mari reste à définir. Ce serait effectivement une situation radicalement inédite.

Vous portez très souvent une veste rouge. Pourquoi ?

Ça donne bonne mine ! Je me suis posé la question du changement de couleur de veste, mais je pense que c’est bien de montrer une forme de constance. Les imprimés à la télévision, vous savez, il faut oublier ! Le noir est toujours chic, mais un peu triste. Donc je choisis des couleurs franches : bleu, blanc et rouge ! Je porte des pantalons, car, contrairement aux bas, ils ne filent pas.

La veste, c’est obligatoire d’après vous ?

Oui ! La veste souligne qu’on a les épaules.

Si vous deviez ériger la statue d’une femme, laquelle serait-ce ?

Sœur Emmanuelle. Elle a tout donné.

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Climat, souveraineté, pouvoir d’achat : Valérie Pécresse présente son ambition énergétique pour la France

En matière énergétique, Emmanuel Macron a, en un mandat, symboliquement fait passer la France du XXIème au XIXème siècle. Il a fermé Fessenheim et refait fonctionner des centrales à charbon. Il a fragilisé un des fleurons de l’économie française, EDF, et un secteur clé pour la réindustrialisation, celui de l’énergie. La situation est grave. Elle inquiète les Français. Je suis déterminée à y mettre de l’ordre avec une boussole claire : lutter pour le climat en visant la neutralité carbone en 2050, conserver notre capacité à produire notre électricité avec des technologies que nous maîtrisons, et préserver le pouvoir d’achat des Français et la compétitivité des entreprises. Climat, souveraineté, pouvoir d’achat : voilà les enjeux !

Le bouclier tarifaire du Président sortant est une mesure de court terme prise dans la fébrilité. Il n’évitera pas que le pouvoir d’achat soit impacté après les élections, une fois la réalité des coûts rétablie. EDF en restera durablement fragilisé. C’est le fruit de sa politique incohérente.

En matière énergétique, Emmanuel Macron a mené une politique de gribouille : il a fermé la centrale nucléaire de Fessenheim et aujourd’hui il rouvre les centrales à charbon. Il a fait passé la France du 21e siècle au 19e siècle en un mandat ! #Pecresse2022pic.twitter.com/R1uG2MrhwP

— Valérie Pécresse (@vpecresse) January 10, 2022

Au cours de son quinquennat, Emmanuel Macron a fait preuve d’inconséquence et d’aveuglement : arrêt de Fessenheim et plan, toujours assumé, de fermeture de 12 autres tranches nucléaires avant 2035, sans parler de la ponction d’urgence de 8 milliards d’euros sur les capacités d’investissement d’EDF. La première mission de mon Premier ministre sera de mettre en place un plan de sauvetage d’EDF.

Notre socle électrique restera le nucléaire, pilotable, abondant et dont le coût est indépendant des énergies fossiles importées. Je ferai donc une relance gaullienne du nucléaire, en m’appuyant sur cette filière d’excellence de la technologie française. Elle souffre profondément des incertitudes sur son avenir, entretenues par Emmanuel Macron. Je l’ai déjà dit il y a plusieurs mois, cela nécessite de lancer immédiatement une première série de 6 EPR et de préparer la programmation des séries suivantes. Et il faut poursuivre l’exploitation des réacteurs existants qu’il est irresponsable de vouloir fermer tant qu’ils respectent les normes de sûreté. Les petits réacteurs modulaires ne suffiront pas !

L’objectif premier d’une politique énergétique responsable est de remplacer les énergies émettrices de gaz à effet de serre, pas de fermer le nucléaire. Finis les zig-zags ! Charbon, pétrole et gaz représentent les trois quarts de l’énergie consommée. Les énergies fossiles causent un déficit commercial de 45 milliards d’euros. Pour s’en passer, il faudra développer les biocarburants, la méthanisation et la biomasse mais surtout mieux encourager l’électrification des transports, de l’industrie et des logements. Les projections montrent qu’il faut augmenter notre production électrique de près de 60% pour faire face à la croissance de ses usages à l’horizon 2050.

Produire davantage d’électricité bas carbone et peu chère est donc indispensable. Dès que je serai élue, j’établirai une programmation, en concertation avec les Régions et je proposerai au Parlement de définir ces nouvelles capacités électriques dont le pays a besoin.

Les propositions de @vpecresse sur l’énergie

Refaire du nucléaire le fleuron de notre énergie et sauver EDF.
Atteindre le zéro carbone.
Améliorer la compétitivité des entreprises.
Faire la « chasse au gaspi ».

