Florence Portelli : « En l’état, cette réforme ne va pas au bout des choses »

Florence Portelli, vice-présidente de notre mouvement et vice-présidente de la région Ile-de-France, était l’invité de BFMTV.

Elle est revenue sur la position des Républicains sur la réforme des retraites.

« Je veux une réflexion sur le travail en France. Cette #ReformeDesRetraites ne va pas au bout des choses et ne réfléchit pas quant aux inégalités notamment pour les femmes qui sont pénalisées ! » @FloPortelli sur @LeLiveToussaint pic.twitter.com/ErBVpsTSMa

— Défi Républicain (@DefiRepublicain) January 27, 2023

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Jean Leonetti : « Notre société est plus émotionnelle que raisonnable »

La convention citoyenne doit rendre ses travaux sur la fin de vie au mois de mars, avant une possible nouvelle loi. L’ancien ministre et député Les Républicains, Jean Leonetti, corapporteur de la loi Claeys-Leonetti de 2016, estime que les débats ont pris « une mauvaise orientation ».

La convention citoyenne sur la fin de vie a débuté sa phase délibérative. Que répondriez-vous à la question qui lui est posée : « Le cadre d’accompagnement de la fin de vie est il adapté aux différentes situations rencontrées ou d’éventuels changements devraient-ils être introduits ? » ?

Aucune loi ne peut répondre à chaque demande individuelle. Accompagner les gens en fin de vie relève à mes yeux bien plus des moyens et de l’organisation des soins palliatifs en France que d’une modification législative. Mais ne soyons ni naïfs ni hypocrites : en réalité, la discussion qui est lancée depuis plusieurs mois porte sur le droit de donner la mort à celui qui la demande. Le président de la République a lui-même expliqué qu’il voulait s’inspirer du modèle belge (qui autorise le suicide assisté et l’euthanasie).

Précisément, les sondages montrent qu’une grande majorité de Français est favorable à l’aide active à mourir. Accorder ce droit n’est-il pas tout simplement démocratique ?

Notre société est plus émotionnelle que raisonnable. Mais la fin de vie est un sujet intime d’une rare complexité. Si vous modifiez la loi aujourd’hui, ce n’est pas pour améliorer ce qui existe déjà. Il s’agit de passer du Code civil au Code pénal, lequel interdit de donner la mort. La réflexion sera plus claire si on explique que, dans certaines circonstances, on pourra donner la mort. Pour ma part, je pense que c’est une mauvaise orientation. D’abord, parce que cette question concerne une part infime de la population. Ensuite, parce que le débat devrait plutôt se tenir autour de notre rapport à la vieillesse et à la dépendance. Face à la déstabilisation de notre système de santé, à la situation dans nos Ehpad et à la pauvreté des soins palliatifs en France, il faudrait d’abord se poser la question des moyens mis en œuvre pour régler ces problématiques. J’aurais aimé avoir un débat public plus large. Ce n’est pas le cas aujourd’hui : les comités d’éthique régionaux n’ont par exemple pas été sollicités.

Comment expliquez-vous le revirement du Comité consultatif national d’éthique (CCNE), qui s’est déclaré favorable à l’aide active à mourir dans son dernier avis ?

Il a changé d’avis parce qu’on a changé les membres de ce comité. Le président Jean-François Delfraissy et d’autres, comme l’ancien député Alain Claeys, portent cette ouverture à une loi favorable au suicide assisté ou à l’euthanasie. En réalité, cela pose le problème de l’impartialité de ce comité, qui, à mon avis, devrait être élu par ses pairs et non pas nommé par le pouvoir exécutif. Cela vous paraît-il normal qu’à quelques mois d’intervalle le comité arrive à des conclusions aussi différentes ? Entre-temps, il n’y a pourtant pas eu d’avancée de la médecine sur le sujet du suicide en général, ni du suicide assisté en particulier.

La désignation d’Olivier Falorni (MoDem) – fervent partisan de l’ouverture à l’aide active à mourir – à la tête de la mission d’évaluation parlementaire de la loi Claeys-Leonetti présage-t-elle déjà de l’issue du débat ?

