Deux ans après l’élection régionale, les élus du groupe Breizh da Zont morbihannais établissent un bilan de mi-mandat de la gouvernance de l’homme qui se voit déjà ministre.Avant d’aller aux urnes les 22 avril et 6 mai prochain, regardons ensemble ce qu’est objectivement les méthodes et le bilan de la gestion socialiste dans notre région.

Avant d’analyser sur le fond les dossiers entrepris par la majorité au Conseil régional, penchons-nous sur la méthode utilisée par celle-ci. C’est une politique du « coup médiatique permanent » qui confond le verbe à l’action au détriment de l’intérêt général de tous les bretons. Pis, les décisions sont de plus en plus prises dans des structures externes sous contrôle de l’exécutif au détriment de l’Assemblée régionale. Cette opacité des procédures est accrue par des décisions qui sont prises dans des bureaux de l’administration centrale de la Région. Au-delà de ce manque de transparence, la Région devient sur-administrée, ce qui créer des retards sur les décisions et un manque de réactivité flagrant.

Sur le fond, les divergences sont là encore très importantes sur de nombreux sujets : agriculture, environnement, numérique ou bien encore les infrastructures de transports.

L’orientation générale prise a été d’encourager l’agriculture de circuits courts et biologique au détriment de l’agriculture productive. Pour 7 euros versés en subvention pour l’agriculture biologique, 1 euro l’est à l’agriculture conventionnelle. Dans le rapport sur l’Alliance agricole de juin 2011, l’agroalimentaire est à peine mentionnée et de manière déconnectée.En opposition de cette vision, le groupe Breizh da Zont affirme que la Bretagne a besoin d’une agriculture productive et écologiquement responsable et d’une industrie agroalimentaire innovante et exportatrice.

C’est la raison pour laquelle le groupe de Bernadette MALGORN ne partage pas les orientations prises dans le rapport « la stratégie régionale de protection de l’eau et des milieux aquatiques ». Au-delà des structures supplémentaires créées qui s’additionnent à d’autres qui ont déjà ces compétences, le groupe d’opposition n’accepte pas que l’on puisse rendre l’agriculture unique responsable de la dégradation de la qualité des eaux.

La politique numérique de la Région est encore un exemple à définir des objectifs. L’enveloppe votée en 2009 favorise les centres urbains où les problèmes ne sont pas les plus cruciaux du fait des opérateurs privés. C’est l’Etat avec la mise en œuvre du SCORAN qui a proposé à l’échelle régionale une vraie stratégie numérique pour la Bretagne. Dans le rapport « Bretagne numérique », une fois de plus on passe à côté de la question de fond : comment la Région va-t-elle investir pour donner accès à tous les Bretons au très haut débit ?

Enfin il en va de même en ce qui concerne la politique des infrastructures de transports. L’exécutif n’a pas avancé depuis l’abandon du train pendulaire. Les travaux de la Phase II (Brest/Quimper) ne permettront pas d’atteindre le parcours cible d’être à 3 heures de Paris. On s’aperçoit que la volonté est de renforcer le pôle Rennes/Nantes sans se poser la question du rééquilibrage Ouest/Est afin de désenclaver la Bretagne centrale et l’industrie agroalimentaire.

Ces exemples ne sont pas exhaustifs. Il en va de même entre autre pour la politique de l’emploi des jeunes. Alors si nous faisons nôtre cette citation « gouverner c’est prévoir », nous ne pouvons pas laisser gouverner la nation ces mêmes personnes qui n’arrivent pas à prévoir au niveau régional.

Chaque semaine, Hugues JEHANNO, Secrétaire Départemental Adjoint, donne la parole aux candidats morbihannais qui se présentent aux élections législatives. Aujourd’hui, c’est le candidat de la 2ème circonscription (Auray), Michel GRALL  qui a accepté de répondre.   

HJ: Qui êtes-vous, Michel GRALL ?

