Soutien à Benoît Digeon, Maire de Montargis, menacé de mort

Ce samedi 13 mai, dans une manifestation à Montargis, plusieurs panneaux appelaient à l’assassinat du maire, Benoît Digeon, en arborant le slogan « Digeon exécution ».

Ces menaces sans cesse répétées contre les élus, leurs proches et leurs soutiens sont une atteinte grave à l’intégrité de la République.

Je les dénonce avec la plus grande fermeté et je veux assurer Benoît Digeon de mon soutien face à ces excès absolument inacceptables.

J’apporte tout mon soutien à Benoit Digeon, maire de Montargis, menacé de mort lors d’une manifestation.

Je condamne avec la plus grande fermeté ces méthodes inacceptables : ces menaces ne sont pas tolérables dans notre République.@lesrepublicains accompagneront @bdigeon dans… pic.twitter.com/2kbkYBrXqu

— Eric Ciotti (@ECiotti) May 18, 2023

Tous les républicains sincères doivent se retrouver dans la condamnation pleine et entière de ces dérives qui fragilisent notre Nation.

La démocratie est une civilisation du désaccord et du débat : la contamination de la violence a toujours été l’antichambre des pires tyrannies.

Nous n’abandonnerons pas la République aux nostalgiques de la guillotine.

Éric CIOTTI
Président des Républicains

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Eric Ciotti : « On ne touche pas à un représentant de la République, sinon c’est la prison ! »

Eric Ciotti, président de notre mouvement et député des Alpes-Maritimes, était l’invité de RTL.

Il est revenu sur l’agression du petit-neveu du président de la République à Amiens, la mise en place de peine plancher contre ceux qui s’en prennent aux représentants de la République, les incitations à la violence sur les réseaux sociaux et les impôts sur les droits de succession et de donation.

Attaquer une personne car elle est de la famille d’un politique est une ignominie, c’est abominable.

J’espère que la justice apportera une réponse ferme pour contrecarrer cette violence politique qui progresse entretenue par l’extrême gauche avec un climat quasi révolutionnaire. pic.twitter.com/e5Z0YEyNMa

— Eric Ciotti (@ECiotti) May 17, 2023

Je suis favorable à la mise en place des peines planchers contre ceux qui portent atteinte aux symboles de nos institutions.

On ne touche pas à un représentant de la République, sinon c’est la prison ! pic.twitter.com/0zQelah9Td

— Eric Ciotti (@ECiotti) May 17, 2023

Ce climat de violence prospère sur les réseaux sociaux qui sont devenus un défouloir perpétuel.

Il faut mettre en marge ceux qui prônent la violence, sanctionner sévèrement tous ces actes insupportables et la dissolution des groupuscules d’extrême gauche ! pic.twitter.com/L1r8i8VoWX

— Eric Ciotti (@ECiotti) May 17, 2023

Nous avons le taux de prélèvements obligatoires le plus haut (47% selon eurostat, 45 % selon l’Insee) représentant 1400 milliards d’€.

2 milliards d’€ de baisse d’impôts c’est dérisoire.

Je regrette que le Président fasse machine arrière sur les impôts sur les droits de… pic.twitter.com/4GM2WuESmW

— Eric Ciotti (@ECiotti) May 17, 2023

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Nos députés interrogent le gouvernement

Ce mardi après-midi, lors de la séance de questions au gouvernement à l’Assemblée nationale, trois députés du groupe les Républicains ont interpellés l’exécutif.

Pour commencer, Alexandre Portier, député du Rhône, a interpellé le ministre de l’Éducation nationale et de la Jeunesse sur la réforme du lycée professionnel.

Réforme du lycée professionnel – l’Éducation nationale va décrocher la palme du plus mauvais employeur de France

Alexandre Portier alerte le ministre de l’Éducation nationale : « Jeudi dernier, avec notre président de groupe @oliviermarleix, nous visitions un lycée… pic.twitter.com/0IIax0Ii4g

— Députés Les Républicains (@Republicains_An) May 16, 2023

Emmanuelle Anthoine, députée de la Drôme, a questionné la Première ministre sur la multiplication des violences en France.

