Olivier Marleix : « Le gouvernement fait ce que les lobbyistes lui demandent de faire »

Olivier Marleix, président du groupe les Républicains à l’Assemblée nationale, vice-président des Républicains et député d’Eure-et-Loir, était l’invité de Public Sénat.

Il est revenu sur la guerre en Ukraine, l’accueil de l’Ocean Viking à Toulon, les atteintes à la laïcité à l’école, le pirx des carburants, la réforme des retraites, le vote sur la loi de programmation du ministère de l’Intérieur et la construction d’éoliennes.

#Pologne : “On préfèrerait tous que ce soit des débris d’une contremesure ukrainienne qu’un missile russe. Evidemment que je suis inquiet, personne n’a envie de voir une escalade dans ce conflit.” @oliviermarleix #BonjourChezVous pic.twitter.com/6SW9faLLY2

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#OceanViking : “Les gesticulations de @GDarmanin ne cacheront pas un renoncement tragique, parce qu’il envoie un signal aux réseaux de passeurs. Il y a une forme de complicité qui s’est installée entre les passeurs et certaines ONG.” @oliviermarleix #BonjourChezVous pic.twitter.com/3dPRiC3Shx

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Interdiction du voile dans l’espace public : “Faisons déjà respecter l’interdiction du voile dans les espaces du service public. La laïcité à l’Ecole c’est ça le sujet aujourd’hui, laissons les autres propositions à la campagne électorale.” @oliviermarleix #BonjourChezVous pic.twitter.com/CDOJLwJ3Db

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Ristourne à la pompe : “La supprimer est une erreur. J’avertis @Elisabeth_Borne que ce serait probablement insoutenable si on a de nouveau un prix de l’essence à la pompe à hauteur de 2 euros.” @oliviermarleix, qui demande “une mesure qui concerne tout le monde” #BonjourChezVous pic.twitter.com/584Mn083dU

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Vote de la retraite à 64 ans au Sénat : “C’est une feuille de route pour la négociation, un amendement d’appel, pour rappeler au gouvernement qu’il y a un sujet réforme des retraites. Il ne faut pas aller jusqu’à 65 ans brutalement.” @oliviermarleix #BonjourChezVous pic.twitter.com/4xQlqNhbeJ

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Eoliennes : “On voudrait revenir à des choses simples en remettant un droit de véto des maires. Le gouvernement suit les lobbyistes. Les producteurs d’éoliennes allemands ont visiblement la porte ouverte au ministère de l’Ecologie.” @oliviermarleix #BonjourChezVous pic.twitter.com/AcwSYa7kqN

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Repères Républicains : Le retour de la guerre en Europe

Retrouvons-nous ce mardi 22 novembre de 18h30 à 20h00 pour notre troisième rendez-vous « Repères Républicains » animé par notre présidente Annie Genevard.

Celui-ci sera consacré au retour de la guerre en Europe.

Bruno Tertrais, directeur adjoint de la Fondation pour la Recherche Stratégique et conseiller géopolitique de l’Institut Montaigne ainsi que Ronan Le Gleut, sénateur représentant les Français établis hors de France interviendront sur ce sujet.

Vous aurez la possibilité de poser directement vos questions.

Vous pouvez participer à cet évènement en présentiel au siège des Républicains (238 rue de Vaugirard, 75015 – Paris) ou en visioconférence Zoom.

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Nos députés interrogent le gouvernement

Ce mardi après-midi, lors de la séance de questions au gouvernement à l’Assemblée nationale, trois députés du groupe les Républicains ont interpellés l’exécutif.

Pour commencer, Annie Genevard, présidente de notre mouvement et députée du Doubs, a interpellé la Première ministre sur les atteintes à la laïcité à l’école.

.@AnnieGenevard : “En 1 mois, les attaques à la laïcité ont doublé dans les établissements scolaires. Êtes-vous prête, Madame la Première Ministre, à dire qu’en France tout vêtement qui affiche la soumission des filles n’a pas sa place à l’école ?” #DirectAN pic.twitter.com/2Mph8Aaem5

— Députés Les Républicains (@Republicains_An) November 15, 2022

Véronique Louwagie, députée de l’Orne, a questionné le ministre de l’Économie, des Finances et de la Souveraineté industrielle et numérique sur le crédit immobilier.