MG: Je suis né le 11 septembre 1961 à Carnac. Je suis marié et père de deux adolescents. J’ai fait mes études au collège du Verger (Auray), puis à Lorient (lycée Dupuy-de-Lôme) et Rennes (lycée Chateaubriand). Je suis diplômé de l’école des Hautes études commerciales (HEC) en 1984 et du Centre des hautes études de l’armement (CHEAr)en 2005.

À ma sortie d’HEC, j’ai effectué mon service national en Jordanie, avant de commencer mon parcours professionnel dans le conseil en stratégie industrielle.

HJ: Comment êtes-vous arrivé à l’Assemblée Nationale ?

MG: J’ai toujours eu l’envie de m’investir dans l’action publique.

Je l’ai d’abord fait en tant que maire de Carnac, ma ville natale, de 2004 à 2010.

Puis en 2007, j’ai été élu député du Morbihan, dans la 2e circonscription qui compte 6 cantons: Auray, Belle Île, Belz, Quiberon, Pluvigner et Port Louis.

HJ: Quels sont les domaines dans lesquels vous vous êtes investi durant votre mandat de député ?

MG: Je me suis particulièrement investi sur les sujets touchant à la mer, à la Bretagne, à la défense, aux partenariats publics-privés, que vous retrouverez dans la rubrique « mes actions » de mon site www.michelgrall2012.fr. Mais pas seulement.

Le député est élu pour voter la loi, pour contrôler l’action du gouvernement, mais aussi pour défendre les intérêts de ses concitoyens.

Mon ancrage historique et familial dans ce Morbihan sud, mes nombreux déplacements hebdomadaires dans toutes les communes de la circonscription, mes permanences à Auray me permettent de mesurer les atouts de notre beau territoire, entre terre et mer, mais aussi les difficultés et contraintes vécues par nos concitoyens. J’ai tenté d’y répondre lors de ce 1^er mandat, tant lors de démarches pour des cas individuels, que lors de la défense de projets d’intérêt général, comme la création de la zone d’activités du Suroît à Belz, ou celle de la station d’épuration de Riantec.

Je suis fier d’appartenir à l’UMP, le parti des droits et des devoirs, dont je suis secrétaire national. Malgré cette appartenance, je n’ai pas hésité à voter parfois contre l’avis du gouvernement, par exemple contre la loi sur la bioéthique et contre la loi sur la modernisation des professions judiciaires.

Une vingtaine de personnes ont répondu présent à l’invitation au diner-débat avec Alain CADEC. Après avoir expliqué le rôle et l’action du député européen, les échanges durant le repas ont permis d’évoquer sans tabou de nombreux sujets tels que le rôle de l’Europe durant la crise, la transposition des directives européennes et leurs applications, la nouvelle Politique Agricole Commune…

Alain CADEC a tout d’abord introduit son propos en rappelant que sans l’Europe et sans l’euro « on aurait eu beaucoup plus de mal à traverser cette crise ». Il préconise même la création d’un ministère des finances européen.

Néanmoins sur d’autres questions, ils souhaitent faire bouger les lignes. Il s’est inquiété de la porosité de la frontière grecque qui est franchie par 85 000 migrants tous les ans et qui ces derniers une fois arrivés en Europe sont exploités par des employeurs peu scrupuleux. C’est la raison pour laquelle il partage la position de Nicolas SARKOZY qui préconise une modification du traité de Schengen.

Etant dans le centre Bretagne, il s’est réjoui que la France ait réussi à imposer une nouvelle PAC qui permettra de maintenir les mêmes niveaux de financement avec des aspects environnementaux supplémentaires qui sont acceptés par le monde agricole. Alain CADEC a ajouté qu’il est favorable à la création d’une aide spécifique à l’élevage qui actuellement souffre. Il en a également profité pour rappeler les distorsions de concurrence qui existe actuellement au sein même du marché communautaire puisque l’écart du coût de la main d’œuvre entre les pays européens varie dans un rapport de 1 et 10. Il établit le constat que « l’Europe social, ce n’est malheureusement pas pour demain ». Néanmoins l’Allemagne, qui actuellement à un coût de la main d’œuvre agricole significativement inférieur, s’est engagée à mettre en place un salaire minimum.

