“La droite de la fidélité et du sursaut”

Chères adhérents, Chers adhérents,

“La droite de la fidélité et du sursaut”

« Il ne faut pas faiblir. » – Muriel Jourda

Il y a des moments où la politique ne peut plus se payer de mots : elle doit choisir. Pour Les Républicains, ce moment est venu. Clarifier, ce n’est pas se diviser : c’est se redresser.

Depuis trop longtemps, notre parti a vécu dans la confusion des lignes et la faiblesse des structures. Les élus ont cru pouvoir décider seuls ; les militants ont perdu confiance. Il est temps de remettre de l’ordre : le parti fixe la ligne, les députés la servent. Sans autorité, il n’y a pas de crédibilité.

Deux faits ont scellé la rupture : la dissimulation par Sébastien Lecornu de la composition réelle du gouvernement, notamment le maintien de Bruno Le Maire, symbole du naufrage budgétaire ; et le virage assumé vers la gauche, qui annonce l’enterrement de la réforme des retraites et de nouvelles hausses d’impôts. Face à cela, la décision du Bureau politique est non seulement légitime : elle est nécessaire.

Nous n’avons pas adhéré à un parti de droite pour devenir le dernier soutien d’un président finissant sous la férule d’un Premier ministre qui nous a trahis. La fidélité n’est pas une faiblesse : c’est une force morale. Elle donne à la droite sa dignité et son cap. Reconstruire Les Républicains, c’est refuser le cynisme des débauchages, c’est préférer la cohérence à la facilité.

Oui, le passage est difficile. Mais il est porteur d’espérance. Les adhésions qui affluent disent une chose simple : les Français veulent une droite de conviction, pas d’appoint ; une droite d’autorité et de responsabilité, pas d’ambiguïté.

Clarifier pour reconstruire.

Fidélité, autorité, cohérence.

Ne pas faiblir.

C’est pourquoi, comme notre président Bruno Retailleau s’est engagé à vous donner la parole sur la position de notre mouvement, vous pourrez répondre à la consultation en ligne sur la question suivante :

“Soutenez-vous la décision du Bureau politique de refuser la participation des Républicains au gouvernement ?”

Clarifier pour reconstruire.

Fidélité, autorité, cohérence.

Ne pas faiblir.

Fidèlement,

Muriel JOURDA

Présidente de la Fédération des Républicains du Morbihan.

Alain-Michel RICHER

Secrétaire départemental,

Délégué de la 1ère circonscription 

de la Fédération du Morbihan

🗳️ INFORMATIONS PRATIQUES 

sur la consultation

Dates et horaires du vote

Le scrutin se déroulera du lundi 13 octobre à 18h jusqu’à mardi 14 octobre 18h 

*Vote en ligne*

Le vote se fera uniquement en ligne via la plateforme simplivote. Le lien de connexion sera envoyé à chaque adhérent à jour de cotisation 

à l’ouverture du vote.

*Conditions pour voter*

Seuls les adhérents à jour de leur cotisation peuvent participer au vote.

Chaque électeur devra disposer de son numéro d’adhérent.

Un mot de passe temporaire sera envoyé par SMS sur le téléphone portable de l’électeur et permettra de voter une seule fois.

 

*Assistance*

Une hotline sera disponible le lundi 13 octobre de 16h à 21h et mardi 14 octobre de 9h à 18h.

Par email : adherents@republicains.fr

Par téléphone : 01 40 76 60 00

MAIS N’OUBLIEZ PAS DE REGARDER DANS VOS SPAMS !

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Pourquoi j’ai décidé de quitter le gouvernement

Chers compagnons,

Comme vous le savez, j’ai choisi de ne pas participer à ce gouvernement.

