Nos députés interrogent le gouvernement

Ce mardi après-midi, lors de la séance de questions au gouvernement à l’Assemblée nationale, trois députés du groupe les Républicains ont interpellés l’exécutif.

Pour commencer, Nicolas Forissier, député de l’Indre, a interpellé le ministre délégué auprès de la ministre de l’Europe et des Affaires étrangères chargé du Commerce extérieur, de l’Attractivité et des Français de l’étranger sur l’interdiction de la phosphine pour l’exportation des céréales.

.@N_Forrissier (LR) dénonce l’interdiction de la phosphine par l’ANSES : “A compter du 25 avril, la France ne pourra plus exporter sa production céréalière […], la filière est dans une impasse totale” déplore-t-il.#QAG #DirectAN pic.twitter.com/aVw0vE1Oi3

— Assemblée nationale (@AssembleeNat) April 11, 2023

Isabelle Périgault, députée de Seine-et-Marne, a questionné le ministre de la Santé et de la Prévention sur la colère des infirmiers libéraux.

Situation des infirmiers libéraux | @IsabellePERIGA2 (LR) demande au Gvt : “Revalorisations de leur nomenclature, compensation pérenne de l’augmentation des prix du carburant, prise en compte de la pénibilité … Quand allez-vous répondre à leurs revendications ?”#DirectAN #QAG pic.twitter.com/WxTZakPyOV

— Assemblée nationale (@AssembleeNat) April 11, 2023

Pour finir, Frédérique Meunier, députée de Corrèze, a interrogé le ministre délégué auprès du ministre de la Transition écologique et de la Cohésion des territoires, chargé des Transports sur les aéroports régionaux.

Frédérique Meunier (LR) s’inquiète de la santé financière des aéroports de proximité et d’aménagement du territoire.
Elle interroge le Gvt sur sa stratégie pour limiter les coûts inflationnistes appliqués par les transporteurs.#QAG #DirectAN pic.twitter.com/V6782qLwEt

— Assemblée nationale (@AssembleeNat) April 11, 2023

L’article Nos députés interrogent le gouvernement est apparu en premier sur les Républicains.

Read More

Jean Leonetti : « Sur la fin de vie, Macron multiplie les contradictions »

Jean Leonetti, maire LR d’Antibes, a donné son nom à la loi du 22 avril 2005 relative aux droits des malades et à la fin de vie ainsi qu’à la loi du 2 février 2016 (Claeys-Leonetti) relative aux droits des patients en fin de vie.

Comment accueillez-vous le projet de loi sur la fin de vie prévue « d’ici la fin de l’été » par le président de la République ?

Sur la fin de vie, Emmanuel Macron, dans la précipitation, multiplie les contradictions. Son annonce, surprenante et décevante, est un revirement par rapport à sa position antérieure qui consistait à prendre son temps sur ce sujet complexe. Une prudence d’ailleurs confirmée au cours du repas organisé à l’Élysée, le 9 mars. Mais cette annonce présidentielle est aussi en contradiction avec l’idée selon laquelle les soins palliatifs devraient être préalablement dispensés de manière équitable sur l’ensemble du territoire. Une telle accélération du calendrier ne donne ni le temps, ni la possibilité de répondre à cet objectif majeur compte tenu de la situation de nos hôpitaux et des difficultés de recrutement. Avec l’instauration d’une aide active à mourir, les Français seront donc traités de manière inégale face à leur fin de vie car on sait que la prise en charge des patients en soins palliatifs diminue fortement leur demande de mort. Par ailleurs, l’annonce d’un projet de loi n’est pas une surprise.

Pourquoi ?

Une fois le processus de la convention citoyenne enclenché, le président de la République n’avait pas d’autre choix que de légiférer, sous peine d’être accusé de ne jamais suivre l’avis des conventions qu’il a créées. Il ne faudrait cependant pas que cette loi apparaisse comme un marqueur exploité pour sortir de la crise politique générée par la réforme des retraites, comme si Emmanuel Macron cherchait à reprendre la main. Les lois sociétales ne peuvent pas être des compensations aux lois sociales.

Mais comment fallait-il s’y prendre pour répondre à une attente que les sondages estiment majoritaire dans l’opinion ?