J’ai de bonnes relations avec le député Olivier Falorni, je respecte ses convictions, mais on sait qu’il est identifié sur le sujet, il ne s’en est jamais caché. On aurait pu essayer de trouver un candidat qui donne au moins l’apparence de plus de neutralité. On nous explique que la mission doit aboutir dans les trois mois qui viennent. Jusqu’à présent, elle ne s’est pas rendue dans un système de soins palliatifs, alors que ce sont des questions où l’on doit être au contact des gens et pas dans un bureau. Je ne mets pas en cause l’honnêteté de ceux qui sont aux manettes, mais, comme disait Jean-Paul Sartre: « Quand je délibère, les jeux sont faits. » Je peux déjà vous livrer ma propre conclusion aujourd’hui : pour améliorer réellement la situation en fin de vie, il faut doter d’au moins une unité de soins palliatifs les 26 départements qui n’en ont pas et leur donner plus de moyens.

Les fractures sont importantes entre, d’une part, les partisans de l’euthanasie et du suicide assisté, et, d’autre part, ceux qui s’y opposent. Comment peut-on sortir de cette binarité ?

En France, les gens qui travaillent dans le secteur palliatif sont farouchement opposés à l’euthanasie. Ils considèrent que donner la mort n’est pas un soin. Je suis d’accord avec eux. Depuis longtemps, je défends l’idée selon laquelle la loi doit trouver un équilibre entre l’autonomie de la personne qui souhaite mourir et le collectif qui se doit de la protéger. Actuellement, le curseur le plus acceptable socialement – pas philosophiquement -, c’est peut-être le suicide assisté tel qu’il est pratiqué dans l’Oregon (États-Unis). C’est du moins celui qui entraînerait le moins de difficulté, et le moins de dérives comme on a pu le voir en Belgique. Dans cet État, le suicide assisté est possible si vous avez un pronostic vital engagé à moyen terme et que vous savez que vous allez mourir de la maladie pour laquelle on ne peut pas vous sauver. On vous remet des médicaments que vous pouvez prendre, ou ne pas prendre. D’ailleurs, 40 % des gens finissent par ne pas les prendre. Une fable de La Fontaine s’achève par ces mots : « Le plus semblable aux morts, meurt le plus à regret. » Plus on avance vers la mort, moins l’on a envie de mourir, c’est une chose assez habituelle. Ce système donne un accès à ceux qui veulent mourir sans impliquer grandement la société. Mais ce raisonnement vaut jusqu’à une certaine limite car même cette solution représente une transgression majeure de la solidarité.

Le suicide assisté serait donc un moindre mal ?

Je ne suis pas un défenseur du suicide assisté, je fais une analyse. Si on ne veut ni déstabiliser les soins palliatifs ni s’opposer frontalement au corps médical qui est très défavorable à porter la responsabilité de donner la mort, on pourrait externaliser le sujet en autorisant le suicide assisté. Mais cette assistance reste contradictoire dans la philosophie et dans l’acte : je me suicide mais je demande à l’autre d’exécuter ma volonté.

>> Lire l’interview sur Marianne.net

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Réunion départementale du 17 février 2023

Nous avons le plaisir de vous convier à la réunion départementale de rentrée, en présence de notre présidente Muriel JOURDA, sénatrice du Morbihan, le 17 Février à 18:30 H au Palais des Arts à Vannes.

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Bruno Retailleau : « Si demain on ne fait rien, il y aura un appauvrissement des retraités et des jeunes générations »

Bruno Retailleau, président du groupe les Républicains au Sénat et sénateur de Vendée, était l’invité de Public Sénat.

Il est revenu sur la guerre en Ukraine, la réforme des retraites et le projet de loi sur l’immigration.

