Bernard Carayon : « Réformer les retraites dans l’inefficacité et l’injustice »

Enflammer le pays pour gagner en 2030 moins de dix milliards d’euros alors que la France va en emprunter cette année 270 milliards sur les marchés, soit dix de plus que l’année précédente, est un exercice baroque sauf à provoquer des fractures politiques, justifiant une dissolution.

Sur le fond, la réforme des retraites est évidemment nécessaire, et le parti du travail, les Républicains, qui l’a toujours promue, ne peut y être hostile. Déjà, lors des débats parlementaires de 1981, Philippe Séguin rappelait que le passage de 65 à 60 ans de l’âge de départ à la retraite « conduirait tout à la fois à desservir l’emploi et à porter atteinte aux conditions de vie des travailleurs ». Curieusement, notre pays qui travaille le moins du monde occidental, est aussi, à l’aune de ses réactions, le plus fatigué.

Cette réforme pèche, donc, a minima, de réflexion et de psychologie.

Il y a aussi d’autres priorités nationales : engager la troisième révolution industrielle fondée sur la transition énergétique comme l’Allemagne avec un plan de 200 milliards ; stopper l’immigration devenue un poison pour beaucoup de Français, réformer un Etat obèse et impuissant à exercer ses fonctions naturelles, opérer des choix dans notre politique de défense, notre politique européenne et notre diplomatie.

Nœuds gordiens. C’est probablement parce que le président de la République ne sait pas trancher les nœuds gordiens ni sortir des fondamentaux de la « deuxième gauche » – le sociétal plutôt que le social, l’ouverture du pays aux capitaux et à une immigration extra-européens plutôt que la défense de nos industries et de notre identité, le culte de la dépense publique plutôt que la sagesse budgétaire – qu’il s’est engagé si maladroitement dans une réforme complexe, sans majorité absolue. Manquant de sens et de culture politiques, dépourvu de conseillers et de parlementaires connaissant les Français, le voilà qui se plaint de la qualité des débats parlementaires dont il a produit les conditions de la médiocrité.

Renonce-t-il, qu’il sera comparé à Jacques Chirac et Nicolas Sarkozy qui avaient réussi ce qu’il a raté. Passe-t-il en force à l’aide d’artifices constitutionnels, et le voilà conforté dans son image de président brutal.

A la vérité, cette réforme confiée à un ministre qui s’est renié, arrive, avec la plus mauvaise équipe, au pire moment : l’effondrement de la natalité alors qu’Emmanuel Macron, pour de nombreuses raisons, n’a aucun appétit pour une politique familiale, c’est-à-dire nataliste ; le chômage des seniors qui va s’amplifier par le choc des concurrences internationales généré par la sortie de crise et les futures délocalisations ; la résistance au travail comme la lassitude des travailleurs parce qu’on ne lutte pas contre la fraude sociale ; et l’effondrement de l’Etat, partout.

Conjuguant beaucoup de défauts – même si les Républicains ont su imposer leurs corrections sur les carrières longues –, les injustices, le défaut de pédagogie et l’inefficacité économique, cette réforme des retraites, où toute la classe politique s’est engluée, restera le symbole d’un quinquennat absurde et ne satisfera que ceux qui ne la subiront pas : une minorité étrangère à ceux qui se lèvent tôt pour gagner peu.

Bernard Carayon
ancien député du Tarn, conseiller politique des Républicains, maire de Lavaur, avocat au barreau de Paris

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Bruno Retailleau : « Il ne faut pas creuser les déficits mais parvenir à les combler »

Alors que la réforme des retraites arrive au Sénat la semaine prochaine, le président du groupe LR à la Haute Assemblée annonce au Parisien-Aujourd’hui en France les modifications qu’il compte apporter à un texte qu’il juge par exemple « trop timide » sur les régimes spéciaux.

Acte II de la réforme. Le projet de loi arrive mardi au Sénat, où la droite et le centre sont majoritaires. Auprès du « Parisien » – « Aujourd’hui en France », le patron des sénateurs liste ses « exigences» et détaille comment sa famille compte modifier le texte.

À quelle sauce le Sénat va-t-il manger la réforme des retraites ?

Nous souhaitons la voter, après l’avoir modifiée. Mais nous avons deux exigences. La première, c’est le sens de la réforme. C’est d’abord une réforme budgétaire, qui a pour but d’assurer la pérennité du régime par répartition. Car, si demain il faisait banqueroute, ce serait le « chacun pour soi » et ce sont les Français les plus modestes qui y perdraient le plus. Il ne faut pas creuser les déficits mais parvenir à les combler.
Notre deuxième exigence, c’est le long terme. Cette réforme est nécessaire mais elle n’est pas suffisante. Elle doit s’attaquer à la racine du mal : au déséquilibre démographique et donc à la situation des mères de famille. Ce sont elles qui consolident le régime par répartition en participant au renouvellement des générations, alors même qu’elles ont, du fait de leurs congés maternité, des carrières ralenties par rapport aux hommes. Or le recul de l’âge de départ à 64 ans annule les trimestres de majoration que ces mères ont acquis au titre de leur maternité. C’est une injustice que nous allons réparer.