Dans les sondages, comme toujours, on interroge des gens bien portants sur une situation qu’ils n’ont vécue qu’au travers de l’expérience d’un être cher disparu. Les choses sont différentes lorsque le pronostic vital est engagé, et jusqu’au moment ultime, les patients sont tiraillés entre le désir de mort et le désir de vie.

Le chef de l’État souhaite l’élaboration d’un « modèle français » de la fin de vie. Que lui répondez-vous ?

Que ce modèle existe déjà : c’est la loi actuelle ! Elle va très loin dans le respect de l’autonomie et la préservation solidaire de la dignité de la personne sans donner la mort. La légalisation du suicide assisté type Oregon dans notre pays, qui semble bien être l’objectif de l’exécutif, aboutira à adopter, quoi qu’on en dise, un système nord américain, à quelques détails près.

En quoi ce système pose-t-il problème et pourquoi mettez-vous en garde la France contre un alignement sur des pays « moins-disant éthiques » ?

Le système nord-américain n’est pas fondé sur le même degré de solidarité que le nôtre. Selon les données canadiennes, le suicide assisté s’adresse principalement aux plus pauvres de la population, situation qui serait inacceptable en France. Dans le monde, il existe une grande variation des règles éthiques : on vend des reins en Amérique du Sud, on autorise des mères porteuses même dans certains pays européens. La France se doit, dans ce domaine, de tracer un modèle original.

Une telle loi vous semble-t-elle plutôt de droite ou de gauche ?

Sur ces sujets éthiques, les avis ne sont pas dictés par les étiquettes politiques. Chacun est libre d’avoir ses opinions personnelles basées sur ses convictions philosophiques, religieuses ou sur ses expériences de la vie. Il est paradoxal cependant que la gauche ne penche pas plutôt du côté de l’éthique de la vulnérabilité par rapport à une éthique de l’autonomie. La première est un message collectif de protection, la seconde est un message individuel de liberté. Dans ce domaine, je note que la droite s’est toujours engagée du côté de la fraternité et de la solidarité (loi sur le handicap, loi sur la fin de vie…).

Pourquoi n’avez-vous pas été auditionné par la convention citoyenne ?

La date qui m’était proposée ne correspondait pas à mon agenda et ma proposition d’une contribution écrite n’a pas été retenue. Si j’étais absent lors de la restitution, c’était parce que j’avais le sentiment que les jeux étaient déjà faits. Le président a voulu donner une impression d’écoute et de doute mais en réalité la décision d’une loi était déjà prise. De plus, ses annonces devant cette convention citoyenne apparaissent comme une nouvelle façon de contourner les parlementaires, alors même qu’ils devraient être associés à une vraie réflexion transpartisane conduite par des sénateurs et des députés.

Cette perspective d’une autorisation du suicide assisté en France est-elle conciliable avec votre vocation de médecin ?

Le corps médical cherche toujours un équilibre entre la performance technique et l’humanité du soin. Aujourd’hui, il est évident que tout ce qui est techniquement possible n’est pas toujours humainement souhaitable. Les traitements peuvent être suspendus mais jamais les soins. La main qui soigne ne peut pas être celle qui donne la mort. Le suicide assisté qui, pourtant, n’implique pas directement le corps médical, peut être considéré par certains comme un « moindre mal », mais cela reste un mal. Si j’étais parlementaire français, je ne voterais pas la loi annoncée par Emmanuel Macron.

>> Lire l’interview sur LeFigaro.fr

L’article Jean Leonetti : « Sur la fin de vie, Macron multiplie les contradictions » est apparu en premier sur les Républicains.

Read More

Nos sénateurs interrogent le gouvernement

Ce mercredi après-midi, lors de la séance de questions au gouvernement, cinq sénateurs du groupe les Républicains ont interpellé l’exécutif.

Pour commencer, Mathieu Darnaud, sénateur des l’Ardèche, a interpellé le ministre de la Transition écologique et de la Cohésion des territoires sur le financement du plan eau.

