François-Xavier Bellamy : « Emmanuel Macron continue la politique menée depuis l’élection de François Hollande »

François-Xavier Bellamy, vice-président exécutif de notre mouvement, député européen et président de la délégation française du groupe PPE au Parlement européen, était l’invité de France 2.

Il est revenu sur sa désignation en tant que tête de liste de notre mouvement pour les élections européennes, la composition du nouveau gouvernement et le bilan du RN au parlement européen.

“À l’inverse des macronistes, nous ne passons pas notre temps à faire des castings pour exister seulement dans la communication”

Fx Bellamy affirme que “rien n’est acté” pour la composition de la liste LR aux européennes. #Les4V @fxbellamy pic.twitter.com/YFKFYm16Uy

— Telematin (@telematin) January 16, 2024

“Emmanuel Macron continue la politique menée depuis l’élection de François Hollande et qui fragilise la France”

Pour FX Bellamy, le nouveau gouvernement n’est pas de droite. #Les4V @fxbellamy pic.twitter.com/2G0Atl6j6z

— Telematin (@telematin) January 16, 2024

“Le RN parle beaucoup mais en réalité il ne fait rien. Au bout de 5 ans de mandat, les élus du RN n’auront pas déplacé une virgule dans un texte européen” estime François-Xavier Bellamy. #Les4V @fxbellamy pic.twitter.com/nZTYQwWIJs

— Telematin (@telematin) January 16, 2024

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Julien Dive et Nicolas Forissier : « L’agriculture doit être une priorité nationale »

La future loi pour le renouvellement des générations en agriculture manque d’ambitions et d’objectifs, alors que la souveraineté alimentaire est un enjeu crucial, écrivent ces deux députés Les Républicains.

« Le texte est attendu dans les prochaines semaines ! » pouvait-on entendre, ces six derniers mois, dans les couloirs du Palais Bourbon sur « la grande loi agricole du quinquennat Macron », censée répondre à l’effondrement du nombre de fermes en France. Sans cesse repoussée, elle a d’abord été annoncée en septembre 2022 pour finalement voir le jour… en 2024 ! Bien éloigné de ses engagements initiaux, le « Projet de loi d’orientation en faveur du renouvellement des générations en agriculture » a subi une gestation prolongée pour un texte sans objectifs chiffrés et sans vision claire pour l’avenir agricole.

Force est de constater que les mesures proposées sont, à ce stade, insuffisantes pour assurer le renouvellement des générations agricoles et accélérer la transition agroécologique du secteur . Un cap et une cohérence générale manquent, signe que le gouvernement n’a pas réellement fait de l’agriculture et de l’alimentation sa priorité absolue.

La réforme du parcours à l’installation-transmission, au cœur du projet de loi, rate le coche et requiert une révision urgente. Aucune orientation claire n’est établie quant au nombre d’installations agricoles à viser annuellement, une pièce maîtresse pourtant de notre souveraineté alimentaire.

Quid des problématiques économiques et environnementales ? De la gestion des exploitations ? Du foncier ou encore de l’énergie ? Rien sur le bien-être des agriculteurs alors que 35 % d’entre eux sont épuisés par la profession. Les contraintes administratives, la pression financière, la charge de travail poussent certains à l’irréparable . Derrière chaque chiffre, il y a des visages, des maraîchers, des pêcheurs, des éleveurs de bovins , des céréaliers, des viticulteurs, qui, tous, subissent un manque de considération. Depuis 2015, 100 000 exploitations ont fermé leur porte et d’ici à dix ans, un tiers des agriculteurs seront partis à la retraite. Le constat est sans appel : notre agriculture est en péril.

Responsabilité collective. Ainsi, à l’initiative d’une mission interne au sein de notre famille politique, les députés Les Républicains ont entrepris une série de rencontres avec celles et ceux qui, chaque jour, se dévouent pour nourrir le monde. De l’Indre au Cantal, en passant par l’Ardèche, la Somme, la Moselle et à travers des auditions impliquant les principaux acteurs du secteur agricole, nous avons élaboré un « Livre Blanc » comportant des propositions concrètes visant à renforcer tant la portée que le contenu de ce projet de loi. Il paraîtra dans les prochaines semaines.