Que souhaitez-vous faire ?

Nous comptons proposer au gouvernement deux options soit une surcote de 5 % pour les mères de famille qui auraient atteint à la fois une carrière complète et l’âge légal, soit un départ anticipé à 63 ans. L’idée serait de laisser aux femmes le choix entre ces deux options. Le gouvernement n’aura pas l’aval du Sénat sans mesures fortes pour les mères de famille.

Vous assumez de prioriser le sujet des mères sur les carrières longues ?

Nous assumons de vouloir porter une politique nataliste ambitieuse pour la France. L’extrême gauche a raison sur un point : oui, la question démographique est une question idéologique car, pour financer un régime par répartition, c’est soit plus d’enfants, soit plus d’immigrés. La droite fait clairement le choix de l’enfant, qui, dans toutes les sociétés, a toujours été le symbole de l’avenir. D’autant plus que nous ne pouvons pas nous permettre d’avoir encore plus d’immigration.

Sur les carrières longues, allez-vous bien défendre les mêmes mesures que vos collègues LR à l’Assemblée ?

J’ai demandé à la Première ministre de faire le point très précisément sur la situation budgétaire de la réforme. Elle devait initialement rapporter 17,7 milliards d’euros d’économies ; 6 milliards ont été consommés par des mesures d’accompagnement légitimes, et un certain nombre d’engagements ont été pris à l’Assemblée. Nous voulons savoir combien cela coûte. Nous serons solidaires des demandes formulées par Éric Ciotti et Olivier Marleix, mais nous devons aussi préserver les équilibres et soutenir la natalité, qui est l’essence même d’un système par répartition.

Le gouvernement prévoit de mettre progressivement fin à plusieurs régimes spéciaux. Cette mesure vous satisfait-elle en l’état ?

C’est une mesure qui va dans le bon sens, mais qui est trop timide. Pour que les Français acceptent une réforme, il faut qu’elle soit juste. Les régimes spéciaux sont des cas flagrants d’injustice. Nous voulons accélérer la convergence des régimes spéciaux sur le régime général dès 2025, alors que le gouvernement n’a inscrit dans le texte aucune date pour cet alignement. Ensuite, si la réforme s’applique immédiatement aux nouveaux embauchés, la « clause du grand-père » protège ceux qui bénéficient aujourd’hui de ces régimes. Nous souhaiterions qu’ici aussi la convergence soit plus rapide et que l’on n’attende pas quarante-trois ans pour supprimer ces régimes.

Que proposez-vous pour l’emploi des seniors ?

L’emploi des seniors est un sujet central. Leur taux d’emploi est beaucoup plus bas que la moyenne européenne. L’index senior proposé par le gouvernement n’est qu’un outil statistique. Nous voulons proposer des mesures concrètes pour favoriser l’emploi des seniors. Le principal est un contrat de fin de carrière qui serait exonéré de cotisations familiales. Il s’agirait d’un CDI pour les salariés d’au moins 60 ans auxquels l’employeur donnerait une mission jusqu’à leur retraite à taux plein.

Faut-il s’attendre à une ambiance aussi bouillante qu’à l’Assemblée ?

La responsabilité du Sénat, de sa majorité comme de son opposition, est de ne pas céder à cette Guignolisation des débats. Nous le devons par respect des Français : ils méritent d’avoir un débat sérieux sur une réforme qui les impacte tous. Ce qui s’est passé à l’Assemblée nationale est inadmissible et marque la dégradation de la démocratie. L’extrême gauche veut institutionnaliser la violence dans le débat public. C’est inacceptable.

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Brice Hortefeux : « Éric Ciotti a été élu pour unir, définir et ouvrir »

Brice Hortefeux, conseiller politique de notre mouvement, député européen et ancien ministre, revient sur les divisions à LR, la réforme des retraites et le projet de loi sur l’immigration.

Comment accueillez-vous l’éviction d’Aurélien Pradié de la direction LR ? Est-ce une nécessaire clarification de la ligne ?

