La femme Républicaine est une femme libre !

A l’occasion de la journée internationale des droits des femmes, Eric Ciotti, président de notre mouvement, accompagné par Annie Genevard, secrétaire générale de notre mouvement et députrée du Doubs, Michèle Tabarot, présidente de la commission d’investiture de notre mouvement et députée des Alpes-Maritimes et Azadeh Kian, sociologue franco-iranienne, est revenu sur les mesures prises par la droite en faveur des femmes.

 

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Eric Ciotti : « La réforme est difficile mais elle est nécessaire »

Eric Ciotti, président de notre mouvement, était l’invité de LCI.

Il est revenu sur la réforme des retraites et les propositions de notre mouvement pour cette réforme.

Ceux qui nous dirigent depuis 11 ans n’ont pas pris les mesures pour protéger les retraités actuels et futurs.

Je refuse que l’on baisse les pensions ou que l’on augmente les cotisations.

Oui la réforme est difficile mais elle est nécessaire. pic.twitter.com/S2qW6LW88d

— Eric Ciotti (@ECiotti) March 7, 2023

La politique c’est du courage. Je souhaite que les Républicains soient cohérents responsables avec ce qu’ils ont toujours dit.

Moi ce qui me guide, c’est l’intérêt supérieur du pays. La réforme est nécessaire pour le pays ! pic.twitter.com/8h5qbQ7CUK

— Eric Ciotti (@ECiotti) March 7, 2023

Les insoumis ont fait de l’Assemblée une ZAD ! Je remercie les sénateurs et députés LR d’avoir fait avancer les choses.

On a permis de réévaluer les petites retraites, sauvé les fonds Agirc-Arrco, obtenu le CDI Seniors. Nous avons pris en main le sujet de la politique familiale. pic.twitter.com/XGehDTioMq

— Eric Ciotti (@ECiotti) March 7, 2023

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Nos députés interrogent le gouvernement

Ce mardi après-midi, lors de la séance de questions au gouvernement à l’Assemblée nationale, trois députés du groupe les Républicains ont interpellés l’exécutif.

Pour commencer, Annie Genevard, députée du Doubs, a interpellé la Première ministre sur les relations diplomatiques avec l’Algérie et le Maroc.

Naufrage diplomatique et migratoire avec l’Algérie et le Maroc

Pour @AnnieGenevard, « cette crise avec deux pays majeurs du Maghreb révèle une fois de plus l’échec de votre politique d’expulsion des étrangers en situation irrégulière ». pic.twitter.com/mPd7l5YbPD

— Députés Les Républicains (@Republicains_An) March 7, 2023

Alexandre Vincendet, député du Rhône, a questionné le ministre de la Transition écologique et de la Cohésion des territoires sur les zones à faibles émissions.

Contre les ZFE ! @AlexVincendet interroge le Gouvernement « Que comptez-vous faire pour mettre fin à la colère qui gronde face à cette écologie punitive qui creuse des inégalités sociales entre les centres urbains et les habitants des quartiers populaires ? » #QAG pic.twitter.com/XAEstDezIg

— Députés Les Républicains (@Republicains_An) March 7, 2023

Pour finir, Nicolas Ray, député de l’Allier, a interrogé le ministre de la Santé et de la Prévention sur la crise de l’hôpital.

Crise de l’hôpital public, particulièrement dans nos territoires ruraux @nicolasray interroge le ministre de la Santé : « comptez-vous enfin assurer un financement stable, suffisant, mais surtout équitable entre les différents hôpitaux de nos territoires ? » pic.twitter.com/MF1Bjf43wR

— Députés Les Républicains (@Republicains_An) March 7, 2023

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Michèle Tabarot : « Le gouvernement est en décalage avec les problèmes qui arrivent »

Michèle Tabarot, présidente de la Commission nationale d’investiture de notre mouvement et députée des Alpes-Maritimes, était l’invitée de Radio J.