Face à la réalité où près d’un agriculteur sur deux dépasse les 50 ans et où, en 10 ans, 21% des exploitations ont disparu, il devient impératif de soutenir les nouveaux exploitants par le biais d’incitations fiscales et de garanties pour les investisseurs. Dans cette optique, notre engagement se manifeste également dans la transition écologique, avec la mise en place de certificats carbone, la création d’un conseil de gestion collective de l’eau et la promotion de techniques innovantes comme les nouvelles techniques de sélection des plantes (NBT). Nous sommes résolument dans une ère où la comptabilité et la négociation jouent un rôle central, transcendant l’image traditionnelle du paysan avec sa bêche.

Nous comptons sur le débat à venir pour faire du renouvellement des générations, de la transition agroécologique et du renforcement de la souveraineté alimentaire non pas un slogan, mais une réalité. Notre responsabilité collective est d’insuffler une nouvelle vision à notre secteur agricole, de garantir sa durabilité, et d’assurer une sécurité alimentaire robuste pour les générations à venir. Le défi alimentaire mondial est devant nous. La France est un grand pays agricole et agroalimentaire, et devrait être au premier rang pour relever ce défi. Encore faut-il s’en donner les moyens et comprendre enfin que l’agriculture devrait être une priorité nationale.

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Olivier Marleix : « Le jeunisme d’Attal sert à masquer l’obsolescence du macronisme »

Le chef des députés LR dénonce un «gouvernement très parisien» et annonce que la droite ne votera pas la confiance au premier ministre.

Avez-vous été surpris par la nomination de Rachida Dati au ministère de la Culture ?

Il y a peu, Rachida Dati dénonçait « Macron et son gouvernement, leur absence de conviction(…), un parti de traîtres de gauche et de traîtres de droite ». Vous me direz qu’elle n’est pas la première. Avant elle, Bruno Le Maire nous avait avertis : « Emmanuel Macron est l’homme sans projet parce que l’homme sans convictions. » Tandis que Gérald Darmanin considérait que « loin d’être le remède du pays », Emmanuel Macron « en serait le poison définitif ». En politique, on a toujours envie de croire que les autres sont comme vous, qu’ils agissent par conviction. Alors, quand ils vendent leur âme par opportunisme personnel, c’est toujours un peu une déception.

N’est-ce pas une perte pour des Républicains ?

Ce sera l’occasion pour d’autres d’émerger.

Dati doit-elle rester présidente du groupe Changer Paris, en vue des prochaines municipales ?

Éric Ciotti a clairement acté que Rachida ne faisait plus partie de notre famille politique. Ce doit être le cas également à Paris.

Quelles leçons politiques en retenez-vous sur les nouveaux rapports de force à l’Assemblée ?

Ce nouveau gouvernement ne change rien au fait que M. Macron ne dispose pas de majorité à l’Assemblée. Soyons sérieux : le sujet, ce n’est pas le casting ! Ce n’est pas la « Star Academy » ! Le sujet, c’est : quelle politique ? Quel cap? À défaut d’être capable de répondre à cette question, à défaut d’agir sur le réel, le président Macron fait des castings. Ce gouvernement très parisien éloigne un peu plus les Français de la politique. Les gens comprennent bien que cela ne changera rien à leur vie ! La France est toujours au bord de la faillite, les classes moyennes sont exsangues, nos frontières sont des passoires, l’insécurité explose, il y a une crise du logement historique et nous sommes désormais un pays où l’industrie pèse autant qu’en Grèce !

Ce nouveau « débauchage » voulu par Macron ne marque-t-il pas un désaveu de la stratégie du président des Républicains, Éric Ciotti, qui n’aurait pas osé rompre avec les « vieux réflexes » de la droite, comme certains le regrettent au sein des LR ?