Plan eau : son financement dévoilé par le président de la République la semaine dernière inquiète les sénateurs. @mathdarnaud #QAG https://t.co/WGTwaizUDK

— Républicains Sénat (@lesRep_Senat) April 5, 2023

Stéphane Le Rudulier, sénateur des Bouches-du-Rhône, a interrogé le ministre de la Justice sur les fusillades mortelles à Marseille.

La guerre des gangs fait rage à Marseille où 3 nouveaux individus ont trouvé la mort. @slerudulier dénonce le laxisme de notre politique pénale et avance de vraies solutions pour lutter contre les narco-trafiquants. #QAG https://t.co/jDr5UuDDC8

— Républicains Sénat (@lesRep_Senat) April 5, 2023

Anne Chain-Larché, sénatrice de Seine-et-Marne, a questionné le ministre de l’Intérieur et des Outre-mer sur le contrôle des frontières lors des Jeux Olympiques de 2024.

Comment gérer l’accueil des visiteurs étrangers dans nos aéroports ? A la veille de la coupe du monde rugby et des #JO2024, il est urgent d’améliorer le contrôle à nos frontières. Il en va de l’image de la France. @anne_chain #QAG https://t.co/h2jhIsoI8l

— Républicains Sénat (@lesRep_Senat) April 5, 2023

Véronique Del Fabro, sénatrice des Meurthe-et-Moselle, a interpellé la ministre déléguée auprès du ministre de l’intérieur et des outre-mer et du ministre de la transition écologique et de la cohésion des territoires, chargée des collectivités territoriales sur la démission des élus locaux.

4.751 : c’est le nombre d’élus qui ont raccroché leur écharpe tricolore. @V_DelFabro interpelle le gvt sur le malaise des élus locaux qui aspirent à plus d’autonomie et de liberté. #QAG https://t.co/42WOTYO10r

— Républicains Sénat (@lesRep_Senat) April 5, 2023

Pour finir, Else Joseph, sénatrice des Ardennes, a interrogé le ministre de la Santé et de la Prévention sur les déserts médicaux.

La fracture territoriale en matière de santé ne cesse de croître. Les maternités sont très touchées, notamment dans les Ardennes. @ElseJOSEPH interpelle le gvt. #QAG https://t.co/hzaprTlvX1

— Républicains Sénat (@lesRep_Senat) April 5, 2023

L’article Nos sénateurs interrogent le gouvernement est apparu en premier sur les Républicains.

Read More

François-Xavier Bellamy : « Un tirage au sort ne fait pas une loi »

François-Xavier Bellamy, vice-président exécutif de notre mouvement, député européen et président de la délégation française du groupe PPE au Parlement européen, était l’invité de France Info.

Il est revenu sur la convention citoyenne sur la fin de vie, la loi de programmation militaire et la crise de la pêche.

Un tirage au sort ne fait pas une loi. Pour accompagner la fin de vie, il est temps de répondre enfin à la souffrance provoquée par le manque de soins palliatifs. La loi Leonetti n’est toujours pas appliquée : que des patients demandent à mourir est d’abord le signe de cet échec. pic.twitter.com/x38hNzbBVg

— Fx Bellamy (@fxbellamy) April 4, 2023

La France s’est désarmée depuis trop longtemps : l’augmentation promise pour le budget des armées ne doit surtout pas être repoussée. Il est crucial de sortir des ambiguïtés qui menacent leurs moyens, et de garder une industrie de défense qui nous permette de rester souverains. pic.twitter.com/g35fVmCRn0

— Fx Bellamy (@fxbellamy) April 4, 2023

La pêche française vit une crise existentielle. Nous avons obtenu que la Commission européenne renonce à sa mesure la plus inquiétante, mais rien n’est encore joué. Fragiliser nos pêcheurs, c’est une faute majeure contre notre souveraineté, nos emplois, et contre l’environnement. pic.twitter.com/GOAu56hxos

— Fx Bellamy (@fxbellamy) April 4, 2023

L’article François-Xavier Bellamy : « Un tirage au sort ne fait pas une loi » est apparu en premier sur les Républicains.

Read More

Nos députés interrogent le gouvernement

Ce mardi après-midi, lors de la séance de questions au gouvernement à l’Assemblée nationale, trois députés du groupe les Républicains ont interpellés l’exécutif.