Enfin après avoir évoqué différentes propositions telles que la création de macro-régions comme l’arc Atlantique, qui  permettra à l’avenir de flécher les financements européens, Alain CADEC a insisté sur le fait qu’il faille créer des systèmes pour veiller à l’application des normes sur l’ensemble du territoire européen.

Jean LEONETTI, Ministre des Affaires européennes, était l’invité de Michel GRALL à Pluvigner en ce mardi 3 avril. Après avoir rappelé ses valeurs humanistes ainsi que son soutien au candidat Nicolas SARKOZY, le député-maire d’Antibes a développé une longue série de contradictions provenant du candidat socialiste.

En tant que membre du courant humaniste, Jean LEONETTI s’est dit très attaché à la laïcité. Sur ce point, il s’est d’ailleurs déclaré très surpris de la proposition du candidat socialiste qui propose d’inscrire dans la constitution le mot de laïcité puisque l’article 1 de la Constitution  de la République française de 1958 stipule déjà que « La France est une République indivisible, laïque, démocratique et sociale ». De la même façon il a manifesté son grand étonnement vis-à-vis de ce même candidat qui prétend être attaché à la laïcité mais qui s’abstient sur toutes les propositions de lois qui la renforce, comme ce fût le cas par exemple pour l’interdiction du port de la burqa. De la même façon, en homme qui combat toutes les formes d’intolérances et notamment le racisme, le Ministre des Affaires européennes a clairement expliqué que l’on ne luttera pas efficacement contre ces fléaux en supprimant simplement le mot race.    

Enfin connaissant également la problématique particulière de l’énergie en Bretagne, Jean LEONETTI a rappelé la contradiction entre un accord avec les verts qui prévoit la fermeture des centrales nucléaires et les récentes déclarations du candidat socialiste qui prétendent le contraire…

La chef de file de l’opposition au Conseil Régional de Bretagne, Bernadette MALGORN, lance un site internet en soutien à Nicolas SARKOZY.

Rejoignez les conseillers régionaux morbihannais (David Le Solliec, François Evanno, François Guéant et Téaki Dupont-Cochard) et témoignez vous aussi de votre soutien en envoyant de petites vidéos témoignant de votre adhésion au programme de Nicolas SARKOZY pour 2012.

Connectez-vous sur http://www.labretagneavecsarkozy.fr

La France avance, notre pays change et se modernise. Qu’en est-il dans le Morbihan ?

-12,6%, c’est le chiffre de la baisse de la délinquance globale depuis 2002 dans le Morbihan.

En 2011, grâce à l’action ferme et déterminée de Nicolas Sarkozy, la délinquance au niveau national a baissé pour la 9ème année consécutive, alors qu’elle avait explosé de +17,8% entre 1997 et 2002.

Dans le Morbihan , la délinquance a ainsi baissé de 12,6% depuis 2002 et les atteintes aux biens ont même baissé de -24,8%,  alors qu’elles avaient respectivement augmenté de +24,5% et de  +30% entre 1997 et 2002  (source ONDRP-Cartocrime – Chiffres 1997-2011).

Plus de 2 millions d’euros de soutien de l’Etat pour 5 pôles d’excellence rurale.

Les pôles d’excellence rurale sont des projets favorisant le développement des territoires ruraux qui reçoivent à ce titre un financement de la part de l’État.

