Category: Actualités LR Morbihan
Annulation de la réunion du 18 décembre 2020
C’est avec regret que nous sommes contraints avec les nouvelles règles sanitaires, de renoncer à notre réunion départementale du 18 décembre.
Nous vous remercions pour votre mobilisation dans cette période troublée.
Pour autant, nous ne renonçons pas à vous présenter les interventions prévues pour cette réunion.
Pour des raisons d’emploi du temps, cette captation et donc sa diffusion se réaliseront à la rentrée.
En attendant de se retrouver, l’ensemble du bureau vous souhaite un joyeux Noël et de bonnes fêtes de fin d’année, même si elles seront confinées.
La fédération du Morbihan s’associe à l’hommage national rendu à Valéry Giscard d’Estaing.
VGE, homme d’engagement Drapeau de la France, amoureux de la liberté, de la démocratie, disciple de Tocqueville, un président alliant modernisme et traditions. Grand réformateur de la société française, Ardent défenseur et bâtisseur de l’Europe Drapeau de l’Union européenne
Au revoir Monsieur le Président.
La fédération du morbihan, les membres du bureau et la présidente Muriel Jourda, sénatrice, s’associent à l’hommage national rendu à son ancien président de la Vème république Valéry Giscard d’Estaing.
Urgence sanitaire – Muriel Jourda
Nous voilà à nouveau en état d’urgence sanitaire.
Le gouvernement a sollicité le Sénat à deux reprises le 29 octobre.
Le premier vote est sans conséquence juridique mais a été demandé par le Premier ministre à l’issue d’un discours réclamant notre confiance sur la gestion de la crise.
La majorité du Sénat ne l’a pas accordée.
Le second vote a pour objet de rétablir l’état d’urgence sanitaire et de donner des moyens d’action au gouvernement pour faire face à l’épidémie.
Nous avons voté ce texte, ne pouvant refuser au Gouvernement des moyens d’action. Je suis cependant dubitative sur leur mise en oeuvre. Notamment, la fermeture des commerces dits “non-essentiels” me laisse perplexe.
Alors que les gestes barrières y sont habituels depuis des semaines, je ne vois pas de plus-value, ni de logique, à leur fermeture.
J’ai bien peur que ces nouvelles mesures viennent à bout de notre économie plus rapidement que du Covid-19…
Un nouveau secrétaire départemental à la fédération du Morbihan : Alain-Michel RICHER
Notre présidente Muriel JOURDA, m’a fait l’honneur de me proposer de pendre la suite d’Olivier COULON au poste de secrétaire départemental.C’est avec plaisir et sens des responsabilités que j’ai accepté de me charger de cette nouvelle fonction, en remplacement d’Olivier que je remercie ici, pour son engagement et son dévouement au sein de notre fédération du morbihan.J’aurais aimé continuer à travailler avec lui, mais, je respecte son choix personnel et je lui souhaite bon vent dans ses projets personnels.
Une nouvelle séquence
A présent, la rentrée est effectuée et nous avons la volonté de relancer une nouvelle séquence pour notre mouvement, avec une nouvelle dynamique dans cette période difficile que nous vivons, et dans la perspective des élections prochaines. Avec notre présidente Muriel JOURDA, nous allons réaliser des ajustements dans le fonctionnement de notre fédération afin d’être plus en contact avec nos adhérents, mais aussi avec nos sympathisants. Pour cela, nous souhaitons donner des responsabilités nouvelles aux personnes qui s’impliquent.C’est d’ailleurs ce qui vient d’être fait avec la nomination du nouveau responsable des Jeunes Républicains, Paul Le Guernic et de son adjoint Alexandre Urvois.Nous resterons d’ailleurs à leur côté pour œuvrer auprès de notre jeunesse, et la sensibiliser aux valeurs de notre parti, et à l’importance de l’engagement politique. Avec les délégués de circonscription et les chargés de mission, nous souhaitons poursuivre une réflexion sur le sens de notre engagement politique dans une société devenue très individualiste, une société fragmentée, archipelisée comme le dirait Jérôme FOURQUET, et dans une société où le sens même de notre démocratie est mis à l’épreuve.