Les 10 et 24 avril, je vote #Pecresse2022 ! pic.twitter.com/v4NjtxgEuS

— les Républicains (@lesRepublicains) February 1, 2022

Dans ce contexte de hausse de la consommation électrique, les énergies renouvelables : l’hydraulique, le solaire, la géothermie et l’éolien, doivent être vus comme des moyens de production complémentaires indispensables à notre mix énergétique. Je crois à l’opportunité d’une croissance nouvelle portée par une transition énergétique puissante et par l’innovation dans les énergies du futur comme l’hydrogène. C’est une opportunité pour la réindustrialisation de notre pays et pour le retour vers le plein emploi. Concernant l’éolien toutefois, le seuil de tolérance a été atteint dans plusieurs territoires, voire dépassé. A vouloir y aller à marche forcée, on a braqué les populations et les élus. Dorénavant aucun projet ne sera mis en œuvre contre leur volonté, et les projets non consensuels seront réexaminés sur terre comme en mer. Aux Régions aussi de réfléchir à l’utilité des stockages sur leur territoire pour optimiser la production et son usage. Je soutiendrai la signature de pactes régionaux comme celui qui fut signé en 2010 entre la région bretonne, le réseau et le Gouvernement.

Cette expansion du système électrique n’est possible que si le financement est mis en place, ce qui n’est pas le cas aujourd’hui. Un quart de la production d’EDF est vendue à un prix très inférieur à son coût complet et très loin de ce qui permettrait à EDF d’investir dans de nouvelles capacités. Ce n’est tout simplement plus acceptable !

La politique énergétique d’E.Macron nous amène dans le mur. Nous n’avons plus l’assurance d’être approvisionné, les prix de l’énergie s’envolent.

Il faut un plan de relance gaullien pour l’énergie avec la remobilisation massive de la filière nucléaire pour lui donner un avenir. pic.twitter.com/QnDRJKdpSs

— Valérie Pécresse (@vpecresse) January 29, 2022

Je demanderai à la Commission européenne de revoir son organisation obsolète des marchés électriques. Les prix de notre production nationale doivent pouvoir s’appliquer pleinement aux ménages français. Le marché de gros européen, largement distordu, ne donne plus les bons signaux. Nous devons donc obtenir la possibilité pour les industries électro-intensives de passer des contrats d’achat à 15 ou 20 ans. Jamais le propriétaire allemand d’ASCOVAL n’aurait imaginé délocaliser sa production de rails pour la SNCF en Allemagne si son aciérie électrique française avait pu bénéficier d’un contrat de ce type. Jamais nous ne produirons l’hydrogène décarboné, dont nous aurons besoin en 2050, si les électrolyseurs de peuvent pas être alimentés par une électricité bon marché à prix fixe.

Maîtriser la production et le prix de notre électricité, c’est reprendre en main notre souveraineté, notre destin industriel, nos emplois et le pouvoir d’achat des Français. Si je suis élue, c’est ce que je ferai !

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Michel Barnier : « Valérie Pécresse va montrer que c’est une femme d’autorité, moderne, qui veut changer les choses »

Michel Barnier, conseiller auprès de Valérie Pécresse et ancien commissaire européen, était l’invité de France 2.

Il est revenu sur le départ d’Eric Woerth, le programme de Valérie Pécresse, le bilan d’Emmanuel Macron et la crise en Ukraine.

Le soutien d’Eric Woerth à Emmanuel Macron : “Je le regrette et surtout je ne le comprends pas”@MichelBarnier, conseiller de Valérie Pécresse

#Les4V avec @Caroline_Roux pic.twitter.com/ZNTAaI5UqI

— Info France 2 (@infofrance2) February 10, 2022

@vpecresse va montrer que c’est une femme d’autorité, moderne, qui veut changer les choses. C’est une femme qui ne fait pas d’esbroufe” @MichelBarnier #Pecresse2022 pic.twitter.com/95fSGrXrbT

— Pécresse 2022 (@avecValerie) February 10, 2022

 “Emmanuel Macron ne va pas échapper à son bilan”@MichelBarnier, conseiller de Valérie Pécresse

#Les4V avec @Caroline_Roux pic.twitter.com/GanvAqpd5G

— Info France 2 (@infofrance2) February 10, 2022

Une voix singulière ou une voix solitaire ?
pic.twitter.com/1sgeFtrlav

— Michel Barnier (@MichelBarnier) February 10, 2022

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Nos sénateurs interrogent le gouvernement

Ce mercredi après-midi, lors de la séance de questions au gouvernement, six sénateurs du groupe les Républicains ont interpellé l’exécutif.