Elle est revenue sur l’inflation, les manifestations contre la réforme des retraites et les régimes spéciaux.

.@BrunoLeMaire est bien le seul à penser qu’il n’y a pas de « mars rouge ». La période est terrible pour nos concitoyens entre inflation et hausse du coût de l’énergie. La politique du chèque du Gouvernement n’est pas à la hauteur de la gravité de la situation pic.twitter.com/oe1LHircsc

— Michèle Tabarot (@MTabarot) March 3, 2023

Le porte-parole du Gouvernement s’est totalement trompé dans son message aux Français. D’un autre côté c’est difficile à entendre que ce soit ceux qui ne sont pas concernés par la réforme des retraites, parce qu’ils bénéficient de régimes spéciaux, qui menacent de bloquer le pays pic.twitter.com/rcDRA3a2RY

— Michèle Tabarot (@MTabarot) March 3, 2023

Retraites :
“Ces régimes spéciaux coûtent très cher: en 2023, ça va coûter 2,5 milliards. Voir le pays bloqué par des personnes plutôt gâtées, c’est difficile.”@MTabarot, 1ère vice présidente du groupe LR et députée des Alpes-Maritimes, au micro de @C_Barbier pic.twitter.com/ZZJFwhfsyM

— RADIO J (@RadioJFrance) March 3, 2023

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Eric Ciotti : « Je souhaite voter cette réforme des retraites car elle est nécessaire pour le pays »

Eric Ciotti, président de notre mouvement et député des Alpes-Maritimes, était l’invité de i24 News.

Il est revenu sur la réforme des retraites, le projet de notre famille politique, le projet de loi sur l’immigration et la crise de l’énergie.

Je souhaite voter cette réforme des retraites car elle est nécessaire pour le pays, cohérente et responsable.

Notre objectif est de corriger les lourdes conséquences en termes de déséquilibre de la retraite à 60 ans portée par François Mitterrand. pic.twitter.com/4OrKsjRSt7

— Eric Ciotti (@ECiotti) March 1, 2023

J’ai échangé avec @gerard_larcher, @BrunoRetailleau, @oliviermarleix et le bureau politique des Républicains.

Nous avons collectivement convenu d’une position commune concernant la réforme des retraites.

Le résultat final sera celui de notre famille politique dans la cohérence. pic.twitter.com/DIhFMs8Eff

— Eric Ciotti (@ECiotti) March 1, 2023

Notre famille politique n’a pas vocation à être la béquille de qui que ce soit.

Je mettrai Les Républicains à la première place : un parti de gouvernement qui assume son orientation à droite.

La droite doit sauver la France du déclin qui la menace. pic.twitter.com/J0cuwLQnbY

— Eric Ciotti (@ECiotti) March 1, 2023

Je ne voterai pas le texte sur l’immigration dans ces conditions.

On a franchi 2 records :
– 330 000 titres de séjour délivrés ;
– 156 000 demandes d’asile accordées.

500 000 étrangers sont entrés légalement sur le territoire national cette année ! pic.twitter.com/YGADj44VkA

— Eric Ciotti (@ECiotti) March 1, 2023

Je regrette que la politique soit tombée dans les excès de communication et la vision à court terme.

La politique c’est anticiper. L’absence de décision rend l’Etat impuissant.

Je plaide pour une politique de planification en matière énergétique et de gestion de l’eau. pic.twitter.com/ktjqLgJpXd

— Eric Ciotti (@ECiotti) March 1, 2023

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Gérard Larcher : « Le Sénat ira au bout du débat sur les retraites »

Le président du Sénat fait valoir le respect de l’institution et son mode d’élection pour garantir un débat ordonné, loin du chaos de l’Assemblée nationale.

Avant de relancer le débat au Sénat, comment jugez-vous l’état du parlementarisme dans notre pays ?

