Sophie Primas : « C’est un budget qui trouve le chemin du compromis »

Sophie Primas, ministre déléguée auprès du Premier ministre, porte-parole du Gouvernement et secrétaire générale adjointe déléguée de notre mouvement, était l’invitée de TF1.

Elle est revenue sur le budget et le projet de loi sur la fin de vie.

Ce que le @gouvernementFR souhaite, ce n’est ni un budget de gauche, ni un budget de droite.

C’est un budget qui trouve le chemin du compromis. pic.twitter.com/b1o0MR8qtx

— Sophie Primas (@sophieprimas) January 27, 2025

Le @gouvernementFR souhaite légiférer rapidement sur la fin de vie.

Le calendrier du texte pourra être programmé une fois que le budget sera voté.

C’est la pierre de base pour construire l’édifice de ce texte. pic.twitter.com/SgtydK1YSV

— Sophie Primas (@sophieprimas) January 27, 2025

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Bruno Retailleau : « Il n’y a pas de droit à la régularisation »

Bruno Retailleau, ministre de l’Intérieur, était l’invité de CNews et Europe 1.

Il est revenu sur la nouvelle circulaire sur les régularisations, les relations entre l’Algérie et la France, la détention de Boualem Sansal, la lutte contre le narcotrafic, l’inexécution des peines et le projet de loi sur la fin de vie.

La circulaire est applicable dès ce matin. Les préfets l’ont reçue hier soir. L’objectif est de lutter contre l’immigration illégale et de ne pas régulariser à tour de bras. pic.twitter.com/GlZjDkBXr3

— Bruno Retailleau (@BrunoRetailleau) January 24, 2025

Il n’y a pas de droit à la régularisation. Le droit de l’État souverain est d’admettre ou de ne pas admettre sur son sol, qui il souhaite admettre ou non. pic.twitter.com/BsXETf6tvl

— Bruno Retailleau (@BrunoRetailleau) January 24, 2025

France/Algérie : “les douleurs aiguës de l’histoire ne peuvent donner en aucun cas le droit de tirage à offenser la France” affirme @BrunoRetailleau #LaGrandeITW #Europe1 pic.twitter.com/5CtbFcTlA2

— Europe 1 (@Europe1) January 24, 2025

Détention de Boualem Sansal : “je pense qu’il est sans doute l’otage de cette relation tendue entre les 2 pays (…) Boualem Sansal est très malade et âgé, je demande au régime algérien un geste humanitaire” déclare @BrunoRetailleau #LaGrandeITW #Europe1 pic.twitter.com/7nkKmOzqX5

— Europe 1 (@Europe1) January 24, 2025

Narcotrafic : “on va faire avec le narcotrafic, ce qu’on a fait avec le terrorisme et c’est comme ça qu’on aura des résultats” déclare @BrunoRetailleau #LaGrandeITW #Europe1 pic.twitter.com/neGrwITp7W

— Europe 1 (@Europe1) January 24, 2025

“On a créé en France, un droit à l’inexécution des peines, il faudrait abroger la loi de Madame Taubira de 2019” déclare @BrunoRetailleau #LaGrandeITW #Europe1 pic.twitter.com/vweTHJFFBP

— Europe 1 (@Europe1) January 24, 2025

“On ne peut prendre les soins palliatifs en otage pour faire passer de façon trop rapide le texte sur l’euthanasie” déclare @BrunoRetailleau #LaGrandeITW #Europe1 pic.twitter.com/mYyQ7sSD6C

— Europe 1 (@Europe1) January 24, 2025

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Nos députés et sénateurs interrogent le gouvernement

Ce mardi après-midi, lors de la séance de questions au gouvernement à l’Assemblée nationale, un député du groupe Droite Républicaine a interpellé le gouvernement.

Antoine Vermorel-Marques, député de la Loire, a interrogé le ministre de l’Europe et des Affaires étrangères sur les conséquences de l’élection de Donald Trump.

