Présidence des Républicains : le débat

Retrouvons-nous ce soir à 20h30 sur LCI pour le débat LR avec Eric Ciotti, Aurélien Pradié et Bruno Retailleau.

L’article Présidence des Républicains : le débat est apparu en premier sur les Républicains.

Read More

Élection à la présidence de LR : le siège n’organise aucun sondage

Chers adhérents,

Conformément aux règles définies entre les Républicains et les candidats en matière de propagande électorale, les services du mouvement diffusent chaque semaine à l’ensemble des adhérents les documents de communication des candidats tels qu’ils sont livrés par ces-derniers.

Chargé de transmettre ces lettres d’information, le parti ne se livre à aucun jugement sur leur contenu et veille à une stricte égalité de traitement dans les moyens accordés aux candidats.

Ce jeudi 17 novembre, le parti a transmis aux adhérents les documents hebdomadaires des candidats. Dans sa lettre d’information, Bruno Retailleau a fait état des résultats d’une consultation réalisée par l’un de ses soutiens. Celle-ci a pu être interprétée comme un sondage interne aux Républicains.

Toute consultation, passée ou à venir, extérieure aux Républicains, ne peut être assimilée à un sondage effectué sur l’ensemble du fichier électoral dont LR est le seul détenteur. Aucun sondage ne sera d’ailleurs réalisé auprès des adhérents d’ici le scrutin.

Pour rappel, le premier tour aura lieu du samedi 3 décembre à 18h au dimanche 4 décembre à 18h. Le second tour, si nécessaire, se déroulera du samedi 10 décembre à 18h, au dimanche 11 décembre à 18h.

Amicalement,

les Républicains.

L’article Élection à la présidence de LR : le siège n’organise aucun sondage est apparu en premier sur les Républicains.

Read More
0BC16F1B-EC5B-4540-8553-15CFD0D65387

Communiqué de Muriel JOURDA

Chères amies, Chers amis,

Chères militantes, Chers militants,

Chères sympathisantes, Chers sympathisants,

Pour l’élection à la présidence des Républicains, je voterai pour Bruno RETAILLEAU.

Parce qu’il incarne une droite courageuse, qui assume toutes ses convictions, pour rétablir l’ordre dans notre pays, réaffirmer la liberté et défendre nos repères civilisationnels, il saura opposer à Emmanuel Macron une droite qui pense droit et parle clair.

Parce qu’il sait fédérer, qu’il veut faire passer les idées avant les égos et redonner la parole aux militants, Bruno Retailleau est le mieux à même de refonder entièrement la droite, pour que nous puissions reconstruire un grand parti populaire et patriote, fidèle aux exigences gaullistes.

Parce que les français ont besoin d’être rassurés, car aujourd’hui, alors que la droite est fragilisée, nous avons encore plus besoin de la solidité et de la crédibilité de Bruno RETAILLEAU.

Seul son projet, pour reconstruire un nouveau parti et refonder une vraie droite, peut permettre à notre famille politique de renouer avec la victoire en renouant avec l’essentiel : le combat des idées, la force de nos convictions pour la France.

Le 18 novembre 2022,

Muriel JOURDA

Sénatrice du Morbihan

Présidente de la Fédération des Républicains du Morbihan 

Read More

Gérard Larcher : « Ni dans la majorité ni tenté par l’union des droites »

Le président LR du Sénat est dans les Pyrénées-Orientales ce vendredi. Inquiétudes des élus, élection du président de son parti, place des LR dans l’opposition, retraites… il a accordé une interview à L’Indépendant, avant son déplacement.

Quel est l’objet de votre visite, ce vendredi, en Occitanie, précisément dans les Pyrénées-Orientales ?