Éric Ciotti a été élu pour unir, définir et ouvrir. Unir, car nous sommes tous lassés des divisions et des diviseurs. Définir, car nous devons collectivement choisir une ligne, et nous y tenir en surmontant les ego. Et enfin ouvrir le chemin de l’alternance juste, face aux alternances populistes. Cela suppose un effort collectif dans lequel chacun doit prendre sa part, notamment un talent comme Aurélien Pradié. Je comprends donc la décision d’Éric Ciotti comme un appel justifié à la cohérence. Au-delà de cette secousse ponctuelle, nous devons tous bien comprendre que nous avons une seule alternative : disparaître ou renaître. La division, c’est la certitude de disparaître. L’union, c’est une des conditions pour renaître. On ne pourra se reconstruire qu’avec une droite offensive, populaire et sociale : offensive sur les questions régaliennes ; populaire avec le rétablissement de l’autorité de l’État ; sociale en défendant le pouvoir d’achat – aujourd’hui rogné par l’inflation -, les droits de succession avec une forte défiscalisation et une ambitieuse politique familiale assumée.

Mais quelle est la ligne LR ? Faut-il aller vers un contrat de gouvernement avec Emmanuel Macron, comme le prône Nicolas Sarkozy ?

La politique doit être une addition, pas une soustraction. Enrichissons-nous des sensibilités différentes et des parcours divers. Dans les grandes décisions, nous devons savoir être unis. C’est tout le rôle difficile d’Éric Ciotti, de Bruno Retailleau et d’Olivier Marleix que de cimenter notre engagement commun. Quant à Nicolas Sarkozy, il a une place à part. Personne dans nos rangs ne doit oublier qu’il est le dernier à avoir fait gagner nos idées. Pour le reste, Nicolas Sarkozy a exprimé avec franchise, comme toujours, ce qu’il pense juste pour notre pays d’abord et pour notre famille ensuite. Et il me renvoie aux Mémoires d’Hadrien, dans lesquelles Marguerite Yourcenar nous rappelle que « c’est avoir tort que d’avoir raison trop tôt »…

Nicolas Sarkozy avait donc raison ?

Emmanuel Macron est aujourd’hui dans une triple impasse : sociale avec une mobilisation qui dépasse le seul cadre des retraites ; économique et politique avec l’absence de majorité. Sur le fond, le président de la République, au lieu de se contenter de débauchages individuels le plus souvent misérables, aurait pu proposer un accord de gouvernement. En 1978, le premier ministre qui fut choisi était issu d’une famille politique arrivée seulement quatrième dans les urnes. Actuellement, le groupe LR est le quatrième à l’Assemblée… Le président de la République n’a pas souhaité cette initiative. C’est donc aujourd’hui réglé.

Appelez-vous Laurent Wauquiez à être plus présent dans le débat ?

Il a été très clair sur la réforme des retraites en ayant parfaitement conscience que la réforme est indispensable. Il l’a d’ailleurs dit publiquement, même s’il a émis des réserves sur la méthode. Laurent Wauquiez a connu des plaies et des cicatrices. Elles forgent l’expérience, car on ne s’improvise pas président de la République et elles apprennent l’humilité face à l’arrogance aveuglante. Depuis de nombreux mois, il arpente notre pays hors des caméras et des médias, à l’écoute des difficultés et des attentes de nos compatriotes. Le temps se rapproche où, j’en suis convaincu, nous nous rassemblerons autour de lui pour offrir un nouvel espoir. Son silence d’aujourd’hui prépare sa parole de demain.

Est-il le candidat naturel de la droite ?

Oui.

La réforme des retraites arrive au Sénat le 2 mars. Faut-il la voter ? Certains dans vos rangs la trouvent trop dure…

Préserver les pensions et protéger les retraités, c’est l’ADN des Républicains. Ayant gagné, en trente ans, huit années d’espérance de vie pour les hommes, six ans pour les femmes, il n’est pas anormal que, vivant beaucoup plus longtemps, on travaille un peu plus longtemps. Tout a été rappelé à juste titre : 4,14 cotisants en 1960 pour un retraité, 1,6 aujourd’hui, auquel se rajoute le plus faible nombre de naissances depuis 1946. Tout conduit dans les quinze ans qui viennent à une lourde menace. J’entends bien l’hostilité à la mesure d’âge, mais les gouvernements belge, espagnol, polonais, roumain qui ont déjà porté l’âge de départ à 65ans sont-ils tous des incompétents ? Les Allemands, Britanniques, Portugais, Italiens et Danois, qui ont décidé de dépasser les 65 ans pour aller jusqu’à 67 ans sont-ils tous d’horribles antisociaux ? Un enfant né en 2002 a une chance sur deux d’être centenaire. Tous les pays sont contraints de revoir leur dispositif de retraite. À quel titre serions-nous une exception ? La réalité, c’est que nous avons besoin d’une réforme claire, juste, et efficace. Malheureusement, celle proposée initialement le 10 janvier par le gouvernement était confuse et perçue comme injuste. Le cafouillage sur les carrières longues l’a démontré. Grâce aux députés LR, d’importantes avancées sociales ont été obtenues et je suis convaincu que le texte sera adopté au Sénat.