Vous l’avez compris, à mes yeux, ce débauchage n’intéresse que le microcosme parisien. Il ne change rien à la vie des Français, rien à la vie des Républicains.

Mais quelle solution voyez-vous pour protéger votre parti de ce piège chronique qui mine votre famille politique depuis 2017 ?

Le fait est que, depuis sept ans, le président de la République semble mettre une énergie démesurée à vouloir détruire Les Républicains. La raison est simple : toute sa politique consiste à vouloir réduire la vie politique française à un match entre le prétendu « camp de la raison », qu’il incarnerait, et un prétendu « bloc populiste », représenté par le RN. Nous sommes les derniers à refuser ce jeu mortifère, à vouloir l’unité nationale, à dire que la France a besoin de tous les Français : banquiers ou ouvriers, startuppeurs et agriculteurs. Et, dans cette Assemblée nationale, nous le faisons concrètement en n’étant prisonniers d’aucune combinaison politicienne. On impose à la majorité les 15 heures d’activité pour les allocataires du RSA et on construit un texte sur l’immigration que même le RN ne peut désavouer. Macron, c’est la fracturation du pays ; notre projet, c’est sa réconciliation.

Rachida Dati dit avoir été encouragée par Nicolas Sarkozy à accepter de rejoindre le gouvernement. Soupçonnez-vous une implication de l’ex-président ?

Nicolas Sarkozy plaidait pour qu’Emmanuel Macron tende la main aux Républicains sur un projet politique de droite et nomme une personnalité de droite à Matignon. On en est loin ! Emmanuel Macron a soigneusement éconduit les candidats de Nicolas Sarkozy, et ses propositions avec. Fin de l’histoire. Quant à nous, nous avons appris à nous reconstruire sans Nicolas Sarkozy. À la différence de Nicolas Sarkozy, je n’ai jamais vu d’avenir dans une alliance avec cette majorité à la dérive. Pour des raisons essentielles : on a besoin de souveraineté nationale, pas de ce mondialisme débridé ; on a besoin du courage de réduire la dépense publique, pas de la dépense à vau-l’eau ; on a besoin de se battre pour les Français les plus en difficulté, pas seulement pour les « premiers de cordée ». Je pense que l’après-Macron appellera une rupture avec le macronisme, pas une « combinazione ».

Dans l’hypothèse où Gabriel Attal se soumette à un vote de confiance, que feront vos députés ?

Voter la confiance, c’est être dans la majorité. Nous avons été élus dans l’opposition, donc nous ne la voterons évidemment pas. À part le départ de Mme Borne, qu’est-ce qui a changé, en vrai ? Rien. Le jeunisme de Gabriel Attal sert à masquer l’obsolescence du macronisme. L’hôpital est toujours en faillite et les 32 milliards d’euros annoncés par le premier ministre sont déjà votés et exécutés ; les Français n’ont toujours pas de médecins ; la justice trop faible est sans moyens ; le niveau scolaire s’effondre… Et seule Mme Oudéa-Castéra oublie que M. Macron gouverne depuis sept ans !

Les Insoumis brandissent la menace d’une motion de censure si le premier ministre refuse de se soumettre à la confiance. Et vous ?

En l’absence de majorité absolue, le gouvernement ne peut pas demander la confiance de l’Assemblée. On ne peut pas lui en faire le reproche. LFI poursuit son projet anarchique ; nous conservons notre sens des responsabilités.

Quels seront les points forts sur lesquels la droite voudra peser en cette rentrée parlementaire ?