Il en existe 5 dans le département :

– Dans le pays de Pontivy, la réalisation de deux maisons de services : un pôle d’accueil et de proximité intergénérationnel et un foyer de jeunes travailleurs

– Dans le Pays de Ploërmel, un pôle pour l’accueil des populations et des entreprises, avec la création de deux plateformes pour l’accueil d’entreprises et de deux pôles de services à la population

– A Pontivy, un pôle pour la valorisation des produits naturels, dans une démarche de protection de l’environnement et de développement durable, par la construction d’une unité de production d’un nanomatériau à base d’argile et d’algues vertes par la société Olmix et l’aménagement du parc d’activités du Haut Bois à Bréhan

– A Belle-Ile, un pôle de valorisation des produits agricoles, par la mise aux normes sanitaires de l’abattoir et l’augmentation de la production d’agneaux présalés de la marque “agneaux de Belle-Ile, agneaux du large”, la restauration du moulin à vent de Kerzo à Sauzon pour la production de farine et la création d’un site de promotion de l’agriculture bellilois

– Dans le pays de Ploërmel, un projet pour structurer la filière touristique, drainer de nouveaux flux et créer des emplois nouveaux, en valorisant la richesse du patrimoine naturel et culturel local de l’arrière-pays.

153 millions d’euros injectés par le Plan de Relance dans la région pour les infrastructures et le logement

Au plus fort de la crise, Nicolas Sarkozy a décidé de relancer fortement l’investissement public afin de soutenir des secteurs majeurs de l’économie, limiter la récession et préserver l’emploi.

En Bretagne, 153 millions d’euros ont été engagés pour réaliser de nombreux travaux au plus près de chez vous, parmi lesquels :

– 800 000 euros pour la restauration du clocher et de la tour de l’Eglise Saint-Nicodème de Pluméliau

– La restauration de la Cathédrale de Vannes

– 183 000 euros pour la construction d’une maison de l’enfance du Pays d’Auray à Camors

– L’entretien de la RN 165

– 270 000 euros pour la modernisation du bureau de la Poste à Auray, à La Trinité, à Belz et à Ploemeur

– Les exemples sont encore nombreux près de vous comme dans tout le pays (source data.gouv.fr)

176 millions d’euros engagés pour la rénovation urbaine

Le Plan National de Rénovation Urbaine (PNRU), c’est 12 milliards d’euros de subventions sur 10 ans pour améliorer radicalement le lieu de vie de 4 millions d’habitants dans 500 quartiers populaires. Il mobilise 45 000 emplois dans les travaux publics sur ses chantiers. D’ores et déjà, les résultats sont visibles.

Dans  le Morbihan, 176 millions d’euros  ont été mobilisés pour la rénovation urbaine : 107 millions d’euros pour le quartier Convention à Lorient, 17 millions d’euros pour la cité Kessler-Devillers à Lanester, 52 millions d’euros pour le quartier de Ménimur à Vannes.

4 déplacements de Nicolas Sarkozy dans le Morbihan depuis 2007

Le 8 janvier 2010, Nicolas Sarkozy a tenu à se rendre à Vannes, au 3e RIMa, afin de présenter ses Vœux aux Armées. Le 3e RIMa s’est particulièrement illustré dans la défense des valeurs universelles que porte la France au service de la paix et de la démocratie sur le théâtre afghan. 5 hommes du 3e RIMa ont perdu la vie en Afghanistan en 2009.

Le 4 mai 2010, Nicolas Sarkozy était à Lorient pour le lancement de la nouvelle frégate de classe Aquitaine, frégate furtive de nouvelle génération. Même en période de crise, Nicolas Sarkozy a en effet décidé de maintenir un haut niveau d’investissement de l’Etat, y compris dans le domaine militaire. Il s’agit du plus grand programme de construction navale européen, en coopération avec l’Italie. Il garantit 10 ans de travail aux Chantiers de l’Atlantique, notamment aux 1 950 salariés du site DCNS de Lorient. Les 11 frégates Aquitaine commandées par la France représentent au total 48 millions d’heures de travail, et 20 000 emplois locaux garantis sur les bassins d’emploi de Bretagne et de Lorient.

