Agnès Evren : « C’est la foire aux impôts et aux taxes »

Agnès Evren, porte-parole de notre mouvement et sénatrice de Paris, était l’invitée de France 2.

Elle est revenue sur la suspension des ministres faisant partis de notre mouvement, le budget 2026, le projet de suspension de la réforme des retraites et le cambriolage du Louvre.

Suspension et non exclusion des ministres LR du gouvernement Lecornu II :

“C’est un objectif d’apaisement. L’idée était de fermer cet épisode. Ils reviendront, je l’espère dans notre famille politique” précise @AgnesEvren, porte-parole des Républicains. #Les4V pic.twitter.com/NSTJPp4UQw

— Telematin (@telematin) October 23, 2025

“Ce budget est invotable. C’est la foire aux impôts et aux taxes. Nous voulons réduire drastiquement les dépenses publiques.”

@AgnesEvren, porte-parole des Républicains, confirme les propos de B. Retailleau jugeant le budget “invotable”. #Les4V pic.twitter.com/u1ocmhbhic

— Telematin (@telematin) October 23, 2025

Suspension de la réforme des retraites :

“Nous voterons contre la suspension de la réforme. J’ai trouvé ça assez grotesque de revenir sur la principale réforme structurelle engagée depuis 7 ans” déclare @AgnesEvren, porte-parole des Républicains.#Les4V pic.twitter.com/BSH6ngDtQl

— Telematin (@telematin) October 23, 2025

Audition de la directrice du Louvre au Sénat :

“Elle a reconnu un échec et qu’il y avait un triptyque de failles sécuritaires. Elle a proposé la mise en place d’un commissariat de police au sein du Louvre” rapporte @AgnesEvren, porte-parole des Républicains.#Les4V pic.twitter.com/us0jte8jLE

— Telematin (@telematin) October 23, 2025

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Mathieu Darnaud : « Le Premier ministre a besoin de plus entendre le Sénat »

Mathieu Darnaud, président du groupe LR au Sénat et sénateur de l’Ardèche, était l’invité de Public Sénat.

Il est revenu sur le projet de suspension de la réforme des retraites, le budget 2026 et le budget des collectivités territoriales

Suspension de la réforme des retraites : “Voilà justement ce que l’on ne veut pas, trouver des compensations avec des contributions supplémentaires”, explique le président du groupe LR au Sénat, @mathdarnaud#BonjourChezVous pic.twitter.com/8hdolmAfpQ

— Public Sénat (@publicsenat) October 23, 2025

“J’attends de le rencontrer. Je pense que quand on a pour objectif de donner un budget à la France, on écoute les deux chambres. Le premier ministre a besoin de plus entendre le Sénat”, affirme @mathdarnaud qui rencontrera bientôt Sébastien Lecornu. pic.twitter.com/c4iKxGEXCG

— Public Sénat (@publicsenat) October 23, 2025

Budget 2026 : “Je ne me résigne pas à imaginer que nous aurons demain une nouvelle loi spéciale ou un budget par ordonnance”, déclare le président du groupe LR au Sénat, @mathdarnaud #BonjourChezVous pic.twitter.com/MmmEaj5ZX8

— Public Sénat (@publicsenat) October 23, 2025

Budget des collectivités territoriales : “Je ne voterai pas une nouvelle ponction pour les collectivités à hauteur de 5 milliards”, prévient le président du groupe LR au Sénat, @mathdarnaud qui évoque l’impact sur la croissance d’une réduction de la dotation. #BonjourChezVous pic.twitter.com/KS5TV7IzPe

— Public Sénat (@publicsenat) October 23, 2025

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Bruno Retailleau : « En l’état, le projet de budget est invotable »

En retrait depuis l’annonce du nouveau gouvernement, le patron des Républicains sort du silence et dénonce les concessions à la gauche tout en jugeant qu’un retour aux urnes devient inéluctable.

Nicolas Sarkozy a été incarcéré ce mardi. Quand lui avez-vous parlé pour la dernière fois ?