La période budgétaire m’oblige à être très présent, à Paris, mais j’ai fait le choix de venir à l’invitation de mes deux collègues, François Calvet et Jean Sol (sénateurs des Pyrénées-Orientales) pour deux objets. D’abord, la mémoire à Oreilla qui, il y a plus d’un siècle, a donné dix-neuf de ses fils au pays. Cette mémoire historique doit aussi être une mémoire pour aujourd’hui et demain. Je me mets à la place de ce maire qui est venu dix-neuf fois annoncer, à une mère, un père, un frère, un fils, que leur proche était mort pour la Patrie. Je viens, ensuite, pour rencontrer des élus, alors que, cet après-midi (hier), j’ouvre le débat sur le Projet de loi de finances.

Les finances des collectivités sont l’inquiétude permanente des élus…

Oui, le président de l’Association des maires des Pyrénées-Orientales a souhaité traiter de ce sujet et je veux l’aborder avec eux, en dehors de l’état du pays, son endettement, ses déficits… La crise énergétique et le bouclier pour les communes de toutes les tailles, surtout de taille moyenne, sont une préoccupation du Sénat, qui souhaite un système simple. Il y a aussi le problème de l’inflation qui touche la restauration scolaire, les matières premières ; le sujet de l’autonomie financière, car il ne reste aux communes que la taxe sur le foncier bâti, elles n’ont plus de leviers. Le sujet du transfert des routes nationales aux Régions ou Départements aussi. Et enfin, la désertification médicale.

La désertification sera abordée dans le PLFSS, le Projet de loi de finance de la Sécurité sociale…

Oui, car on compte, maintenant, 119 généralistes pour 100 000 habitants. Le chiffre ne cesse de chuter, depuis douze ans, il faut trouver une solution pour gérer la transition, en attendant le relèvement du numerus clausus, comme la 4e année de médecine effectuée dans ces zones. Mais, au-delà, il faut garantir à tous les Français l’accès à des soins de qualité. Un rapport sur les femmes montre des territoires sans gynécologue qui posent des problèmes de prévention des cancers ou dans les maternités, il y a là une forme d’inégalité.

Êtes-vous aussi en campagne dans les Pyrénées-Orientales où les sénateurs seront renouvelés en 2023, et où le RN gagne des élections (mairie de Perpignan, législatives) et où il peut présenter des candidats ?

Non. Mais je viens témoigner de la qualité des travaux des deux sénateurs : François Calvet, qui est un tempérament et très attaché à son territoire, c’est une forme de sage tonitruant et quand il s’exprime, on l’écoute avec attention ; et Jean Sol, qui est attaché au problème de désertification médicale. Les élus feront leur choix mais je viens dire qu’ils ont deux parlementaires engagés. Et je n’ai jamais imaginé quoi que ce soit avec le Rassemblement national.

Les succès électoraux du RN vous inquiètent-ils ?

Il faut qu’on fasse attention à retrouver les chemins de la confiance. C’est parce qu’il y a défiance qu’on a deux phénomènes : l’abstention et le choix des extrêmes. On doit répondre aux inquiétudes du quotidien des Français, à leur identité aussi, leur sécurité. Je sens un besoin de proximité.

L’élection interne aux Républicains intervient alors que votre parti peine à trouver sa place dans l’opposition. En quoi Bruno Retailleau, que vous soutenez, peut-il changer la donne ?

Je soutiens une ligne autonome : ni dans la majorité, ni en tentation d’union des droites. Si c’est dans l’intérêt du pays, on doit débattre et le voter, comme la loi chômage, ou, en janvier, la réforme des retraites. Je soutiens Bruno Retailleau (pour la présidence du parti) qui est un pilier du Sénat et a une vraie capacité à rassembler. Et je serai attentif à l’unité des LR après l’élection.

Dans le cadre du PLFSS, quel signal veut donner le Sénat en votant le départ à la retraite à 64 ans, avant même que le gouvernement ne s’en saisisse ?

Ce n’est pas un signal, c’est un rappel de signaux ! Et au-delà de l’âge, on doit aussi investir dans la formation des plus de 50 ans ; se préoccuper de l’emploi des seniors ; protéger ceux qui sont entrés dans le travail avant 20 ans et ont une carrière longue. On a cette position depuis 2018, le gouvernement y vient.