.@VeroLouwagie : “L’accès au crédit se dégrade fortement. De nombreux ménagent voient le rêve de toute une vie s’arrêter net. Comment comptez-vous intervenir sur le taux d’usure pour permettre aux ménages d’avoir accès à la propriété ?” #DirectAN pic.twitter.com/rhIJq8blzs

— Députés Les Républicains (@Republicains_An) November 15, 2022

Pour finir, Vincent Seitlinger, député de Moselle, a interrogé le ministre des Solidarités, de l’Autonomie et des personnes handicapées sur la situation dans les EHPAD.

.@vseitlinger : “Depuis plusieurs mois, les établissements médico-sociaux sont dans une situation intenable. Leurs dépenses d’énergie ont explosé. Quelles sont vos mesures concrètes que vous proposez pour leur venir en aide ? Il y a une véritable urgence !” #DirectAN pic.twitter.com/VdYOuZa97Y

— Députés Les Républicains (@Republicains_An) November 15, 2022

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François-Xavier Bellamy : « En décidant d’accueillir l’Ocean Viking, la France crée un précédent inquiétant »

S’il est de notre devoir de porter assistance aux personnes en danger en mer, la France, en choisissant d’autoriser le navire humanitaire Ocean Viking à accoster sur son sol, cède au chantage des ONG qui poursuivent le travail des passeurs, estime le député européen LR. Cette décision ouvre la voie à de futurs drames, argumente-t-il.

La décision d’accueillir l’Ocean Viking et ses 230 passagers à Toulon a été déterminée et défendue au nom de principes humanitaires. Elle constitue pourtant un choix infiniment dangereux, du point de vue de ces mêmes principes. On pourrait parler du risque qui découlerait pour la société française d’une logique d’accueil non contrôlée, dans un pays qui hérite déjà d’une longue irresponsabilité en matière de politique migratoire, et d’une faillite massive de l’intégration. Mais faisons même abstraction de
ces questions ; le plus grave, c’est que cette décision est absolument contraire à l’impératif absolu qui la justifie pourtant, celui de sauver des vies.

D’abord, à l’usage de ceux qui font semblant de ne pas comprendre, rappelons un fait évident : personne de sensé n’a jamais demandé qu’on laisse qui que ce soit mourir en mer. Le devoir de porter assistance à une personne humaine en danger est bien sûr inconditionnel ; et, en mer, l’obligation de secourir les passagers d’un navire qui fait naufrage est consacrée par plusieurs conventions internationales. Il ne saurait être question de remettre en question cet impératif moral et juridique absolu. Mais qu’une personne ait été secourue à quelques milles des côtes du continent africain, ne saurait la conduire à débarquer sur le sol européen. Comment ne pas voir les conséquences qu’aurait un tel principe ?

À partir du 20 octobre, l’Ocean Viking effectue plusieurs sauvetages en Méditerranée. Il passe alors à 60 milles de Sfax, le deuxième port de Tunisie – il n’arrivera en Sicile qu’après une navigation de plus de 800 milles, et naviguera encore 700 milles jusqu’à Toulon. Ce qui est en cause ici, ce n’est donc pas le principe du sauvetage en mer, ni même le principe de l’asile : Sfax dispose de bureaux du Haut-Commissariat aux réfugiés (HCR) des Nations unies, avec des équipes habilitées à enregistrer des demandes d’asile… Si l’Ocean Viking ne s’y est pas arrêté, comme les conventions internationales auraient dû l’y conduire, et malgré la situation très difficile que vivaient les passagers à son bord, c’est pour une seule raison : SOS Méditerranée ne veut pas seulement sauver des vies, mais aider des migrants à entrer en Europe. Ce faisant, elle concourt au trafic des passeurs, comme d’autres ONG qui échangent même avec ces réseaux criminels pour pouvoir récupérer des embarcations. De nombreuses enquêtes ont documenté ces pratiques, et Frontex a publié des vidéos montrant les passeurs transbordant des migrants en mer à proximité du navire de « sauvetage » prêt à les embarquer.