Je l’ai appelé lundi. Il est d’une résistance incroyable et sa combativité force l’admiration. Dans cette affaire, il y a un décalage particulièrement troublant entre l’absence avérée de financement illégal de sa campagne et la lourdeur de la peine prononcée. En outre, l’exécution provisoire vient ici dissoudre le principe de présomption d’innocence alors qu’il n’y a ni risque de fuite ni risque de trouble à l’ordre public. C’est cela qui choque de nombreux Français, au-delà de nos militants.

Comment observez-vous le débat budgétaire qui s’engage à l’Assemblée ?

Je veux être très clair en l’état, le projet de budget de l’exécutif est invotable par la droite, car le gouvernement veut faire payer aux Français les délires et les vieilles lunes socialistes pour s’acheter du temps ! Si les choses devaient en rester là, Les Républicains voteraient donc évidemment contre et ne s’interdiraient aucun débat, y compris celui de la censure. Mais je ne peux pas imaginer que les choses en arrivent là, car les députés et les sénateurs LR ne laisseront pas faire : nous nous battrons pied à pied pour rectifier la copie. Il n’est pas question de céder à tous les renoncements, d’aggraver tous les déclassements, et de renforcer l’appauvrissement de la France et des
Français.

Sébastien Lecornu a confirmé que la suspension de la réforme des retraites figurerait quoi qu’il arrive dans le PLFSS…

Ce signal est terrible. Pour l’avenir, il fragilise toutes les réformes ambitieuses et courageuses qui pourraient être remises en question, voire sacrifiées du jour au lendemain. Par ailleurs, cette suspension revient à nier la réalité démographique : il y avait jadis quatre cotisants pour un retraité, il n’y en a désormais plus que 1,6. Cette réforme est donc indispensable. Elle l’est pour les jeunes générations, afin de leur garantir une retraite décente. Elle l’est aussi pour notre pays car sans cette réforme, la France ne pourra pas fournir une quantité de travail suffisante pour renouer avec la prospérité.

N’auriez-vous pas été davantage entendu en restant au gouvernement ?

Au contraire ! Je me félicite d’ailleurs d’avoir provoqué une rupture immédiate en quittant le gouvernement, sans quoi j’aurais assisté, depuis le banc des ministres, à une déclaration de politique générale qu’un premier ministre socialiste aurait pu prononcer, mélange de laxisme budgétaire et de renoncements régaliens. J’aurais alors de tout façon immédiatement remis ma démission. Je ne suis pas sorti du gouvernement pour un conflit d’ordre personnel, mais sur un véritable désaccord de fond, pour deux raisons. D’abord, la composition resserrée du gouvernement sur un dernier carré macroniste reflétait une volonté du président de reprendre la main sur le gouvernement, malgré son échec aux dernières législatives. Ensuite, je n’avais rien à faire dans un gouvernement où la droite aurait été entravée. La déclaration de politique générale a montré que mon intuition était juste. J’en ai tiré la conclusion que j’étais allé au bout de ce que je pouvais faire au ministère de l’Intérieur.

C’est-à-dire ?

Ce ministère m’a passionné. Mais j’ai toujours dit que je n’étais pas là pour une place mais pour une mission. La preuve, personne, sous la Ve République, n’a usé de sa liberté gouvernementale comme je l’ai fait ces douze derniers mois. J’ai bravé l’autorité présidentielle chaque fois que je l’ai jugé nécessaire et cela m’a chaque fois permis de constater à quel point les choses étaient bloquées. Sur l’immigration, il est illusoire de vouloir maîtriser les flux en agissant uniquement sur les sorties. Je revendiquais le fait d’avoir la compétence exclusive sur les visas, pour pouvoir maîtriser aussi les entrées. À titre d’exemple, la France distribue à elle seule 26 % des visas en Europe, soit 900 000 de plus que l’Allemagne : c’est totalement déraisonnable. Force est de constater qu’au-delà des belles paroles pour me faire rester au gouvernement, le « en même temps » se resserrait autour de moi. Je n’avais plus les moyens de mener ma politique : j’en ai donc tiré les conséquences.