“Notre souveraineté n’est pas à vendre !”@antoinevermorel (DR) appelle à “assumer le rapport de force” avec D. Trump et à appliquer une “préférence européenne” dans les commandes publiques.
“Les achats réalisés avec nos impôts doivent favoriser nos entreprises !”#DirectAN #QAG pic.twitter.com/VZbraH6TPW

— Assemblée nationale (@AssembleeNat) January 21, 2025

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Mathieu Darnaud : « L’heure du grand audit des organismes publics est venue »

Le président du groupe LR au Sénat, dévoile au Figaro les ambitions d’une commission d’enquête parlementaire visant à faire la lumière sur le coût et l’organisation des 1200 agences de l’État. La chasse aux doublons…

Pourquoi considérez-vous que les agences et autres opérateurs de l’État constituent un gisement d’économies ?

Savez-vous qu’aujourd’hui personne n’est capable de dire combien il existe d’organismes publics dans notre pays ? Pas même le premier ministre, comme il l’a reconnu mercredi dernier au Sénat. On estime qu’il y a environ 1200 opérateurs, dont 438 agences, ce qui représente une charge globale de 80 à 85 milliards d’euros. Mais ces chiffres méritent d’être précisés, car nous savons qu’entre 2012 et 2024, le coût de ces structures a doublé ! Ce constat traduit aussi une augmentation des personnels et des missions, ce qui a mécaniquement généré des doublons.

Quels exemples pouvez-vous citer ?

Ils foisonnent. Citons notamment l’Agence nationale de la cohésion des territoires (ANCT) : nous savons aujourd’hui qu’elle est exclusivement centrée sur l’ingénierie mais n’apporte rien en termes d’investissement. Cette agence n’accompagne au final qu’un nombre restreint de collectivités, préférant promouvoir une politique d’appel à projets. La multiplication des opérateurs et structures de l’État juxtapose les interlocuteurs et perturbe les acteurs économiques. Ainsi pour les agriculteurs, les aides du premier pilier de la PAC leur sont versées soit par l’ASP (l’agence de services et de paiement) soit par FranceAgrimer… Et les missions de ces deux agences sont quasi-similaires. Ne faudrait-il pas un seul organisme centralisant les versements des deux piliers de la PAC ? Autre exemple : l’Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’Énergie (Ademe). Elle a plusieurs missions, dont l’une porte sur le développement de la finance durable, en partenariat avec des institutions plus légitimes et mieux armées pour accompagner cette évolution, comme la Banque de France ou l’Autorité des Marchés Financiers. Cela démontre qu’il existe bien un gisement d’économies et que des regroupements n’empêchent pas l’efficacité. Le cas du Cerema (climat et territoires) le prouve, puisqu’il est le fruit d’une fusion rassemblant 11 services. On peut donc agir. Mais depuis les années 70, notre pays n’a fait qu’empiler les structures sans avoir jamais su trancher, contrairement à d’autres nations européennes qui l’ont fait. L’heure du grand audit de ces organismes est donc venue. C’est d’ailleurs cet audit que j’ai demandé mercredi au premier ministre, afin que nous disposions d’une photographie à un « instant t », même si elle n’est qu’un début. Il est temps que tous les secteurs concernés (sport, santé, recherche, etc.) soient examinés à la loupe.

Au-delà du coût, quels sont les problèmes constatés ?

Manque de pilotage précis, absence de coordination, chevauchements, réponses parfois contradictoires, nombre croissant d’interlocuteurs, entraves à l’action des entreprises ou des territoires, augmentation des coûts de traitement d’un problème, difficultés à décliner de manière cohérente et lisible des politiques publiques… Et au final, dispersion et diminution de l’efficacité de l’État. De l’aveu même de certains préfets, il serait parfois préférable d’héberger certains personnels au sein des préfectures et sous-préfectures. Outre l’urgence budgétaire, un tel travail de rationalisation entre en cohérence avec l’exigence de simplification réclamée dans tous les domaines.

Cette source de maîtrise de la dépense publique est identifiée depuis longtemps mais pourquoi a-t-on laissé dériver le navire ?