Jusque-là, jamais la France n’avait cédé à ce chantage. Les élus de la majorité, qui s’indignent aujourd’hui de la moindre critique, se souviennent-ils qu’Emmanuel Macron avait refusé d’accueillir l’Aquarius, alors arrivé devant Marseille – et qu’il avait fustigé « le cynisme absolu » des ONG qui « font le jeu des passeurs » ? Le seul réflexe constant de nos dirigeants semble être d’insulter copieusement l’Italie lorsqu’une telle situation survient. Ce pays, où 90 000 migrants sont arrivés par la mer depuis le début de l’année, tient pourtant la seule position responsable. Oui, le secours en mer est un devoir ; mais l’Ocean Viking ne risquait pas le naufrage lorsqu’il est entré dans nos eaux territoriales : il était possible de faire monter des équipes médicales à bord, d’apporter l’avitaillement nécessaire, d’extraire les malades en situation d’urgence, sans autoriser pour autant le débarquement sur le sol français.

Ce précédent gagné par SOS Méditerranée aura un large écho. M. Darmanin a assuré que cette décision était prise « à titre exceptionnel » ; mais pourquoi le serait-elle, si le porte-parole du gouvernement assure que « la France ne serait pas la France » si elle n’accueillait pas ce bateau ? Cette réaction se répétera donc à chaque arrivée similaire. Dans un monde connecté, nul doute que l’information circulera largement ; et elle constituera une publicité supplémentaire pour la promesse des passeurs – qui, rappelons-le, ne s’adresse pas d’abord à ceux qui sont dans la misère et la détresse absolue, mais à ceux qui peuvent recueillir assez de moyens pour payer le prix élevé qu’ils exigent en échange de leur route d’exil et de mort.

Il n’y a qu’un seul moyen d’assurer que demain, plus un seul être humain ne trouve la mort en Méditerranée pour avoir cherché à atteindre l’Europe : c’est de garantir enfin ce principe simple, qu’il doit être impossible de s’établir en Europe si on a cherché à y entrer illégalement. Dans toute autre situation qu’une crise majeure dans un pays limitrophe, la demande d’entrée en Europe doit pouvoir être instruite hors de nos frontières. Un réfugié afghan ou iranien, menacé dans son pays, n’arrive jamais directement en Europe ; il passe par des États sûrs et stables, d’où il doit pouvoir effectuer une demande d’asile. Par notre incapacité manifeste à faire respecter nos frontières, nous conduisons des étrangers, dont l’immense majorité n’est pas éligible à l’asile, à risquer leur vie dans les mains des passeurs – et, paradoxe terrible, nous refusons trop souvent d’accueillir ceux qui auraient légitimement droit à notre solidarité.

Il est facile de combattre le mal quand il apparaît pour lui-même : comment ne pas haïr la violence et le crime quand ils s’assument explicitement ? Mais autrement plus difficile est de refuser le mal quand il se présente sous les apparences du bien. Peu d’esprits sont assez fous pour vouloir l’enfer ; mais beaucoup sont assez inconséquents pour proclamer ces bonnes intentions qui en pavent souvent le chemin. On peut semer la détresse et la mort tout en se disant généreux – et même, sans doute, en se croyant généreux. L’histoire demandera des comptes à ceux qui s’enivrent aujourd’hui de leur propre supériorité morale en proclamant les fausses évidences qui causent de vrais drames. À ceux qui font la leçon tout en se dégageant eux-mêmes de l’inquiétude des conséquences. À ceux, en particulier, qui prétendent exercer une responsabilité politique, mais restent confortablement à la surface des questions les plus difficiles, même quand elles engagent la vie ou la mort d’innocents. Si nous nous contentons longtemps encore d’habiller notre impuissance de beaux sentiments, nous aurons à répondre des tragédies qu’elle continuera d’entraîner. La crise migratoire est largement devant nous ; il est temps que la France et l’Europe se donnent enfin les moyens de leur responsabilité.

