Olivier Marleix : « LR ne s’associera à aucune motion de censure »

Olivier Marleix, président du groupe les Républicains à l’Assemblée nationale et député d’Eure-et-Loir, était l’invité de RTL.

Il est revenu sur l’utilisation de l’article 49.3 pour valider la réforme des retraites.

#MotionDeCensure : “Nous n’en déposerons pas et nous n’en voterons pas”@oliviermarleix, président du groupe LR à l’Assemblée nationale, invité d’Yves Calvi dans #RTLMatin pic.twitter.com/cyMExAvOhg

— RTL France (@RTLFrance) March 17, 2023

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Eric Ciotti : « Ce 49.3 est l’aboutissement de plusieurs années d’erreurs et d‘inaction »

Le recours au 49.3 est le signe d’un échec du gouvernement. Je veux pointer l’erreur sur la méthode depuis de longs mois et l’inaction depuis des années.

Cette latence aura accentué la colère des Français qui a guidé beaucoup de députés.

Une majorité de députés Les Républicains était prête à voter cette réforme. Cela a toujours été mon cas dans un esprit de cohérence et de responsabilité.

Cette réforme était indispensable. Il s’agissait de sauvegarder les pensions des retraités d’aujourd’hui et de demain.

Nous avons essayé d’apporter des modifications importantes au texte pour rendre la réforme plus juste : revalorisation des petites retraites, meilleure prise en compte des carrières longues et de la pénibilité, protection des retraites complémentaires AGIRC et ARCO, obtention du CDI seniors et combat pour les mères de familles et leurs parcours souvent discontinus.

Ces points positifs sont désormais définitivement dans le texte et c’est la contribution des Républicains aussi bien au Sénat qu’à l’Assemblée nationale.

Les élus insoumis veulent la chienlit. C’est avec un profond malaise que j’ai vécu la transformation de l’Assemblée nationale en ZAD. Notre responsabilité est désormais de ne pas ajouter le chaos au chaos. C’est pour cela que les Républicains ne s’associeront et ne voteront aucune motion de censure.

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Nos sénateurs interrogent le gouvernement

Ce mercredi après-midi, lors de la séance de questions au gouvernement, six sénateurs du groupe les Républicains ont interpellé l’exécutif.

Pour commencer, Jean-François Husson, sénateur de Meurthe-et-Moselle, a interpellé le ministre de l’Économie, des Finances et de la Souveraineté industrielle et numérique sur la dette publique.

“Comment avez-vous pu laisser dériver ainsi nos comptes publics ?” interroge le sénateur @jf_husson.
Avec le niveau de dépenses publiques le plus élevée en Europe, jamais la France n’a connu un tel niveau d’endettement. pic.twitter.com/Quxp3Yk9ZL

— Républicains Sénat (@lesRep_Senat) March 15, 2023

Marc-Philippe Daubresse, sénateur du Nord, a interrogé le ministre de la Transition écologique et de la Cohésion des territoires sur la pénurie de logement.

“Il est grand temps que le gouvernement se réveille.”
La construction de logements neufs est à son plus bas niveau depuis 1951 et fait peser le risque de nombreuses faillites et d’un manque de logements catastrophique prévient @DAUBRESSE_MP. pic.twitter.com/DBJ0McYg1V

— Républicains Sénat (@lesRep_Senat) March 15, 2023

Catherine Dumas, sénatrice de Paris, a questionné le ministre de l’Intérieur et des Outre-mer sur la grève des éboueurs à Paris.

Le ramassage des poubelles n’a plus été effectué à Paris depuis une semaine.
La sénatrice @catherine_dumas s’inquiète de l’inaction de la mairie de Paris et des conséquences sanitaires de cette situation ainsi que l’image désastreuse envoyée aux observateurs étrangers. pic.twitter.com/5b78V6tNMU

— Républicains Sénat (@lesRep_Senat) March 15, 2023

Frédérique Puissat, sénatrice de l’Isère, a interpellé le ministre de la Santé et de la Prévention sur les moyens sanitaires prévus pour les Jeux Olympiques de 2024.