Sans doute par manque de volonté politique, sachant qu’il n’est jamais facile de demander à l’État de faire son introspection ! Pour nous, ce travail est indispensable : il ne s’agit nullement de faire de la démagogie. Il est indispensable en revanche de réduire utilement la dépense publique et d’éviter de nouvelles hausses d’impôt. L’État doit retrouver toute son efficience. Cette commission d’enquête s’inscrit aussi dans le rôle normal de contrôle du Sénat. Plus globalement, les travaux qui seront engagés doivent contribuer à favoriser un nécessaire retour de la confiance, celle des Français envers leur État et l’action publique. Nous estimons que cette commission d’enquête doit être un point de départ, la base d’un travail en profondeur. Pour regrouper ces organismes, voire pour en supprimer certains, qui ont été créés par la loi, une action législative s’imposera. C’est pourquoi il me semble pertinent que ce travail relève à la fois d’une initiative politique et du Parlement, lequel a son mot à dire sur la réduction de la dépense publique. On ne peut pas demander des efforts seulement aux ministères. J’insiste sur un point: la proposition des sénateurs LR n’est pas frondeuse, elle vise à être utile. Nous voulons simplement savoir qui fait quoi. Nous voulons éclairer le débat et la réflexion sur une nécessaire réorganisation de l’État au moment où les Français ont le sentiment que les services publics ne parviennent plus à répondre à leurs attentes. Nous, nous pensons que l’État doit se recentrer sur ses missions régaliennes. Mais avant d’agir, nous devons nous appuyer sur un diagnostic complet.

Dans ses négociations avec les socialistes, François Bayrou vient de reculer sur la réduction du nombre de fonctionnaires. Cela ne complique-t-il pas les ambitions de cette commission d’enquête ?

Non parce que ce travail doit permettre d’identifier clairement le périmètre de toutes ces structures, qu’il soit financier, humain ou en termes de missions. Il doit faire émerger des priorités. Nous voulons savoir où des économies sont possibles. Si le premier ministre veut réduire la dépense publique, comme il s’y est engagé devant le Parlement, il sera bien obligé de considérer et analyser la place et le rôle de l’ensemble des organismes publics. Ensuite, le gouvernement devra nous dire clairement où il sera prêt à réduire la voilure. Il pourra alors s’appuyer sur l’expertise de cette commission d’enquête .

Comment cette commission d’enquête travaillera-t-elle ?

Le groupe LR utilise son « droit de tirage » en demandant la création de cette commission d’enquête. La conférence des présidents du Sénat doit encore entériner notre demande avant que la commission puisse se mettre au travail, tant au Sénat que sur le terrain. Cette mission devrait se dérouler sur cinq à six mois. Tous les ministres, les opérateurs et les responsables des services de l’État concernés seront auditionnés. Ces travaux, qui seront transpartisans, exigeront aussi des débats au sein de la commission. L’objectif est d’avancer rapidement, avant le prochain projet de loi de finances, sachant que la commission pourrait débuter ses investigations dès février.

Peut-on s’attendre à des surprises ?

Peut-être ! Nous verrons au fil des travaux de la commission. En tout cas, comme toute commission d’enquête, elle aura les moyens d’aller très loin dans ses recherches, ses demandes d’information et d’audition, d’autant que les parlementaires ont déjà de nombreux éléments en mains. En six mois, période qui correspond au délai dont disposent les commissions d’enquête pour travailler, on peut avancer, clarifier, proposer. Car les nécessaires réductions budgétaires, elles, n’attendront pas.

>> Lire l’interview sur LeFigaro.fr

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Yannick Neuder : « Pas d’économies sur le dos de la santé des Français »

Yannick Neuder, ministre auprès de la ministre du Travail, de la Santé, de la Solidarité et des Familles, chargé de la Santé et de l’Accès aux soins, était l’invité de France Info.

Il est revenu sur les comptes publics, le budget de la sécurité sociale, l’épidémie de grippe et les violences contre les soignants.