Le projet de loi sur l’immigration sera examiné mi-mars au Sénat. En tant qu’ancien ministre de l’Intérieur, le trouvez-vous à la hauteur des enjeux ?

C’est un petit ajustement alors qu’on aurait besoin d’une grande rénovation ! N’en déplaise à ceux qui se mettent la tête dans le sable, le constat est sans appel. Jamais il n’y a eu autant d’immigrés sur notre territoire – 10,3% de la population en 2022 contre 7% en 2000. Jamais l’État n’a délivré autant de titres de séjour, 320 330 en 2022 contre 192 000 en 2012. Jamais autant de demandeurs d’asile n’ont été enregistrés, 156 103 en 2022 contre 55 000 en 2012. Jamais autant de mineurs isolés n’ont été officiellement recensés, 14 769 en 2022, 5 033 en 2014, soit une augmentation de 300 % en huit ans. Jamais nous n’avons estimé autant de clandestins, entre 700 000 et 1 million, selon les propres chiffres du ministère de l’Intérieur. À ce constat s’ajoute la faiblesse de l’exécution d’OQTF, moins de 6% pour 120 000 décisions et au-delà de la délivrance des laissez-passer consulaires dans les mêmes proportions. Par exemple, pour le premier semestre 2021, 7 731 OQTF visaient des Algériens, mais seulement 22 laissez-passer consulaires ont été délivrés ! À ce stade, le texte propose quelques ajustements utiles dans la lutte contre l’immigration clandestine, mais, alors que l’immigration est aujourd’hui hors de contrôle en France et en Europe, rien n’est prévu sur la régulation des flux. Rien n’est dit non plus pour diminuer le nombre d’entrées sur notre territoire. Rien n’est anticipé sur les conditions d’accès à la nationalité. Rien non plus sur une nécessaire révision de la Constitution, sur la redéfinition de conventions avec les pays d’origine, comme l’Algérie, ou sur une modification indispensable des traités européens.

Gérald Darmanin réfléchit à des titres de séjour pour les métiers en tension. Est-ce une bonne idée ?

Notre pays compte 6 millions de chômeurs et 1,4 million de jeunes sans emploi ni formation. Avons-nous besoin de davantage d’immigration ? La réponse est non. Par expérience, je suis hostile à tout nouveau mécanisme de régularisation automatique qui aboutirait non pas à une diminution mais à une augmentation de l’immigration dans notre pays par un effet bien connu d’appel d’air.

La droite doit-elle s’opposer à ce texte ?

Clairement, ce texte aujourd’hui est insuffisant face à l’ampleur du défi.

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Eric Ciotti : « Nous ne pourrons incarner le redressement du pays si nous ne disons pas la vérité aux Français »

Chère amie, Cher ami,

Alors que nous venons d’achever l’examen de la réforme des retraites à l’Assemblée nationale, je voulais m’adresser directement à vous. C’est en effet à vous et à vous seul que je dois ma légitimité à la tête de notre famille politique, fort de la confiance que vous m’avez témoignée.

Au terme de ce débat, j’ai été contraint de faire des choix douloureux et je vous en dois des explications.

Nous avons assisté à l’Assemblée nationale au lamentable spectacle des extrémistes de la Nupes qui, par leur outrance et leur violence abiment notre démocratie. Madame Rousseau étant allée jusqu’à prétendre que chanter la Marseillaise s’assimilait à une dérive fasciste. Pour paraphraser les mots du Général de Gaulle, la France veut le progrès, pas la pagaille !

Dans ce contexte particulièrement grave pour notre pays, notre famille politique porte une immense responsabilité, celle de défendre l’intérêt supérieur du pays dans le respect de nos valeurs fondatrices et de notre histoire.

Nous sommes un parti de gouvernement. Nous sommes un parti de droite. Nous sommes un parti qui a le courage de mener les réformes nécessaires et de défendre la préservation de ce modèle unique.

Aujourd’hui, notre pays croule sous les dettes et les déficits. Nous sommes accablés d’impôts. La désindustrialisation du pays provoque des ravages. L’immigration de masse a atteint des records et la violence gagne nos rues. C’est dans ce contexte qu’intervient la réforme des retraites.

Ce qui me guide dans ce débat, c’est d’abord de défendre le modèle français de retraites par répartition hérité du général de Gaulle fondé sur la solidarité entre générations. Ce système a été mis à mal par les fautes des gouvernements socialistes.

Aujourd’hui encore, nous devons corriger le passage à 60 ans décidé en 1981 par François Mitterrand. Ce choix idéologique aura coûté entre 1 500 et 2 000 milliards d’euros au pays !

François Hollande et son héritier Emmanuel Macron partagent cette nostalgie de la dépense publique comme remède à tous nos maux.

Lorsque nous avons été au pouvoir, nous avons mis en place des réformes justes pour protéger nos retraités.