Il y aura la question de l’énergie, avec la future loi de programmation pluriannuelle. Elle est au cœur de trois dimensions stratégiques : la souveraineté, la compétitivité pour notre industrie et notre agriculture, et le pouvoir d’achat des Français. Ce n’est ni aux Français ni aux entreprises de payer la facture des dix années de dérive de l’Arenh (accès régulé à l’électricité nucléaire historique), qui aura permis à des gens sans scrupule de constituer des fortunes privées sur le dos d’EDF. Et puis, puisque M. Attal prétend faire de l’ « autorité » le mantra de son action, il serait temps que ce gouvernement renoue avec une politique pénale de fermeté : la France vit toujours sous le régime du laxisme pénal de Mme Taubira. À quand le réveil ? Rétablissons les peines planchers et élargissons cette pratique pour redonner force à la loi. On verra alors si ce gouvernement tient plus du sarkozysme ou du hollandisme !

Quelle suite prévoyez-vous si le Conseil constitutionnel censure la loi immigration, le 25 janvier ?

Ce sera une heure de vérité pour le gouvernement. Se résignera-t-il à un éventuel affaiblissement de la loi sans broncher, voire en s’en réjouissant ? Ou aura-t-il la volonté d’agir en proposant un nouveau texte ou en réformant la Constitution ? Il jouera là sa crédibilité. Parler d’autorité, c’est bien, en faire preuve, c’est mieux.

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Annonce du Gouvernement pour l’hôpital : encore un coup de communication

Le Dr. Yannick Neuder, député de l’Isère, secrétaire national des Républicains délégué à la santé, dénonce l’énième coup de communication du Gouvernement ayant annoncé ce samedi « 32 milliards d’euros supplémentaires » pour le système de santé dans « les cinq ans à venir » et assuré la poursuite d’un « investissement massif » pour l’hôpital public.

Cette annonce n’est en réalité qu’illusoire alors même que ces 32 milliards d’euros sont déjà prévus dans la loi de programmation des finances publiques pour les années 2023 à 2027. Le Gouvernement n’annonce donc rien de nouveau, alors même que l’hôpital se meurt.

Par ailleurs, le Dr. Yannick Neuder est convaincu que l’hôpital a besoin d’une vraie réforme de financement plutôt qu’un nouveau chèque sans provision.

L’heure doit être à un vrai « Grenelle de la Santé » : pluriannualité des financements, développement du soin de ville, virage ambulatoire, revalorisation des soignants, attractivité des métiers du soins, etc.

L’hôpital ne se portera jamais mieux sans une médecine de proximité renforcée et avec plus de médecins.

Aussi, le Dr. Yannick Neuder rappelle que sa proposition de loi adoptée le 7 décembre dernier par l’Assemblée nationale vise à supprimer le système obsolète et ultra-sélectif du numerus apertus. Il invite le Gouvernement à s’en saisir.

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Rachida Dati ne fait plus partie des Républicains

Chers compagnons,

Rachida Dati a fait le choix de rejoindre le nouveau gouvernement dirigé par Gabriel Attal. Par cette décision, elle est sortie de notre famille politique : il n’est pas possible d’appartenir à un parti d’opposition et – en même temps – d’appartenir au gouvernement.

Dans les temps incertains que nous traversons, au milieu de toutes les difficultés qui accablent nos concitoyens, nous avons plus que jamais le devoir de la cohérence et de la fidélité.

Une fois encore, Emmanuel Macron est à la manœuvre pour déstabiliser la droite républicaine, car nous sommes la seule voie alternative au macronisme.

La pratique des débauchages individuels ne saurait pourtant tenir lieu de politique et ne nous invite pas à l’optimisme. Les variations de ton et de casting ne sauraient remplacer l’indispensable changement de méthode attendu par les Français.

Je veux dire au président de la République que nous n’avons pas vocation à être les supplétifs de la Macronie.

Nous sommes un parti d’opposition et nous sommes déterminés à le demeurer.

En 2022, j’ai été élu député d’opposition et je n’ai jamais cessé d’agir comme tel depuis lors. Il y a un an, vous m’accordiez votre confiance en me désignant à la présidence de notre famille politique afin qu’elle s’inscrive résolument dans l’opposition à Emmanuel Macron, et je n’ai jamais cessé d’agir comme tel depuis lors.