Pour commencer, Emilie Bonnivard, députée de Savoie, a interpellé le ministre de la Santé et de la Prévention sur la crise dans la prise en charge du grand âge.

https://twitter.com/AssembleeNat/status/1643248308507271168?s=20

Patrick Hetzel, député du Bas-Rhin, a questionné la ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche sur l’islamo-gauchisme à l’université.

“Je n’ose imaginer que vous combattiez la philosophie mais que vous protégiez le terrorisme!”@patrickhetzel (LR) interpelle le Gvt sur l’annulation d’une conférence de Sylviane Agacinski à l’université Montaigne (Bordeaux), et l’intervention de Jean-Marc Rouillan.#DirectAN #QAG pic.twitter.com/YHlcdPMFl4

— Assemblée nationale (@AssembleeNat) April 4, 2023

Pour finir, Christelle d’Intorni, députée des Alpes-Maritimes, a interrogé le ministre de l’Économie, des Finances et de la Souveraineté industrielle et numérique sur le groupe Orpea.

Situation du groupe Orpea | “Cette entreprise privée […] va restructurer son capital et sa dette avec de l’argent public” @C_Dintorni (LR) demande au Gvt : “Cautionnez-vous ce montage qui spolie les actionnaires et les créanciers d’Orpea ?” #DirectAN #QAG pic.twitter.com/sjL2nVGen4

— Assemblée nationale (@AssembleeNat) April 4, 2023

L’article Nos députés interrogent le gouvernement est apparu en premier sur les Républicains.

Read More

Bruno Retailleau : « Nos électeurs ont élu nos députés sur une ligne d’opposition à Emmanuel Macron »

Bruno Retailleau, président du groupe les Républicains au Sénat et sénateur de Vendée, était l’invité de CNews.

Il est revenu sur les violences de l’extrême gauche.

Il y a une légitimation de la violence qui conduit à un retournement de nos institutions. Ce projet est porté de l’hémicycle à la rue par des élus d’extrême gauche. #lamatinale pic.twitter.com/9j41k1o8xQ

— Bruno Retailleau (@BrunoRetailleau) April 4, 2023

L’article Bruno Retailleau : « Nos électeurs ont élu nos députés sur une ligne d’opposition à Emmanuel Macron » est apparu en premier sur les Républicains.

Read More

La fatwa de Médine

Bernard Carayon, ancien député du Tarn et maire de Lavaur, revient sur les agissements du rappeur Médine qui, avant un concert ce week-end à Albi, a lancé des fléchettes sur son portrait. L’édile explique pourquoi il porte plainte.

La politique sans symboles, c’est comme un apéritif entre amis au jus d’orange, il manque quelque chose.

Le rappeur Médine est venu, le 1er avril, chanter à Albi, dans le Tarn. Le département de Jaurès, qui défendit l’officier israélite Dreyfus, et du « petit père » Combes, qui s’y entendait en laïcité de combat.

Le préfet, que j’avais saisi pour interdire ce concert, ne put, hélas, trouver de motif d’ordre public dans une jurisprudence administrative tolérante ; un concert subventionné par une maire “philippiste” et un conseil départemental socialiste : l’union des tétanisés.

Qui est Médine ? Un compagnon de route de l’islamisme culturel et un soutien de Mélenchon. Un mariage, désormais, classique et heureux. Né au Havre, il s’est présenté comme l’« ambassadeur » de l’association Havre de Savoir qui additionne les marqueurs singuliers : dans ses publications, on y défend la présomption d’innocence de Merah, le terroriste de Toulouse et de Montauban ; elle est animée par un proche des Frères Musulmans, dont on connait le tropisme humaniste ; elle a accueilli les conférences de l’aimable Houria Bouteldja, égérie des Indigènes de la République, celle qui qualifie les Français de souche de « souchiens » — de l’humour, bien sûr —, et puis aussi l’imam Iquioussen qui a quitté la France avant d’en être expulsé. Tariq Ramadan, qui, depuis qu’il est poursuivi pour quelques viols, reste à la maison, figure parmi les invités d’honneur.