Malgré cela, la réalité démographique menace l’équilibre du système. Le nombre de cotisants diminue alors que le nombre de retraités, vivant plus longtemps, augmente. Sans réforme, d’ici 5 à 10 ans, le régime par répartition va s’effondrer et les pensions seront menacées. Je m’y refuse.

Je ne veux pas que les retraités d’aujourd’hui et de demain qui ont travaillé dur toute leur vie soient les grands sacrifiés.

Ce risque existait déjà en 2017, quand Emmanuel Macron a pris le pouvoir. Mais les gouvernements qui se sont succédé ont fait de l’inaction une marque de fabrique. Alors que nos concitoyens font face à de grandes difficultés, le gouvernement actuel, pris à la gorge, choisit de faire une réforme des retraites.

Cette réforme est nécessaire. Avec Olivier Marleix et Bruno Retailleau, dans un esprit de responsabilité, nous nous sommes battus pour la rendre plus juste. Nous avons obtenu les 64 ans pour atténuer la pente trop raide pour atteindre l’âge légal, la revalorisation des petites retraites. Nous obtenons également que ceux qui ont commencé à travailler le plus tôt dans le cadre d’une carrière longue n’aient pas la durée de cotisations la plus importante.

À long terme, nous devrons accompagner le travail des seniors et renouer avec une véritable politique familiale qui relance la natalité et n’oppose pas maternité et liberté de travailler. Je veux aussi remettre le travail au cœur de notre projet pour la France. Le travail doit payer mieux que l’assistanat !

Je connais votre envie de sanctionner Emmanuel Macron mais ne le faisons pas au prix d’approuver Jean-Luc Mélenchon. Quand la droite devient de gauche, elle se fourvoie.

La droite pour moi, c’est le courage. La droite doit porter demain la nécessité de la réforme pour redresser le pays. Nous ne gagnerons pas en renonçant à nos valeurs, celles toujours défendues par le général de Gaulle, Georges Pompidou, Valéry Giscard d’Estaing, Jacques Chirac et Nicolas Sarkozy.

La liberté totale de vote a toujours régné au sein de nos groupes parlementaires mais l’exigence de cohérence du parti nous impose d’adopter une position commune. Position commune que nous avons débattue et adoptée à la quasi-unanimité quelques jours plus tôt durant le Bureau politique.

Dans une situation aussi grave pour notre pays, nous devons jouer collectif. Nous incarnons la seule alternative possible au pouvoir en place. Je veillerai à ce que notre famille politique conserve une ligne d’indépendance, avec une opposition claire au macronisme.

Nous ne pourrons demain, incarner le redressement du pays si nous ne disons pas la vérité aux Français. Notre responsabilité est immense. Avec vous, je veux créer les conditions de la victoire de la droite en 2027.

En vous remerciant pour votre confiance, je vous prie de croire, à l’expression de mes sentiments les plus chaleureux.

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Les paroles de Gérald Darmanin, les actes d’Alexandra Borchio Fontimp

3 219 personnes ont perdu la vie (Métropole et Outre-mer) en 2021 ;
67 067 ont été blessées en Métropole ;
53 540 accidents corporels.

Voici les chiffres qui illustrent la mortalité sur nos routes. L’affaire Pierre Palmade n’a pas été l’élément déclencheur du travail parlementaire entrepris par Monsieur le Sénateur Laurent SOMON, Madame la Sénatrice Alexandra BORCHIO FONTIMP et plusieurs de leurs collègues.

L’élue azuréenne regrette que le Ministre de l’Intérieur ne s’empare du sujet qu’après un drame de la route causé par une célébrité.

Dès le 31 octobre 2022, le Sénat s’était d’ores et déjà saisi de cet enjeu en déposant une proposition de loi visant à améliorer la prévention des violences routières. Alliant mesures pédagogiques, répressives et de responsabilisation, ce texte place cette problématique comme un enjeu majeur auquel le gouvernement devra répondre.

Si la Sénatrice a conscience que le dispositif est perfectible, elle sait que le débat parlementaire fera émerger des pistes complémentaires. Pourtant largement cosignée, le gouvernement n’a pour l’instant pas répondu à leur appel.

Si l’affaire Palmade a obligé le Ministre de l’Intérieur à s’exprimer, il s’agit d’effets d’annonces et non pas de solutions concrètes. L’élue s’interroge : « S’agit-il ici d’un simple changement de sémantique, de véritables mesures ou de nouvelles dispositions pénales ? ».

Elle dénonce la non-application des lois existantes et refuse une énième aggravation des peines, proposant plutôt « d’en améliorer l’effectivité pour que le délinquant routier ou celui qui serait tenté de l’être prenne bien conscience de la gravité de son comportement. ». Elle lutte notamment pour l’interdiction de tout aménagement de peine pour les 6 premiers mois de prison. Ainsi le cas de Noé, jeune antibois de 17 ans, fauché par un individu en excès de vitesse et sous l’emprise d’alcool et de stupéfiants, marque l’illogisme et cristallise l’injustice d’une situation déjà dramatique.