Le parlementarisme et la démocratie sont abîmés. Les Français ne s’y retrouvent plus et cela n’a pas commencé à l’Assemblée nationale ces dernières semaines. Ce constat nous conduit à la montée de l’abstention et des extrêmes. Au Parlement, mais cela vaut également pour l’exécutif, nous nous sommes laissé déposséder du pouvoir de faire à force de transférer les responsabilités à des autorités administratives, indépendantes ou dans une certaine mesure à Bruxelles, et je suis un Européen convaincu.

Comment pouvez-vous garantir que nous n’assisterons pas aux mêmes séances chaotiques que celles observées à l’Assemblée ?

Ici, nous n’avons pas La France insoumise ! La tradition sénatoriale nous conduit à un débat sur le fond, au respect des différences et à une certaine conception de la démocratie représentative. Les propos d’Éliane Assassi (PCF) ou de Patrick Kanner (PS) me semblent plutôt s’inscrire dans cette tradition. Ils exprimeront leurs désaccords, mais le feront dans le respect de l’institution. Notre mode d’élection, le suffrage universel indirect, nous détache des pulsions du moment et nous ramène au sens du bicamérisme. Seul l’intérêt du pays compte. Le Sénat doit aux citoyens et aux partenaires sociaux un débat sur l’ensemble du texte.

Comment réagissez-vous aux propos de Jean-Luc Mélenchon, qui a déjà félicité les groupes Nupes du Sénat d’adopter la même stratégie que LFI à l’Assemblée ?

La Nupes n’existe pas au Sénat et je ne suis pas certain que le débat démocratique ici soit de « nature bolivarienne ». La sénatrice Éliane Assassi, présidente du groupe communiste, a dit elle-même, je cite : « Jean-Luc Mélenchon a été sénateur, il devrait se souvenir de notre sens des responsabilités. »

4 718 amendements sont prévus. Avez-vous l’intention de vous appuyer sur l’article 38 du règlement intérieur du Sénat permettant d’écourter les discussions si les débats patinent ?

Je suis un défenseur acharné du droit d’amendement, mais il ne faut pas le dévoyer. S’il devait y avoir une obstruction, on utilisera tout simplement les moyens constitutionnels et ceux de notre règlement. Je ferai le maximum qu’un président d’assemblée peut faire pour aller au bout de ce débat.

« Je souhaite que le Sénat puisse enrichir ce texte avec ce qui lui paraît utile », a dit Emmanuel Macron. Que lui répondez-vous ?

Le Sénat est toujours sur une ligne autonome et indépendante. Nous ne sommes pas la béquille du gouvernement. Ce texte sur les retraites, nous l’avons voté il y a quatre ans au Sénat. Au fond, nos conditions sont les conclusions des deux rapporteurs et de la commission des affaires sociales : la situation des seniors ou les carrières des femmes sont des sujets importants.

Comment qualifiez-vous vos échanges avec Élisabeth Borne ?

Utiles et francs. Le gouvernement a un objectif, la majorité sénatoriale, des exigences. Il faut faire coïncider tout cela. Nous l’avons évoqué chez la première ministre ce mercredi avec Bruno Retailleau et Hervé Marseille. Le débat parlementaire et les votes trancheront. Le texte qui sortira ne sera pas celui du gouvernement mais celui du Sénat.

Pour la droite sénatoriale, l’équilibre budgétaire du système est une boussole, mais que répondez-vous à ceux qui soutiennent, comme Aurélien Pradié au sein des LR, que l’exécutif compte sur cette réforme pour renflouer les caisses de l’État ?

Il y a ceux qui pensent que l’État peut toujours dépenser plus, que les déficits peuvent se creuser inlassablement et que cela n’a aucune conséquence sur les générations futures. Ils ne sont pas responsables, tout comme ceux qui estiment qu’un bon buzz vaut bien quelques écarts. Pour retrouver la confiance, il faut être constant, sérieux et dire la vérité. Il est vrai que demander des efforts n’est jamais populaire, mais il faut être responsable. Même à contre-courant.