Le débat sur la corrida a agité l’Assemblée, pensez-vous qu’il faille l’interdire ?

La corrida est interdite, en France, sauf quand c’est une tradition locale ininterrompue. Au Sénat, on est très attentif à la diversité des territoires et aux traditions locales. J’ai du respect pour les traditions ; celle-ci, la chasse, ou d’autres. Ce n’est pas l’uniformité qui reconstruira une République.

>> Lire l’interview sur L’Indépendant.fr

L’article Gérard Larcher : « Ni dans la majorité ni tenté par l’union des droites » est apparu en premier sur les Républicains.

Read More

Gérard Larcher : « La politique migratoire du gouvernement manque de cohérence »

Gérard Larcher, président du Sénat, était l’invité d’Europe 1.

Il est revenu sur la guerre en Ukraine, l’accueil de l’Ocean Viking à Toulon, la politique migratoire et l’élection du président de notre mouvement.

Missile en Pologne : “notre responsabilité, c’est de garder notre sang-froid, d’entendre les résultats de l’enquête et en même temps d’être aux côtés de l’Ukraine” @gerard_larcher sur #Europe1 pic.twitter.com/F4mue4qKDK

— Europe 1 (@Europe1) November 17, 2022

Ocean Viking :”c’est une politique migratoire qui manque de cohérence” @gerard_larcher sur #Europe1 pic.twitter.com/UARAviyLMl

— Europe 1 (@Europe1) November 17, 2022

“Il faut aussi qu’on fasse le travail et que les Belges nous aident à faire le travail” @gerard_larcher sur #Europe1 pic.twitter.com/28cuVloN1R

— Europe 1 (@Europe1) November 17, 2022

Présidence des LR : “la première des obligations pour un président des Républicains demain, va être avec un objectif, rassembler et ensuite imaginer les propositions qu’on peut faire aux Français pour retrouver la confiance” @gerard_larcher sur #Europe1 pic.twitter.com/5sFRqQLPvN

— Europe 1 (@Europe1) November 17, 2022

L’article Gérard Larcher : « La politique migratoire du gouvernement manque de cohérence » est apparu en premier sur les Républicains.

Read More

Agnès Evren : « La droite doit mettre clairement la transition écologique au cœur de son projet »

A l’approche de l’élection pour la présidence du parti Les Républicains, Agnès Evren, vice-présidente des Républicains et députée européenne, plaide, dans une tribune au « Monde », pour une écologie pragmatique qui préserve le pouvoir d’achat.

Alors que s’achève la conférence des Nations unies sur le climat (COP27), le programme de l’ONU pour l’environnement sonne le tocsin d’un réchauffement « catastrophique » de 2,5 °C à la fin du siècle. L’impératif et l’urgence de la transition écologique ne sont plus à démontrer. Et, pourtant, nous avançons si lentement… L’une des raisons tient à l’acceptabilité des décisions envisagées. Souvent impopulaires parce que perçues comme socialement injustes et insupportables, elles fracturent encore davantage notre pays. Finalement, la crise énergétique, qui se superpose à la crise climatique, fait craindre un Armageddon social.

Il nous faut d’abord mettre clairement la transition écologique au cœur de notre projet. La protection de l’environnement est une question trop importante pour être confisquée par des forces politiques radicales qui la caricaturent. Le débat politique ne peut pas se structurer autour de l’urgence de la question écologique (nous en sommes tous convaincus), mais autour des solutions pour y répondre.

Interdire des barbecues et dégrader des œuvres d’art ne feront pas avancer la cause. N’hésitons plus : la droite porte historiquement le discours du pragmatisme, dont nous avons tant besoin face aux délires idéologiques de l’extrême gauche, et de la conservation et de la transmission du patrimoine, y compris naturel. Elle est donc parfaitement légitime à s’emparer du sujet.