En 2022, les homicides sont 30% plus nombreux qu’en 2017. @eanthoine26 interroge le ministre de l’Intérieur « Face à cet engrenage de la violence, la République doit faire preuve de totale fermeté et il vous appartient de garantir la sécurité en tous points du territoire.… pic.twitter.com/DvHi3M1M1x

— Députés Les Républicains (@Republicains_An) May 16, 2023

Pour finir, Vincent Rolland, députée de Savoie, a interrogé la Première ministre sur la régulation de la population de loups en France.

Régulation de la population de loups en France | @VRolland73 (LR) alerte le Gvt sur la “pression insupportable qu’exerce le loup sur nos élevages.” Il demande notamment “une nouvelle politique de gestion de l’espèce en facilitant les tirs par moins de bureaucratie”#DirectAN #QAG pic.twitter.com/Ebq2BIsLLt

— Assemblée nationale (@AssembleeNat) May 16, 2023

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Un énième discours pour rien

Pour sa troisième allocution en deux mois, Emmanuel Macron a longuement parlé pour ne rien dire à des Français qui ne l’écoutent plus.

Ce n’est pas dans l’infinie répétition des discours qu’on donne de la force à une politique.

Son inlassable satisfaction contraste durement avec le déclin continu de notre pays et ne peut qu’alimenter le sentiment de déconnexion partagé par nos compatriotes.

Les Français veulent un cap, de la clarté et de l’ambition : 2 milliards de réductions d’impôts sur 1 500 milliards de prélèvements obligatoires, ce n’est pas ambitieux mais dérisoire.

Éric CIOTTI
Président des Républicains

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Monsieur le président, il est inutile de lancer de fausses polémiques stériles : sans référendum rien ne changera vraiment !

Je regrette qu’Emmanuel Macron poursuive son entreprise de confusion sur le sujet essentiel de l’immigration en affirmant que l’hypothèse du référendum n’est pas envisageable constitutionnellement.

Le président de la République cherche à masquer son inaction derrière la fable de l’impossibilité constitutionnelle : les Français ne seront pas dupes.

Les Républicains ne proposent pas de recourir au référendum sur le fondement de l’article 11 mais sur celui l’article 89 : nous inscrivons notre démarche dans la procédure de révision constitutionnelle encadrée par ce dernier.

Nous le faisons dans un esprit de cohérence et de responsabilité, désireux de bâtir sur l’approbation populaire une politique à la hauteur de la crise que nous traversons.

Seule la volonté du peuple souverain permettra de sortir de l’impuissance en matière de politique migratoire.

La France doit retrouver la maîtrise de son destin.

Éric CIOTTI
Président des Républicains

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François-Xavier Bellamy : « Si l’immigration n’est pas un sujet pour Madame Borne, nous on va s’en occuper »

François-Xavier Bellamy, vice-président exécutif de notre mouvement, député européen et président de la délégation française du groupe PPE au Parlement européen, était l’invité de France Info.

Il est revenu sur la réindustrialisation, les normes environnementales européennes, l’énergie nucléaire, l’immigration et l’interdiction des manifestations d’ultradroite.

Réindustrialisation : “Notre économie est progressivement rachetée par des capitaux étrangers”, affirme François-Xavier Bellamy, eurodéputé Les Républicains. pic.twitter.com/c8onsOrd4t

— franceinfo (@franceinfo) May 13, 2023

Normes environnementales européennes : “La commission européenne est revenue depuis le début du mandat à une inflation normative”, dénonce François-Xavier Bellamy, eurodéputé Les Républicains. pic.twitter.com/UTJXmMSWtJ

— franceinfo (@franceinfo) May 13, 2023

Nucléaire : “Encore aujourd’hui, les députés macronistes, dans leur écrasante majorité, votent, à chaque fois qu’ils en ont l’occasion contre l’énergie nucléaire au Parlement européen”, affirme François-Xavier Bellamy, eurodéputé Les Républicains. pic.twitter.com/P6fh7QdCzD

— franceinfo (@franceinfo) May 13, 2023

Immigration : “Il y a une jurisprudence européenne qui empêche l’Etat de prendre les décisions que les Français attendent de lui en matière migratoire”, estime François-Xavier Bellamy. L’eurodéputé Les Républicains souhaite que la France “reprenne ses marges de manœuvre”. pic.twitter.com/8BBNwOvGka