Nous ne dévierons pas de ce chemin. Fidèles à nos valeurs et à nos principes, nous demeurerons un parti d’opposition : opposé à la politique des coups de com’, opposé à l’impuissance du en-même-temps, opposé aux incohérences d’une action indécise, opposé aux politiques de renoncement qui veulent atténuer le déclin du pays et non le conjurer.

Dans la cohérence et la clarté, nous continuerons le combat pour la France, sans concession ni compromission.

Avec l’assurance de tout mon dévouement,

Éric CIOTTI
Président des Républicains

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Réunion de la 1ère Circonscription du Morbihan : Galette républicaine le 23/1/24

Votre délégué vous convie à une galette républicaine à l’occasion de la réunion mensuelle de la 1ère circonscription des Républicains du Morbihan qui aura lieu le :

Mardi 23 Janvier 2024 à 18:00 H

Permanence des Républicains 13, rue Hoche (Parking des Trente)

à VANNES.

Nous aurons l’ordre du jour suivant :

Actualités locales

  • Vœux 2024.
  • Programme de l’année.
  • Invitation de personnalités extérieures.

 Actualités nationales

  • Suivant l’actualité. 

Les élections européennes 🇪🇺

  • La désignation de notre chef de file au parlement européen : FXB.
  • La campagne pour les élections européennes 🇪🇺
  • Quelle Europe voulons-nous ?
  • Les axes de la futur campagne, comment les voyez-vous ?

.

Galette Républicaine  🇫🇷

Une retransmission par zoom devrait être proposée. Dans ce cas, le lien sera mentionné sur notre site.

Dans l’attente de se retrouver,

Amitiés militantes,

Alain-Michel RICHER

Délégué de la 1ère circonscription 

Fédération des Républicains du Morbihan

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Agnès Evren : « Il ne faut pas que la communication se substitue à l’action »

Agnès Evren, vice-présidente de notre mouvement et sénatrice de Paris, était l’invitée de Public Sénat.

Elle est revenue sur la nomination du nouveau Premier ministre, le bilan du ministre de l’Education et l’envolée de la dette de Paris.

Pour la sénatrice Les Républicains @AgnesEvren, la nomination de Gabriel Attal à Matignon est “un choix audacieux” : “J’espère qu’il ne sera pas le simple collaborateur du chef de l’Etat et qu’il saura ne pas se soumettre aux hésitations d’Emmanuel Macron”.#BonjourChezVous pic.twitter.com/FxOTV6JmSb

— Public Sénat (@publicsenat) January 10, 2024

Gabriel Attal à Matignon : quel bilan pour son passage à l’Education nationale ?

Les questions de @SAJourdin à @AgnesEvren, sénatrice @lesRep_Senat de Paris#BonjourChezVous pic.twitter.com/DKRa9BiAoM

— Public Sénat (@publicsenat) January 10, 2024

Comment faire face à l’envolée de la dette de Paris ?

Les questions de @JacquesPaquier, rédacteur en chef du @JournalGdParis à @AgnesEvren, sénatrice @lesRep_Senat de Paris#BonjourChezVous pic.twitter.com/PhlF9P3PS6

— Public Sénat (@publicsenat) January 10, 2024

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Geoffroy Didier : « Les problèmes structurels sont toujours les mêmes, le courage à réformer n’est toujours pas là »

Geoffroy Didier, secrétaire général délégué de notre mouvement et député européen, était l’invité de Public Sénat.

Il est revenu sur la nomination du nouveau Premier ministre et les élections européennes.