Le coût des carrières longues fait débat. Que pensez-vous de la polémique sur l’imprécision des études d’impact ?

Les carrières longues font partie des préoccupations du Sénat. Les études d’impact sont insuffisantes, parfois même inexistantes. Le gouvernement devra faire la clarté dans ce débat, c’est lui qui a les outils pour préciser les curseurs sur la durée de cotisation en fonction de l’entrée dans la vie active. Les avancées obtenues par la droite à l’Assemblée sont intéressantes. Il faut les prendre en compte et les clarifier. L’amendement du gouvernement devra le faire.

Plusieurs sénateurs LR poussent en faveur de la retraite par capitalisation. Quel est votre avis ?

La capitalisation est un sujet important, mais ce n’est pas le sujet d’aujourd’hui.

Quelle sera votre position sur la fin des régimes spéciaux ?

Dans l’amendement sénatorial voté au Sénat depuis quatre ans, il y a une disposition sur ces régimes qui prévoit leur extinction progressive. Le débat sera ouvert lors de la discussion parlementaire.

L’intensité des blocages, annoncés pour le 7 mars, peuvent-ils compromettre la réforme ?

Le droit de grève est constitutionnel. J’entends la rue et la mobilisation, mais je souhaite que cette réforme aille au bout. La pression de l’opinion et les hostilités au projet existent, mais notre rôle est d’éclairer l’avenir. En politique, il faut de la constance et du courage. Je ne vois pas comment le gouvernement pourrait reculer. Pénibilité, assurance-vieillesse, revalorisation des petites pensions, départs anticipés pour les carrières longues, cumul emploi-retraite… Tous ces sujets viendront après le vote sur l’article 7. Il nous faut donc examiner l’ensemble des articles si nous voulons traiter de ces sujets.

Serait-ce une critique voilée de l’exécutif ?

Je constate simplement que l’on est passé d’un projet systémique à un projet paramétrique, ce qui n’est pas une preuve de constance, même si je salue cette évolution. Quant au courage, il se vérifiera à l’épreuve des prochains jours. C’est une vertu que je m’applique sans donner de leçon à personne.

Si ce texte ne pouvait pas aller au bout au Sénat, tout se jouerait en commission mixte paritaire à huis clos. Serait-ce un problème ?

C’est pour cela que je souhaite que nous allions au bout, y compris si le vent souffle. Il faut faire preuve de responsabilité.

Concernant le texte sur l’immigration, le ministre de l’Intérieur semble très ouvert aux propositions de la droite…

Ce texte en première lecture au Sénat fin mars est une responsabilité. L’immigration est hors de contrôle dans notre pays, nos capacités d’intégration et d’assimilation sont totalement dépassées… Nous savons qu’il faut une loi claire, forte et pragmatique qui pose les principes d’une véritable politique migratoire de contrôle des flux. Ce sera l’objectif de la majorité sénatoriale.

Quels sont les sujets majeurs ?

Il y en a quatre. Le premier est l’immigration du travail. Le gouvernement plaide pour des assouplissements sur les métiers en tension mais nous pensons que c’est au Parlement de fixer des quotas. Le deuxième sujet important est celui du regroupement familial. Il sera largement débattu, des marges de manœuvre existent et nous devons agir. Il est également crucial de repenser la question de l’asile, qui doit être demandé aux frontières de l’Europe. Enfin, il faudra se pencher sur le détournement de notre modèle d’accueil, de santé et de prestations sociales. Certains chiffres sont alarmants. L’absence de politique migratoire nous oblige à déplorer ces drames que l’on observe presque chaque jour dans la Méditerranée et la Manche.

Emmanuel Macron veut avancer sur la réforme des institutions. Quelles sont vos préconisations ?