Une future réunion départementale
Aussi, l’équipe dirigeante de notre fédération a décidé d’organiser le vendredi 4 décembre à 17:30 H., dans les conditions sanitaires actuelles, une réunion départementale pour fixer le cap des prochains moins.Ce sera aussi l’occasion d’avoir en video-conférence, notre président Christian JACOB. Chers amis, vous recevrez donc prochainement une invitation à participer en présentiel (Jusqu’à 120 personnes) ou en distanciel à cette réunion départementale. En attendant cette rencontre, recevez l’expression de ma fidèle amitié militante. Alain-Michel RICHERsecrétaire départemental LR 56
Garantir la prééminence des lois de la République
Lundi 19 octobre 2020, le Sénat a adopté en première lecture, par 229 voix pour et aucune voix contre, la proposition de loi constitutionnelle visant à garantir la prééminence des lois de la République, présentée par Philippe Bas, Bruno Retailleau ,Hervé Marseille et plusieurs de leurs collègues des groupes Les Républicains et Union Centriste.
Selon les auteurs de cette proposition de loi constitutionnelle, « la société tend aujourd’hui à se fragmenter en une juxtaposition de communautés désunies », « les aspirations communautaires se font entendre de façon croissante » et « la République ne peut pas rester sans réaction face à ces revendications qui prétendent faire prévaloir sur les lois de la République des normes découlant de convictions religieuses ou des règles reposant sur des appartenances ethniques ». Par conséquent, ils proposent :
· de consacrer, à l’article 1er de la Constitution, le principe selon lequel « nul individu ou nul groupe ne peut se prévaloir de son origine ou de sa religion pour s’exonérer de la règle commune » afin de donner aux acteurs de terrain (maires, chefs d’entreprise, médecins, etc.) les moyens juridiques de s’opposer aux revendications communautaristes ;
· d’imposer aux partis et groupements politiques de respecter le principe de laïcité afin de donner une base constitutionnelle à l’interdiction de financement public de partis communautaristes et d’ouvrir la possibilité de dissoudre ces partis.
Réforme du Conseil économique, social et environnemental
Jeudi 15 octobre 2020, le Sénat a adopté, par 292 voix pour et 1 voix contre, le projet de loi organique relatif au Conseil économique, social et environnemental (CESE). Ce texte de réforme du CESE poursuit trois objectifs principaux
- Institutionnaliser des outils de démocratie participative ;
- Faire du CESE un « carrefour des consultations publiques »
- Réduire de 25% le nombre de membres du CESE et renforcer leurs obligations déontologiques.
Sur le rapport de Muriel Jourda (Les Républicains – Morbihan), la commission des lois a apporté des modifications tendant à :
- S’opposer à toute institutionnalisation du tirage au sort (COM-11 – art 4 et COM-20 – art 9) ;
- Prévoir que les pétitions auprès du CESE doivent venir de personnes résidant dans au moins 30 départements ou collectivités d’outre-mer, afin d’éviter que des pétitions ne portent sur des sujets locaux (COM-10 – art. 3)
- Supprimer le dispositif permettant au Gouvernement, lorsqu’il consulte le CESE sur un projet de loi, de s’exonérer des autres consultations préalables (COM-15 – art. 6)
- Prévoir une « moindre réduction » (-17 %) de l’effectif du CESE, qui comprendrait désormais 193 membres (COM-16 – art 7)
- Donner de nouvelles souplesses au CESE (COM-13 et COM-14 – art 5 et COM-19 – art 8 ).
En séance publique, le Sénat a apporté des modifications tendant à :
- Maintenir la possibilité pour les Français établis hors de France de signer une pétition adressée au CESE (amt 14 rect bis. – art. 3)
- Maintenir dans la loi organique la répartition des cinquante représentants au titre de la cohésion sociale et territoriale, des outre-mer et de la vie associative (amt 12 rect. et ss amt 53 de la commission – art. 7).
Muriel Jourda désignée membre de la commission d’enquête pour l’évaluation des politiques publiques face aux grandes pandémies à la lumière de la crise sanitaire de la covid-19
J’ai été désignée membre de la commission d’enquête pour l’évaluation des politiques publiques face aux grandes pandémies à la lumière de la crise sanitaire de la covid-19 et de sa gestion.