Gabriel Attal Premier ministre : @GeoffroyDidier salue la nomination d’un “homme issu de la gauche mais qui utilise des mots de droite”, mais préfère rester prudent : “l’énergie de la jeunesse n’a jamais produit un point de croissance”.#BonjourChezVous pic.twitter.com/hUwRdNoXyw

— Public Sénat (@publicsenat) January 10, 2024

Pour @GeoffroyDidier, la nomination de Gabriel Attal reste “un joli coup de communication”, éphémère. “Les problèmes structurels sont toujours les mêmes, le courage à réformer n’est toujours pas là”, dénonce le secrétaire général délégué des Républicains.#BonjourChezVous pic.twitter.com/EOQe5wBtKV

— Public Sénat (@publicsenat) January 10, 2024

Gabriel Attal a annoncé vouloir réunir cette semaine les “forces vives” du pays. Pour @GeoffroyDidier, si le chef de file des Républicains Éric Ciotti est convié, il mettra la question d’une réforme constitutionnelle sur l’immigration au centre des discussions.#BonjourChezVous pic.twitter.com/Op1tVroL89

— Public Sénat (@publicsenat) January 10, 2024

Européennes : “Ce ne sont ni Jordan Bardella, ni Gabriel Attal, qui vont réformer l’Europe”, tranche @GeoffroyDidier. L’eurodéputé dénonce un projet européen de la majorité qui entraîne la “dilution des souverainetés nationales” et un RN “fossoyeur de l’Europe”.#BonjourChezVous pic.twitter.com/6B372mBXxs

— Public Sénat (@publicsenat) January 10, 2024

L’eurodéputé @GeoffroyDidier estime que Les Républicains ne sont pas en retard dans la désignation de leur candidat pour les élections européennes : “Ce serait malsain que la seule alternative au pouvoir en place soit l’extrémisme”.#BonjourChezVous pic.twitter.com/4x6K0n6gaX

— Public Sénat (@publicsenat) January 10, 2024

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Ian Boucard : « Le “en même temps”, c’est terminé. Les gens veulent des décisions fermes et assumées »

Ian Boucard, secrétaire général adjoint de notre mouvement et député du Territoire de Belfort, était l’invité de Radio J.

Il est revenu sur la nomination du nouveau Premier ministre et sur le report de la publication du rapport de la Cour des Comptes sur l’immigration.

“Le “en même temps”, c’est terminé. Les gens ne veulent plus du « droite et de gauche », ils veulent des décisions fermes et assumées.”@IanBoucard , Député LR du Territoire de Belfort, au micro de @C_Barbier pic.twitter.com/ulyV45aVfI

— RADIO J (@RadioJFrance) January 10, 2024

Rapport #Moscovici Cour des comptes
“Ce qu’il a fait est une honte. Les chiffres de la Cour des Comptes nous auraient permis d’éclairer le débat parlementaire sur l’immigration. Pierre Moscovici doit partir.”@IanBoucard , Député LR du Territoire de Belfort, au micro de… pic.twitter.com/yuNEopjzRf

— RADIO J (@RadioJFrance) January 10, 2024

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Gérard Larcher : « L’hyperprésidentialisation sera le premier problème d’Attal »

En souhaitant bonne chance au nouveau premier ministre, le président du Sénat rappelle l’urgence du passage aux actes. « Il est temps d’arrêter les annonces, les discours… Le pays attend des solutions. » Gérard Larcher espère que cette nomination n’est pas qu’un coup politique.

Qu’attendez-vous de la nomination de Gabriel Attal à Matignon ?

Je voudrais saluer l’action d’Élisabeth Borne qui n’a pas eu la tâche facile, sans majorité à l’Assemblée nationale, contrainte de gouverner à coups de 49.3, piégée par ce « en même temps » impossible, contrainte de durement négocier pour deux réformes majeures : retraites, et immigration et intégration. Je n’ai qu’un reproche à lui faire : elle n’a pas pris du tout en compte le travail du Sénat dans la version définitive du budget. Le 49.3 ne peut pas être la négation d’une écoute du Parlement. Quant à Gabriel Attal, je lui souhaite bonne chance. J’avoue être étonné par le flottement des conditions de changement de premier ministre. Il est clair que toute cette gesticulation, après le vote de la loi immigration, sur les menaces de démissions de ministres illustrait un manque de cohésion, un brouillage politique qui ne pouvait rester sans réponse. Je tiens à rappeler aux ministres que dans un régime parlementaire, c’est le Parlement qui est seul légitime à voter la loi et qu’elle s’impose à tous. Maintenant, se posent toujours les mêmes questions : comment enfin engager la France sur la voie du redressement ? Il faut enfin hiérarchiser et fixer des objectifs, des priorités et un calendrier : l’éducation, la santé, le logement, la décentralisation…

Que direz-vous au nouveau premier ministre lors de votre premier tête-à-tête ?