De plus, elle se désole que « notre politique de prévention ne parvienne toujours pas à enrayer le fléau » et déplore que le Ministre de l’Intérieur ne s’en préoccupe pas davantage. Elle rappelle à nouveau que le texte qu’elle porte avec ses collègues vise certes à améliorer l’effectivité des peines mais également à prévoir des mesures indispensables pour accroitre la diffusion de campagnes de sensibilisation.

Ainsi, la Sénatrice souhaite vivement que ce texte soit inscrit à l’ordre du jour pour que de véritables débats puissent être menés.

>> Cliquez ici pour retrouver l’intégralité de cette proposition de loi

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« Nos petites églises s’effondrent sous vos yeux ! »

Dans une lettre ouverte adressée au chef de l’Etat et publiée par le JDD, 131 parlementaires de la droite et du centre appellent à défendre « nos petites églises rurales » qui constituent selon eux « l’âme de la France ».

Monsieur le président de la République,

« Le véritable exil n’est pas d’être arraché de son pays, c’est d’y vivre et de n’y plus rien trouver de ce qui le faisait aimer. » Qui aurait pu croire qu’en 2023 ces mots d’Edgar Quinet résonneraient avec tant de justesse ?

Peu à peu la France change, se transforme et nous tendons à ne plus reconnaître ce qui a fait son charme, sa beauté exceptionnelle, son âme, tout simplement. Oui, Monsieur le Président, nos petites églises rurales sont l’âme de la France. Elles sont pour celui qui parcourt les terres et les mers un point de repère précieux qui révèle la présence d’un village. Souvent autour d’elles, le centre-bourg s’organise, le commerce et la vie de la cité se déploient. Tandis que notre époque est lancée dans une course éperdue contre le temps, nos églises continuent imperturbablement de scander la réalité des heures.

À l’écart des constructions modernes, l’église, qu’elle soit de calcaire, de granit, de briques ou de tuffeau, symbolise un îlot de beauté, une bouffée d’oxygène, rare, si rare à notre époque où dominent le bloc et le béton. Pour les anciens comme pour les plus jeunes, elle constitue la mémoire du village, le souvenir de la guerre et des manifestations heureuses. En un mot, elle est l’écrin de nos plus précieux héritages. Oui, nos églises ont un passé. Mais nous voulons aussi qu’elles aient un avenir. Or cet avenir est menacé. Il l’est par les bulldozers, il l’est aussi faute de moyens, dans un silence assourdissant.

Beaucoup de Français l’ignorent, les chapelles et églises, en tout cas l’essentiel de celles construites avant 1905, ne sont que rarement la propriété des diocèses puisque 90 % d’entre elles appartiennent aux communes. Et ce n’est pas en violation de la loi de séparation des Églises et de l’État, qui nous est chère, mais au contraire en application de son article 9. C’est donc aux villages et villes de France qu’il revient d’entretenir cet immense et magnifique patrimoine, élément d’identité, et même souvent d’identification, de celui qui croit au ciel comme de celui qui n’y croit pas.

Mais nos communes sont asphyxiées, étouffées par la prolifération des normes et des dépenses obligatoires. Malgré leur dévouement, les maires et les associations sont condamnés à être les spectateurs de cet abandon. Ils ont la volonté, mais que peuvent-ils sans moyens ? Retenez ce chiffre terrifiant : d’ici à 2030, en l’absence de plan de sauvetage, entre 2 500 et 5 000 églises pourraient disparaître (mission d’information sénatoriale no 765 sur l’état du patrimoine religieux d’Anne Ventalon et de Pierre Ouzoulias). Et chaque jour, ce sont, en moyenne, deux édifices cultuels qui sont vandalisés.

C’est donc à vous, Monsieur le Président, que nous lançons cet appel. Un appel au sursaut, un appel à l’action, comme vous avez su le faire lorsque Notre-Dame de Paris fut submergée par les flammes. Partout les clochers s’effondrent, parfois par l’action de l’homme, plus souvent sous l’effet du temps, pierre par pierre, jusqu’à ce que la ruine soit nettoyée d’un dernier coup de pelleteuse. À chaque fois qu’une église s’efface, c’est un fragment d’âme de la France qui s’évanouit.