Voilà pour ses attaches locales et affectives. Les symboles sont utiles pour séduire sa clientèle : celle des jeunes Français musulmans de moins de 25 ans qui, pour 75 % d’entre eux, placent l’islam avant la République et pour 45 % pensent que « l’islam est incompatible avec les valeurs de la société française ».

Justement, notre rappeur adore les “quenelles” (pas celles de Nantua) de son ami Dieudonné, geste que l’on considère, sans doute par taquinerie ou malveillance, comme antisémite. Il loue la polygamie et le djihad comme une invocation au « combat intérieur », mais avec un tee-shirt orné d’un grand sabre doré sur fond noir. Et s’il chante dans Don’t laïk, « Crucifions les laïcards comme à Golgotha », il est sûr évidemment de faire coup double : laïcs et chrétiens. « Je scie, ajoute-il, l’arbre de leur laïcité avant qu’on le mette en terre. »

Et c’est sans doute dans un grand esprit de justice, qu’il précise — juste après le carnage de l’école juive Ozar Hatorah — que « la réaction des médias est à vomir. Ils ont stigmatisé les musulmans, ils en ont fait l’ennemi numéro 1. »

C’est ainsi, de manière ingénue, qu’il entreprit de faire un concert au Bataclan. Le Premier ministre de l’époque, Édouard Philippe, qui subventionna au Havre son club de boxe, fut interrogé avec force, au Sénat, par Sébastien Meurant. Il invoqua, (pour excuser le rappeur ?), des textes anciens et la liberté de programmation de la salle de spectacles. Le scandale fut énorme et les propriétaires de la salle reculèrent : le concert fut annulé. Pas à Albi, pourtant scène nationale…

Alors le rappeur savoura sa liberté d’“artiste” préservée par les défenseurs des principes républicains. Ce soir-là, sur un mur, il plaça des cibles : la photo d’un député et la mienne, seuls et pauvres défenseurs d’une autre idée de la France. Et sur ces cibles, en sifflotant, il joua aux fléchettes. Dans sa langue, je suppose que c’est une Fatwa. Le préfet s’en émut, la Justice est saisie. Elle sera rendue au nom du Peuple français.

>> Lire la tribune sur ValeursActuelles.com

L’article La fatwa de Médine est apparu en premier sur les Républicains.

Read More

Nadine Morano : « La réforme des retraites démontre ce que représente Emmanuel Macron : ni vision, ni méthode »

Nadine Morano, députée européenne et conseillère politique de notre mouvement, était l’invitée de CNews.

Elle est revenue sur la réforme des retraites, les violences en France et la convention citoyenne sur la fin de vie.

Nadine Morano : «La réforme des retraites, c’est exactement la démonstration de ce que représente Emmanuel Macron. Un président qui met en application le “en même temps”, avec ni vision, ni méthode», dans #LaMatinale pic.twitter.com/9MpJrlX4dk

— CNEWS (@CNEWS) April 3, 2023

Nadine Morano sur les violences en France : «Je pense qu’il y a un problème dans la réponse pénale […]. Aujourd’hui, on se demande encore si on peut être protégé en France», dans #LaMatinale pic.twitter.com/G9edVpjY17

— CNEWS (@CNEWS) April 3, 2023

“Sur la fin de vie, je ne peux pas cautionner la méthode d’E. #Macron qui tire une convention citoyenne au sort, et ne tiendra même pas compte de son avis” @CNEWS

— Nadine Morano (@nadine__morano) April 3, 2023

L’article Nadine Morano : « La réforme des retraites démontre ce que représente Emmanuel Macron : ni vision, ni méthode » est apparu en premier sur les Républicains.

Read More

L’appel des 100 cadres des Jeunes Républicains à la jeunesse française

L’histoire, comme la vie, nous enseigne qu’on ne vainc les difficultés que par la détermination, l’unité et l’espérance.

Nous formons le mouvement de jeunesse issu d’un parti qui a construit la France moderne: des institutions solides, une puissance industrielle, une influence mondiale et la construction de l’Europe.

Nous traversons depuis quelques années des turbulences. Dans la tempête, une seule ambition nous a toujours guidé: l’intérêt national.