Pour commencer, Gérard Longuet, sénateur de la Meuse, a interpellé le ministre de l’Éducation nationale, de la Jeunesse et des Sports sur les programmes du lycée.

Mathématiques :
“Nous peinons à recruter.”@gerardlonguet55 interroge le gouvernement sur le manque de considération pour les carrières scientifiques dans l’enseignement public et demande au ministre de s’emparer de cette problématique.#QAG pic.twitter.com/DpTCaCKNm6

— Républicains Sénat (@lesRep_Senat) February 9, 2022

Alain Milon, sénateur de Vaucluse, a interrogé la ministre déléguée auprès du ministre des Solidarités et de la Santé, chargée de l’Autonomie sur la situation dans les EHPAD.

“Pourquoi avoir attendu la sortie de ce livre pour agir ?” @SenateurMilon dénonce l’attentisme du gouvernement sur la question de la gestion des #EHPAD après de nombreuses alertes lors des dernières années.#QAG pic.twitter.com/sM7TESkLs3

— Républicains Sénat (@lesRep_Senat) February 9, 2022

Bruno Belin, sénateur de la Vienne, a questionné le ministre de l’Éducation nationale, de la Jeunesse et des Sports sur la fermeture de classes.

Fermeture d’école :
“Quelle est la stratégie du gouvernement en terme de carte scolaire en milieu rural ?”@brunobelin dénonce la déconnexion de l’Etat du terrain et demande au ministre de faire confiance aux élus locaux pour agir dans leurs territoires.#QAG pic.twitter.com/NxueVEdqZ2

— Républicains Sénat (@lesRep_Senat) February 9, 2022

Valérie Boyer, sénatrice des Bouches-du-Rhône, a interpellé le ministre de l’Intérieur sur le bilan du gouvernement en matière de sécurité.

“Comment expliquez-vous cette flambée des agressions physiques dans notre pays ?”@valerieboyer13 interpelle le ministre de l’intérieur sur les chiffres alarmants de la violence faites aux personnes durant le quinquennat.#QAG pic.twitter.com/dQGpQZhHSF

— Républicains Sénat (@lesRep_Senat) February 9, 2022

Cédric Perrin, sénateur du Territoire de Belfort, a interrogé la ministre déléguée auprès du ministre de l’Économie, des Finances et de la Relance, chargée de l’Industrie sur le manque total de vision du président de la république qui avait fortement poussé à la vente de la branche énergie d’Alstom à General Electric en 2014.

“Il y a là un gâchis monumental.”@cperrin90 se félicite du retour de la branche énergie d’Alstom dans le giron national et dénonce le manque total de vision du président de la république qui avait fortement poussé à la vente de ce fleuron industriel à #GeneralElectric en 2014. pic.twitter.com/lxMtEI6yAS

— Républicains Sénat (@lesRep_Senat) February 9, 2022

Pour finir, Jean Bacci, sénateur du Var, a questionné le ministre de l’Agriculture et de l’Alimentation sur la loi EGalim 2.

Face à l’explosion des coûts de production dans le secteur agricole @jeanbacci_senat appelle à la vigilance du ministre sur les négociations commerciales en cours entre producteurs et distributeurs.
La production agricole doit être rémunérée au juste prix. pic.twitter.com/XIuDkVoc3l

— Républicains Sénat (@lesRep_Senat) February 9, 2022

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Valérie Pécresse : « Une politique du logement pour aider chacun à construire sa vie »

Il y a urgence à relancer la construction après un quinquennat d’inaction et d’abandon de la politique du logement.

Le bilan d’Emmanuel Macron est désastreux.

Emmanuel Macron a, une fois de plus, échoué à tenir sa promesse. En 5 ans, la construction s’est effondrée : les mises en chantier sont passées sous la barre symbolique des 400 000 chaque année. Si la tendance se poursuit, nous nous dirigeons tout droit vers l’une des plus graves crises du logement depuis l’hiver 54 : le coût de l’immobilier flambe et pèse toujours davantage sur le budget des ménages.

Emmanuel Macron a fragilisé l’ensemble du secteur avec des décisions incompréhensibles. La hausse de la TVA sur le logement social, la baisse des APL de 5 euros, un choix purement budgétaire que les organismes HLM ont fini par payer, sont autant de décisions qui démontrent sa résolution à démonter, pierre après pierre, le secteur de la construction.