Monsieur le Président, il est temps d’agir pour préserver notre héritage plurimillénaire et lui assurer un avenir car nos églises ne sont pas de simples bâtiments : elles sont un patrimoine partagé et vivant. Alors, ensemble, sauvons les petites églises de nos 36 000 villes et villages, car comme le clamait Winston Churchill, « un peuple qui oublie son passé n’a pas d’avenir. »

A l’initiative de :

Henri Leroy, Valérie Boyer, Edouard Courtial, Emilie Bonnivard, Philippe Gosselin

Cosigné par :

Emmanuelle Anthoine, Philippe Bas, Jérôme Bascher, Thibault Bazin, Valérie Bazin-Malgras, François-Xavier Bellamy, Catherine Belrhiti, Martine Berthet, Etienne Blanc, Jean-Baptiste Blanc, Anne-Laure Blin, Eric Bocquet, Christine Bonfanti-Dossat, François Bonhomme, Bernard Bonne, Gilbert Bouchet, Jean-Marc Boyer, Alexandra Borchio-Fontimp, Yves Bouloux, Xavier Breton, Fabrice Brun, François-Noël Buffet, Alain Cadec, François Calvet, Christian Cambon, Jean-Noël Cardoux, Patrick Chaize, Daniel Chasseing, Marie-Chris-tine Chauvin, Alain Chatillon, Olivier Cigolotti, Eric Ciotti, Dino Cinieri, Jean-Pierre Corbisez, Pierre Cordier, Josiane Corneloup, Laure Darcos, Marc-Philippe Daubresse, Jean-Pierre Decool, Véronique Del Fabro, Stéphane Demilly, Albéric de Montgolfier, Louis-Jean de Nicolaÿ, Christelle D’Intorni, Julien Dive, Francis Dubois, Françoise Dumont, Laurent Duplomb, Sabine Drexel, Agnès Evren, Gilbert Favreau, Nicolas Forissier, Bernard Fournier, Christophe-André Frassa, Laurence Garnier, Jean-Jacques Gaultier, Annie Gene-vard, Frédérique Gerbaud, Sylvie Goy-Chavent, Pascale Gruny, Daniel Guéret, Michelle Gréaume, Victor Habert-Dassault, Ludovic Haye, Michel Herbillon, Christine Herzog, Patrick Hetzel, Jean Hingray, Alain Houpert, Corinne Imbert, Jean-Marie Janssens, Alain Joyandet, Philippe Juvin, Mansour Kamardine, Christian Klinger, Marc Laménie, Daniel Laurent, Jean-Baptiste Lemoyne, Pierre-Antoine Lévi, Gérard Longuet, Vivette Lopez, Véronique Louwagie, Viviane Malet, Didier Mandelli, Alain Marc, Olivier Marleix, Alexandra Martin, Franck Menonville, Marie Mercier, Sébastien Meurant, Brigitte Micouleau, Jean-Marie Mizzon, Jean-Pierre Moga, Laurence Muller-Bronn, Yannick Neuder, Sylviane Noël, Eric Pauget, Cyril Pellevat, Philippe Pemezec, Evelyne Perrot, Christelle Petex-Levet, Stéphane Piednoir, Kristina Pluchet, Rémy Pointerau, Nicolas Ray, Damien Regnard, André Reichardt, Vincent Rolland, Anne Sander, René-Paul Savary, Michel Savin, Vincent Segouin, Nathalie Serre, Bruno Sido, Jean Sol, Laurent Somon, Michèle Tabarot, Philippe Tabarot, Jean-Pierre Taite, Jean-Louis Thiériot, Claudine Thomas, Isabelle Valentin, Antoine Vermorel-Marques, Pierre-Jean Verzelen, Stéphane Viry, Dany Wattebled.

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François-Xavier Bellamy : « C’était un choix nécessaire pour assurer la clarté de la ligne de notre famille politique »

François-Xavier Bellamy, vice-président exécutif de notre mouvement, député européen et président de la délégation française du groupe PPE au Parlement européen, était l’invité de Sud Radio.

Il est revenu sur la décision d’Éric Ciotti de démettre Aurélien Pradié de ses fonctions de Vice-Président exécutif, le conflit en Ukraine, la commission d’enquête spéciale du Parlement européen sur le Covid et la fin de vie.

#Retraites : @ECiotti démet @AurelienPradie de son poste de numéro 2 chez @lesRepublicains

La réaction de @fxbellamy : “C’était un choix nécessaire pour assurer la clarté de la ligne de notre famille politique”

https://t.co/V5T9Zv4F5u pic.twitter.com/FQvL2Ja8mC

— Sud Radio (@SudRadio) February 20, 2023

Macron réaffirme son soutien à l’#Ukraine

@fxbellamy : “J’ai du mal à comprendre sa stratégie, d’avoir besoin de communiquer tout ce qu’il fait. Quand on parle de diplomatie, de guerre, les hommes d’État doivent faire beaucoup, mais parler peu”

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— Sud Radio (@SudRadio) February 20, 2023

@fxbellamy : “Le manque de transparence est très préoccupant. Je suis très frappé de voir que le patron de #Pfizer a refusé de venir répondre aux questions des députés européens de la Commission spéciale sur le #COVID19

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— Sud Radio (@SudRadio) February 20, 2023

Fin de vie : la convention citoyenne favorable à une aide active à mourir

@fxbellamy “J’ai une réticence avec ces conventions citoyennes où des gens sont tirés au sort ! Je ne me sens pas représenté par eux. Le lieu des débats, c’est le Parlement”

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— Sud Radio (@SudRadio) February 20, 2023

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Éric Ciotti démet de ses fonctions de Vice-Président exécutif Monsieur Aurélien Pradié

J’ai démis de ses fonctions de Vice-President exécutif, monsieur Aurélien Pradié.