Depuis un an, j’ai moi-même tout tenté pour contribuer à la stabilité du pays. Mais depuis dimanche, les choix totalement déconnectés du président de la République apparaissent comme une fuite en avant qui désespère les Français. Alors même que le parti présidentiel a perdu les dernières élections législatives, qu’il est aujourd’hui totalement minoritaire dans le pays, Emmanuel Macron a choisi de se recroqueviller sur un dernier carré de fidèles.
Ma conviction, c’est que la droite ne peut pas participer à un gouvernement qui incarnera le macronisme finissant.
Par ailleurs, aucun Français n’est dupe : ce gouvernement ne peut tenir qu’en trouvant un accord de non-censure avec le parti socialiste.

Le rôle de la droite n’est pas de faire une politique de gauche.
Une politique qui aggraverait la crise budgétaire, avec la suspension de la réforme des retraites. Une politique qui renforcerait l’assistanat mais aussi le laxisme sécuritaire et migratoire, car c’est le projet d’Olivier Faure et de ses amis.

Ne pas participer ne signifie pas pour autant censurer.
Nous ne serons pas des artisans du chaos et si ce gouvernement propose des mesures utiles au pays, nous devrons les soutenir.
Mais notre rôle est désormais d’incarner la rupture dont le pays a besoin, à travers un vrai projet de droite, solide et crédible.
Telle est la position que notre Bureau politique a très majoritairement tranchée.

Mais parce que, lorsque vous m’avez élu président des Républicains, je m’étais engagé à vous donner la parole, je veux également vous consulter sur cette position de notre mouvement dans les prochains jours.

Votre voix doit pouvoir s’exprimer et votre choix devra être respecté, par tous.

Car le parti, c’est vous.

Fidèlement,

Bruno Retailleau
Président des Républicains

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Annonce de la composition du gouvernement

Le 10 octobre, le Bureau Politique des Républicains a voté contre la participation des LR au gouvernement. En conséquence, les membres LR qui ont accepté d’entrer au gouvernement ne peuvent plus se réclamer de LR. Ils cessent immédiatement leurs fonctions dans nos instances dirigeantes que nous réunirons dans les tout prochains jours pour statuer de manière définitive.

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Bureau Politique des Républicains du 11 octobre

Le Bureau Politique des Républicains réaffirme la nécessité de doter la France d’un budget : c’est la raison pour laquelle les Républicains seront responsables et ne seront pas les artisans du chaos.

Le Bureau Politique affirme donc un soutien texte par texte au gouvernement mais qu’à ce stade, la confiance et les conditions ne sont pas réunies pour que Les Républicains participent au gouvernement.

Cette délibération a été adoptée à une large majorité.

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Bruno Retailleau : « Ma rupture, c’est une révolution du bon sens »

Bruno Retailleau, ministre de l’Intérieur et président de notre mouvement, était l’invité de France 2.

Il est revenu sur la démission du Premier minsitre, notre refus d’entrer dans un gouvernement de gauche et nos propositions.

“Je n’ai jamais été macroniste et je ne le serai jamais. Je suis dans un gouvernement pour la France, pas pour un président de la République.”

@BrunoRetailleau sur @FranceTV pic.twitter.com/vPQFowHdk6

— les Républicains (@lesRepublicains) October 7, 2025

Je ne reviendrai certainement pas dans un gouvernement dirigé par la gauche ou par un macroniste. pic.twitter.com/UvLr4Il8gd

— les Républicains (@lesRepublicains) October 7, 2025

Ma rupture c’est une révolution du bon sens.

Que le travail paie plus que l’assistanat, que l’immigration n’est plus une chance, que la justice doit sanctionner et non pas excuser.

Ma rupture c’est une France qui soit fière d’elle-même, fière de son Histoire, fière de son… pic.twitter.com/D1X6DgUvzb

— les Républicains (@lesRepublicains) October 7, 2025

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Bruno Retailleau : « Il faut un gouvernement de cohabitation, pas une fusion avec le macronisme »

Bruno Retailleau, ministre de l’Intérieur et président de notre mouvement, était l’invité d’Europe 1 et CNews.