Passez aux actes! Il est temps d’arrêter les annonces, les discours… Le pays attend des solutions et ne peut pas continuer ainsi, sans réponses, en dérive financière.

Cette nomination voulue par Emmanuel Macron est-elle de nature à rassurer une France inquiète ?

Nous jugerons sur les actes. Ce n’est pas une question de personnalité. Si ce n’est qu’un coup politique, cela n’ira pas loin.

Le jeune profil du premier ministre est choisi comme le signal d’un nouveau dynamisme mais croyez-vous à sa capacité à faire preuve d’autorité ?

Il a fait preuve d’autorité à l’Éducation nationale. Mais vous avez de l’autorité seulement si le président vous en laisse et son plus gros problème viendra de l’hyperprésidentatialisation. C’est un sujet majeur avec la question de la verticalité du pouvoir. Voilà pourquoi la décentralisation est, me semble-t-il, la seule réponse à cette tentation permanente du chef de l’État qui a beaucoup de mal avec le Parlement. Selon l’article 20 de la Constitution, je rappelle que c’est le gouvernement qui détermine et conduit la politique de la nation.

La jeunesse est-elle un atout ou une faiblesse ?

La jeunesse peut être un atout à la condition d’écouter, de partager, de respecter le Parlement et de faire une équipe avec ses ministres. Nous, nous serons fidèles à notre ligne politique, un contrepouvoir exigeant, mais dans le dialogue à chaque fois qu’il s’agira de l’intérêt de la France.

Qu’aviez-vous pensé des vœux d’Emmanuel Macron ?

Emmanuel Macron a promis de faire de 2024 une « année de détermination ». Il s’engage aussi à un « réarmement civique » autour de l’école, après « le réarmement économique » et « le réarmement de l’État et de nos services publics» . Je voudrais rappeler au président de la République qu’il dirige la France depuis maintenant sept ans, après avoir été un acteur majeur du quinquennat de François Hollande. Cessons ces effets d’annonce, ces nouveaux caps sans lendemain auxquels plus aucun Français ne croit vraiment. Il nous faut encore et encore rappeler la réalité que personne ne veut regarder dans les yeux : l’économie française est au 7e rang mondial et à la 26e place pour le PIB par habitant. La dette dépasse 3 000 milliards d’euros (44 850 euros par Français), elle représentera 70 milliards d’euros d’intérêts en 2027et ce sera le premier budget de la nation. Le déficit commercial sera de plus de 110 milliards d’euros. Notre compétitivité recule. Le chômage devrait atteindre plus de 7,5% de la population active en 2024, quand la majorité des pays développés sont au plein-emploi. L’école de la République n’est plus que l’ombre d’elle-même. Notre système de santé se dégrade au point que les Français, de plus en plus nombreux, n’arrivent plus à se faire correctement soigner et nous avons eu six ministres de la santé successifs en six ans ! La nation se délite, il n’y a plus un territoire de la République qui ne soit pas gangrené par l’explosion de la violence. De quel nouveau cap nous parle-t-on ? Où est la détermination à inverser la spirale du déclin ? Quel est le résultat de cette politique et méthode de gouvernance ?

Le président de la République a saisi le Conseil constitutionnel sur la loi immigration en souhaitant la censure de certains articles. Comment appréciez-vous la démarche ?