“Qu’avez-vous prévu pour assurer le bon fonctionnement des hôpitaux parisiens lors des JO 2024 ?”
A 500 jours de l’ouverture des JO de Paris @frederiquep04 interroge le ministre de la Santé sur les moyens sanitaires prévus pour faire face aux dix millions de visiteurs attendus. pic.twitter.com/gl0J0gEz8J

— Républicains Sénat (@lesRep_Senat) March 15, 2023

Bruno Sido, sénateur de Haute-Marne, a interrogé le ministre de la Transition écologique et de la Cohésion des territoires sur la fusion de communes.

Bruno Sido alerte le gouvernement sur les conclusions de la Cour des comptes préconisant de réduire le nombre de communes et rappelle l’attachement des Français à leurs villes et villages.
Le gouvernement ne doit pas faire payer son laxisme budgétaire aux petites communes. pic.twitter.com/vQjVKLajLI

— Républicains Sénat (@lesRep_Senat) March 15, 2023

Pour finir, Stéphane Piednoir, sénateur de Maine-et-Loire, a questionné la ministre de la Transition énergétique sur le prix de l’électricité.

“EDF doit faire face à une dette colossale de 64 milliards d’euros et à un mur d’investissement dans les années à venir” rappelle @StephPiednoir
et s’étonne que le gouvernement n’ai toujours pas relevé le prix du MWh à 49,5€ comme cela a été voté par le Parlement. pic.twitter.com/zPlvvwU0FB

— Républicains Sénat (@lesRep_Senat) March 15, 2023

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Bruno Retailleau : « Nous défendons depuis plusieurs années cette réforme, comment expliquer aux Français que nous ne la votons pas ? »

Bruno Retailleau, président du groupe les Républicains au Sénat et sénateur de Vendée, était l’invité de France Inter.

Il est revenu sur la réforme des retraites.

Souvenons nous que la politique c’est assumer une ligne claire et la suivre. Nous défendons depuis plusieurs années cette réforme, comment expliquer aux français que nous ne la votons pas ? #ReformeDesRetraites pic.twitter.com/NHsMo7qYvI

— Bruno Retailleau (@BrunoRetailleau) March 15, 2023

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Nos députés interrogent le gouvernement

Ce mardi après-midi, lors de la séance de questions au gouvernement à l’Assemblée nationale, trois députés du groupe les Républicains ont interpellés l’exécutif.

Pour commencer, Jean-Jacques Gaultier, député des Vosges, a interpellé le ministre de la Santé et de la Prévention sur la crise de l’hôpital public.

Situation alarmante de l’hôpital public

L’entrée en vigueur de la loi Rist dans quelques jours aura des conséquences terribles sur l’organisation de l’offre de soins. @JJ_Gaultier interroge le Gouvernement : prendrez-vous la responsabilité d’acter une telle décision? pic.twitter.com/ljWJz0VlH3

— Députés Les Républicains (@Republicains_An) March 14, 2023

Marie-Christine Dalloz, députée du Jura, a questionné le ministre de l’Économie, des Finances et de la Souveraineté industrielle et numérique sur le déficit public.

Le rapport public de la Cour des comptes pour 2023 est accablant.

Marie-Christine Dalloz interroge Bruno Le Maire : qu’arrivera-t-il lorsque nous nous retrouverons, aux côtés de la Grèce ou de l’Italie, dans le trio de tête des pays les plus endettés de la zone euro? pic.twitter.com/pv9WnSJe8a

— Députés Les Républicains (@Republicains_An) March 14, 2023

Pour finir, Philippe Juvin, député des Hauts-de-Seine, a interrogé le ministre de l’Économie, des Finances et de la Souveraineté industrielle et numérique sur la faillite de la Silicon Valley Bank.