Nous n’avons jamais été Macronistes. Pour nous, Emmanuel Macron est déjà l’homme du passé.
Son mépris à l’égard des Français, surtout les plus modestes, sa manière d’exercer le Pouvoir, solitaire, arrogante et verticale, sa politique, conjuguant impuissance et injustices, précipitent son rejet pour une si large majorité de Français. Pour nous, issus du Gaullisme, il n’est évidemment pas question d’embarquer à bord du Titanic.

L’ambition qui guide notre engagement, c’est de nous battre pour améliorer concrètement la vie des Français. Pour des millions d’entre eux, la vie est aujourd’hui une souffrance : la boule au ventre en passant à la caisse du supermarché, les artisans, les commerçants, les entrepreneurs étranglés par l’explosion des factures d’énergie et de leurs fournisseurs, les faillites qui se multiplient (elles ont doublé en un an), des salariés qui se retrouvent sur le carreau, des dizaines de milliers de jeunes condamnés aux distributions alimentaires pour manger à leur faim.

Notre génération affronte dès maintenant les crises des prochaines décennies : crises sociale, migratoire, climatique et civique. Aucune de ces crises n’est artificielle, aucune d’entre elles ne peut être traitée dans le climat de division entretenu par le Pouvoir actuel.
Si nous sommes lucides sur le déclassement qui caractérise notre pays, nous sommes aussi convaincus qu’il n’y a pas de fatalité.

La France ne peut se redresser qu’à la condition d’avoir demain, à la tête de l’Etat, un chef ayant un cap, des convictions et du courage. Tout ce qui manque à Emmanuel Macron.

Notre ADN est la liberté, pas seulement comme philosophie de la vie mais comme moteur de responsabilité et d’émancipation.

La liberté économique d’abord, pour offrir à chaque jeune qui veut s’en donner les moyens la chance de réussir sa vie par le travail. Le travail si souvent considéré à gauche et à l’extrême gauche comme une punition ou une entrave au loisir.
La liberté ensuite, c’est d’affranchir notre pays de ses dépendances et d’assurer notre souveraineté notamment industrielle, alimentaire et numérique.
La liberté d’opinion, si souvent bafouée par des censeurs qui exercent une police brutale de la pensée dans nos facultés.
La liberté enfin, c’est de pouvoir vivre en sécurité dans son pays, sans baisser la tête ou détourner le regard.

Loin des postures morales et des discours caricaturaux, les Jeunes Républicains seront le fer de lance de la droite et du redressement du pays.

A la jeunesse française, nous lançons cet appel : rejoignez-nous pour redresser la France !