— franceinfo (@franceinfo) May 13, 2023

“Si l’immigration n’est pas un sujet pour Madame Borne, nous on va s’en occuper”, lance François-Xavier Bellamy, eurodéputé Les Républicains. pic.twitter.com/4Xzj1v4cMb

— franceinfo (@franceinfo) May 13, 2023

Manifestation de l’ultradroite : “Je renvois ces patriotes-là à leur indignité affligeante”, déclare François-Xavier Bellamy, qui s’inquiète que “le gouvernement recourt de plus en plus souvent à l’interdiction de manifester parce qu’il y a une couleur politique qui déplaît”. pic.twitter.com/EDarq52JRz

— franceinfo (@franceinfo) May 13, 2023

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Discours inaugural de l’Académie Georges Mandel

Seul le prononcé fait foi

Mesdames, Messieurs,

Chers compagnons, chers amis,

Quand je vous vois, ce matin, rassemblés, ici, au siège de notre parti, je me réjouis. Je me réjouis pour l’avenir de notre famille politique. Je me réjouis car notre famille politique est vivante, bien vivante, et vous en êtes, ce matin, le visage.

Merci donc à vous tous d’avoir répondu, nombreux, et enthousiastes, à notre appel à inaugurer aujourd’hui notre académie de formation : l’Académie Georges Mandel.

J’ai voulu qu’elle prenne le nom de Georges Mandel car j’ai voulu qu’elle prenne le nom d’un homme dont la mémoire honore la droite, la politique, et la République tout entière. Le nom d’une figure qui incarne hautement les valeurs de responsabilité, de fidélité et de courage qui font la noblesse du combat politique.

Ayant grandi dans l’ombre de l’immense figure du Tigre, Georges Clemenceau, dont il fut le loyal collaborateur, Georges Mandel s’imposa durant l’entre-deux-guerres comme une figure incontournable de la droite républicaine.

Inlassablement, il se dressa face aux lâchetés et aux faiblesses qui faisaient sous-estimer le danger de l’Allemagne hitlérienne. Puis, dans la débâcle de l’été 1940, devenu ministre de l’Intérieur, il refusa l’armistice et défendit avec courage, aux côtés d’un certain Charles de Gaulle, la poursuite des combats.

Victime de l’indigne embuscade du Massilia, Georges Mandel est bientôt arrêté par le régime du maréchal Pétain, traduit en justice et condamné à la perpétuité. Livré au Troisième Reich, il est déporté à Buchenwald puis, rapatrié en France en 1944, où il est abandonné aux griffes de la Milice.

Le 7 juillet 1944, il est assassiné dans la forêt de Fontainebleau, victime de la haine de ceux qui lui reprochaient autant ses engagements de vrai patriote que ses origines juives.

Par ses combats comme par son destin, Georges Mandel est une figure éminente de notre histoire.

Georges Mandel, c’est la République qui ne faiblit pas. C’est la République qui se tient droite, qui se tient ferme, qui fait face aux tempêtes avec la dignité que donne la certitude des causes justes et la force des vraies convictions.

Georges Mandel, c’est la dignité en politique. Et c’est pourquoi j’ai voulu que sa mémoire préside aux travaux de cette académie de formation que nous inaugurons aujourd’hui afin que son exemple puisse nous inspirer fidélité et courage.

Avec cette académie, Les Républicains poursuivent le chemin de refondation et de redressement que nous avons choisi d’emprunter.

C’est un chemin difficile, vous en conviendrez, tout le monde en conviendra. Mais c’est un chemin nécessaire, pour nous, comme pour la France, car la France a besoin de nous, car la France a besoin de la droite : j’en suis profondément convaincu.

C’est un chemin difficile, ambitieux, et donc honorable, car il n’y a pas d’honneur dans les combats gagnés d’avance.