Comment expliquer que six ministres LR participent au gouvernement Lecornu 2 ?

Je considère que ceux dont vous parlez ne sont plus LR. Ils ne peuvent pas être la caution de notre famille politique au gouvernement, c’est pourquoi il doit y avoir et il y aura une sanction. Pas dans deux mois ou dans deux ans, mais dès ce mercredi soir lors du bureau politique.

Revoilà la droite en proie aux divisions…

Ces divisions sont le fruit de choix personnels. Mais une dilution dans le macronisme serait bien pire : ce serait un suicide collectif.

Si Rachida Dati est exclue, quel candidat LR pour Paris ?

Ce point devra être clarifié, avec la fédération de Paris. Nous n’avons qu’un seul objectif battre la gauche dans la capitale.

Il y a une claire scission entre votre ligne, soutenue par les sénateurs LR, et les députés Droite républicaine…

Mon rôle de président, justement, c’est de construire une ligne cohérente. Je me rendrai la semaine prochaine à la réunion de nos groupes parlementaires pour en discuter avec eux.

Y a-t-il une guerre larvée entre Laurent Wauquiez et vous ?

Pour faire la guerre, il faut être deux. Et je me sens d’autant moins rival de Laurent Wauquiez que les militants ont tranché la question : 75% d’entre eux m’ont élu président de notre mouvement. Je ne serai jamais celui qui alimentera les querelles personnelles. La guerre des ego, ça suffit.

Le programme de François Fillon en 2017 prévoyait 100 milliards de baisse des dépenses, un durcissement de l’assurance-chômage, la fin des 35 heures ou encore la retraite à 65 ans… Pourriez-vous reprendre tel quel ce projet ?

Les intuitions de 2017 étaient bonnes, car elles étaient basées sur une conviction dont nous voyons aujourd’hui l’évidence : la dépense ne fait pas la croissance. Le projet de la droite doit rompre avec le social-étatisme. Il faut arrêter avec la politique du chèque, sortir définitivement des 35 heures pour restaurer le pouvoir d’achat et la compétitivité. Par ailleurs, il faut en finir avec la bureaucratie qui multiplie les postes de fonctionnaires mal payés. Ce budget va créer 8500 postes supplémentaires dans la fonction publique, dont 4500 à l’Éducation nationale alors qu’il y a eu 109 000 élèves en moins dans le primaire pour cette rentrée. Je milite également pour qu’il y ait un seuil à partir duquel il n’y ait plus de cotisations, ni par l’employé ni par l’employeur, afin de rapprocher le salaire brut et le salaire net. Enfin, pour décourager l’assistanat, il faut réformer profondément notre système social, encourager les travailleurs et faire la chasse aux profiteurs. Concrètement, nous devons instaurer un compte social unique, pour plafonner les aides à 70% du smic. C’est en somme tout l’inverse du budget d’aujourd’hui qui au lieu du « travailler plus » choisit le « taxer plus » : la moitié de l’effort global sera réalisée par un grand coup de matraque fiscale, avec déjà 14 milliards de prélèvements supplémentaires.

Vous, député, auriez-vous censuré Sébastien Lecornu ?

Je ne suis pas député, mais j’ai exprimé très clairement mon opposition au discours de politique générale.

Alors, si Emmanuel Macron dissout, vous présenterez-vous aux législatives anticipées ?

Ma priorité désormais, c’est le parti. Dès la semaine prochaine, je commence un tour de France où systématiquement, je ferai une réunion avec les fédérations et j’irai à la rencontre des Français.

Est-ce le point de départ d’une campagne présidentielle ?

C’est un chemin qui ouvre tous les possibles.

La primaire à droite est-elle inévitable ?

Mon premier devoir, c’est la reconstruction de la droite. Si nous ne le faisons pas, il n’y aura de toute façon pas de candidat possible. Nous reparlerons de la présidentielle en début d’année prochaine.

Emmanuel Macron doit-il démissionner ?