Guilhem Carayon Président des Jeunes Républicains, Charlotte Vaillot Vice-présidente des Jeunes Républicains, Théo Michel Secrétaire Général des Jeunes Républicains, Irène Weiss Déléguée Nationale, Pierre Vitali Délégué National, Guillaume Gabriel Délégué National, Alexandre Despesse Délégué National, Bastien Dauphin Délégué National, Axel Mouffron Délégué National, Tristan Ganivet Délégué National Associé, Quentin Kermen Délégué National Associé, Alexia Blick Déléguée Régionale PACA, Adrien Bonnin Délégué Régional Île-de-France, Baptiste Charrier Délégué Régional Nouvelle-Aquitaine, Denis Frechou Délégué Régional Occitanie, Mathieu Kott Délégué Régional Grand-Est, Pauline Mallard Déléguée Régionale Hauts-de-France, Karl Simler Délégué Régional Pays de la Loire, Quentin Taieb Délégué Régional AURA, Lucas Orssaud Délégué Régional Adjoint Occitanie, Robin Ratto Secrétaire Général Adjoint, Romain Aidaoui RDJ des Alpes-Maritimes, Valentin Rouffiac RDJ de Paris, Théo Am’Saadi RDJ des Hautes-Pyrénées, Julien Argento RDJ du Var, Marie Balsan RDJ de la Drôme, Nicolas Bandaly RDJ de l’Indre, Nolan Barthel RDJ de Meurthe-et-Moselle, Julien Bayer RDJ de Saône-et-Loire, Romain Berthet RDJ du Jura, Nicolas Boursin RDJ de l’Yonne, Mathis Capdeville RDJ des Lande, Léo Cassart RDJ des Ardennes, Antoine Chabrillat RDJ du Puy-de-Dôme, Alice Clergeau RDJ de Charente, Erwan Colson RDJ de la Meuse, Alexandre Conan RDJ de Seine-Saint-Denis, Hugo Couchinave RDJ des Pyrénées Atlantiques, Edouard de Castellan RDJ des Français de l’étranger, Gautier Dedôme RDJ de Haut-Marne, Dorian Deininger RDJ des Hautes-Alpes, Manon Deliot RDJ des Vosges, Pierre-Marie Delrieu RDJ du Cher, Dylan Démarche RDJ de Haute-Saône, Marianne Dorian RDJ du Territoire de Belfort, Lola Elis RDJ de Charente-Maritime, Martin Fouillet RDJ du Tarn, Solal Gea RDJ de Tarn-et-Garonne, Jade Gilquin RDJ de l’Aisne, Valentin Goninet RDJ de l’Allier, Pierre-Élie Guyon RDJ de Mayenne, Jordan Houët RDJ de l’Essone, Jean-Baptiste Jouve RDJ du Gard, Rémi Krzykala RDJ du Nord, Tristan Lacour RDJ de Savoie, Nicolas Le Caroff RDJ des Côtes-d’Armor, Éric Léger RDJ d’Eure-et-Loir, Florent Lombardo Secrétaire Général Adjoint, Matthieu Manceau RDJ des Deux-Sèvres, Maxime Marco RDJ d’Indre-et-Loire, Antoine Mazi RDJ de Dordogne, Alexandre Ortiz Bodiou RDJ des Pyrénées-Orientales, Nicolas Paolillo RDJ de Seine-et-Marne, Sacha Payraudeau RDJ de Vendée, Nicolas Perrin RDJ de la Lozère, Antoine Poméon RDJ de la Loire, Antonin Porcu RDJ du Haut-Rhin, Bastien Porta RDJ du Gers, Matisse Pozuelos RDJ de la Somme, Clément Pruvost RDJ du Loir-et-Cher, Aurélien Roche RDJ de l’Ardèche, Thomas Rollin RDJ de la Marne, Lucas Roseuw RDJ du Pas-de-Calais, Thibault Simeoni RDJ du Val-de-Marne, Déborah Tasky Choiselat RDJ du Loiret, Mathis Viguier RDJ de l’Aveyron, Alexandre Wolf Samaloussi RDJ du Bas-Rhin, Mallaury Allard RDJ Adjointe de Savoie, Erwan Assalit RDJ Adjoint du Tarn, Romain Bancel RDJ Adjoint de la Drôme, Titouan Bel Ange RDJ Adjoint de l’Essonne, Paul-Louis Bivaud RDJ Adjoint des Hautes-Pyrénées, Mathieu Bluntzer RDJ Adjoint du Territoire de Belfort, Justine Campo RDJ Adjointe des Hautes-Pyrénées, Alexandre Chanel RDJ Adjoint du Gard, Thomas Darne RDJ Adjoint de la Loire, Dylan Duchamp RDJ Adjoint de la Loire, Hugo Fetter RDJ Adjoint du Rhône, Nadia Idorane RDJ Adjointe des Hauts-de-Seine, Valentin Lagarde RDJ Adjoint de la Marne, Camille Magnat RDJ Adjointe du Rhône, Charlène Rosnoblet RDJ Adjointe de la Loire, Alexandre Saradjian RDJ Adjoint des Alpes-Maritimes, Samuel Soulier RDJ Adjoint du Rhône, Tom Trecourt RDJ Adjoint de Savoie, Lisa Tribut RDJ Adjointe du Jura

L’article L’appel des 100 cadres des Jeunes Républicains à la jeunesse française est apparu en premier sur les Républicains.

Read More

Nos sénateurs interrogent le gouvernement

Ce mercredi après-midi, lors de la séance de questions au gouvernement, six sénateurs du groupe les Républicains ont interpellé l’exécutif.