Nous entrons dans ce combat de notre reconstruction avec le seul horizon de la victoire. Pour reprendre les mots du maréchal Foch : « Accepter l’idée d’une défaite, c’est être vaincu. »

Nous ne sommes pas vaincus, mais debout, vivants, combattifs, déterminés, conquérants. Nous avons derrière nous toute une histoire qui nous y oblige, une histoire de grands principes et de grandes convictions, une histoire de grandes figures : un passé qui a fait la France telle que nous l’aimons, un passé dans lequel notre famille politique a joué un rôle essentiel.

Mais nous avons aussi devant nous un pays, qui souffre, un pays engagé depuis trop d’années sur la pente du déclassement et dont la situation nous oblige également. Elle nous oblige à ne pas rendre les armes sans avoir combattu d’arrache-pied toutes ces idéologies de dissolution et de soumission qui abîment la France.

Nous nous battons pour que la France reste la France, pour qu’elle ne se range pas d’elle-même au rang des vaincus du 21e siècle.

Et nous le faisons avec d’autant plus de passion que notre famille politique est l’héritière de la pensée et de l’action du Général de Gaulle, et que le premier des messages du gaullisme c’est de ne pas céder à la désespérance. C’est de croire, toujours, inlassablement, sans répit, sans fatigue, sans repos, au destin de la France.

L’académie que nous inaugurons aujourd’hui doit nous permettre d’être à la hauteur de ces héritages du passé et de ces enjeux du présent, afin de poursuivre l’aventure de la droite française et de permettre d’écrire, demain, de nouvelles pages de l’épopée de notre grande Nation.

Vous le savez, en devenant président de notre famille politique, je vous ai fait la promesse de vous mener à de nouvelles victoires. Je ne me détournerai pas de cette promesse. Ces victoires, je les souhaite pour notre famille politique et pour notre pays, et ce sont ces victoires – ces victoires que je vous ai promis – que je veux préparer, avec vous, dans le cadre de cette académie de formation.

En inaugurant aujourd’hui notre académie de formation, nous inaugurons une école de combat. Le combat le plus pacifique de tous mais aussi le plus essentiel : le combat des idées.

Notre famille politique, si elle veut continuer à être utile, doit proposer des solutions à la hauteur des grands défis de demain. C’est une exigence incontournable : il n’existe aucune autre voie pour reconquérir la confiance de nos compatriotes.

Nous ne redeviendrons pas un grand parti de gouvernement sans retrouver l’élan des grandes idées.

Je veux le dire avec force, et à destination de tous les militants de droite qui sont désespérés par l’hégémonie culturelle de la gauche aujourd’hui dans notre pays : n’ayez pas peur de mener la bataille des idées ! N’ayez pas peur de la lutte intellectuelle ! N’ayez pas peur du combat culturel !

À rebours d’une modernité qui court au grand galop, qui ne cesse d’accélérer, qui ne cesse de fractionner le temps, qui ne cesse de vouloir aller au plus court et au plus rapide, au plus sensationnel, qui exige des réactions toujours plus immédiates, qui se défie des intellectuels et qui parfois porte aux nues bien des médiocrités, nous devons retrouver le goût du temps long, le temps de l’intelligence collective, le temps de la profondeur historique, le goût de l’exigence intellectuelle.

La politique – il n’est jamais inutile de le rappeler – est une affaire sérieuse. Les pitreries de la gauche ont parfois tendance à l’occulter mais, rappelons-le : la politique est une affaire sérieuse.

Et les Français veulent que nous fassions de la politique sérieusement. Car les problèmes qu’ils rencontrent sont des problèmes sérieux. Car ils ne veulent pas qu’on leur parle d’eux-mêmes avec légèreté, avec imprécision. Car, au fond, la France, c’est une affaire sérieuse. Une affaire très sérieuse.

Au sein de l’académie de formation des Républicains, nous ferons donc de la politique sérieusement. C’est l’engagement fondateur de cette académie.

J’ai voulu que les sessions auxquelles vous allez assister aujourd’hui et demain soient un alliage de connaissances pratiques et de connaissances théoriques.

La politique est en effet une pratique, et c’est pourquoi nous vous formerons à l’art de l’éloquence, aux sinuosités des relations avec la presse, ou encore aux stratégies de communication.

Mais c’est une pratique au service des convictions. Et j’ai donc voulu que des modules thématiques vous permettent d’évoquer l’identité, le féminisme ou encore la dépense publique.