Emmanuel Macron a enfin montré son mépris constant de la propriété privée alors que pour une immense majorité de nos compatriotes, l’acquisition d’une maison ou d’un appartement est le projet d’une vie. Il l’avait malheureusement déclaré durant sa campagne : pour lui, l’immobilier est une « rente ». Il a prouvé sa déconnexion profonde avec les aspirations de nos concitoyens en rabotant systématiquement les aides à la propriété pour les ménages les plus modestes comme le PTZ ou l’APL accession.

Après un quinquennat d’inaction, je veux porter un projet de rupture.

Je veux une politique du logement pour aider chacun à construire sa vie : mieux vivre chez soi mais aussi mieux vivre autour de chez soi. Vous n’avez pas besoin du même logement que vous soyez seul ou en couple, que vous ayez une famille, que vous ayez 20, 50 ou 70 ans, que vous viviez en métropole ou dans un territoire rural. Chaque logement est approprié à un moment de vie : je souhaite que nous puissions accompagner et soutenir chacun dans ces différents moments de la vie.

Pour cela, chacun doit pouvoir trouver le logement adapté à ses besoins et à ses possibilités. Je veux que chaque Français puisse se loger dignement et soit en mesure, un jour, de pouvoir accéder à la propriété.

– Un logement digne n’a toutefois sa place que dans un cadre de vie de qualité. Je veux réparer la ville, bien souvent encore, trop dégradée.

La relance de la construction est le préalable absolument fondamental à l’atteinte de ces deux objectifs. Sous mon quinquennat, je veux que 500 000 nouveaux logements soient mis sur le marché chaque année.

Nos propositions

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Bruno Retailleau lance le comité de soutien de Valérie Pécresse à Vannes

Bruno Retailleau lance le comité de soutien de Valérie Pécresse à Vannes

Affluence des grands soirs à Vannes pour le lancement du comité de soutien à Valérie Pécresse en présence de Bruno Retailleau. Les 300 personnes présentes ont entendu le Président du groupe LR au Sénat rappeler l’échec d’Emmanuel Macron durant ce quinquennat. Lorsqu’il était candidat il avait demandé aux Français de le croire sur 2 engagements :

Réformer – il avait d’ailleurs écrit un livre qui s’appelait révolution – et finalement il n’a rien réformé. Même pas les retraites qui est pourtant la réforme que chaque Président de la République se doit d’engager. Même François Hollande en avait fait une ! Sur le plan économique, son immobilisme engendre des déficits budgétaires et commerciaux qui se creusent et qui deviennent les plus importants d’Europe. Ces déficits témoignent de la perte d’attractivité de notre pays vis-à-vis des autres pays européens.

Réconcilier les Français entre eux : après la crise des gilets jaunes, et l’expression des français qui ne sont rien, Emmanuel Macron souhaite « emmerder » des Français qui ne contreviennent pourtant à aucune loi mais en parle néanmoins comme des personnes qui ne seraient plus des citoyens. Un Président de la République ne peut pas dire cela.

Alors pour bousculer ce déclin français Valérie Pécresse priorise 3 objectifs : Protéger, Eduquer et Soigner.

Protéger : face au constat que seuls 5% des délinquants représentent 50% des actes de délinquances en France, Valérie Pécresse veut une véritable application des peines (Seuls 2% des peines sont réellement effectuées dans leur intégralité !). Afin d’y parvenir, un plan d’ouverture de places de prison sera entre autres mis en place.

Protéger le pouvoir d’achat des français en augmentant de 10% le salaire net grâce à des baisses de charges.

Eduquer doit redevenir une priorité. Un élève sur 3 en 6ème ne maitrise pas les mathématiques et le français. Seuls 40% des jeunes font désormais des mathématiques au lycées ! Au-delà du retour à l’apprentissage des fondamentaux, Valérie Pécresse proposera également la possibilité d’avoir des écoles publiques autonome qui pourront expérimenter et qui seront ensuite évaluées publiquement.

Soigner : Arrêter la logique industrielle des hôpitaux en redonnant le pouvoir aux chefs de services. Concrètement passer de 34% de personnels administratifs à 20% dans un hôpital tel que cela est le cas en Allemagne.  