Plus récemment, Nicolas Sarkozy était à Josselin et à Beignon le 8 mars 2011. Il a visité l’entreprise FenêtréA, qui emploie 330 salariés et produit 1 000 fenêtres et portes PVC par jour, avant d’aller rencontrer les maires et les élus locaux du département.

x2 : Le nombre d’entreprises créées a doublé entre 2008 et 2010 dans le Morbihan

Dans le seul département du Morbihan, plus de 21 300 entreprises ont été créées depuis 2007. 5 265 entreprises ont été créées en 2010, alors que moins de 1 900 entreprises seulement étaient créées chaque année en moyenne entre 1997 et 2002. Ces bons résultats s’expliquent notamment par le succès du statut de l’autoentrepreneur, créé par Nicolas Sarkozy et qui offre un cadre social et fiscal avantageux à ceux qui choisissent d’entreprendre. 8 928 autoentreprises ont ainsi été créées dans le Morbihan en 3 ans.

La construction de la Ligne Grande Vitesse Bretagne-Pays de la Loire s’accompagne de travaux d’amélioration du  réseau existant dans le Morbihan

La ligne grande vitesse Bretagne-Pays de la Loire, c’est 182 km de ligne nouvelle entre Connerré et Rennes, 32 km de raccordements aux lignes existantes et 3,4 milliards d’euros d’investissement pour développer de manière significative la desserte de la Bretagne et des Pays de la Loire, en réduisant la position périphérique de l’Ouest et en renforçant son accessibilité vers les autres régions françaises (Paris et grandes métropoles régionales avec des liaisons directes « province-province ») et européennes. Avec un gain de temps considérable pour les voyageurs (40 mn) entre Paris et Rennes,  la LGV apportera dès 2016 une contribution majeure à la réduction du temps de trajet sur l’ensemble de la Bretagne.  Lorient ne sera désormais plus qu’à  2 h 40 de Paris, Auray à 2 h 20 et Vannes à 2 h. En outre, des travaux de modernisation des gares accompagnent la construction de la LGV, transformant les gares de Lorient, Auray et Vannes en pôles d’échanges multimodaux.

Avec l’appel d’offre éolien lancé par Nicolas Sarkozy, le port de Lorient devient un acteur stratégique pour le développement de la filière éolienne en France

Par son action déterminée pour préserver l’environnement et lutter contre le risque climatique, Nicolas Sarkozy a fait des énergies renouvelables l’une des grandes filières industrielles stratégiques pour l’avenir. En faisant adopter sous Présidence française de l’Union européenne le paquet énergie-climat en 2008, la France s’est engagée à intégrer 23 % d’énergies renouvelables dans sa consommation d’énergie finale à l’horizon 2020. Les énergies marines sont un atout majeur pour répondre à ce défi. C’est pourquoi l’Etat a lancé un Plan « énergies bleues » pour développer l’énergie marémotrice, les éoliennes flottantes, la force motrice des courants et l’énergie thermique des mers. L’objectif : produire plus de 6 000 MW d’énergies marines en 2020, ce qui représente l’équivalent de la production de 4 réacteurs nucléaires EPR et 20 milliards d’euros d’investissement. Pour y parvenir, la France a lancé en juillet 2011 un premier appel d’offre pour la construction de 600 éoliennes offshore, qui représentent 3 000 MW, 10 milliards d’euros d’investissement et 10 000 emplois créés. Les 600 premières éoliennes seront réparties sur 5 sites, en Manche et dans l’Atlantique.

Avec un espace disponible de 5 hectares et un positionnement optimal, le port de Lorient contribuera à la réalisation des fondations et des structures pour l’assemblage des turbines bord à quai, et assurera des opérations de maintenance.

Des programmes plus courts, plus lisibles et recentrés sur la  maîtrise des savoirs fondamentaux (lire, écrire, compter) dans les 606 écoles élémentaires du Morbihan grâce à la réforme de l’école lancée par Nicolas Sarkozy en 2008

Conscient que l’avenir et la réussite des élèves se jouent en grande partie à l’école primaire, Nicolas Sarkozy a placé, dès son élection, la réforme de l’école au cœur de son action. Cette réforme a réorganisé l’école autour de la maîtrise des savoirs fondamentaux : lire, écrire, compter. Une nouvelle matière, l’instruction civique et morale, a été introduite, afin de donner aux élèves les repères essentiels de la vie en société. Pour tout savoir sur la réforme de l’école primaire, cliquez ici : http://www.lafranceforte.fr/bilan/education