Faillite de la Silicon Valley Bank

Pour @philippejuvin « Cette faillite, ce n’est pas un accident. C’est la crise d’un système dans lequel nous avons tous vécu, celui de l’argent soi-disant gratuit ». pic.twitter.com/BBNIacDgnr

— Députés Les Républicains (@Republicains_An) March 14, 2023

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Othman Nasrou : « Quand on est de droite, on ne peut pas voter contre cette réforme »

Le premier secrétaire général délégué des Républicains « appelle tous les députés LR à choisir la cohérence, le courage et la responsabilité ».

Quels enseignements tirez-vous de l’adoption au Sénat, où les LR sont majoritaires, de la réforme des retraites ?

Il faut rendre hommage au courage des sénateurs de droite qui ont tenu bon face à l’obstruction et à la démagogie de la gauche, sans jamais céder à la facilité. Les sénateurs LR, sous la direction de Gérard Larcher et de Bruno Retailleau, ont apporté des modifications utiles à la réforme. Le texte qui a été voté est donc devenu le texte de la droite. C’est notre réforme. La surcote pour les mères de famille a montré notre attachement à la politique familiale. Nous avons fait en sorte de mieux lutter contre la fraude, tout comme nous avons mis en place, contre l’avis du gouvernement, un « CDI Seniors », bien plus efficace et plus incitatif que l’usine à gaz de l’« index seniors »… Le seul regret que nous pouvons avoir, c’est de ne pas aller plus vite vers la fin des régimes spéciaux. La version du texte qui sera adoptée par la CMP (commission mixte paritaire) doit être la plus proche possible de celle qui a été approuvée par les sénateurs. Les aménagements ne peuvent être que mineurs et doivent conserver l’équilibre budgétaire de la réforme.

« Ce texte est devenu celui de la droite », dites-vous. C’est un message aux députés LR, très divisés sur le vote de cette réforme ?

Quand on est de droite, on ne peut pas voter contre cette réforme. Ce texte comprend désormais beaucoup de ce que nous avons toujours défendu. On y retrouve nos convictions et nos propositions. Il va dans le sens de l’intérêt du pays. J’appelle donc tous les députés LR à choisir la cohérence, le courage et la responsabilité.

Comment expliquez-vous alors qu’autant de députés LR soient contre ?

Je pense qu’il y a eu une aventure individuelle qui a brouillé le message, jeté le doute sur le contenu de cette réforme et renié ce que nous avions toujours défendu jusqu’alors. J’ai été très surpris d’entendre des députés LR expliquer que l’équilibre financier de cette réforme n’était pas important. Certaines améliorations au profit des carrières longues étaient probablement nécessaires, mais cela ne peut pas se faire au détriment de l’ensemble de l’équilibre financier du régime des retraites. A quoi bon faire une réforme si elle ne dégage aucune marge de manœuvre pour combler les déficits, alors que c’est sa raison d’être ? Nier cette nécessité, c’est tomber dans la même démagogie que la Nupes ou le RN, celle de l’argent magique qu’il suffit de trouver ailleurs. L’argent des pensions de nos retraités ne pousse pas sur les arbres. Je pense que la grande majorité des députés LR est au contraire sur une ligne de responsabilité et de réalisme.

Vous visez explicitement Aurélien Pradié. Y a-t-il un problème Pradié au sein des Républicains ?

Il a été réglé par la décision d’Eric Ciotti de le sortir de l’équipe dirigeante des Républicains. J’aurais été très surpris de voir la semaine dernière le numéro 2 des Républicains aux côtés d’un dirigeant syndical, en osmose, en pleine manifestation contre la réforme des retraites. Le débat public est déjà suffisamment soumis au diktat de la gauche pour que la droite n’y succombe pas à son tour. Je ne crois pas à l’avenir d’une droite CGT. Je la combattrai.