Séparez la politique de la théorie, et vous n’aurez qu’une agitation stérile.

Séparez la politique de la pratique, et vous n’aurez qu’une conversation bavarde.

Nous ne commettrons aucune de ces deux erreurs. Aux Républicains, nous voulons faire de la politique sans exclusive, sans réserve, nous voulons vraiment faire de la politique.

Vous comprendrez que j’ai voulu cette académie comme un espace de réflexion pratique où les idées sont au service du réel, où les convictions sont au service de la vie des Français, un espace de réflexion qui prend la France et les Français au sérieux.

Pour gouverner, il faut être prêt, et nous nous préparons. Nous vous préparons.

Pour vaincre, il faut être prêt, et nous nous préparons. Nous vous préparons.

Cette académie dont je vous avais fait la promesse, je l’ai voulu afin de préparer les responsables politiques de demain. Afin de préparer les élus de demain.

Notre académie de formation est une académie pour la génération qui vient. Une académie non seulement pour nos futures victoires mais aussi pour nos futurs vainqueurs. Une académie pour ceux qui seront les officiers de ces victoires futures.

En 1969, s’adressant aux jeunes gaullistes, Georges Pompidou faisait ce rappel simple mais essentiel : « Diriger, ce n’est pas commander, diriger, c’est conduire. » Et il ajoutait : « Conduire vers un but, vers un idéal auquel on croit, que l’on a fait partager à d’autres et dont on vous montre la direction. »

En vous formant, ici, au sein même de votre famille politique, riche de son histoire, riche de sa culture, riche de ses valeurs, voilà ce à quoi, ultimement, vous vous formerez : vous vous formerez à conduire vers un idéal, à montrer la direction d’un autre avenir pour notre pays.

Ensemble, montrons à la France, aux Françaises et aux Français, que nous continuons fermement, passionnément, à croire en la destinée de notre Nation.

Montrons la direction d’une France forte et souveraine. Une France qui ne marchande ni son identité ni ses libertés.

Ouvrons le chemin, traçons la route : soyons l’avant-garde de l’espérance et nous serons, demain, la génération de nouvelles conquêtes. La génération de la victoire.

Éric Ciotti
Président des Républicains

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Eric Ciotti : « Les Français ne supportent plus cette submersion migratoire »

Eric Ciotti, président de notre mouvement et député des Alpes-Maritimes, était l’invité de CNews.

Il est revenu sur la démission du maire de Saint-Brevin, les propositions de notre mouvement sur l’immigration et l’entretien de Laurent Wauquiez au Point.

Eric Ciotti sur les attaques contre le maire de St-Brevin : «Il faut que la justice soit implacable» #Punchline pic.twitter.com/VmHqDQ5xwI

— CNEWS (@CNEWS) May 11, 2023

Depuis 18 mois Monsieur Darmanin nous annonce un texte sur l’immigration.

Nous prenons les choses en main. Nous voulons dire qu’en matière migratoire, la loi de la République doit primer sur toutes les normes.

Le peuple doit retrouver sa souveraineté ! #Punchline pic.twitter.com/eaZowTgmTz

— Eric Ciotti (@ECiotti) May 11, 2023

On aura des mesures très fortes pour lutter contre l’immigration de masse.

Nous voulons réformer la Constitution au moyen de l’article 89 par référendum.

Les Français ne supportent plus cette submersion migratoire. 490 000 étrangers sont entrés légalement en France l’année… pic.twitter.com/58vxBAufNS

— Eric Ciotti (@ECiotti) May 11, 2023

Jamais les chiffres de l’immigration n’ont été aussi élevés ! Aujourd’hui, c’est open bar !

Les demandes de regroupement familial sont systématiquement acceptées. Nous voulons instaurer chaque année des quotas stricts. #Punchline pic.twitter.com/2RnTU7fG1t

— Eric Ciotti (@ECiotti) May 11, 2023

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Julien Aubert : « L’intelligence artificielle ne va pas évincer les cols bleus mais les cols blancs »

Julien Aubert, vice-président et membre du comité stratégique des Républicains, alerte sur les conséquences probables de la révolution technologique provoquée par l’intelligence artificielle. S’il défend la signature d’un traité international consacré à l’IA afin de réguler cette nouvelle technologie, il regrette que la France soit pour l’heure totalement absente du combat en train de s’engager pour la maîtrise de cet outil.