D’une façon ou d’une autre, le retour aux urnes s’imposera. Ce sera alors au président de la République de décider comment : dissolution, démission ou référendum. Mais je n’associerai pas ma voix au chœur de ceux qui exigent sa démission. Car une démission forcée fragiliserait tous ses successeurs. Je rappelle que le général de Gaulle a décidé de démissionner en toute liberté, après avoir annoncé qu’il le ferait s’il était désavoué par le référendum de 1969. Mais il est évident que l’expression démocratique est frustrée. Au-delà de la crise politique que nous vivons, l’un des grands enjeux de la prochaine présidentielle sera de réconcilier la souveraineté populaire avec un État de droit qui est de plus en plus un cadre idéologique plutôt que juridique.

Que répondez-vous à Éric Ciotti qui prône l’union des droites ?

Je l’ai répété sur tous les tons : je ne crois pas à l’union des droites par les appareils mais par les électeurs. Marine Le Pen clame tout haut qu’elle n’est pas de droite et son programme économique n’est pas le nôtre : il est de gauche. Je suis intimement persuadé que LR a une place singulière qui correspond à la France des honnêtes gens. Je veux que les LR soient en situation de rassembler tous les électeurs de droite. Pour cela, il faut être visible, audible et crédible. Si la droite se compromet dans les calculs, elle est morte.

Comment allez-vous faire ?

Proposer de nouvelles idées pour nourrir un projet puissant, capable de rallier nos propres électeurs et ceux qui nous ont quittés pour rejoindre le RN ou Emmanuel Macron. Il faut libérer la société française parce que tout est bloqué. Face au grand empêchement, nous devons faire sauter trois verrous. Le verrou juridique, pour sortir de l’« impossibilisme » : il faudra une révision constitutionnelle pour, par exemple, rendre possible le référendum sur l’immigration. Le verrou économique, pour remettre le travail à sa juste place, qui doit être la première. Et le verrou idéologique, afin d’opposer aux déconstructeurs la force d’une école qui instruit, d’une République qui assimile, d’une civilisation qui s’assume. Évidemment, dans le chaos actuel, ce sont les ailes radicales qui émergent et c’est le grand reproche que je fais depuis 2017 à Emmanuel Macron. Mais, après le tripartisme, le clivage entre la droite et la gauche s’imposera à nouveau. Il va s’affirmer pour servir la révolution du bon sens, au service de tous les Français qui croient encore à la France.

Parmi cette majorité silencieuse qu’il faudra séduire, comptez-vous Alain Juppé qui vient de vous dire « ciao » sur un plateau de télévision ?

Dans cette période où la politique est très abîmée, je refuse de répondre à une petite phrase par une autre petite phrase. Je dirais simplement qu’entre l’identité heureuse d’Alain Juppé et l’identité malheureuse d’Alain Finkielkraut, je choisis l’académicien.

Sur l’Algérie, votre successeur, Laurent Nuñez, semble avoir pris un virage à 180 degrés, prônant le retour du dialogue. Comment l’expliquez-vous ?

Sa tâche est suffisamment difficile pour que je ne la lui complique pas. Laurent Nuñez a été nommé pour appliquer la politique d’Emmanuel Macron. Je le redis : les naturalisations ne peuvent se faire que sur le principe de l’assimilation, que je revendique. Par ailleurs, sur l’Algérie, la diplomatie des bons sentiments est un fiasco. Nous payons le prix de notre faiblesse vis-à-vis du régime algérien. Il est temps de sortir de cette mauvaise conscience coloniale, et de ne pas nous placer en situation d’infériorité systématique par rapport à un régime qui veut l’abaissement de la France.

Avez-vous des nouvelles de l’écrivain Boualem Sansal, emprisonné depuis onze mois ?

Oui, de manière indirecte. Je salue la décision de l’Académie royale de langue et de littérature française de Belgique qui l’a intégré dans ses rangs. L’emprisonnement de Boualem Sansal, c’est la liberté mise sous les barreaux. Autant qu’une injustice faite à un homme, c’est une offense faite à un peuple : le peuple français auquel Boualem Sansal a choisi d’adhérer par l’encre versée. Parce qu’il sait mieux que d’autres sans doute, que la France est un grande patrie littéraire.