Est-ce que cette séquence n’aura pas brouillé un peu plus la ligne économique de LR ?

Incontestablement, au terme de cette séquence, nous aurons besoin d’une clarification. Au sein des Républicains, il existe une ligne majoritaire : c’est celle de la lutte contre tous les déficits et qui assume pour cela des réformes structurelles ambitieuses. Et cela, pour une raison simple : le déficit, c’est toujours l’appauvrissement du pays. Cette ligne n’a pas été suffisamment entendue ces derniers mois, à cause des messages contraires qui ont été envoyés par certains. Eric Ciotti a raison de vouloir organiser des « états généraux » pour faire cette clarification.

Afin que les choses soient plus claires et stabilisées, Les Républicains ne doivent-ils pas se poser de nouveau la question d’un accord de gouvernement avec l’exécutif ?

Cette question a été clairement tranchée par nos élections internes. Notre projet est connu. Il est sur la table. C’est notamment celui qui avait été défendu lors des deux dernières élections présidentielles, courageusement, par François Fillon et Valérie Pécresse. Si le gouvernement choisit de reprendre des réformes qui y figurent, nous les voterons en responsabilité. C’est particulièrement le cas quand nous avons la capacité de réécrire les textes du gouvernement. Si nous pouvons œuvrer dans l’intérêt du pays sans nous renier, pourquoi nous en priver ? Il n’y a pas d’accord à avoir avec le gouvernement, il nous suffit de rester en accord avec nos convictions.

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Bruno Retailleau : « Cette réforme est celle du Sénat, pour protéger notre régime de retraite »

Bruno Retailleau, président du groupe les Républicains au Sénat et sénateur de Vendée, était l’invité de CNews.

Il est revenu sur le vote de la réforme des retraites au Sénat, le projet de notre mouvement et le projet de loi sur l’immigration.

Ma boussole ce n’est pas Emmanuel Macron, c’est l’intérêt national. Cette réforme est celle du Sénat, pour protéger notre régime de retraite.#LeGrandRDV
pic.twitter.com/VjbZB2bErB

— Bruno Retailleau (@BrunoRetailleau) March 12, 2023

Se moquer des chiffres et se moquer des déficits, c’est se moquer des Français. Car derrière les chiffres il y a la réalité du travail de nos compatriotes.
#LeGrandRDV
pic.twitter.com/XkRScHbeee

— Bruno Retailleau (@BrunoRetailleau) March 12, 2023

Pour sauver la France du déclassement, la droite doit se refonder et retrouver un socle idéologique claire. La politique c’est avant tout des idées au service de l’intérêt national. #LeGrandRDV
pic.twitter.com/exe07ZhKcy

— Bruno Retailleau (@BrunoRetailleau) March 12, 2023

Sur l’immigration, nous ne transigerons pas et nous ne ferons pas du “en même temps”. Mon groupe ne votera pas un texte où il y aura de nouveaux appels d’air. Nous défendrons au Sénat la fermeté migratoire. #LeGrandRDV
pic.twitter.com/erBwn0ShA0

— Bruno Retailleau (@BrunoRetailleau) March 12, 2023

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Éric Ciotti : « Gardons le cap du courage »

Le président des Républicains affirme qu’il votera pour la réforme des retraites. Et assure que son parti ne sera pas la « béquille de la Macronie ».

Je voterai la réforme des retraites parce que je suis gaulliste. Et le gaullisme, contre vents et marées, c’est le soin d’une seule exigence : l’intérêt supérieur de la nation. Aujourd’hui, celui-ci nous commande de voter cette réforme.

Nous sommes tous attachés à notre système, fondé sur la solidarité entre générations. Héritage de la Libération, sa préservation est d’ailleurs l’œuvre inlassable de la droite : de la réforme Balladur à la réforme Sarkozy en passant par les réformes Fillon, nous avons toujours mené le combat de sa pérennité. Sauf à nous renier, nous continuerons à le mener.