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Les candidats à la présidence des Républicains rassemblés à Colombey-les-Deux-Églises

Le 9 novembre dernier, notre présidente Annie Genevard a réuni avec Gérard Larcher les candidats à la présidence des Républicains – Éric Ciotti, Aurélien Pradié et Bruno Retailleau – à Colombey-les-Deux-Églises pour honorer la mémoire du général de Gaulle.

L’héritage du général de Gaulle pour notre famille politique est immense.@AnnieGenevard, @gerard_larcher, @oliviermarleix, @DFasquelle, @ECiotti, @BrunoRetailleau et @AurelienPradie déposent une gerbe sur la tombe du général de Gaulle au cimetière de Colombey-les-Deux-Eglises. pic.twitter.com/ud6qiLPJap

— les Républicains (@lesRepublicains) November 9, 2022

« Plus que de nous rassembler, les valeurs gaullistes doivent nous nous permettre de maintenir notre seul et unique cap, la grandeur de la France. »

Après s’être recueillis devant la tombe du général de Gaulle, ils ont déposé une gerbe devant la croix de Lorraine du mémorial.

Nous sommes la famille politique du général de Gaulle, notre responsabilité est de rétablir la grandeur de la France.@AnnieGenevard, @oliviermarleix, @DFasquelle, @ECiotti, @BrunoRetailleau et @AurelienPradie déposent gerbe devant la croix de Lorraine du Mémorial de Colombey. pic.twitter.com/gtfSCPQ3D4

— les Républicains (@lesRepublicains) November 9, 2022

« Avec les Républicains, les Français ont la liberté d’écrire leur avenir avec les valeurs gaullistes. »

Il n’est qu’un mouvement qui depuis le premier jour s’est toujours inscrit dans l’héritage gaulliste, c’est le nôtre, les Républicains.

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Élection à la Présidence des Républicains

En décembre prochain, les adhérents Les Républicains réunis en congrès éliront le nouveau Président du Mouvement.

Conformément à l’article 4 du Règlement Intérieur du Mouvement, seules les personnes à jour de cotisation 30 jours avant le scrutin, soit au 3 novembre 2022, pourront participer à ce congrès.

En application de sa mission générale d’organisation et de contrôle de l’élection, la Haute Autorité a procédé à l’examen et à la vérification de l’ensemble de la liste électorale pour s’assurer que :

– Toutes les personnes susceptibles de voter disposent d’au moins une donnée personnelle indispensable pour participer au scrutin (adresse électronique ou numéro de téléphone portable) ;
– Aucune donnée personnelle (adresse électronique, numéro de téléphone portable, adresse postale) n’est utilisée à plus de quatre reprises, sans que les personnes concernées n’aient répondu favorablement aux différents contrôles effectués.

Ces contrôles se sont traduits par plusieurs milliers de mails et d’appels téléphoniques passés par la Haute Autorité ou sous son autorité.

À l’issue des vérifications réalisées, le corps électoral du congrès des Républicains de décembre 2022 destiné à élire le nouveau Président du Mouvement est composé de 91 110 inscrits.

La désignation du nouveau Président des Républicains s’effectuera lors d’un scrutin à deux tours. Le premier tour se tiendra du samedi 3 décembre 18h00 (heure de Paris) au dimanche 4 décembre 18h00 (heure de Paris) ; le second tour aura lieu du samedi 10 décembre 18h00 (heure de Paris) au dimanche 11 décembre 18h00 (heure de Paris).

La Haute Autorité des Républicains

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Nos sénateurs interrogent le gouvernement

Ce mercredi après-midi, lors de la séance de questions au gouvernement, cinq sénateurs du groupe les Républicains ont interpellé l’exécutif.

Pour commencer, Christine Lavarde, sénatrice des Hauts-de-Seine, a interpellé le ministre de la Transition écologique et de la Cohésion des territoires sur le retour des contrats de Cahors.