Comme je lui ai dit, une telle réforme devra être utile au pays, utile à la démocratie et réalisable. Gardons nous de brasser des idées éternellement et fixons des objectifs concrets. Durée du mandat présidentiel, dose de proportionnelle, retour sur le non-cumul des mandats, décentralisation, débureaucratisation… J’ai rappelé au président de la République qu’il n’était pas facile d’atteindre les trois cinquièmes de suffrages nécessaires pour permettre une révision constitutionnelle. Emmanuel Macron devra préciser sa méthode. Au Sénat, nous avons mis en place un groupe de travail représentant chacun des groupes dès le 8 novembre. Nous ferons des propositions claires le moment venu.

Que pensez-vous des conseils adressés par Nicolas Sarkozy au chef de l’État ?

Il est totalement logique que le président de la République reçoive Nicolas Sarkozy, François Hollande et des ex-présidents du Parlement. Pour le reste…

On connaît votre proximité avec le monde agricole, dont le salon se tient à Paris jusqu’à dimanche. Quelle est l’urgence ?

L’agriculture est en pleine transition, mais elle doit pouvoir contribuer à la souveraineté alimentaire de l’Europe. Cette question agricole nous renvoie d’ailleurs au sujet politique majeur de la souveraineté, une question aussi importante que celles de notre défense et de notre politique étrangère.

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Nos sénateurs interrogent le gouvernement

Ce mercredi après-midi, lors de la séance de questions au gouvernement, six sénateurs du groupe les Républicains ont interpellé l’exécutif.

Pour commencer, Max Brisson, sénateur des Pyrénées-Atlantiques, a interpellé le ministre de l’Éducation nationale et de la Jeunesse sur la fermeture de classes en milieu rural.

Education :
“L’entrée dans la modernité c’est pour quand ?” interroge @max_brisson.
Le sénateur des Pyrénées-Atlantiques dénonce la rigidité du système de la carte scolaire et le manque de vision à long terme du ministre de l’Education nationale. pic.twitter.com/pAVGUb56ag

— Républicains Sénat (@lesRep_Senat) March 1, 2023

Laurent Somon, sénateur de la Somme, a interrogé le ministre délégué auprès de la Première ministre, chargé du Renouveau démocratique, porte-parole du Gouvernement sur le déclin de l’agriculture française.

.@Laurent_Somon : « La ferme France s’expose cette semaine pour proclamer la qualité de ses productions et l’engagement des hommes et des femmes pour des produits respectueux des exigences sanitaires et durables. » #QAG #SIA2023 pic.twitter.com/C1H307hSyt

— les Républicains (@lesRepublicains) March 1, 2023

Jean Sol, sénateur des Pyrénées-Orientales, a questionné la ministre déléguée auprès du ministre de l’Intérieur et du ministre de la Transition écologique, chargée des collectivités territoriales et auprès du ministre de la Transition écologique, chargée de la ruralité sur la sécheresse.

.@JeanSOL_ : « Avec le réchauffement climatique, la question de l’eau est de plus en plus préoccupante. Il faut modifier les modalités d’appréciation du débit réservé pour éviter de décimer les agriculteurs en les empêchant d’accéder à l’eau. » #QAG pic.twitter.com/27ka1bEvWW

— les Républicains (@lesRepublicains) March 1, 2023

Catherine Belrhiti, sénatrice de Moselle, a interpellé la ministre de la Transition énergétique sur le prix du gaz.

.@CatBELRHITI : « La crise actuelle a mis en évidence la dépendance énergétique de la France. Il est indispensable de consolider nos filières de production énergétique : le gisement de gaz lorrain représente environ 5 années de consommation de gaz pour la France. » #QAG pic.twitter.com/wXzGsYoKw1

— les Républicains (@lesRepublicains) March 1, 2023

Jean-Claude Anglars, sénateur de l’Aveyron, a interrogé la ministre de la Transition énergétique sur l’hydroélectricité.