Alors que la France est le pays où la dépense publique est la plus importante, nous nous rendons compte que les Français n’en ont pas pour leur agent. La croissance des effectifs de fonctionnaires n’a pas amélioré la qualité du service public et s’est faite détriment de l’évolution du pouvoir d’achat des fonctionnaires. La réforme qui sera proposée consistera à ne pas remplacer 1 fonctionnaire sur 3 lors du départ à la retraite. Cela permettra ainsi de faire des économies, de réévaluer les salaires pour remotiver les fonctionnaires et financer les priorités en termes de justice, d’éducation et de santé.

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Nos députés interrogent le gouvernement

Ce mardi après-midi, lors de la séance de questions au gouvernement à l’Assemblée nationale, sept députés du groupe les Républicains ont interpellés l’exécutif.

Pour commencer, Constance Le Grip, députée des Hauts-de-Seine, a interpellé le Premier ministre sur les chiffres de la délinquance.

@ConstanceLeGrip: “M.Darmanin a perdu ses nerfs à l’encontre d’une journaliste qui exposait les mauvais résultats en matière de délinquance. Tout cela n’est pas sérieux! Les journalistes ne sont pas là pour dresser une présentation flatteuse des bilans des ministres!” #DirectAN pic.twitter.com/rAyGskUXJI

— Députés Les Républicains (@Republicains_An) February 8, 2022

Bernard Perrut, député du Rhône, a questionné le Premier ministre sur la gestion des EHPAD au début de la pandémie.

@B_Perrut : “Les révélations sur la gestion scandaleuse de certains EHPAD privés nous forcent à réagir. Mais le gouvernement ne doit surtout pas s’exonérer de sa responsabilité! M. le Premier ministre, que comptez-vous faire pour empêcher que de telles dérives se reproduisent?” pic.twitter.com/zeClDMpRcG

— Députés Les Républicains (@Republicains_An) February 8, 2022

Philippe Benassaya, député des Yvelines, a interrogé le ministre de la Justice sur l’exécution des peines.

@PhilipBenassaya: “45% des peines de prison ferme ne sont pas exécutées après avoir été prononcées. À l’heure où la sécurité et la faiblesse de la réponse pénale inquiètent nos concitoyens, il faudrait envoyer un signal fort pour rétablir l’ordre et la justice dans notre pays!” pic.twitter.com/9GBhNZEw8J

— Députés Les Républicains (@Republicains_An) February 8, 2022

Vincent Descoeur, député du Cantal, a interpellé le ministre de l’Économie, des Finances et de la Relance sur la hausse des prix des carburants.

@VincentDescoeur : “L’inquiétude ne cesse de croître chez nos concitoyens qui ne peuvent faire face à la hausse vertigineuse des prix du combustible. Dans ce contexte anxiogène, allez-vous enfin vous résoudre à baisser les taxes avant que le carburant ne franchisse les 2€/L ?” pic.twitter.com/nbVuc2SbI6

— Députés Les Républicains (@Republicains_An) February 8, 2022

Frédéric Reiss, député du Bas-Rhin, a interrogé le Premier ministre sur le ministre de l’Éducation nationale, de la Jeunesse et des Sports sur la réforme du lycée.

Frédéric Reiss : “Monsieur le ministre de l’Éducation, votre dernière déclaration est une véritable tartufferie. Vous êtes resté sourd à notre proposition d’intégration des mathématiques au tronc commun. La part des filles est passée de 48 à 38% en spécialité mathématiques !” pic.twitter.com/tc5lZ6GG4Y

— Députés Les Républicains (@Republicains_An) February 8, 2022

Jean-Pierre Vigier, député de Haute-Loire, a questionné le Premier ministre sur le bilan du gouvernement sur la ruralité.

Situation dans les zones rurales | @J_PVigier (LR) demande au Gvt : “Quand allez-vous apporter un réel soutien à notre belle ruralité, tout simplement à la hauteur de la chance qu’elle représente pour la France ?” #DirectAN #QAG pic.twitter.com/CqxHzrciPe

— Assemblée nationale (@AssembleeNat) February 8, 2022

Pour finir, Brigitte Kuster, députée de Paris, a interpellé le ministre des Solidarités et de la Santé sur la consommation de protoxyde d’azote.