Pour commencer, Gilbert Favreau, sénateur des Deux-Sèvres, a interpellé le ministre de l’Intérieur et des Outre-mer sur les affrontements entre manifestants et force de l’ordre à Sainte-Soline.

#SainteSoline :
“Comment en sommes-nous arrivé là ?” interroge le sénateur des Deux-Sèvres,@FavreauGilbert.
Avec des épisodes de violence de plus en plus réguliers dans notre pays, le sujet n’est plus celui de l’eau ou de l’agriculture mais bien celui de l’autorité de l’Etat. pic.twitter.com/NqGP7cy3Dm

— Républicains Sénat (@lesRep_Senat) March 29, 2023

Laurence Garnier, sénatrice de Loire-Atlantique, a interrogé le ministre délégué auprès de la Première ministre chargé du Renouveau démocratique sur les violences contre les élus locaux.

“En deux ans les violences contre les élus ont presque doublé” rappelle @LGarnier44 suite à l’agression du maire de Saint-Brévin-les-Pins et interroge le ministre sur les mesures prises par le gouvernement pour protéger ceux qui font vivre notre république au quotidien.#QAG pic.twitter.com/GBgbFjTXHc

— Républicains Sénat (@lesRep_Senat) March 29, 2023

Daniel Gremillet, sénateur des Vosges, a questionné le ministre délégué auprès du ministre de l’Économie, des Finances et de la Souveraineté industrielle et numérique, chargé de l’Industrie sur la relance du nucléaire.

“Les négociations européennes sont totalement défavorables à l’énergie nucléaire et c’est grave !” dénonce le sénateur Daniel Gremillet.
La France doit prendre rapidement des mesures pour encourager le développement du nucléaire en France et en Europe.#QAG pic.twitter.com/eidmSOoOZc

— Républicains Sénat (@lesRep_Senat) March 29, 2023

Alain Cadec, sénateur des Côtes-d’Armor, a interpellé le ministre de l’Agriculture et de la Souveraineté alimentaire sur la fermeture de zones de pêche.

Alors que la France importe déjà 70% de ses produits de la mer, le Conseil d’Etat ordonne au gouvernement de fermer des zones de pêches dans le Golfe de Gascogne, “c’est inacceptable !” dénonce @AlainCadec et appelle le gouvernement à soutenir les pêcheurs.#QAG pic.twitter.com/mcpsJFR8qJ

— Républicains Sénat (@lesRep_Senat) March 29, 2023

Corinne Imbert, sénatrice de Charente-Maritime, a interrogé le ministre de la Santé et de la Prévention sur le regroupement des pharmacies.

.@imbertcorinne17 (@lesRep_Senat) s’adresse à @FrcsBraun sur les officines de pharmacie : “Où en est ce projet dit de ‘territoire fragile’ en matière d’officine ? Que faites-vous de l’aménagement du territoire et de la prise en compte du maillage existant ?”#QAG #DirectSénat pic.twitter.com/tQafeQmoa8

— Sénat Direct (@Senat_Direct) March 29, 2023

Pour finir, Patrick Chaize, sénateur de l’Ain, a interpellé le ministre délégué auprès du ministère de l’Économie, des Finances et de la Souveraineté industrielle et numérique, chargé de la Transition numérique et des Télécommunications sur le maillage territorial de la Poste.

.@P_Chaize (@lesRep_Senat) se tourne vers @jnbarrot concernant le maillage territorial de La Poste : “Quelles mesures le @gouvernementFR entend-il prendre pour faire que la qualité, l’offre de services ainsi que l’accessibilité postale soient une réalité dans nos territoires ?” pic.twitter.com/igDz9OkbQW

— Sénat Direct (@Senat_Direct) March 29, 2023

L’article Nos sénateurs interrogent le gouvernement est apparu en premier sur les Républicains.

Read More
#thegov_button_6919021d954e6 { color: rgba(255,255,255,1); }#thegov_button_6919021d954e6:hover { color: rgba(238,49,36,1); }#thegov_button_6919021d954e6 { border-color: rgba(238,49,36,1); background-color: rgba(238,49,36,1); }#thegov_button_6919021d954e6:hover { border-color: rgba(238,49,36,1); background-color: rgba(255,255,255,1); } Aller au contenu principal