.@JCAnglars : « Alors que la France dispose du parc hydroélectrique le plus important de l’Union européenne, sa situation est aujourd’hui fragilisée par des années d’indécision. » #QAG pic.twitter.com/ITzGkM1rSQ

— les Républicains (@lesRepublicains) March 1, 2023

Pour finir, Cyril Pellevat, sénateur de Haute-Savoie, a questionné la ministre déléguée auprès du ministre de l’Économie, des Finances et de la Souveraineté industrielle et numérique, chargée des Petites et moyennes entreprises, du Commerce, de l’Artisanat et du Tourisme sur le coût de l’électricité pour les stations de ski.

.@CyrilPellevat : « Nous sommes vivement inquiets pour les stations de ski qui se trouvent aujourd’hui dans une situation économique intenable. » #QAG pic.twitter.com/tu2xuZ0mE6

— les Républicains (@lesRepublicains) March 1, 2023

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Nos députés interrogent le gouvernement

Ce mardi après-midi, lors de la séance de questions au gouvernement à l’Assemblée nationale, trois députés du groupe les Républicains ont interpellés l’exécutif.

Pour commencer, Jean-Luc Bourgeaux, député d’Ille-et-Vilaine, a interpellé le ministre de l’Agriculture et de la Souveraineté alimentaire sur le déclin de l’agriculture française.

Jean-Luc Bourgeaux : « Les agriculteurs n’en peuvent plus des discours et des promesses, c’est du concret qu’ils veulent aujourd’hui ! » #QAG #SIA2023 pic.twitter.com/3TFmyLboSp

— les Républicains (@lesRepublicains) February 28, 2023

Maxime Minot, député de l’Oise, a questionné la Première ministre sur les violences dans l’enseignement.

.@MaximeMinot : « L’école est le cœur battant de notre culture républicaine et doit redevenir un sanctuaire à l’abri des tumultes du monde. » #QAG pic.twitter.com/MmoJt9PD0T

— les Républicains (@lesRepublicains) February 28, 2023

Pour finir, Christelle D’Intorni, députée des Alpes-Maritimes, a interrogé le ministre de la Justice sur les droits de la défense.

.@C_Dintorni : « Le chemin qui se dessine est celui de la mise à mort programmée des droits de la défense.» #QAG pic.twitter.com/lifUTVdi54

— les Républicains (@lesRepublicains) February 28, 2023

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Au Salon de l’agriculture, Ciotti fustige les « idéologues écologistes et extrémistes »

Accompagné de son vice-président et d’une délégation d’élus LR, le patron de la droite a également critiqué « le double discours » macroniste sur la question agricole.

« Nous ne voulons pas vivre une “désagriculturisation” comme l’industrie a subi la désindustrialisation ». Alors qu’un céréalier résume les inquiétudes de sa filière, lundi, sur un stand du Salon de l’agriculture, une délégation des Républicains conduite par le président du parti Éric Ciotti est invitée à déjeuner. Le numéro deux, François-Xavier Bellamy, est également présent avec certains parlementaires nationaux et européens, tels Annie Genevard, Valérie Bazin-Malgras, Julien Dive et Anne Sander.

Déjeuner de travail avec les céréaliers de notre pays et nos parlementaires : @AnnieGenevard, @fxbellamy, @AnneSanderElue, @JulienDive, @VBazinMalgras et Laurent Duplomb.