La FRANCE FORTE dans le Morbihan, c’est aussi…

–  1 université autonome à Lorient depuis le 1 janvier 2010 grâce à la loi LRU
– 1 maison pour l’accompagnement et l’intégration des malades d’Alzheimer (MAIA) à Pontivy, 1 plateforme d’accompagnement et de répit à Bréhan et 7 centres mémoire de ressources et de recherche ouverts dans le département  grâce au Plan Alzheimer lancé par Nicolas Sarkozy
–  +39%  d’exploitations pratiquant l’agriculture biologique en 3 ans dans le département
– La multiplication par 2,4 en trois ans de la puissance éolienne installée dans le département
–  14 643  bénéficiaires du Revenu de Solidarité Active (RSA). Avec le RSA, la reprise d’une activité devient réellement plus avantageuse que le maintien dans les revenus de l’assistance (20% de revenu en plus en moyenne)
– 5 510 bénéficiaires du minimum vieillesse et 10 636  bénéficiaires de l’allocation adulte handicapé qui auront vu leurs prestations revalorisées de 25% en 5 ans
–  3 projets financés et labellisés par le Plan cancer II, notamment à Pluneret et Vannes (mobilisation des seniors pour la prévention, aide à domicile)
– 22 guichets uniques Pôle Emploi, issus de la fusion entre l’ANPE et les Assedic, qui accompagnent et indemnisent plus efficacement les demandeurs d’emploi

Le meeting des jeunes marque toujours la vie d’un militant qui vit sa première campagne présidentielle. Cette année ce sont 10 000 jeunes qui se sont réunis au Parc des Expositions de la porte de Versailles à Paris le 31 mars dernier. Suite aux différents témoignages de jeunes, parmi lesquels celui de Ronan LOAS (Responsable des Jeunes pour le Morbihan), Nicolas SARKOZY a répondu aux aspirations de la jeunesse de France.

Le Président-candidat a expliqué aux jeunes présents, que c’est à cette génération qui a 20 ans aujourd’hui d’inventer le monde de demain et que «c’est la jeunesse du peuple de France qui doit porter le changement ». « Votre vie ne ressemblera pas à celle de vos parents » a-t-il poursuivi. Un nouveau monde est donc à inventer car « on ne peut pas continuer une mondialisation ou le développement des uns se fait au détriment des autres ». La science et le progrès technique porteront probablement plus hautes et plus lointaines les espérances de chacune et de chacun mais que le destin de cette génération ne pourrait être mené que par celui-ci. A un « rapport à l’avenir, devenu tellement angoissant », « le monde a besoin d’un nouvel humanisme », « l’homme doit repenser sa place par rapport au temps, par rapport à la vie » et « repenser l’idée du bonheur ». La vision du progrès passera par le choix de la qualité et du mode de vie, de la qualité du travail. C’est la raison pour laquelle l’éducation, la santé, la culture, la nature ne devront jamais être traitées comme des « marchandises ». Il faut également une réelle justice et une réelle égalité des chances pour être assurer que tout le monde puisse réaliser ses rêves s’il s’en donne les moyens. Inversement il s’oppose totalement à la « politique d’assistanat qui est une infantilisation de la jeunesse ».

« L’avenir appartiendra à ceux qui créeront ». « Je veux que l’audace soit vue comme une vertu ». Par conséquent pour porter les projets de la jeunesse, Nicolas SARKOZY propose de créer une « banque de la jeunesse qui se portera caution pour tout ceux qui n’ont pas une famille qui peut les financer » [Voir en bas de page pour plus d’information sur cette proposition]. Pour créer, il faut prendre des risques, c’est la raison pour laquelle le Président-candidat souhaite un droit à la seconde chance. Il considère également qu’il n’existe pas qu’un seul parcours de réussite. C’est pourquoi il souhaite que toute entreprise de plus de 250 salariés ainsi que l’administration ait 5% de sa masse salariale en apprentis.