En matière de maîtrise des finances publiques, le gvt ferait bien de balayer devant sa porte plutôt que d’exercer une surveillance infantilisante sur les collectivités ! @LavardeC interpelle le gvt. #QAG https://t.co/lrbKR1NZw5

— Républicains Sénat (@lesRep_Senat) November 9, 2022

Bruno Belin, sénateur de la Vienne, a interrogé le ministre de la Santé et de la Prévention sur la pénurie de médicaments.

Quelle est votre stratégie pour que la France retrouve sa souveraineté sur les produits de santé ? @brunobelin interpelle le gvt sur l’urgence à réindustrialiser la France devenue le pays de la pénurie. #QAG https://t.co/NXJckO2oY1

— Républicains Sénat (@lesRep_Senat) November 9, 2022

Philippe Dominati, sénateur de Paris, a questionné le ministre de l’Économie, des Finances et de la Souveraineté industrielle et numérique sur la situation économique de Renault.

Comptez-vous renforcer la prépondérance de la France dans l’Alliance #RenaultNissan ou allez-vous accepter son démantèlement ?” @PhDominati interroge le gvt. #QAG https://t.co/dsb9xoT2uq

— Républicains Sénat (@lesRep_Senat) November 9, 2022

Claudine Thomas, sénatrice de Seine-et-Marne, a interpellé la ministre déléguée auprès du ministre de la Santé et de la Prévention, chargée de l’Organisation territoriale et des Professions de santé sur la mise en place de la Carte Vitale biométrique.

L’ampleur de la fraude sociale mérite que le gvt se saisisse vraiment du sujet ! @SenatriceThomas interpelle le gvt. En dépit du vote du Sénat cet été, aucun crédit pour lutter contre le surnombre de carte vitale n’est inscrit dans le #PLFSS2023. #QAG https://t.co/54zrlGSQIG

— Républicains Sénat (@lesRep_Senat) November 9, 2022

Pour finir, Jérôme Bascher, sénateur de l’Oise, a interrogé le ministre de l’Économie, des Finances et de la Souveraineté industrielle et numérique sur la lutte contre les déficits.

A une époque nous partagions une conviction commune : lutter contre les déficits. M. le ministre, vous êtes aujourd’hui le ministre du recors des déficits. @JeromeBascher interpelle le gvt sur la stratégie qu’il entend suivre pour redresser la barre. #QAG https://t.co/KdNyMX7mPO

— Républicains Sénat (@lesRep_Senat) November 9, 2022

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Nos députés interrogent le gouvernement

Ce mardi après-midi, lors de la séance de questions au gouvernement à l’Assemblée nationale, trois députés du groupe les Républicains ont interpellés l’exécutif.

Pour commencer, Emilie Bonnivard, députée du Savoie, a interpellé le ministre de l’Économie, des Finances et de la Souveraineté industrielle et numérique sur les coûts de l’énergie pour les entreprises.

.@BonnivardE : “Les entreprises allemandes voient leur facture plafonnée à 130€/MWh pour 70% de leur consommation alors que nos entreprises ne toucheront que quelques dizaines d’€ d’aides. Vous êtes en train de condamner nos entreprises et les emplois qui vont avec !” #DirectAN pic.twitter.com/zQqmuo6MSr

— Députés Les Républicains (@Republicains_An) November 8, 2022

Marc Le Fur, député des Côtes-d’Armor, a questionné la Première ministre sur les véhicules électriques.

.@marclefur : “Le pouvoir d’achat des ne cesse de baisser. Avec vous, la voiture est en train de devenir un produit de luxe. Pour beaucoup de familles la voiture est indispensable. Quand donnerez-vous la priorité aux familles face à la bien-pensance écologiste ?” #DirectAN pic.twitter.com/D9TOf2Ferv

— Députés Les Républicains (@Republicains_An) November 8, 2022

Pour finir, Emmanuelle Anthoine, député de la Drôme, a interrogé le ministre de l’Agriculture et de la Souveraineté alimentaire sur les coûts de l’énergie pour les agriculteurs.