Il nous faut ensuite réconcilier toutes les catégories sociales, toutes les générations, tous les territoires autour d’une même ambition environnementale. La fracture qui grandit entre la France dite « périphérique » et celle du centre des métropoles est moralement et socialement insupportable. C’est l’application d’une écologie à deux vitesses, dont les classes moyenne et populaire sont les seules débitrices.

Notre responsabilité est de la dénoncer et de la résorber. Préserver notre planète, la cohésion de notre société et le pouvoir d’achat des Français ne peuvent plus être des principes antagoniques. Un seul exemple : à l’échelle de la Métropole du Grand Paris, les Républicains ont soutenu l’élargissement de la zone à faibles émissions (ZFE), englobant 79 communes, pour remédier à l’initiative solitaire de la maire de Paris, qui l’avait circonscrite au seul périmètre de la capitale, faisant de Paris un oppidum infranchissable.

L’aberrante circulation des SUV

Ce risque d’amplification des fractures territoriales ressurgit tandis qu’à l’horizon 2025 toutes les agglomérations de plus de 150 000 habitants devront limiter la circulation des véhicules les plus polluants sur leur territoire. Avec 43 ZFE, la question de l’exclusion des classes moyenne et populaire, reléguées aux franges des villes, se fera plus vive. C’est à la seule force d’un travail de dentelle mené avec les édiles locaux que ces plaies géographiques seront suturées, que les contraintes sur la liberté de circuler seront acceptées et que le pouvoir d’achat sera préservé.

Enfin, il nous faut sortir des approches idéologiques. L’Europe paye aujourd’hui les conséquences du combat mené pendant des décennies par des extrémistes contre le nucléaire. Alors que notre priorité doit être de décarboner la production d’électricité, une partie de notre parc nucléaire est fermée tandis que nous faisons fonctionner et même rouvrons des centrales à charbon. Absurde. De même, si la fin de la vente de véhicules thermiques est légitime, comment ne pas prendre en compte que 38 % des Français possédaient un véhicule diesel de plus de 12 ans ou essence de plus de 18 ans en 2021 ? Avec un bonus écologique laissant un reste à charge d’environ 20 000 euros, les véhicules zéro émission, électriques ou à hydrogène, demeurent à des prix prohibitifs pour les classes populaires.

C’est pourquoi nous avions plaidé pour un quota de 90 % de véhicules électriques d’ici à 2035 et l’amplification de la recherche sur des moteurs à très faible émission. En faisant du véhicule électrique le Graal de la neutralité carbone, nous nous exposons à de sérieuses déconvenues pour la compétitivité de nos industries et pour la pérennité de nos 205 000 emplois directs. En mettant tous nos œufs dans le même panier, nous tournons le dos à l’innovation qui aurait permis d’atteindre nos objectifs. Seule la Chine semble, à l’heure actuelle, tirer son épingle du jeu en inondant le marché occidental de ses véhicules électriques. Cette orthodoxie jette aussi un voile sur les émissions de l’ensemble du cycle de vie des véhicules, et permet des aberrations telles que la libre circulation des SUV dans la ZFE du Grand Paris, malgré leur bilan carbone.

Atteindre la neutralité carbone en 2050, privilégier une approche globale, réconcilier ambition écologique et pragmatisme économique, devront être au cœur des idées de la future présidence des Républicains. Cela implique de ne jamais découpler la transition écologique de la lutte pour le pouvoir d’achat et contre les inégalités territoriales.

Cette approche, je l’ai adoptée au Parlement européen depuis plus de trois ans en combattant notamment l’extension du marché du carbone aux carburants et au chauffage privé, tirant ainsi les leçons de la crise des « gilets jaunes ». C’est cette approche que défendent nos élus locaux. C’est cette approche qui doit guider nos actions futures.

>> Lire la tribune sur LeMonde.fr

L’article Agnès Evren : « La droite doit mettre clairement la transition écologique au cœur de son projet » est apparu en premier sur les Républicains.