Une révolution technologique, éthique et politique est en marche, et nous regardons ailleurs. En effet, l’irruption de l’intelligence artificielle dans le débat public, en novembre 2023, montre que ce qui était jusqu’ici de la science-fiction est en train de se matérialiser sous nos yeux. Le drame est que le rythme d’évolution de l’IA est exponentiel, ce qui fait que les délais classiques de prise de décision, de concertation démocratique ou même de réflexion sont eux-mêmes trop lents par rapport à ce qui s’apparente à un ouragan anthropologique.

Un exemple de cette révolution en devenir commence à apparaître : ChatGPT dans ses versions ultérieures sera probablement en capacité de remplacer un certain nombre de métiers qualifiés : meilleur médecin qu’un docteur, meilleur juriste qu’un avocat, meilleur professeur qu’un enseignant… Le champ est large. On ne parle pas d’un horizon lointain, mais possiblement de demain : le patron de Turnitin, service américain fondé en 1998, qui permet la détection du plagiat en source fermée basé sur internet, a expliqué récemment que sa société allait remplacer 80 % des salariés par GPT-4 et autres IA d’ici à fin 2024.

Les experts économiques se rassurent en rappelant que toutes les révolutions technologiques ont fait disparaître des métiers, mais qu’elles en ont créé de nouveaux. C’est exact, mais pour la première fois, une révolution technologique ne va pas évincer les cols bleus mais les cols blancs, et donc impacter directement la classe moyenne et la bourgeoisie, piliers des démocraties occidentales. De plus, ce changement va s’opérer en quelques années, peut-être quelques mois.

Si l’IA déstabilise les emplois de demain, tout ce qui se raconte sur l’avenir de nos retraites est à repenser. Ce seul défi mériterait qu’on consacre à l’IA la quasi-totalité de nos échanges au Parlement. Et pourtant, ce n’est pas le seul : l’IA pourrait modeler, bien plus encore que ce que font internet, Facebook ou Google, la perception de la réalité, de la vérité et l’essence même des relations sociales. Le fait de la mettre à disposition de tous a d’ailleurs transformé l’humanité en un vaste champ d’expérimentation sur l’impact que peut avoir l’IA sur notre vie et, en retour, sur la manière dont l’IA pourrait évoluer à notre contact. De la même manière que personne n’est en capacité de contester le résultat d’une opération de multiplication à 8 chiffres sur une calculatrice, l’histoire, la géographie ou la littérature ne seront bientôt que ce que l’IA accepte de dire ou non sur ces thématiques. La créature, plus intelligente et plus performante que l’homme (GPT-4 connaît cent fois plus de choses qu’un humain, alors que ses connexions sont moins denses que le cerveau humain) pourrait devenir notre maître.

C’est pourquoi l’IA ne relève pas de l’intérêt commercial individuel mais bien d’un sujet d’intérêt général et même de sécurité nationale. La France pourrait prendre quatre initiatives, en s’inspirant de ce qui a été fait pour l’arme atomique.

La première est juridique. Un traité international consacré à l’IA devrait être signé sous les auspices du Conseil de sécurité des Nations unies, avec une agence d’inspection qui aurait accès à toutes les données de recherche, publiques ou privées, sur l’IA, afin de vérifier qu’aucun usage malveillant ne puisse être fait. Contrairement à l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA), il ne s’agira pas d’empêcher la prolifération, car elle est inévitable dans le cas de l’IA, du fait de son mode d’apprentissage ouvert. En revanche, ce traité pourrait qualifier juridiquement l’IA avec un statut à part, distinct des hommes, des animaux et de la flore, et identifiant ses droits et ses devoirs.