Des auditions se sont déroulées tout le mois de septembre et sont actuellement toujours en cours. J’ai eu à l’occasion d’intervenir à de multiples reprises et notamment lors de l’audition de Sibeth NDIAYE, ancienne porte-parole du gouvernement, qui était entendue sur la communication du Gouvernement. Je précise que si je ne diffuse pas la réponse, c’est que je n’en ai pas réellement eu…
Muriel Jourda analyse le résultats des sénatoriales
Je voulais vous faire part de quelques réflexions suite au renouvellement du Sénat par moitié qui a eu lieu le 27 septembre dernier.
Le Sénat -où j’ai l’honneur de siéger- est une des deux chambres du Parlement avec l’Assemblée Nationale.
Si les députés qui composent l’Assemblée Nationale sont élus au suffrage universel direct, les sénateurs sont désignés par un corps électoral composé essentiellement par l’ensemble des élus locaux de France.
Paradoxalement, le résultat des élections sénatoriales me paraît plus proche de la réalité politique profonde de la France que celui des élections législatives.
Tout d’abord, quand bien même les députés sont élus directement par les français, le dernier scrutin de 2017 a été édifiant sur la façon dont nos représentants de l’Assemblée Nationale ont été choisis. L’abstention a été massive au second tour des élections législatives, bien plus qu’au second tour des dernières élections municipales de juin dernier dont le taux de participation était déjà très décrié.
Surtout, l’effet pervers du quinquennat a été visible comme il ne l’avait jamais été auparavant. L’élection des députés suit celle du Président de la République et en est devenue assez logiquement le reflet.
En 2017, a été élu un Président qui s’appuyait sur une formation politique naissante. Pour lui donner une majorité, les français ont voté pour des députés sur la base d’une étiquette politique LREM.
A l’exception de quelques transfuges d’autres partis, principalement le parti socialiste, les candidats à la députation étaient de parfaits inconnus dont la plupart n’avaient jamais été élus.
Ils se sont sentis plus redevables au Président de la République qu’à leurs propres électeurs et ont plus agi comme des représentants de la politique du gouvernement sur leur propre territoire que comme les porte-voix de la population au sommet du pouvoir.
Quiconque assiste à certaines cérémonies officielles peut vérifier que certains discours de député ressemblent plus à de la propagande gouvernementale qu’à une vraie analyse du territoire…
Le Sénat échappe à ces travers. Tout d’abord, renouvelé par moitié tous les trois ans, il est indépendant chronologiquement de l’influence des élections présidentielles. Ensuite, il est le reflet presque parfait des élections dans les territoires. S’il est de coutume de critiquer le nombre de communes en France (un peu plus de 35.000), force est de constater qu’elles constituent un maillage du territoire serré.
Si le dernier scrutin municipal a fait exception, les électeurs se déplacent plus massivement pour aller élire le maire que pour n’importe quel autre scrutin. Quand le Sénat est renouvelé, il l’est par un corps électoral essentiellement composé d’élus municipaux qui représentent donc le choix de la population.
Et cela est peu connu mais le vote est obligatoire sous peine d’amende pour les électeurs des sénateurs donc pas d’abstention à cette élection ! Le renouvellement intégral du Sénat de septembre 2017 et 2020 est le reflet des élections municipales de 2014 et 2020. Ces élections avaient été majoritairement remportées par la “droite” et le centre, indépendamment des étiquettes de parti politique.
Le Sénat reste donc une chambre dont la majorité est de la droite et du centre et correspond aux observations faites par les politologues. C’est ainsi que le groupe Les Républicains auquel j’appartiens au Sénat a encore été renforcé à l’issue du renouvellement qui a eu lieu le 27 septembre dernier. Notre groupe est de l’ordre de 150 membres. Cela ne nous suffit pas à obtenir la majorité sur une assemblée de 348 sénateurs.