Read More

Nos sénateurs interrogent le gouvernement

Ce mercredi après-midi, lors de la séance de questions au gouvernement, six sénateurs du groupe les Républicains ont interpellé l’exécutif.

Pour commencer, Michel Bonnus, sénateur du Var, a interpellé le ministre de l’Intérieur et des Outre-mer sur l’accueil de l’Ocean Viking à Toulon.

“Nous ne sommes pas insensibles à la souffrance de ceux qui recherchent l’asile. Mais ne voyez-vous pas que dans nos territoires fragilisés qui manquent de moyens, nous sommes incapables de les assumer ?” @MichelBonnus interroge le gvt. #QAG #OceanViking https://t.co/CaZcDnUZTd

— Républicains Sénat (@lesRep_Senat) November 16, 2022

Henri Leroy, sénateur des Alpes-Maritimes, a interrogé le ministre de l’Intérieur et des Outre-mer sur la politique de l’immigration.

“En accueillant l’Ocean Viking, vous confondez humanitaire et appel d’air, vous faites le jeu des passeurs !” @senateurleroy interpelle le gvt. #QAG #OceanViking https://t.co/z74RxgbQrN

— Républicains Sénat (@lesRep_Senat) November 16, 2022

François Bonhomme, sénateur du Tarn-et-Garonne, a questionné le ministre de l’Éducation nationale et de la Jeunesse sur les atteintes à la laïcité à l’école.

“A quoi sert la loi confortant le respect des principes de la République adoptée en 2021 si cette règle essentielle de la neutralité religieuse à l’école continue d’être bafouée ?” @F_Bonhomme interroge le gvt. #QAG https://t.co/lEfbuFmV6U

— Républicains Sénat (@lesRep_Senat) November 16, 2022

Pascal Alizard, sénateur du Calvados, a interpellé la secrétaire d’État auprès du ministre des Armées, chargée des Anciens combattants et de la Mémoire sur la coopération franco-allemande en matière de programmes militaires.

.@AllizardPascal interroge le gvt sur les réponses qu’il entend apporter aux inquiétudes générées par les difficultés de la coopération franco-allemande en matière de programmes militaires, en particulier sur le futur avion de combat. #QAG https://t.co/kafbUypGZ9

— Républicains Sénat (@lesRep_Senat) November 16, 2022

Céline Boulay-Espéronnier, sénatrice de Paris, a interrogé le ministre délégué auprès du ministre de l’Économie, des Finances et de la Souveraineté industrielle et numérique, chargé des Comptes publics sur l’explosion de la taxe foncière à Paris.

“Par quelle mesure comptez-vous soulager les parisiens qui ont appris la hausse de la taxe foncière par Anne Hidalgo qui avait pourtant promis qu’elle n’augmenterait pas les impôts !” @CBE16 interpelle le gvt sur la hausse de la taxe foncière à Paris. #QA https://t.co/HlAxvvqI6L

— Républicains Sénat (@lesRep_Senat) November 16, 2022

Pour finir, Stéphane Piednoir, sénateur de Maine-et-Loire, a questionné le ministre de l’Éducation nationale et de la Jeunesse sur les programmes scolaires.

“Vous rétablissez l’enseignement des maths dans le tronc commun des programmes du bac & actez ainsi l’échec de la réforme de votre prédecesseur mais aurons-nous assez de professeurs pour assurer ces cours ?” @StephPiednoir interroge le gvt. #QAG https://t.co/LzjBktj52w

— Républicains Sénat (@lesRep_Senat) November 16, 2022

L’article Nos sénateurs interrogent le gouvernement est apparu en premier sur les Républicains.

Read More
#thegov_button_691833ad3376a { color: rgba(255,255,255,1); }#thegov_button_691833ad3376a:hover { color: rgba(238,49,36,1); }#thegov_button_691833ad3376a { border-color: rgba(238,49,36,1); background-color: rgba(238,49,36,1); }#thegov_button_691833ad3376a:hover { border-color: rgba(238,49,36,1); background-color: rgba(255,255,255,1); } Aller au contenu principal