.@eanthoine26 : “Le prix de l’électricité flambe et affecte aussi nos agriculteurs. Leurs factures peuvent être multipliées par 10. Vos aides sont insuffisantes. Cela va entrainer la faillite de nombreux agriculteurs. La hausse doit être absolument plafonnée…” #DirectAN pic.twitter.com/aeMKMBMkRC

— Députés Les Républicains (@Republicains_An) November 8, 2022

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« L’épidémie de bronchiolite n’est que la partie émergée de l’iceberg »

Le député Yannick Neuder (Les Républicains) et 40 de ses collègues, dont le président du groupe Olivier Marleix, jugent insuffisante la réponse du gouvernement à l’épidémie saisonnière de bronchiolites et appellent le ministre de la Santé, François Braun, à faire « plus et mieux » sur la crise des services pédiatriques.

Cette semaine, sous pression, le gouvernement a fait un petit pas vers les pédiatres qui font face à une crise profonde à nouveau mise en lumière par l’épidémie saisonnière de bronchiolites. Devant des services d’urgences pédiatriques en grande tension et des soignants à bout de souffle, le ministre de la Santé, François Braun, a dégainé une nouvelle enveloppe issue de négociations entre son ministère et les représentants des urgences pédiatriques. C’est salutaire mais bien insuffisant quand on sait que ces fonds d’urgence sont censés « faire tenir » durant trois ou quatre mois tout au plus. C’est sans compter sur la reprise de l’agenda politique d’un exécutif plus occupé à créer une troisième chambre parlementaire sous le nom de Conseil national de la Refondation tout en enjambant la première par 49-3 en série.

Quant aux premiers concernés, les avis sont plus que mitigés. Ces enveloppes ne constituent pas une solution pérenne. Pire, la FHF déplore une « politique de la rallonge permanente » basée sur un calendrier et une répartition des crédits encore flous.

La situation de la pédiatrie est l’illustration parfaite du malaise qui a contaminé tout notre système de santé parallèlement à une procrastination du gouvernement dont le rôle ne se résume plus qu’à déployer des rustines faites d’enveloppes et de plans blancs lorsqu’il est au pied du mur.

Pourtant, ni cette épidémie de bronchiolites, ni la situation de la pédiatrie sont des faits nouveaux. Chaque année, l’automne marque l’arrivée des nombreux cas d’enfants atteints par le virus, cette tension des services d’urgences pédiatriques a déjà été observée de nombreuses fois avec plus ou moins d’intensité comme en 2019.

Cette situation appelle à une réponse de rupture, structurelle et il semble que ce soit la dernière main tendue au gouvernement de la part de l’opposition et des représentants hospitaliers. Assez de rapports, de missions flash et d’assises de la pédiatrie au printemps : le gouvernement a déjà toutes les données et toutes les cartes en main pour agir.

Les enseignements à tirer tiennent en 3 maitres mots : revalorisation, décentralisation et anticipation.

Sur la revalorisation, la dégradation structurelle des moyens dédiés services pédiatriques a entrainé une fuite des soignants face à laquelle le gouvernement a trop longtemps tâtonné voir dévié. C’est notamment le cas durant le déploiement du Ségur de la Santé pour lequel la permanence des soins, c’est-à-dire le travail de nuit, ou le week-end et les jours fériés, n’a pas été revalorisée. Avec le plan d’urgence, du côté des hospitaliers, le soignant a vu sa prime de nuit augmenter d’1,79 euro de l’heure au maximum ! Du côté des libéraux, l’Igas pointe une rémunération de la pédiatrie clairement plus faible que les autres spécialités médicales et ce constat se confirme à l’échelle européenne.

Sur la décentralisation, nous devons décloisonner la ville et l’hôpital dans une grande réforme santé. Le système a besoin d’une réponse de rupture sur la médecine de ville, son rôle n’a pas été suffisamment inclus dans un nouveau modèle de prise en charge des enfants alors que le nombre de médecins en pédiatrie libérale baisse inexorablement depuis des années.