Aussi faisons-nous alliance avec le groupe centriste dont le nombre de membres a également augmenté à l’issue des élections. Un groupe écologiste a été recréé avec une douzaine de membres dans la logique des résultats de quelques grandes villes aux dernières élections municipales. Le groupe socialiste a été affaibli tandis que le groupe radical a diminué de moitié. Les groupes communiste et des indépendants sont stables. Bruno RETAILLEAU a été reconduit à la tête du groupe Les Républicains à l’applaudimètre !
Président incontesté de notre groupe, il a prouvé que sa popularité était semblable sur le terrain puisqu’il a été le sénateur le mieux élu de France à la proportionnelle avec un score de plus de 70% des voix. Logiquement, Gérard LARCHER a été réélu Président du Sénat avec un score de 231 voix, sur un socle encore plus large qu’en 2017. Les Républicains forment au Sénat un groupe fort et solide qui démontre la capacité de la droite à formuler des propositions et donc à gouverner.
La majorité sénatoriale dont le groupe Les Républicains est le pilier, soutient qu’une politique différente de celle du gouvernement peut être menée par exemple sur la restauration de l’autorité de l’état, l’immigration ou la politique fiscale.
Utilisons cet atout pour les échéances électorales à venir dont j’aurai l’occasion de vous entretenir.
Lettre de Muriel Jourda aux adhérents
Cher(e), Ami(e)
Le temps du confinement et des élections est désormais passé et je reviens vers vous. Tout d’abord, quelques nouvelles de la fédération LES REPUBLICAINS du Morbihan :
Notre secrétaire départemental, Olivier COULON, a décidé de mettre fin à ses fonctions après de nombreuses années au service de la fédération du Morbihan.
Nous perdons un secrétaire loyal et efficace, qu’il soit remercié de toutes ces années d’engagement. Lui succède le secrétaire départemental adjoint qui le secondait depuis une année, Alain-Michel RICHER, conseiller municipal à VANNES, auquel je donne toute ma confiance. Par ailleurs, Paul LE GUERNIC, adjoint à PONTIVY, est nommé responsable des jeunes pour le Morbihan.
Il sera assisté de Alexandre URVOIS. Quelques mots ensuite sur la situation générale, vue de ma fenêtre sénatoriale :S’agissant du confinement lié à la crise sanitaire du virus Covid-19, elle a donné lieu à une gestion sur laquelle notre parti LES REPUBLICAINS, par l’intermédiaire de son Président Christian JACOB, ont émis de sérieuses réserves.
Les deux chambres, Assemblée Nationale et Sénat, ont mis en œuvre le contrôle parlementaire de la gestion de la pandémie, conformément au rôle qui leur est confié par la constitution.
A l’Assemblée Nationale, le rapport de ce travail a été confié à Eric CIOTTI.
Au Sénat, à l’initiative du Président Gérard LARCHER une résolution a été votée à l’unanimité pour l’évaluation des politiques publiques face aux grandes pandémies à la lumière de la crise sanitaire de la covid-19 et de sa gestion.
Cette commission d’enquête parlementaire a pour mission d’évaluer :
– l’état de préparation de la France à la veille du déclenchement de l’épidémie ;
– la gestion de la crise sanitaire par les responsables politiques et administratifs depuis son déclenchement en janvier 2020 ;
– les choix faits par la France à la lumière des enseignements que nous pouvons tirer des expériences des pays européens et asiatiques.
>Ma candidature ayant été retenue par le Président Bruno RETAILLEAU, je siège au sein de cette commission d’enquête.
Les commissions d’enquête ont vocation à établir la réalité de l’action du gouvernement sur ce sujet pour en tirer des enseignements pour l’avenir.
Le rapport en sera rendu à la fin de l’année et je vous en informerai.
S’agissant des élections municipales, le résultat est contrasté.
Le taux d’abstention est un réel sujet d’inquiétude pour la démocratie.
La crainte du virus et l’étrange attitude du premier ministre qui a annoncé la fermeture quasi immédiate des bars et des restaurants quelques heures avant le scrutin, peuvent expliquer le faible nombre de votants au premier tour.
Le long délai qui a séparé les deux tours peut également en partie expliquer le désintérêt des français pour une élection qui pourtant les concerne et les mobilise habituellement.