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Nos députés et sénateurs interrogent le gouvernement

Ce mardi après-midi, lors de la séance de questions au gouvernement à l’Assemblée nationale, un député du groupe Droite Républicaine a interpellé l’exécutif.

Jean-Yves Bony, député du Cantal, a interrogé la ministre l’Agriculture, de l’Agro-alimentaire et de la Souveraineté alimentaire sur l’interdiction d’exportation de bovins.

Dermatose nodulaire bovine: Jean-Yves Bony(DR) critique la décision “disproportionnée” d’interdiction des exportations de bovins

Évoquant des “conséquences économiques désastreuses”, il interroge le Gvt sur la levée des contraintes et l’indemnisation des éleveurs#DirectAN #QAG pic.twitter.com/ynNOZzNuJv

— Assemblée nationale (@AssembleeNat) October 21, 2025

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Pierre-Henri Dumont : « Ce budget, c’est Rocky Horror Music Show ! »

Pierre-Henri Dumont, secrétaire général adjoint de notre mouvement, était l’invité de Radio J.

Il est revenu sur l’examen du budget en commission à l’Assemblée nationale et la suspension de la réforme des retraites.

“Ce budget, c’est Rocky Horror Music Show ! C’est horrible, ce qu’il y a à l’intérieur. Mais c’est la composition de l’assemblée nationale. On a aujourd’hui une alliance de ceux qui vont dépenser, ceux qu’on appelle avec @BrunoRetailleau le cartel du déni : une alliance entre le… pic.twitter.com/OOa396kaUX

— RADIO J (@RadioJFrance) October 21, 2025

“Aujourd’hui, vous dire ce que sera le budget à la fin, personne ne peut le dire. Mais il y a une probabilité non nulle qu’aucun budget ne soit voté in fine, et donc que la proposition de @SebLecornu sur la suspension de la réforme des retraites n’existe pas puisque le PLFSS… pic.twitter.com/u86usWOcQJ

— RADIO J (@RadioJFrance) October 21, 2025

“Les faits donnent raison à @BrunoRetailleau . On a aujourd’hui un budget qui est pire que les budgets de @fhollande , quand il avait la majorité socialiste à l’Assemblée nationale.”@phdumont , secrétaire général adjoint de LR, ex député du Pas de Calais, au micro de… pic.twitter.com/7R9VVC9SxB

— RADIO J (@RadioJFrance) October 21, 2025

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François-Xavier Bellamy : « Nous refusons toute augmentation globale de la pression fiscale »

François-Xavier Bellamy, vice-président délégué de notre mouvement, député européen et président de la délégation française du groupe PPE au Parlement européen, était l’invité de BFMTV.

Il est revenu sur le cambriolage du Louvre, la suspension de la réforme des retraites et le budget.

Cambriolage au Louvre: “Le symptôme d’un pays qui ne sait plus protéger son patrimoine”, pour François-Xavier Bellamy (LR) pic.twitter.com/qDN9sjPgk3

— BFMTV (@BFMTV) October 20, 2025

Suspension de la réforme des retraites: pour François-Xavier Bellamy (LR), le gouvernement a “cédé une folie totale pour l’avenir aux Socialistes” pic.twitter.com/6NO78qGKG8

— BFMTV (@BFMTV) October 20, 2025

Budget: “Notre ligne rouge a été depuis des mois le fait qu’il fallait refuser toute augmentation globale de la pression fiscale”, affirme François-Xavier Bellamy (LR) pic.twitter.com/hDrMQ0deXB

— BFMTV (@BFMTV) October 20, 2025

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Othman Nasrou : « On ne peut pas, en tant que LR, être dans ce gouvernement »

Othman Nasrou, Secrétaire général de notre mouvement, était l’invité de Sud Radio.