Sur l’anticipation, le rôle pédagogique et la prévention ont également été trop souvent délaissés : une réforme pour un rôle renforcé de la santé scolaire mais aussi de la protection maternelle et infantile (PMI). Comme l’a mis en lumière l’Iigas, les parcours de soins doivent être restructurés en réhabilitant et revalorisant notamment le rôle des puériculteurs et puéricultrices.

L’exécutif occulte aussi un des cœurs du problème : la crise de sens et le nouveau rapport aux carrières médicales. Un constat fait depuis bien trop longtemps. La revalorisation financière est une première réponse mais il faut travailler à des mesures profondes notamment sur les effectifs et la répartition des soignants. De manière générale, une véritable réforme des études de santé qui ne s’appuie pas simplement sur un numérus apertus mais qui permette le redoublement en première année par exemple ou qui encourage à l’installation en zones sous dotées par un engagement dès la deuxième année doublé d’incitations fiscales plus généreuses et d’un conventionnement plus favorable.

Enfin, il faut aussi questionner le calcul de l’ONDAM proposé au Parlement chaque année. Ces objectifs de dépenses sont largement en deçà des exigences d’un système à bout de souffle, notamment en cette crise inflationniste qui sévit actuellement. Plus généralement, la santé est encore trop souvent traitée de manière comptable dans notre pays. Le projet de loi de finances de la sécurité sociale (PLFSS), examiné annuellement, a 26 ans ! Une nouvelle loi santé doit émerger, examinée plurianuellement, celle qui reposera sur les leçons apprises des crises sanitaires du 21e siècle.

Monsieur le Ministre Braun, la balle est dans votre camp. Nous attendons plus et mieux.

Yannick Neuder, Député de l’Isère
Olivier Marleix, Président du Groupe Les Républicains à l’Assemblée nationale, Député d’Eure-et-Loir
Annie Genevard, Présidente des Républicains, Députée du Doubs
Emmanuelle Anthoine, Député de la Drôme
Thibault Bazin, Député de Meurthe-et-Moselle
Valérie Bazin-Malgras, Députée de l’Aube
Emilie Bonnivard, Députée de la Savoie
Jean-Yves Bony, Député du Cantal
Ian Boucard, Député du Territoire de Belfort
Jean-Luc Bourgeaux, Député d’Ille-et-Vilaine
Hubert Brigand, Député de la Côte d’Or
Fabrice Brun, Député de l’Ardèche
Dino Cinieri, Député de la Loire
Éric Ciotti, Député des Alpes-Maritimes
Pierre Cordier, Député des Ardennes
Josiane Corneloup, Députée de Saône-et-Loire
Marie-Christine Dalloz, Députée du Jura
Vincent Descoeur, Député du Cantal
Fabien Di Filippo, Député de la Moselle
Christelle D’intorni, Députée des Alpes-Maritimes
Julien Dive, Député de l’Aisne
Virginie Duby-Muller, Députée de la Haute-Savoie
Nicolas Forissier, Député de l’Indre
Marc Le Fur, Député des Côtes-d’Armor
Justine Gruet, Députée du Jura
Michel Herbillon, Député du Val-de-Marne
Patrick Hetzel, Député du Bas-Rhin
Philippe Juvin, Député des Hauts-de-Seine
Véronique Louwagie, Député de l’Orne
Alexandra Martin, Députée des Alpes-Maritimes
Jérôme Nury, Député de l’Orne
Éric Pauget, Député des Alpes-Maritimes
Isabelle Périgault, Députée de Seine-et-Marne
Christelle Petex-Levet, Député de la Haute-Savoie
Alexandre Portier, Député du Rhône
Nicolas Ray, Député de l’Allier
Nathalie Serre, Députée du Rhône
Michèle Tabarot, Députée des Alpes-Maritimes
Jean-Pierre Taite, Député de la Loire
Isabelle Valentin, Députée de Haute-Loire
Stéphane Viry, Député des Vosges

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