Cependant, l’abstention massive pourrait être le symptôme d’un mal plus grave qui serait l’indifférence des citoyens à l’égard des élus dont ils ont le sentiment qu’ils ne les représentent plus ou mal. Ce sentiment est très clair s’agissant des élus nationaux . Le fait que la plupart des français souhaitent une réduction du nombre des parlementaires et donc de leurs propres représentants est significatif d’une forme d’indifférence face à la démocratie représentative. Il serait préoccupant que nos concitoyens s’éloignent également des élus les plus proches que sont les élus municipaux. La démocratie doit s’exercer dans les urnes et non dans des collectifs ou par l’intermédiaire de réunions de citoyens tirés au sort dont le point commun est de vouloir du pouvoir sans jamais être responsable de son exercice. Notre parti LES REPUBLICAINS a bien sûr une responsabilité à assumer au niveau local comme national. Au-delà de cette abstention, les résultats nationaux sont mitigés. Nous n’avons pas assisté à la vague verte que les médias présentent mais la victoire des écologistes dans de grandes villes n’est pas une bonne nouvelle pour notre pays et notre département. Si la préoccupation environnementale doit être partagée, elle ne peut conduire à la décroissance souhaitée par un grand nombre de ces nouveaux élus qui veulent changer notre modèle de société sous couvert de protection de la nature. Ces “écologistes” sont la plupart du temps des urbains choisis par des citadins mais ils ne cessent de s’attaquer à l’agriculture et donc à l’agro-alimentaire qui constituent une partie non négligeable de notre économie morbihannaise. Nous devons donc rester vigilants.
Le parti du Président de la République n’a pas trouvé sa place dans ces élections locales, les membres du gouvernement eux-mêmes rencontrant peu de succès, notamment à Paris. Malgré quelques échecs, notre famille politique et notre parti continuent à être présents dans de nombreuses villes de toutes tailles, ce sur quoi la fédération nationale a abondamment communiqué. Nous pouvons nous en réjouir sans en tirer malheureusement de conséquences trop optimistes sur notre position nationale.
Dans le Morbihan, nous avions noué des alliances consacrées par la commission nationale d’investiture dans les deux villes les plus importantes LORIENT et VANNES. A VANNES, nous soutenions le maire sortant David ROBO, François ARS étant nommé chef de file pour LES REPUBLICAINS.
Il a été élu dès le premier tour malgré la multiplicité des candidats, démontrant la qualité du travail mené lors des précédents mandats par une équipe municipale où figuraient de nombreux élus LES REPUBLICAINS. A LORIENT, nous soutenions Fabrice LOHER, Michel TOULMINET étant nommé chef de file pour LES REPUBLICAINS.
La ville de LORIENT était gouvernée par le parti socialiste depuis 55 ans et paraissait inaccessible pour l’Union de la Droite de du Centre. Cependant, la division de la gauche, la qualité et la pugnacité du candidat, la qualité de sa liste et de son projet ont permis à Fabrice LOHER de l’emporter, faisant ainsi basculer l’agglomération de LORIENT. Nous comptons également plusieurs adhérents dans cette équipe. Nous ne pouvons que nous réjouir de ces deux succès dans les deux plus grandes villes et agglomérations du Morbihan. Aucune investiture n’a été donnée par ailleurs dans le département en raison de la taille des communes qui ne nous y obligeait pas et à défaut de demande des candidats.
Néanmoins, plusieurs adhérents de la fédération morbihannaise se sont présentés avec des succès divers. Je salue amicalement ceux qui n’ont pas été élus et rend hommage à l’engagement passé de ceux qui se représentaient. Je félicite chaleureusement ceux qui ont été élus et vous propose de les remercier et de fêter ces victoires lors d’une réunion que nous organiserons à la rentrée. A cette occasion, nous pourrons certainement échanger sur le nouveau gouvernement sur lequel il est bien difficile d’avoir un avis tant qu’il n’a pas encore agi, même si le changement annoncé est improbable.
Chers amis, la crise sanitaire nous a momentanément éloignés mais nous nous retrouverons avec d’autant plus de plaisir à la rentrée. Dans cette attente, je vous souhaite un bel été ! Bien amicalementMuriel JourdaPrésidente départementale les Républicains du Morbihan