Enfin Nicolas SARKOZY a expliqué que la culture sera déterminante dans la création de ce monde de demain. « C’est avec votre culture que vous changerez l’économie, que vous changerez le monde, que vous irez à la conquête du monde ». «Tout ce qui donne de la beauté à la vie sera peut être ce qu’il y aura de plus important dans l’avenir ».

Une proposition concrète pour les jeunes : « la banque des jeunes »

La jeunesse de France ne demande qu’une seule chose : qu’on lui fasse confiance. Qu’on lui permette d’être responsable, de prendre son destin en main, de mener à bien ses propres projets, sans lui demander toujours des garanties que, par définition, elle ne peut pas donner.

La société doit alors se porter caution pour sa jeunesse.

Nicolas SARKOZY le fera en créant la « banque de la jeunesse ». Cet organisme se donnera pour mission d’apporter une caution universelle aux jeunes en matière de financement des études et de logement.

1) Désormais, tout étudiant pourra emprunter pour financer ses études : l’Etat se portera caution pour lui auprès des banques et couvrira tout risque de défaillance de sa part. Il ne devra rembourser la somme qu’après avoir touché son premier salaire, et le montant de ses annuités sera proportionnel à ce salaire.

2) La « Banque de la jeunesse » apportera également une garantie locative universelle. Aucun jeune ne doit pouvoir se voir refuser l’accès à un logement au prétexte qu’il ne peut présenter de caution parentale ou déposer de garantie. Les pouvoirs publics joueront désormais le rôle d’une assurance qui, en cas de loyer impayé, paierait le loyer au propriétaire à la place du jeune. Les banques ne pourront plus refuser un prêt aux étudiants, puisque l’Etat se portera systématiquement caution.

• On incite davantage de jeunes à faire des études.
• Ce dispositif sera ouvert à tous et sera particulièrement intéressant pour les jeunes des classes moyennes: c’est-à-dire pour ceux qui ne sont pas éligibles aux bourses, mais dont les parents ne sont pas suffisamment riches pour pouvoir les aider.
• Le système n’est pas coûteux, puisqu’il ne s’agit que d’apporter une caution.

Chaque semaine, Hugues Jéhanno, Secrétaire Départemental Adjoint, donne la parole aux candidats morbihannais qui se présentent aux élections législatives. Aujourd’hui, c’est la candidate de la 5ème circonscription (Lorient), Brigitte MELIN qui a accepté de réprondre.  

HJ : C’est la première fois que vous allez vous présenter à cette élection. En quelques mots, pouvez-vous vous présenter?

BM : Je suis mariée avec 2 enfants qui m’ont fait, à mon plus grand bonheur, 2 fois grand-mère. Je suis également professeur de musique à Ploemeur depuis 1979.

Depuis 2001, je suis élue à Larmor Plage où j’y suis adjointe à la culture et aux associations. Lorsque notre équipe a été réélue en 2008 Victor Tonnerre ma confié le poste de 1^ère Adjointe en charge de la culture et des associations. J’ai également été élue conseillère communautaire en charge du tourisme et des transports. L’année dernière je me suis présentée aux élections cantonales. Cette élection m’a permis d’être à l’écoute des concitoyens et d’analyser les préoccupations de ces derniers et de découvrir l’importance de l’implication politique sous son propre nom.

HJ : Pourquoi vous êtes vous engagée dans cette élection ?

BM : Parce que je voulais m’engager avec toute ma détermination pour que les choses changent, pour faire gagner notre mouvement dans la 5eme circonscription.

HJ : Le 22 mars dernier, vous avez choisi de solliciter le vote des militants afin qu’ils approuvent votre démarche. Pourquoi était-ce important à vos yeux ?

BM : Aussi soutenue que je sois par notre parti,  je ne suis rien,  je ne puis rien et ne veux rien entreprendre sans avoir le soutien et le concours des militants et adhérents de l’UMP de la 5eme circonscription. Je me devais de me présenter devant eux pour solliciter leur confiance au travers d’un vote à bulletin secret. Les militants et adhérents m’ont élue à 98% des voix.