Il est revenu sur le cambriolage du Louvre, le refus de participer au gouvernement, le départ du gouvernement de notre président et la dénonciation des accords de 1968 avec l’Algérie.

Cambriolage au #Louvre : “Des questions légitimes se posent sur la sécurisation de notre patrimoine (…) Oui, il y a un délitement de la sécurité dans notre pays” affirme @othmannasrou (@lesRepublicains) #GrandMatinhttps://t.co/QKa5Efuc2W pic.twitter.com/fz2HlJtSMg

— Sud Radio (@SudRadio) October 20, 2025

.@othmannasrou (@lesRepublicains) : “On ne peut pas, en tant que LR, être dans un gouvernement qui va céder à toutes les folies des socialistes. La procédure d’exclusion des ministres LR est en cours” #GrandMatinhttps://t.co/QKa5Efuc2W pic.twitter.com/3puahCBK7Y

— Sud Radio (@SudRadio) October 20, 2025

.@othmannasrou (@lesRepublicains) : “Il n’y a pas de guerre des chefs à LR. @BrunoRetailleau a eu le courage de sortir du gouvernement. Nous devons être clairs et dire que la direction qui est prise n’est pas la bonne” #GrandMatinhttps://t.co/tz19vXgKkO pic.twitter.com/7KyKRkzGXt

— Sud Radio (@SudRadio) October 20, 2025

.@othmannasrou (@lesRepublicains) : “Je pense que la direction que prend @NunezLaurent sur l’#Algérie est une erreur” #GrandMatinhttps://t.co/tz19vXgKkO pic.twitter.com/okOcC6dEnu

— Sud Radio (@SudRadio) October 20, 2025

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Face à un pouvoir qui a décidé de tout lâcher à la gauche, la droite doit tenir sa ligne

Chers compagnons,

Je tenais à m’adresser directement à vous, pour vous dire ce que j’ai sur le cœur.

Je vous ai toujours parlé franchement : nous venons de traverser une période difficile, qui a créé des incompréhensions et même des déceptions.

Mais plus que jamais, je suis déterminé à tenir bon.

Tenir bon sur ce que notre Bureau politique a décidé et que vous, les militants, avez validé démocratiquement, à près de 75% : la non-participation à un gouvernement qui est l’otage des socialistes.
C’est pourquoi j’ai lancé la procédure pour que ceux qui ont choisi de s’affranchir de cette position collective, en entrant au gouvernement, en assument désormais les conséquences.
Je ne l’ai pas fait le cœur léger mais c’est mon devoir : si le président ne fait pas respecter les décisions de nos instances et des adhérents, alors il n’y a plus de parti.

Tenir bon, aussi, sur nos convictions car je le redis : il est hors de question d’avaliser ce budget qui cède tout à la gauche.
Qu’il s’agisse de la suspension de la réforme des retraites, de l’absence de mesures pour plafonner les aides sociales ou supprimer les agences inutiles, du silence assourdissant sur l’AME et le coût de l’immigration, sans compter les près de 14 milliards d’impôts supplémentaires : tout démontre que les choix de ce gouvernement ne sont guidés que par la volonté de satisfaire le parti socialiste, et non de répondre aux aspirations du pays qui est majoritairement à droite.

J’ai exprimé clairement mon opposition au discours de politique générale de Sébastien Lecornu.
Mon rôle de président désormais, c’est de tourner le parti vers l’avenir et de rassembler toutes les énergies pour le nouveau combat qui s’ouvre devant nous : celui du budget.
Dans cette bataille, il faudra que nous tenions notre ligne.
C’est ce que je veux parce que c’est ce qu’attendent tous les militants de notre mouvement : que face à un pouvoir qui a décidé de tout lâcher à la gauche, la droite s’oppose de toute la force de ses convictions, et qu’elle propose au pays ses propres solutions.

Ensemble, jetons toutes nos forces dans cette nouvelle bataille !