#Ukraine : “Il faut aider l’Ukraine sans faire directement la guerre à la Russie, parce qu’il y a un risque d’escalade. Si demain un de nos missiles longue portée s’abat sur une population russe, Poutine ne ferait rien ? On est sur une ligne de crète.” @BrunoRetailleau #BCVO pic.twitter.com/8pAloSe48D

— Public Sénat (@publicsenat) January 26, 2023

Si demain on ne fait rien, il y aura un appauvrissement des retraités et des jeunes générations. Mon souci n’est pas d’être populaire, c’est d’être utile aux français. #ReformeDesRetraites @publicsenat pic.twitter.com/urbVd7LAzn

— Bruno Retailleau (@BrunoRetailleau) January 26, 2023

Projet de loi immigration : “Aujourd’hui, le texte ne reprend certainement pas le contrôle des flux migratoires.” @BrunoRetailleau

> “Comment voulez-vous satisfaire à la fois @SachaHoulie et nos propres propositions ? Ce texte créée des régularisations massives.” #BCVO pic.twitter.com/zvBgOI4g4Z

— Public Sénat (@publicsenat) January 26, 2023

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Rachida Dati : « Le texte de la réforme des retraites n’est pas satisfaisant, on se bat pour obtenir des avancées »

Rachida Dati, maire du VIIè arrondissement de Paris et présidente du Conseil national des Républicains, était l’invitée de France Inter.

Elle est revenue sur la réforme des retraites.

.@datirachida : « Notre identité politique, c’est de préserver le système de retraites par répartition : nous avons aujourd’hui 1,8 cotisant pour 1 pensionné, contre 4 pour 1 sous François Mitterrand » #le7930inter pic.twitter.com/i3JkmXf4U9

— France Inter (@franceinter) January 26, 2023

.@datirachida : « La gauche veut la retraite à 60 ans : ça veut dire diminution des pensions de retraite » #le7930inter pic.twitter.com/wvGIJthLqG

— France Inter (@franceinter) January 26, 2023

.@datirachida sur le report de l’âge légal à 65 ans qui était dans le programme présidentiel de LR : « On le défendait dans un autre contexte » #le7930inter pic.twitter.com/7DFlYO2TaD

— France Inter (@franceinter) January 26, 2023

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Nos sénateurs interrogent le gouvernement

Ce mercredi après-midi, lors de la séance de questions au gouvernement, six sénateurs du groupe les Républicains ont interpellé l’exécutif.

Pour commencer, Philippe Tabarot, sénateur des Alpes-Maritimes, a interpellé le ministre de la Transition écologique et de la Cohésion des territoires sur la mise en place des zones à faibles émissions.

“Les Français sont-ils informés que 40 % d’entre eux vont devoir dans les prochaines années, amener leur véhicule à la casse ?” @PhilippeTabarot alerte la première ministre sur la mise en place chaotique des zones à faibles émissions et pointe un manque profond de préparation. pic.twitter.com/p0YL9fem5O

— Républicains Sénat (@lesRep_Senat) January 25, 2023

Laure Darcos, sénatrice de l’Essonne, a interrogé le ministre du Travail, du Plein emploi et de l’Insertion sur le sort des femmes dans la réforme des retraites.

“De quelle retraite parlons-nous ?”@LDarcos met en lumière les inégalités de la réforme des retraites du gouvernement vis à vis des femmes et appelle à mieux prendre en compte la maternité et les inégalités salariales. pic.twitter.com/mIziKzyAN7

— Républicains Sénat (@lesRep_Senat) January 25, 2023

Valérie Boyer, sénatrice des Bouches-du-Rhône, a questionné le ministre de la Justice sur le rapatriement des femmes et enfants de djihadistes.

“Avons-nous les moyens d’une telle politique ?”
Au lendemain du rapatriement de 15 femmes et 32 enfants de djihadistes de l’Etat islamique @valerieboyer13 pointe du doigt la gestion catastrophique de ces retours. pic.twitter.com/LcV81hbBbi

— Républicains Sénat (@lesRep_Senat) January 25, 2023

Pierre Cuypers, sénateur de Seine-et-Marne, a interpellé le ministre de l’Agriculture et de la Souveraineté alimentaire sur l’interdiction des néonicotinoïdes.