Il est revenu sur la démission du Premier ministre, la participation de notre mouvement au gouvernement et nos victoires lors des dernières élections législatives partielles.

“Ce qui est exclu c’est que LR se dissolve dans une majorité macroniste. Nous souhaitons un gouvernement de cohabitation.”

@BrunoRetailleau sur @Cnews et @Europe1 pic.twitter.com/mkIIlTFUTo

— les Républicains (@lesRepublicains) October 7, 2025

“Ce gouvernement c’était le symbole de la déconnexion totale du macronisme.”

@BrunoRetailleau sur @Cnews et @Europe1 pic.twitter.com/Vti8qL18LK

— les Républicains (@lesRepublicains) October 7, 2025

« Nous sommes entrés au gouvernement pour stabiliser le pays et faire barrage à la gauche. »

@BrunoRetailleau sur @CNEWS et @Europe1 pic.twitter.com/K2g0brXFDF

— les Républicains (@lesRepublicains) October 7, 2025

4 victoires sur 6 élections législatives partielles : la confiance des Français se confirme.
Nous ne craignons pas les urnes, mais une nouvelle dissolution ne garantirait aucune stabilité. pic.twitter.com/MGC65EzC2a

— les Républicains (@lesRepublicains) October 7, 2025

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Bruno Retailleau : « La politique, c’est la loyauté et la confiance »

Bruno Retailleau, ministre de l’Intérieur et président de notre mouvement, était l’invité de TF1.

Il est revenu sur la démission du Premier ministre et nos propositions.

J’ai ressenti hier ce que des millions de français ont ressenti : on nous promet une rupture et on se retrouve avec des chevaux de retour. pic.twitter.com/9uRO4C7SUd

— les Républicains (@lesRepublicains) October 6, 2025

Le parti ou le pays, j’ai fait le choix du pays. Je veux servir mon pays mais pas à n’importe quelles conditions. pic.twitter.com/N4gqatw6I8

— les Républicains (@lesRepublicains) October 6, 2025

Il est hors de question de cautionner un gouvernement et un Premier ministre de gauche. pic.twitter.com/qYZImCjcNu

— les Républicains (@lesRepublicains) October 6, 2025

Il y a un énorme contraste entre le paysage politique et ce que pensent les Français.

Une immense majorité de Français, la France des honnêtes gens, veut moins d’immigration, plus de sécurité et moins d’assistanat. pic.twitter.com/fsCS0PCbWV

— les Républicains (@lesRepublicains) October 6, 2025

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Consultation LR : ce que vous nous avez dit sur le travail

Nous remercions chaleureusement tous nos adhérents qui ont consacré du temps à répondre à la consultation sur le travail. Près de 20 000 contributions ont été recueillies, illustrant la vitalité et l’engagement qui animent la vie démocratique de notre parti.
Ces retours, riches tant sur le plan quantitatif que qualitatif, représentent un véritable trésor pour alimenter notre réflexion collective.

D’un point de vue quantitatif, le tableau ci-joint révèle un large consensus parmi vous sur les différentes questions posées. Les taux d’adhésion sont très importants, traduisant une orientation claire et largement partagée.

QUESTIONS DE TYPE OUI/NON

QUESTIONS À CHOIX SPÉCIFIQUE

Sur le plan qualitatif, plusieurs milliers de verbatims, souvent très riches, ont été analysés. Pour vous offrir une synthèse aussi complète que possible, nous avons eu recours à l’intelligence artificielle.

En cliquant sur le bouton ci-dessous, vous accéderez à trois podcasts (moins de 2 minutes). qui restituent fidèlement les opinions majoritaires exprimées. Ces enregistrements apportent en outre un éclairage complémentaire précieux aux résultats quantitatifs.