Fidèlement,

Bruno RETAILLEAU
Président des Républicains

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🟦 TRIBUNE – La clarté selon Muriel Jourda

(D’après l’interview donnée par Muriel Jourda à Public Sénat, octobre 2025)

« La déclaration de politique générale démontre à quel point nous nous éloignons de nos marqueurs à droite. »

— Muriel Jourda, sénatrice du Morbihan

Il y a, dans la parole de Muriel Jourda, cette droiture tranquille qui distingue les convictions des calculs.

Alors que la confusion règne à droite depuis le débat budgétaire, la sénatrice du Morbihan rappelle que la politique n’est pas un exercice de survie, mais un devoir de cohérence.

En refusant de cautionner un « budget socialiste », elle nomme ce que beaucoup taisent : la dérive d’un pouvoir qui se prétend d’union nationale mais qui, dans les faits, gouverne par compromission.

La suspension de la réforme des retraites, l’augmentation des prélèvements, le silence sur la sécurité et l’immigration : autant de signaux d’un effacement de la droite gouvernementale au profit d’une gauche gestionnaire.

Dans son intervention, Muriel Jourda va plus loin : elle revendique la censure comme un instrument légitime de responsabilité parlementaire.

Censurer un gouvernement qui renie ses engagements n’est pas un geste de déstabilisation ; c’est un acte de fidélité à la parole donnée, à la vérité devant les Français.

Cette cohérence, la sénatrice la relie aux marqueurs essentiels de notre camp : travail, mérite, autorité, équilibre des comptes publics, défense des valeurs régaliennes.

En rappelant ces fondations, elle redonne sens à l’engagement politique : servir le pays avant de se servir du pouvoir.

Dans une période où la tentation du silence et du calcul domine, cette voix claire rappelle que la droite n’a pas à s’excuser d’exister.

Elle doit simplement se souvenir de ce qu’elle est : la force de la responsabilité, de la fidélité et du courage.

Alain-Michel Richer SD56

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Antoine Vermorel-Marques : « La droite ne doit pas devenir la sous-traitante d’Eric Ciotti et de Marine Le Pen »

Dans un entretien au « Monde », le député de la Loire Antoine Vermorel-Marques combat l’idée, qui monte ces dernières semaines, d’une « union des droites » entre son parti, Les Républicains, et le Rassemblement national.

Alors qu’Eric Ciotti (président de l’Union des droites pour la République) propose à son homologue du parti Les Républicains, Bruno Retailleau, une rencontre dans l’optique de rejoindre l’alliance avec le Rassemblement national, certaines voix s’élèvent à droite pour dénoncer tout rapprochement possible. C’est le cas d’Antoine Vermorel-Marques, vice-président du parti et du groupe Droite républicaine à l’Assemblée nationale. Le jeune élu appelle son parti à réaffirmer ses différences avec l’extrême droite.

On entend comme une petite musique autour d’un rapprochement possible avec le RN. Cela vous inquiète-t-il ?

Je veux défendre une droite indépendante et non pas une droite qui serait la sous-traitante d’Eric Ciotti ou de Marine Le Pen. Nous avons trop de différences avec eux, mais aussi trop de force pour aller se brader à un parti qui a toujours été notre adversaire politique. Le Front national puis le RN ont toujours eu la volonté de nous cannibaliser. Ce n’est pas une union des droites, c’est une absorption de la droite gaulliste dans l’extrême droite.

Quand il présidait encore LR, Eric Ciotti n’a pas été suivi en 2024, au moment de son alliance avec le RN. Malgré son échec, la question reste toujours d’actualité. Pourquoi ?

Je note que ce sujet revient sur la table quand la droite est faible. Les raisons qui ont poussé Eric Ciotti dans les bras du RN peuvent se reproduire. Parce qu’il s’agit de raisons vénales, d’intérêts personnels. Quand on est plus attaché à son poste qu’à ses idées, on est prêt à toutes les renonciations. D’ailleurs, il continue à avaler des couleuvres. Il soutient la candidate la plus étatiste à l’élection présidentielle tout en s’affichant avec la tronçonneuse ultralibérale de Javier Milei [le président argentin].