Pour sa part, la gauche ne nous a rien légué d’autre que le déséquilibre coûteux de la retraite à 60 ans en 1983 : une décision dénuée de vision, à contresens de toute perspective économique ou démographique. N’oublions pas que ce serait se fourvoyer que de penser que la droite doit être de gauche pour exister.

Face à la raréfaction des naissances et au vieillissement de la population, alors que le ratio cotisants-retraités est passé de 4 à 1,7 en cinquante ans, nous devons affronter un déficit périlleux et nous avons le devoir d’agir. Et qu’importe les intérêts partisans face à ceux du pays : nous ne serons ni la béquille de la Macronie ni la béquille des Insoumis.

Car notre fibre sociale n’a rien de commun avec la démagogie dépensière de l’extrême gauche et car nous partageons la colère des Français vis-à-vis d’un gouvernement qui ne cesse de nourrir leur désarroi.

Alors que toute réforme des retraites est difficile, Emmanuel Macron, par le désordre de ses politiques et à force de renoncements en a fait une poudrière, imposant dans le pire des contextes une réforme dont il aurait dû avoir le courage bien plus tôt et avec bien d’autres méthodes. Ce faisant, il a encore accru la méfiance entre nos concitoyens et la classe politique.

Je veux dire aux Français que nous comprenons leur colère et que nous sommes déterminés à fermer cette parenthèse qui a tant abîmé la France. Mais aussi que notre pays ne peut pas perdre davantage de temps. Nous devons être au rendez-vous de la situation et de nos responsabilités pour garantir l’équilibre de notre système par répartition sans appauvrir nos retraités ou diminuer le salaire des actifs.

C’est pourquoi j’ai voulu que nous soyons une opposition utile aux Français. Et nous l’avons été en adaptant les mesures proposées au contexte difficile que vivent nos compatriotes. Avec Olivier Marleix, Bruno Retailleau et le président Larcher, nous avons obtenu une réforme moins brutale.

Nous avons été utiles en demandant la revalorisation des petites retraites, indispensables quand trop de nos retraités vivent dans la précarité. Nous l’avons également été en défendant une meilleure prise en compte des carrières longues et de la pénibilité, et en protégeant les retraites complémentaires Agirc et Arrco d’un hold-up inacceptable.

Mais le débat dépasse celui des seules retraites : avec le CDI senior, nous avons rappelé l’importance de disposer d’outils efficaces en faveur de l’emploi des personnes en fin de carrière et, avec notre combat pour les mères de famille et leurs parcours souvent discontinus, nous avons promu l’adoption d’une politique familiale capable de répondre au défi démographique.

Je suis fier de ce que nous avons accompli. En toute transparence, j’avais indiqué que je souhaitais pouvoir voter la réforme et nous avons agi en ce sens.

Bien d’autres chantiers restent en ouvrage notamment pour réhabiliter la valeur travail mais je la voterai car elle est nécessaire, car elle garantit nos pensions comme nos salaires et car elle a été améliorée par la discussion parlementaire. Je la voterai en conscience, fidèle à mes principes, n’étant le supplétif de personne et n’ayant d’autre boussole que l’intérêt des Français.

Dans ses Mémoires d’espoir, le général de Gaulle écrit « qu’il n’y a pas de relâche à la houle des difficultés ». Face aux crises qui nous assaillent, ne faisons pas relâche dans l’irresponsabilité. Gardons le cap du courage et de la cohérence.

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Olivier Marleix : « Le manque de dialogue sur la réforme des retraites est assez stupéfiant »

Olivier Marleix, président du groupe les Républicains à l’Assemblée nationale et député d’Eure-et-Loir, était l’invité de RFI.

Il est revenu sur la réforme des retraites.