Ses prises de positions répétées n’étant plus conformes avec les valeurs de cohérence, d’unité et de rassemblement qui doivent guider la droite républicaine.

L’aventure personnelle dans une situation aussi grave pour notre pays ne peut se substituer à l’action collective et à l’esprit de responsabilité.

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Réunion Départementale Lien avec Zoom

Alain-Michel RICHER vous invite à une réunion Zoom planifiée.

Sujet : ZOOM Réunion départementale 17 février à Vannes
Heure : 17 févr. 2023 05:00 PM Paris

Participer à la réunion Zoom
https://us02web.zoom.us/j/84892902330?pwd=d0xqaExJdEpDOXloRzg4dTRUQk92dz09

ID de réunion : 848 9290 2330
Code secret : 561404
Une seule touche sur l’appareil mobile
+17193594580,,84892902330#,,,,561404# États-Unis +12532050468,,84892902330#,,,,561404#


ID de réunion : 848 9290 2330
Code secret : 561404
Trouvez votre numéro local : https://us02web.zoom.us/u/kdISbVFbgB

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Nos sénateurs interrogent le gouvernement

Ce mercredi après-midi, lors de la séance de questions au gouvernement, cinq sénateurs du groupe les Républicains ont interpellé l’exécutif.

Pour commencer, Roger Karoutchi, sénateur des Hauts-de-Seine, a interpellé la ministre de la Culture sur l’indépendance de l’ARCOM.

“Laissez l’ARCOM faire son travail !”
A la suite des propos de la ministre de la culture sur la reconduction ou non des chaînes C8 et Cnews @RKaroutchi s’interroge sur l’influence du gouvernement sur le régulateur de l’audiovisuel. pic.twitter.com/20KvoUyaMp

— Républicains Sénat (@lesRep_Senat) February 15, 2023

Jérôme Bascher, sénateur de l’Oise, a interrogé le ministre délégué auprès de la ministre de l’Europe et des Affaires étrangères chargé du Commerce extérieur, de l’Attractivité et des Français de l’étranger sur le déficit commercial de la France.

La France connait des déficits budgétaires et commerciaux record en Europe : -160 milliards d’euros chacun. Le sénateur @JeromeBascher s’alarme de la situation et interroge le ministre sur ses actions pour changer de direction. pic.twitter.com/fJG2SCJw9f

— Républicains Sénat (@lesRep_Senat) February 15, 2023

Jean-Raymond Hugonet, sénateur de l’Essonne, a questionné le ministre de la Transition écologique et de la Cohésion des territoires sur la restauration des cours d’eau.

.@JRHugonet (@lesRep_Senat) interroge @ChristopheBechu sur les réglementations et les procédures relatives aux travaux de renaturation des chantiers de cours d’eau : “Les élus souhaitent le maintien du système déclaratif. Qu’entendez-vous faire pour que le bon sens l’emporte ?” pic.twitter.com/JeblP3JBGY

— Sénat Direct (@Senat_Direct) February 15, 2023

Stéphane Sautarel, sénateur du Cantal, a interpellé le ministre de l’Éducation nationale et de la Jeunesse sur les fermetures de classes en milieu rural.

.@SautarelS (App. @lesRep_Senat) interroge @PapNdiaye sur les réductions de moyens dans les territoires ruraux : “Pensez-vous améliorer le ratio professeurs/écoles en remettant des professeurs dans les classes rurales, afin de ne pas envoyer un signal mortifère à nos écoles ?” pic.twitter.com/Y28ppA4u5r

— Sénat Direct (@Senat_Direct) February 15, 2023

Pour finir, Fabien Genet, sénateur de Saône-et-Loire, a interrogé le ministre de la Santé et de la Prévention sur les fermetures de maternité.

.@FabienGenet (Ratt. @lesRep_Senat) alerte @FrcsBraun sur les conséquences des fermetures de maternités : “Est-ce là votre seule ambition, face aux pénuries médicales, que de demander aux femmes de suspendre leurs accouchements, et aux malades de suspendre leurs maladies ?” #QAG pic.twitter.com/qGA8zv4Hos

— Sénat Direct (@Senat_Direct) February 15, 2023

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