Maintenant forte de ce résultat, nous allons pouvoir unir nos forces pour se lancer dans cette campagne des législatives.

Revivez le meeting de Nantes en vidéo (lien joint)

http://www.lafranceforte.fr/medias/videos#ct_kUa9mSc0

9 000 sympathisants de l’ouest se sont donnés rendez-vous à Nantes, mardi 27 mars au Zénith.

En présence de Jean-François COPE, de Roselyne BACHELOT, de Marie-Anne MONTCHAMPS, de Rachida DATI, des élus de l’ouest en nombre et de très nombreuses personnalités politiques nationales, Nicolas SARKOZY a embrasé la foule défendant son bilan et défendant des réformes à engager pour une meilleure éducation des enfants de France.

Des parlementaires morbihannais : François GOULARD, Michel GRALL et Jacques LE NAY avaient fait le chemin dans les bus d’adhérents (6 au total) dans une ambiance bon enfant.

De nombreux élus UMP étaient également présents ;: conseillers généraux, maire, conseillers régionaux …

Réactions  en vidéo

http://www.dailymotion.com/video/xpq82a_meeting-de-nicolas-sarkozy-a-nantes-le-27-mars-2012_news?start=0#from=embediframe

L’UMP du Morbihan s’est mobilisée, comme toutes les fédérations de France, pour l’opération 72 heures pour faire gagner Nicolas Sarkozy. Les membres du parti se sont réunis dans une salle comble à Plumelec. Cette journée a permis d’établir le bilan positif du Président de la République et de son gouvernement. Cette rencontre a été également l’occasion d’un moment de convivialité et d’échanges avec notre candidat aux législatives : Yves BLEUNVEN.

Anne LE DIRACH, secrétaire départemental en a profité pour rappeler les principales des 931 mesures prises durant le quinquennat de Nicolas Sarkozy. Il ne faut pas oublier que la lutte contre les déficits publics a été une priorité durant ces dernières années. La suppression des droits de successions pour 95% des français ou bien encore l’exonération des heures supplémentaires a permis d’améliorer le pouvoir d’achat des français. Les valeurs de la République rétablies par l’interdiction du port de la burka ou bien encore par l’instauration de peines planchers. La revalorisation de 25% de l’allocation adulte handicapé ainsi que du minimum vieillesse pour protéger les personnes les plus fragiles. L’instauration du service minimum dans les transports publics et l’Education Nationale.  

Le candidat Yves BLEUNVEN a souhaité rappeler le lien entre les décisions politiques prises au niveau national et leurs applications concrètes au niveau local. Pour illustrer ce propos, des exemples des politiques de santé, de politique économiques et d’aménagement du territoire ont été cités. En effet c’est bien grâce à des politiques nationales de lutte contre les déserts médicaux qui ont permis de créer des pôles de santé public-privé. C’est également grâce à la création de pôles de compétitivité ainsi qu’à des financements provenant du grand emprunt que le développement de pôles d’excellences rurales a été possible. L’efficacité de cette politique est parfaitement prouvée par les exemples de Prodiabio et Valorial.

Gérard LORGEOUX a conclu ces interventions en témoignant des qualités essentielles de Nicolas SARKOZY qui est « un homme qui tient ses engagements. Il dit ce qu’il fait et fait ce qu’il dit ». Le président de la fédération à rappeler également la compétence et la détermination du Président de la République qui l’a montré en matière économique en « sauvant notre économie face à la crise ».

Son discours s’est achevé en expliquant  pourquoi il soutenait Yves BLEUNVEN à l’élection législative de la 3^ème circonscription du Morbihan. Le choix a été motivé par un désir de renouvellement des générations, par la certitude que le candidat partage les mêmes convictions républicaines et morales, par une capacité d’être à l’écoute des concitoyens et enfin par les compétences.