.@oliviermarleix député, président @lesRepublicains l’@AssembleeNat «On a voté un déficit budgétaire de 158 milliards et là, on nous explique, qu’une perspective de déficit de 12 milliards dans 3 ans, c’est un problème.» #ReformedesRetraites
@FredRiviereRFI #RFImatin pic.twitter.com/UCFrA4DJhy

— RFI (@RFI) March 9, 2023

.@oliviermarleix député et président @lesRepublicains à l’@AssembleeNat «C’est un effondrement du débat politique… J’ai croisé son regard [#DupontMoretti] à ce moment-là, je peux vous dire, que j’y ai vu un truc un peu personnel.»
@FredRiviereRFI #RFImatin pic.twitter.com/aib6wdTQoO

— RFI (@RFI) March 9, 2023

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Nos sénateurs interrogent le gouvernement

Ce mercredi après-midi, lors de la séance de questions au gouvernement, cinq sénateurs du groupe les Républicains ont interpellé l’exécutif.

Pour commencer, Jacqueline Eustache-Brinio, sénatrice du Val-d’Oise, a interpellé la ministre déléguée auprès de la Première ministre, chargée de l’Égalité entre les femmes et les hommes, de la Diversité et de l’Égalité des chances sur la journée internationale des droits des femmes.

“Leur force et leur courage nous obligent à l’action.”
En cette journée internationale des droits des femmes la sénatrice Jacqueline Eustache-Brinio rend hommage aux combats des femmes iranniennes et afghanes et appelle le gouvernement à une action forte.#Senat #QAG pic.twitter.com/NcoZQP5TT9

— Républicains Sénat (@lesRep_Senat) March 8, 2023

Alain Joyandet, sénateur de la Haute-Saône, a interrogé la ministre de l’Europe et des Affaires étrangères sur la place de la France en Afrique.

“En Afrique comme ailleurs, la France doit reprendre son destin en main et préserver sa voix singulière.”
A la suite des nombreuses turbulences dans nos relations avec les pays africains, le sénateur @AJoyandet appelle la première ministre à redresser le cap.#Senat #QAG pic.twitter.com/CJUPkTi4Kw

— Républicains Sénat (@lesRep_Senat) March 8, 2023

Jean Sol, sénateur des Pyrénées-Orientales, a questionné la ministre déléguée auprès du ministre de la Santé et de la Prévention, chargée de l’Organisation territoriale et des Professions de santé sur la loi Rist.

“Quel est votre plan pour assurer la permanence ⁰des soins ?”
Des ruptures d’activité se profilent partout sur le territoire, tout cela faute de médecins alerte le sénateur @JeanSOL__ et appelle le gouvernement à donner une direction claire.#Senat #QAG pic.twitter.com/1ig24iS7a7

— Républicains Sénat (@lesRep_Senat) March 8, 2023

Marta de Cidrac, sénatrice des Yvelines, a interpellé le ministre délégué auprès du ministre de la Transition écologique et de la Cohésion des territoires, chargé des Transports sur l’interdiction de la vente de voitures neuves thermiques en 2035.

“A ce stade, la voiture électrique n’a pas démontré sa vertu écologique ni sa pertinence pour la stratégie industrielle de la France.”
Face aux réticences de certains pays européens, @MartadeCidrac exprime ses doutes sur le défi du tout électrique à l’horizon 2035.#Senat #QAG pic.twitter.com/Va3TDmXBsh

— Républicains Sénat (@lesRep_Senat) March 8, 2023

Pour finir, Guillaume Chevrollier, sénateur de la Mayenne, a interrogé le ministre de la Transition écologique et de la Cohésion des territoires sur le plan de sobriété.

“Le temps n’est plus à la réaction mais à l’anticipation.”@gchevrollier interroge le ministre @ChristopheBechu sur les mesures envisagées pour faire face à la crise de l’eau en France.#Senat #QAG pic.twitter.com/s2miI96d9p

— Républicains Sénat (@lesRep_Senat) March 8, 2023

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