Hausse des taxes “Si on ne fait pas attention aux comptes publics, on va perdre notre crédibilité. Il n’y a pas de recette magique, il faut pouvoir trouver des financements”, dit Yannick Neuder, ministre de la Santé et de l’Accès aux soins. pic.twitter.com/ZC5riF2KOS

— franceinfo (@franceinfo) January 17, 2025

Allongement du délai de carence des fonctionnaires “Je pense qu’on a un système hospitalier très tendu, et ce n’est pas forcément le moment d’aborder ce sujet-là”, estime Yannick Neuder. pic.twitter.com/jMjFr2LSP7

— franceinfo (@franceinfo) January 17, 2025

Épidémie de grippe en progression “Il ne s’agit pas d’obliger, mais faire prendre conscience que la vaccination protège”, affirme Yannick Neuder. pic.twitter.com/4AaDWaOy7w

— franceinfo (@franceinfo) January 17, 2025

Violences contre les soignants “C’est tolérance zéro. Ce n’est pas acceptable quand vous portez secours, soin, assistance à des personnes de vous faire taper”, dit Yannick Neuder. pic.twitter.com/aqKl3PQvKt

— franceinfo (@franceinfo) January 17, 2025

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François-Noël Buffet : « Il y aura plusieurs textes sur l’immigration »

François-Noël Buffet, ministre auprès du ministre d’État, ministre de l’Intérieur, était l’invité de Public Sénat.

Il est revenu sur l’examen d’une mention de censure, la conférence sociale sur les retraites, le projet de changement du mode de scrutin pour les élections législatives, l’immigration et la refondation de notre mouvement.

Motion de censure : “Chacun à des intérêts, des calculs pour 2027”, estime @fnb_officiel ministre auprès du ministre de l’Intérieur qui déplore les hésitations du Parti socialiste. “Ils sont sous le joug de Monsieur Mélenchon”, ajoute le ministre. pic.twitter.com/X2bTVIRWSb

— Public Sénat (@publicsenat) January 16, 2025

Conférence sociale sur les retraites : “S’il y a un accord entre les partenaires sociaux c’est assez fondamental, je ne nous vois pas contester”, affirme @fnb_officiel (LR), ministre auprès du ministre de l’Intérieur. pic.twitter.com/BvvO4jLh28

— Public Sénat (@publicsenat) January 16, 2025

Changement du mode de scrutin : “Je suis partisan d’un système qui donne des majorités claires. je ne trouve rien de mieux que la responsabilité de l’élu devant l’électeur”, juge @fnb_officiel (LR), opposé au scrutin proportionnel. pic.twitter.com/A72zHDzKSs

— Public Sénat (@publicsenat) January 16, 2025

Immigration : @fnb_officiel (LR), ministre auprès du ministre de l’Intérieur, estime que le gouvernement passera par des “textes plus ponctuels” plutôt que par une loi générale sur l’immigration. “C’est le choix que fait le gouvernement pour Mayotte”, ajoute le ministre. pic.twitter.com/YttGnL2JxJ

— Public Sénat (@publicsenat) January 16, 2025

Présidence de LR : “Il est important que le mouvement se remette en marche”, estime @fnb_officiel à propos de LR. pic.twitter.com/W8scrNZSCl

— Public Sénat (@publicsenat) January 16, 2025

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Nos députés interrogent le gouvernement

Ce mercredi après-midi, lors de la séance de questions au gouvernement à l’Assemblée nationale, un député du groupe Droite Républicaine a interpellé le gouvernement.

Corentin Le Fur, député des Côtes-d’Armor, a interrogé le Premier ministre sur l’exonération des heures supplémentaires.

“Le travail ne rapporte pas assez.[…] La solidarité ne doit pas être dévoyée par l’assistanat !”@LeFurCorentin (DR) demande au Gvt s’il accepte de soutenir une proposition de loi visant à sortir les heures supplémentaires du calcul du revenu fiscal de référence.#DirectAN #QAG pic.twitter.com/VvHOwLEe9O

— Assemblée nationale (@AssembleeNat) January 15, 2025

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Laurent Wauquiez : « On ne fera pas tomber le gouvernement »

Laurent Wauquiez, président du groupe Droite Républicaine à l’Assemblée nationale et député de la Haute-Loire, était l’invité de CNews et d’Europe 1.