L’annulation de la dérogation prévue jusqu’à juillet 2023 pour l’utilisation de néonicotinoïdes suscite la stupeur chez nos agriculteurs. @PierreCuypers77 s’interroge sur cette décision alors même que les concurrents (l’Allemagne en tête) continuent à utiliser ces substances. pic.twitter.com/3aFxgp0nL6

— Républicains Sénat (@lesRep_Senat) January 25, 2023

Olivier Paccaud, sénateur de l’Oise, a interrogé le ministre de l’Éducation nationale et de la Jeunesse sur les annonces de fermeture de classes en zone rurale.

“La ruralité est-elle une variable d’ajustement ?”@olivierpaccaud interroge le ministre de l’éducation sur le nombre important de fermetures de classes en zone rurale alors même que la majorité des élèves qui relèvent de l’éducation prioritaire s’y trouve. pic.twitter.com/JNCsnf9Vuh

— Républicains Sénat (@lesRep_Senat) January 25, 2023

Pour finir, Laurent Duplomb, sénateur de Haute-Loire, a questionné le ministre de l’Agriculture et de la Souveraineté alimentaire sur l’autorisation de la mise sur le marché européen de farine de grillons.

“Savez-vous ce qu’est l’acheta domesticus ?”
Le sénateur Laurent Duplomb interroge le ministre de l’agriculture sur l’introduction de ce nouvel aliment dans de nombreux produits alimentaires au détriment d’une alimentation saine et durable. pic.twitter.com/oJommlsNQQ

— Républicains Sénat (@lesRep_Senat) January 25, 2023

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Annie Genevard : « Les conditions qu’on a mises sur la table auprès du gouvernement ne sont contestées par personne au sein de notre groupe »

Annie Genevard, secrétaire générale de notre mouvement et députée du Doubs, était l’invitée de Sud Radio.

Elle est revenue sur la réforme des retaites, les conditions du vote de cette réforme par les Républicains et la rencontre entre Eric Ciotti et Laurent Berger, président de la CFDT.

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Olivier Marleix : « On a une conviction : il faut faire une réforme des retraites »

Olivier Marleix, président du groupe les Républicains à l’Assemblée nationale et député d’Eure-et-Loir, était l’invité de France Info.

Il est revenu sur la réforme des retraites, la baisse de la natalité, les grèves, le projet de loi Immigration et l’augmentation du budget de l’armée.

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Nos députés interrogent le gouvernement

Ce mardi après-midi, lors de la séance de questions au gouvernement à l’Assemblée nationale, trois députés du groupe les Républicains ont interpellés l’exécutif.

Pour commencer, Xavier Breton, député de l’Ain, a interpellé la Première ministre sur la baisse de la natalité en France

.@bretonxavier : « Depuis 1946, jamais la natalité française n’a été aussi basse. Il manque désormais chaque année 40 000 à 50 000 naissances pour assurer le renouvellement des générations. » #QAG pic.twitter.com/qCSXXjHbN5

— les Républicains (@lesRepublicains) January 24, 2023

Julien Dive, vice-président de notre mouvement et député de l’Aisne, a questionné le ministre de l’Agriculture et de la Souveraineté alimentaire sur l’interdiction des néonicotinoïdes.

.@JulienDive : « La Cour de justice l’Union européenne a jugé illégales les dérogations accordées aux agriculteurs pour l’usage de néonicotinoïdes en enrobage de semences. Cette décision est un véritable coup de massue pour la filière betterave-sucre. » #QAG pic.twitter.com/zMXoJVPPK4

— les Républicains (@lesRepublicains) January 24, 2023

Pour finir, Christelle Petex-Levet, députée de Haute-Savoie, a interrogé le ministre de la Santé et de la Prévention sur la crise de l’hôpital.

Christelle Petex-Levet : « Notre pays s’enlise dans des politiques inefficaces qui ne parviennent pas à soigner les maux de notre système de santé. » #QAG pic.twitter.com/vQnO1LXRPa

— les Républicains (@lesRepublicains) January 24, 2023

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