Écoutez le podcast
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Cette consultation nous oblige, et nous travaillons d’ores et déjà à une série de propositions qui répondront clairement et fermement à l’ensemble des préoccupations que vous avez exprimées. Vous pouvez compter sur notre détermination à ce sujet.

D’autres consultations seront lancées prochainement sur divers thèmes, afin de bâtir un projet de parti capable de rassembler une majorité nationale autour de nos idées.

Avec nos remerciements renouvelés et nos amitiés.

Les Républicains

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Guillaume Larrivé : « A la recherche de la cité perdue »

Quels que soient les soubresauts politiques des mois qui viennent, chacun devine que les grandes questions qui se posent au pays devront être tranchées lors de l’élection présidentielle à venir.

En devenant la vingt-huitième personnalit Jnommée à Matignon depuis les débuts de la Ve République, Sébastien Lecornu a accepté de diriger un gouvernement qui ne peut qu’avoir un caractère provisoire dans sa durée et ses effets. Quels que soient les soubresauts politiques des mois qui viennent, chacun devine que les grandes questions qui se posent au pays devront être tranchées lors de l’élection présidentielle à venir. Dix-neuf mois avant cette échéance, il me semble pourtant nécessaire de dissiper ce qui pourrait être un malentendu, sans craindre d’ouvrir un nécessaire débat institutionnel.

Car l’enjeu de 2027 ne sera pas seulement d’élire un successeur au président Macron. Il s’agira, en vérité, de retrouver notre cité, c’est-à-dire de choisir un pouvoir capable d’exercer à nouveau le pouvoir.

Le malentendu, en effet, serait de croire qu’il nous suffirait de remplacer un Prince élu par un autre. Céderons-nous encore à l’illusion de l’incarnation providentielle ? Méfions-nous de ce vocabulaire aux réminiscences christiques : ici-bas, le verbe n’est pas Dieu et il ne se fait pas chair. Nous commettrions collectivement une erreur tragique si nous imaginions, une nouvelle fois, que l’élection d’un nouveau président de la République sera, à elle seule, l’instant magique où se concentreront toutes les délibérations et toutes les décisions politiques de la nation.

L’expérience des vingt-cinq dernières années devrait plutôt nous inciter à la circonspection, puisque l’élection suprême n’a donné à aucun des derniers présidents de la République la force de transformer profondément les politiques publiques. Le lent déclin de la France a-t-il été interrompu ? Non. Comment ne pas voir que, triomphalement sacrés l’année n, les présidents ont été plongés dans la marmite bouillonnante de l’impopularité les années n+1 et n+2, avant d’être paralysés dans l’impuissance les années n+3 et n+4, et de finir péniblement leur mandat l’année n+5 ?

Malheur français. La réélection presque miraculeuse de l’actuel président n’a fait que repousser la date ultime à l’année n+10 ; mais l’étalement de cette très longue fin de règne n’a fait qu’aggraver le cycle de l’impuissance publique. Si nous continuons à faire semblant de croire que l’élection du chef de l’Etat au suffrage universel direct suffit pour délibérer et décider de tout, le même cycle se poursuivra avec le nouveau président quinquennal – qui verra lui aussi, à ses dépens, qu’il n’y a pas loin du Capitole à la roche tarpéienne. Comme ses prédécesseurs, il quittera à son tour le temple de Jupiter et sera symboliquement jeté dans le vide.

Le « comment » importera plus encore que le « qui ». Car même s’il est doué d’un talent rhétorique, voire d’une dimension charismatique, le neuvième président de la Ve République ne pourra, par son seul leadership, rompre avec le déclin de la France s’il ne parvient pas à faire précisément trancher par les Français des questions juridiques et institutionnelles trop longtemps repoussées. Enonçons-les ici, sans asséner des réponses péremptoires, mais en formant le vœu que ces interrogations soient enfin prises au sérieux dans les mois qui précèdent l’élection présidentielle.