Il est revenu sur la déclaration de politique général du Premier ministre, la réforme des retraites, l’immigration, le droit du sol à Mayotte et la refondation de notre mouvement.

Laurent Wauquiez sur le discours de François Bayrou et l’ambiance au sein de l’Assemblée nationale : «Il y a une cacophonie qui est une honte», dans #LaGrandeInterview pic.twitter.com/rZa5N1xAue

— CNEWS (@CNEWS) January 15, 2025

Laurent Wauquiez, président du groupe Droite républicaine à l’Assemblée nationale, sur la réforme des retraites : «On a toujours dit que la réforme était perfectible», dans #LaGrandeInterview pic.twitter.com/4zZr4JSW2K

— CNEWS (@CNEWS) January 15, 2025

Laurent Wauquiez, président des députés LR : Dans son discours de politique générale «François Bayrou avait quand même de bonnes intentions. L’entendre dire qu’il faut mettre le holà sur l’immigration, cela va dans une direction que j’attendais» dans #LaGrandeInterview pic.twitter.com/BT0r4bOsyl

— CNEWS (@CNEWS) January 15, 2025

Laurent Wauquiez, président du groupe Droite républicaine à l’Assemblée nationale, sur la situation à Mayotte : «Nous allons inscrire la limitation du droit du sol à Mayotte», dans #LaGrandeInterview pic.twitter.com/TDgSL47n55

— CNEWS (@CNEWS) January 15, 2025

Laurent Wauquiez, le président des députés LR : «La vraie reconstruction du pays ne sortira pas de cet hémicycle là. Le devoir de la droite c’est de mettre sur la table une nouvelle offre politique qui soit radicale» dans #LaGrandeInterview pic.twitter.com/aSNz7Gr31B

— CNEWS (@CNEWS) January 15, 2025

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Vincent Jeanbrun : « Nous sommes déterminés à protéger les Français d’une crise économique majeure »

Vincent Jeanbrun, porte-parole de notre mouvement et député du Val-de-Marne, était l’invité de Public Sénat.

Il est revenu sur le budget, la réforme des retraites, le pacte de non-censure, la consultation des Français et la refondation de notre mouvement.

#Budget2025 : Des économies avant des dépenses supplémentaires. C’est ce que nous attendons de François Bayrou.

Nous ne voterons pas un budget dans lequel il y aura des augmentations d’impôts. pic.twitter.com/MBcwsalPc7

— Vincent Jeanbrun (@VincentJeanbrun) January 13, 2025

#Retraites : Suspendre la réforme des retraites, c’est sauter dans l’inconnu d’un point de vue budgétaire. C’est irresponsable.

Que la réforme des retraites puisse être rediscutée, pas de problème. Mais sans suspension. pic.twitter.com/yEVQKiGb3i

— Vincent Jeanbrun (@VincentJeanbrun) January 13, 2025

Survivre quatre mois de plus dans un pacte de non-censure pour plonger le pays sur le très long terme dans l’inconnu, ce serait une telle absurdité.

Nous ne sommes pas ceux qui menaçons de censure. Nous ne voulons pas ajouter du chaos au chaos. pic.twitter.com/AfPxaN6XBC

— Vincent Jeanbrun (@VincentJeanbrun) January 13, 2025

#Referendum : Il y a une majorité de Français qui aimerait qu’on soit plus fort dans notre capacité à décider qui rentre et qui sort de notre territoire.

Demandons aux Français ce qu’ils en pensent. N’ayons pas peur de les consulter. pic.twitter.com/mvGSUds9AD

— Vincent Jeanbrun (@VincentJeanbrun) January 13, 2025

Aujourd’hui, il y a une mission de refondation du parti @lesRepublicains qui a été confiée à @laurentwauquiez. Il faut rebâtir un grand parti politique moderne et ancré localement.

Je crois à une ligne de droite qui défend la méritocratie et le travail.pic.twitter.com/DQyCQPWUD0

— Vincent Jeanbrun (@VincentJeanbrun) January 13, 2025

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