La seconde est industrielle et financière. La stratégie nationale pour l’intelligence artificielle, qui a jeté les bases d’une structuration de long terme de l’écosystème d’IA, n’a pour l’instant rien changé au fait que la France est totalement absente du combat titanesque qui est en train de s’engager pour la maîtrise de cette technologie, à coups de dizaines de milliards de dollars. En réalité, nous butons sur l’absence d’un Microsoft ou d’un Google français. Désormais, soit nous jetons l’éponge – certains pensent qu’il est trop tard – soit nous nous engageons dans cette bataille comme un pays se mobiliserait pour une guerre mondiale. Voilà pourquoi tous les outils et acteurs publics et privés aujourd’hui épars (supercalculateur du CNRS, Qwant, OVH Cloud…) doivent être mieux coordonnés pour atteindre une masse critique française en ce domaine.

La difficulté est de ne pas perdre de vue l’objectif de sécurité nationale, tout en évitant le piège d’un nouveau « Minitel franco-français ». Il est possible de nous unir à d’autres pays européens, mais en respectant cette grammaire souveraine. Pour cela, nous devons être capables de sortir des règles qui entravent dans ce pays toute prise de risque. Il nous faut imaginer de nouveaux modes de rémunération en sortant de la grille indiciaire de rémunération des chercheurs et ingénieurs, pour aller vite et embaucher les meilleurs spécialistes en les payant ce qu’il faut. Hier comme aujourd’hui, on ne négocie pas, on ne mégote pas sur le cerveau d’Albert Einstein.

La troisième initiative est économique. Une mission tous azimuts devrait être lancée pour anticiper l’impact de l’IA sur le modèle de protection sociale, sur le marché de l’emploi, sur l’école, et sur la fiscalité. Par exemple, les formations proposées à partir de 2024 devraient systématiquement proposer un volet consacré à l’IA, et les nouveaux métiers que l’IA pourrait générer devraient être identifiés, recensés et anticipés.

La quatrième initiative est politique. Une réflexion sérieuse doit être menée sur le transhumanisme : en permettant « l’homme augmenté » ne vient-on pas briser l’égalité juridique entre citoyens et accroître les inégalités sociales ? Faut-il l’autoriser ? Peut-on l’interdire ? Est-ce la seule manière d’équilibrer les IA fortes qui pourraient surgir demain ? À partir de quelle part synthétique, « l’homme augmenté » n’est plus un homme mais une machine ou une espèce différente ?

Aujourd’hui, comme en 1945 lorsque les États-Unis d’Amérique se sont dotés de la bombe atomique, la France est distancée par la Chine et les États-Unis. Alors que le sujet peine à émerger dans le débat public, ce sont des entreprises privées qui se sont emparées de l’avenir de l’IA, certaines avec le désir d’en tirer profit, d’autres dans l’espoir de créer une forme de régulation mondiale. Cette situation de dépendance et d’apathie civilisationnelle est dangereuse. Réagissons !

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Valérie Boyer : « Il est urgent aujourd’hui d’avoir un texte sur l’immigration »

Valérie Boyer, vice-présidente de notre mouvement et sénatrice des Bouches-du-Rhône, était l’invitée de Public Sénat.

Elle est revenue sur l’immigration, le droit à l’image des enfants et la crise du logement à Marseille

Immigration : @valerieboyer13 dénonce “le chaos migratoire aggravé par le gouvernement” et “la procrastination” de l’exécutif sur cette question, alors que #LR entend déposer deux propositions de loi. “Il est urgent aujourd’hui d’avoir un texte” #BonjourChezVous pic.twitter.com/OedBBrox5A

— Public Sénat (@publicsenat) May 11, 2023

Droit à l’image des enfants sur les réseaux sociaux : inconscience des parents ?
La chronique de @audrey_vuetaz
La réaction de @valerieboyer13, sénatrice LR des Bouches-du-Rhône, rapporteure de la proposition de loi sur le respect du droit à l’image des enfants#BonjourChezVous pic.twitter.com/7wvvUTrHE3

— Public Sénat (@publicsenat) May 11, 2023

Marseille : la crise profonde du logement
L’info vue par la presse régionale avec @LeoPurguette, président et directeur éditorial de @lamarsweb
La réaction de @valerieboyer13, sénatrice (@lesRepublicains) des Bouches-du-Rhône#BonjourChezVous pic.twitter.com/pja8IJ35oO

— Public Sénat (@publicsenat) May 11, 2023

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