Nous avons évoqué l’urgence d’une stratégie de souveraineté sur l’alimentation. pic.twitter.com/vOvfdUw5Y0

— Eric Ciotti (@ECiotti) February 27, 2023

Comme tous les agriculteurs, les céréaliers sont heurtés de plein fouet par la guerre en Ukraine. Ils se disent « chahutés » autant sur les marchés que sur leurs moyens de production – les engrais et les produits phytosanitaires par exemple. Ils dénoncent également une « accélération » des normes et des interdictions. « Tout cela va trop vite et nous n’avons pas le temps de trouver des solutions alternatives », se plaignent-ils, en affirmant que la compétitivité est une condition essentielle à la « souveraineté alimentaire ». Or, selon eux, le conflit russo-ukrainien se traduit aujourd’hui par une hausse « phénoménale » des coûts de production, de l’ordre de 50 à 75 euros par tonne (+40%).
« Cela ne s’est pas vu en 2022 grâce à une hausse des cours, mais si les cours rechutent, nous resterons dans des niveaux bien supérieurs à ceux que nous avions avant cette guerre. On peut craindre un effet ciseaux entre les prix internationaux et les coûts de production européens », alerte Philippe Heusele (Intercéréales).

Menace politique

Face à ces menaces, le patron de la droite est venu lundi avec un double message consistant à dénoncer l’attitude du pouvoir exécutif et à chercher la confiance d’une profession fragilisée. « Tous les professionnels que je rencontre depuis ce matin soulignent l’écart entre les discours du président de la République et les pratiques des ministres qu’il a nommés comme des personnalités qu’il a fait élire au Parlement européen », accuse Éric Ciotti.
Partageant ce constat – deux jours après la visite mouvementée du chef de l’État sur place -, l’eurodéputé François-Xavier Bellamy rebondit. « Emmanuel Macron vient au Salon en disant qu’il ne faut pas signer le Mercosur (marché commun de l’Amérique du Sud) mais la semaine dernière, les députés marconistes ont voté avec beaucoup d’enthousiasme une résolution qui y était favorable. Alors qui croire ? Ceux qui défendent le protectionnisme ou ceux qui le sapent de l’intérieur ? », interroge le vice-président de LR.
Pour Éric Ciotti, l’agriculture française, qui n’a cessé de reculer depuis les années 1960, est désormais « menacée ». « La première menace est politique car nous vivons sous la pression idéologique d’un agri-bashing faisant de l’agriculteur l’ennemi des idéologues écologistes et extrémistes », dénonce le député des Alpes-Maritimes. Il rejoint ainsi les craintes des céréaliers face à une répétition du scénario de la désindustrialisation. « J’ai l’impression que l’on vit la même chose en matière agricole par lâcheté et absence de courage », accuse-t-il encore, en invitant chacun à tirer les leçons des dernières crises, à la fois sanitaire et diplomatique.
Dans les couloirs du Salon, un agriculteur livre son sentiment sur la droite : « Ceux qui ont les idées les plus claires sont ceux qui ont l’habitude de ces thèmes. Les Républicains sont assez droits dans leurs bottes et certains élus Renaissance partagent les mêmes constats mais le parti présidentiel offre un éventail trop large de positions ». L’eurodéputé François-Xavier Bellamy abonde : « Ces sujets de préoccupations constituent notre ADN. Nous n’avons jamais eu d’ambiguïtés ». L’élu est venu ce lundi pour les « écouter » et leur dire que leur avenir était aussi celui de la « démocratie ».

« Nous croyons au progrès »

Des enjeux économiques et géopolitiques rappelés avec force par le président des Républicains. « Je m’élève contre les théories de la décroissance en portant un message de confiance aux agriculteurs car nous croyons au progrès, à la recherche et à la science pour relever les défis auxquels nous sommes confrontés. Une dérive de la technocratie européenne a beaucoup porté ces théories de la décroissance mais nous croyons qu’il est urgent de produire plus et mieux ! Les agriculteurs sont les piliers d’une société équilibrée », insiste Éric Ciotti, avant de faire un petit tour du côté de la reine Ovalie, au « Pavillon 1 ». La star du salon, âgée de 5 ans, est venue spécialement du Puy-de-Dôme pour défendre les couleurs des vaches Salers.

Avec le magnifique taureau Pacifique. Merci à nos éleveurs ! pic.twitter.com/z8uZl1o3sj

— Eric Ciotti (@ECiotti) February 27, 2023

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