La première question est fondamentale, parce qu’elle est désormais au cœur du malheur français et de la révolte populaire face à l’aggravation des défis régaliens – chaos migratoire, hyperviolence – qui menacent la paix civile. Pourra-t-on surmonter l’impossibilisme juridique qui s’oppose à la volonté majoritaire des citoyens au nom des droits de l’homme, sans pour autant tomber dans l’illibéralisme politique qui écraserait les droits de l’homme au nom de la volonté majoritaire des citoyens ?

Autrement dit : comment réconcilier l’Etat de droit (c’est-à-dire la garantie des droits) et la démocratie nationale (c’est-à-dire la souveraineté du peuple) ? Dans tous ses aspects, le contrôle de constitutionnalité devra faire l’objet d’un débat serein mais approfondi. Qui sont les juges constitutionnels ? Qui peut demander la censure d’une loi à ces juges ? A quel moment ? Quel doit être le bloc de constitutionnalité à prendre en compte pour censurer la loi ? Comment organiser le dialogue entre l’autorité constituée que sont les juges constitutionnels et le pouvoir constituant que sont le peuple et ses représentants ?

Responsabilité. Quelle utilisation peut-on faire du référendum, dans quels domaines, pour que des lois soient adoptées directement par le peuple souverain ? De même, nous devrons nous interroger sur le contrôle de conventionnalité, c’est-à-dire la relation entre les lois et les stipulations de droit international, y compris celles qui proviennent des diverses institutions européennes : faut-il, comme c’était le cas jusqu’à la fin des années 1980, rétablir le pouvoir, pour une loi nationale adoptée postérieurement à une norme internationale, de déroger expressément à celle-ci?

La deuxième grande question est celle des relations entre les institutions politiques. La durée de la fonction présidentielle est-elle à revoir, pour lui redonner son caractère surplombant ? La responsabilité du gouvernement devant l’Assemblée doit-elle être équilibrée par une plus grande responsabilisation des députés, en ne prévoyant de motion de censure que si elle est constructive, c’est-à-dire si elle s’accorde sur le choix d’un nouveau chef de gouvernement ?

La troisième série de questions porte sur les périmètres de l’Etat, des libertés locales et des volontés contractuelles. Comment sortir de l’illusion selon laquelle un Etat méga-dépensier et ultra-normatif peut tout faire tout le temps ? Quelles sont les missions dont l’Etat doit avoir le monopole ? Quelles sont celles que les provinces et les communes, selon une organisation territoriale à repenser, doivent assumer ? Et quelles responsabilités incombent aux acteurs de la société – les entreprises, les syndicats, mais aussi les familles, les associations et, bien sûr, les individus eux-mêmes ?

Si les partis prenant part au débat politique respectent vraiment le peuple français, ils devront apporter des réponses réfléchies et précises à ces questions, en les formulant de manière audible par les citoyens. A droite, nous nous y emploierons bientôt, en cherchant à restaurer ainsi, lors de la cinquième élection présidentielle de notre siècle, ce qui avait été la force originelle de la Ve République : un pouvoir légitime et capable d’action.

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Michel Barnier : « Il faut rester autour de ces 40 milliards d’économies »

Michel Barnier, président du Conseil national de notre mouvement, député de Paris et Ancien Premier ministre, était l’invité de RTL.

Il est revenu sur la nomination du futur gouvernement et le budget.

Gouvernement #Lecornu : un soutien “pas automatique, il y a des conditions mais pas de ligne rouge”@MichelBarnier, ancien Premier ministre et député LR de Paris, invité de @ThomasSotto dans #RTLMatin pic.twitter.com/jqVYlHrtub

— RTL France (@RTLFrance) September 30, 2025

Budget : “Il faut rester autour de ces 40 milliards d’économies”@MichelBarnier, ancien Premier ministre et député LR de Paris, invité de @ThomasSotto dans #RTLMatin pic.twitter.com/YBbGOz4BDu

— RTL France (@RTLFrance) September 30, 2025

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