@brigitte_kuster : “La surconsommation du gaz hilarant est un phénomène alarmant qui ne cesse de grandir. Les adolescents comme les adultes sont concernés. Les médecins sonnent l’alarme quant aux conséquences neurologiques des overdoses.À quand une campagne de sensibilisation?” pic.twitter.com/gWw0oONLxt

— Députés Les Républicains (@Republicains_An) February 8, 2022

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Eric Ciotti : « Le seul vote efficace, utile, de redressement pour la France, c’est celui de Valérie Pécresse »

Eric Ciotti, député des Alpes-Maritimes et président de la commission nationale d’investiture, était l’invité de CNews.

Il est revenu sur la crise en Ukraine, les logements sociaux, la lutte contre l’islamisme, l’augmentation des violences en France et le programme de Valérie Pécresse.

Éric Ciotti sur les tensions russo-ukrainiennes : «Nous devons éviter cette forme de nouvelle Guerre Froide» dans #LaMatinale pic.twitter.com/6Nub3kqGhR

— CNEWS (@CNEWS) February 8, 2022

Éric Ciotti sur les logements sociaux : «Il faut casser ces ghettos» dans #LaMatinale pic.twitter.com/D1Hf3KqZlt

— CNEWS (@CNEWS) February 8, 2022

Éric Ciotti : «Pour s’opposer à l’islamisme, il faut du courage» dans #LaMatinale pic.twitter.com/z5hiBhGO1g

— CNEWS (@CNEWS) February 8, 2022

Les policiers ont besoin de soutien.
La violence augmente en France :

-25 gendarmes ou policiers blessés chaque jour
-Augmentation de 30% des coups et blessures volontaires
-3 x plus d’homicides

Celui qui touche un uniforme doit dormir le soir même en prison ! pic.twitter.com/Ads5328jb1

— Eric Ciotti (@ECiotti) February 8, 2022

« Le seul vote efficace, utile, de redressement pour la France, c’est celui de @vpecresse » @ECiotti ce matin sur @CNEWS #Pecresse2022 pic.twitter.com/WDOOUTx0sw

— Jeunes Républicains (@jeunesreps) February 8, 2022

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Bruno Retailleau : « Valérie Pécresse est crédibilisée, elle est présidentiable »

Bruno Retailleau, président du groupe les Républicains au Sénat et sénateur de Vendée, était l’invité d’Europe 1.

Il est revenu sur la crise en Ukraine, la lutte contre l’islamisme et le programme de Valérie Pécresse.

Bruno Retailleau sur la rencontre entre Emmanuel Macron et Vladimir Poutine à propos de la crise ukrainienne : “La diplomatie c’est le dialogue (…) Il fallait y aller, il revient bredouille”#Europe1 pic.twitter.com/7HJchi0sh5

— Europe 1 (@Europe1) February 8, 2022

Bruno Retailleau dénonce l'”ambiguité du macronisme” avec l’islamisme#Europe1 pic.twitter.com/sIUF3fLU6x

— Europe 1 (@Europe1) February 8, 2022

Bruno Retailleau : Valérie Pécresse “est crédibilisée, elle est présidentiable”#Europe1 pic.twitter.com/zxRwSjmxzB

— Europe 1 (@Europe1) February 8, 2022

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Nadine Morano : « L’Ukraine ne peut pas entrer maintenant dans l’Otan »

Nadine Morano, députée européenne et conseillère politique de notre mouvement, était l’invitée de LCI.

Elle est revenue sur la crise en Ukraine, l’immigration et la campagne de Valérie Pécresse.

V. #Poutine prêt à des compris, une avancée? “L’avancée, c’est déjà qu’E. #Macron ait décidé d’aller à Moscou. Nous avons besoin d’une désescalade, il devrait y avoir un message clair: l’#Ukraine ne peut pas entrer maintenant dans l’Otan”: @nadine__morano à @EliMartichoux. pic.twitter.com/uu0LTHrIBP

— LCI (@LCI) February 8, 2022

“40 millions de migrants” chaque année en Europe : @nadine__morano revient sur “l’erreur de chiffres dans une phrase” de Valérie #Pécresse et assure que cette erreur est moins grave que celle d'”E. #Macron sur les violences policières” #LesMatinsLCI | @EliMartichoux. pic.twitter.com/Mjd6HwiFTK

— LCI (@LCI) February 8, 2022

“Il faut que Valérie #Pécresse fende l’armure, c’est une femme compétente […] Elle a réussi à avoir ce lien avec les Franciliens : pourquoi ne le ferait-elle pas avec l’ensemble des Français !?” : @nadine__morano dans #LesMatinsLCI | @EliMartichoux. pic.twitter.com/AGXLtBmuXo

— LCI (@LCI) February 8, 2022

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