La loi issue du Sénat et adoptée par le Parlement était indispensable. Elle est demandée par plus de 70 % des Français qui constatent l’échec de nos politiques migratoires et l’impossibilité d’avoir une réelle politique d’intégration. Le rapport de la Cour des comptes publié vendredi est extrêmement critique sur l’action de l’État pour lutter contre l’immigration irrégulière et son coût exorbitant (1,8 milliard d’euros). Il était donc urgent d’agir, mais cette loi sera-t-elle suffisante pour répondre à cette crise ? Le président de la République a saisi le Conseil constitutionnel sur l’ensemble du texte. La commission des lois du Sénat a fait ses observations. Nous attendons sa décision mais reprendre le contrôle dans le respect de la Constitution et du droit est indispensable. Par ailleurs, j’attends que le gouvernement respecte l’engagement qu’il a pris auprès de moi de réformer l’aide médicale d’État. Si l’inconstitutionnalité de certains articles est avérée, alors une modification de la Constitution s’imposera pour retrouver des marges de souveraineté dans nos politiques migratoires.

Le chef de l’État a promis un « rendez-vous avec la nation » mi-janvier. Avez-vous des précisions sur le sens de cette initiative ?

Je n’en sais rien et n’en attends pas grand-chose. Nous avons déjà connu les « cent jours », le Conseil national de la refondation et les Rencontres de Saint-Denis sans grand résultat. En réalité, ce rendez-vous avec la nation a déjà eu lieu, d’abord en 2017 puis en 2022 avec son élection.

Après votre déplacement en Israël et dans les Territoires palestiniens, comment jugez-vous le climat dans la région et sur le plan international ?

On ne sort pas indemne de ces rencontres. La population israélienne a été profondément traumatisée par les crimes terroristes du 7 octobre où 41 Français ont été assassinés. Trois de nos compatriotes sont encore portés disparus ou retenus en otages par le Hamas. Nous ne pouvons plus attendre pour leur rendre un hommage national. Israël me paraît déterminé à éradiquer toutes les capacités militaires du Hamas. Je n’ignore pas les souffrances du peuple palestinien, chaque vie compte et je me suis entretenu à Ramallah avec le président Abbas. Nous avons également rencontré les communautés chrétiennes, « prises entre deux feux ». Même lointaine, la solution à deux États est la seule possible. L’aide humanitaire doit pénétrer plus massivement à Gaza. Sur le plan international, le recul de l’influence de la France est général. Je le constate avec tous mes interlocuteurs : jamais la parole de la France n’a si peu porté. Cette situation, que je constate aussi en Afrique, me préoccupe.

Éric Ciotti se félicite d’une droite à l’offensive, Laurent Wauquiez assure qu’un espoir s’est levé du côté de votre famille politique. Et vous, que constatez-vous ?

Il nous faut poursuivre dans la voie de la reconstruction, ce qu’a engagé avec courage Éric Ciotti. Il nous faut sans cesse rechercher plus de cohésion, plus de lisibilité et montrer notre différence comme nous l’avons fait sur les retraites ou sur l’immigration et comme nous le proposons en matière de décentralisation. En étant fidèles à nos valeurs et utiles pour contribuer au redressement de la France, nous regagnerons la confiance des Français.

Vous n’aviez pas repris la parole après votre retentissant « Ferme ta gueule » adressé à Jean-Luc Mélenchon le 6 décembre sur RTL. Regrettez-vous ces paroles ?

C’était une réaction spontanée, un cri du cœur face à la radicalisation irresponsable de Jean-Luc Mélenchon. La banalisation de l’antisémitisme au sein de l’extrême gauche est intolérable, c’était trop ! Je pense avoir dit tout haut ce que beaucoup de Français et de responsables politiques avaient envie d’exprimer. Je ne suis pas coutumier des écarts de langage, ni des mouvements d’humeur, c’est je pense, une des raisons de cet écho médiatique. La polémique est close mais, à cette occasion, j’ai pu observer, une nouvelle fois, une vraie rupture dans les réactions de quelques commentateurs qui pensent faire l’opinion et celles des Français, des élus, qui m’ont massivement apporté leur soutien. En fait, c’est le décalage entre le café du Village et le Café de Flore !

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