Dire que le programme du RN est de gauche suffit-il à marquer une différence entre la droite et l’extrême droite ?

La droite a un ADN économique, libéral, de rigueur budgétaire et d’attachement aussi au projet européen. Ce sont nos marqueurs. Or, la droite est forte quand elle est capable de mettre un vrai projet sur la table. Et c’est ça qui se joue aujourd’hui d’ailleurs. On peut être ferme et droit dans nos convictions sans être extrême.

Vous parlez de demande. Or, les sympathisants LR ne souhaitent-ils pas cette union, comme le laisserait penser un récent sondage publié par « Valeurs actuelles » ?

Je pense surtout qu’on a oublié de montrer nos différences à nos électeurs. Ils n’attendent pas un programme étatiste et russophile comme celui de Marine Le Pen. Je rappelle que le programme économique du RN en 2024 a été chiffré par l’Institut Montaigne à 85 milliards d’euros. C’est diamétralement opposé à ce que nous proposons. Sur l’Europe, après avoir voulu la quitter, [les lepénistes] veulent la saborder en coupant les contributions nationales et je ne parle pas de leurs ambiguïtés sur Vladimir Poutine. Sur la question de l’assistanat, on doit intensifier ce combat d’idées face au RN. Voilà un parti qui cherche à capter la voix du boulanger et de l’artisan, mais aussi de celui qui refuse de travailler. C’est pour cela qu’ils ont voté contre les quinze heures d’activités pour les personnes au RSA. Nous avons été trop faibles ces dernières années à montrer leurs incohérences. Leurs masques doivent tomber.

Pourquoi les LR ne rappellent-ils pas davantage qu’ils n’ont pas les mêmes valeurs et la même histoire ?

Pour moi, il ne s’agit pas d’un discours ringard. Ces gens-là [au RN] n’ont pas complètement tourné le dos à leur histoire. La preuve en est les candidats qu’ils ont investis lors des dernières législatives [de 2024]. Certains ont montré que les questions du rejet de l’autre, du racisme et des atteintes à la République n’étaient pas éloignées des considérations du RN. Mais notre enjeu dans le débat public, ce n’est pas de dénoncer les personnes, c’est de dénoncer les idées de ces personnes-là et de mettre en valeur les nôtres.

Ne vous sentez-vous pas un peu seul à porter ce discours chez LR ?

Non. Le président du Sénat, Gérard Larcher, est sur cette ligne. [L’ex-premier ministre] Michel Barnier est très clair sur la question comme le sont aussi Valérie Pécresse ou Xavier Bertrand [présidents des régions Ile-de-France et Hauts-de-France]. On est nombreux à porter ce message, y compris à l’Assemblée nationale, à dire que ce sujet doit être tranché au nom d’une clarification indispensable.

Le message n’a pas été très clair lors de la récente législative partielle dans le Tarn-et-Garonne. Certains LR ont appelé à voter pour le candidat UDR-RN contre sa rivale socialiste…

La ligne du parti depuis dix ans, c’est le credo des républicains modérés sous la IIIe République : « ni réaction ni révolution ». Cette ligne-là doit être complète. Quand on dit : « Pas une voix ne doit aller à la gauche », on doit aussi entendre ce que l’on disait déjà en 2012 : « Chacun doit comprendre que nous ne voterons jamais pour le Front national. » Cela doit être clair dans nos expressions publiques au nom du parti.

Quand votre président, Bruno Retailleau, dit « Pas une voix pour la gauche » dans le Tarn-et-Garonne, ne déroge-t-il pas à cette ligne ?

Lorsqu’on lui pose la question sur l’union des droites, il répond que la politique c’est la droiture, de la conviction et que c’est non. J’ai confiance en Bruno Retailleau pour toujours dire non comme il l’a fait 2024 et le fera encore à l’avenir.

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L’article Antoine Vermorel-Marques : « La droite ne doit pas devenir la sous-traitante d’Eric Ciotti et de Marine Le Pen » est apparu en premier sur les Républicains.

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