Les Républicains du Morbihan se sont tous réunis à l’occasion des voeux de la première circonscription organisés par son délégué Fabien Le Guernevé, en présence de notre Présidente Muriel Jourda. 

Cette rencontre amicale a été l’occasion de rappeler les actions de 2019, mais surtout d’afficher l’ambition des républicains pour les élections municipales de mars prochain.

Fabien Le Guernevé a rappelé le soutien de notre parti à la candidature de David Robo pour Vannes. En effet, de nombreux militants de chez nous figurent sur sa liste. 

Olivier Coulon, notre Secrétaire départemental nous a donné de nombreuses informations sur la vie de notre mouvement et nous a rappelé qu’il était important de renouveler sa cotisation. 

Enfin, Muriel Jourda a dressé un portrait de la situation politique de notre pays. La majorité au pouvoir ne cesse de creuser la dette tout en menant des réformes inefficaces qui ne vont pas au fond des choses. Les militants se sont ensuite retrouvés pour un moment de convivialité autour de la galette des rois.

Ces élections internes étaient organisées le samedi 13 octobre 2018 pour le premier tour et, le cas échéant, le dimanche 14 octobre 2018 pour le second tour.

À cette occasion, étaient élus les Présidents de Fédération, les Délégués de circonscription, les délégués des Fédérations au Conseil National, les membres élus des Comités de circonscription et les représentants des nouveaux adhérents.

Résultats complets pour le Morbihan: 

PRÉSIDENT DE FÉDÉRATION

DÉLÉGUÉS DE CIRCONSCRIPTION

DÉLÉGUÉS DE LA FÉDÉRATION AU CONSEIL NATIONAL

MEMBRES DU COMITÉ DE CIRCONSCRIPTION

REPRESENTANTS DES NOUVEAUX ADHERENTS

Les membres de la Fédaration morbihannaise étaient invités à élire leur président ce samedi. 

La sénatrice Muriel Jourda est élue avec 60,89% des suffrages exprimés. 

Ces derniers mois, les Français ont souvent eu l’impression que l’on ne pouvait rien dire sur Emmanuel Macron. Pourtant, il apparaît chaque jour un peu plus que la politique d’Emmanuel Macron n’est pas habitée par une vision de société à même de remettre la France à l’endroit. Certes, il a fait quelques réformes techniques. Il faut dire qu’il était difficile de faire pire que François Hollande. Mais nous sommes loin de réformes à la hauteur des enjeux pour la France.

Les ordonnances sur le code du travail ? Avec le recul, les avancées pour les employeurs sont très faibles. La réforme de l’Etat ? La dépense publique continue d’augmenter. La violence contre les policiers ? Aucune décision n’a été prise. La lutte contre le travail détaché ? Une fois passé les effets d’annonce, on s’aperçoit que rien n’a changé et que les travailleurs détachés paient toujours leurs charges sociales dans leur pays d’origine.

A grand renfort de communication, Emmanuel Macron cherche à raconter aux Français un monde virtuel. Mais les faits ont la tête dure.

1. La dépense publique ne baisse pas et l’année 2018 commence par une hausse d’impôts de 4,5Mds€.

Alors que la croissance repart à la hausse, la France reste le seul pays de la zone euro qui ne se désendette pas. Le budget de l’État augmentera encore de 7,3 milliards d’euros cette année. Même si la France parvient à sortir en 2018 de la procédure pour déficit excessif, elle aura le déficit public le plus élevé de l’Union européenne.

Emmanuel Macron avait promis de supprimer 120 000 postes dans la fonction publique d’ici à 2022, dont 50 000 au sein de l’État. Or le projet de budget 2018 ne prévoit d’en supprimer que 1 600. 90 % des efforts sont reportés aux années ultérieures, comme cela a été le cas pour chaque budget sous le quinquennat Hollande.

Pour compenser ce manque de maîtrise budgétaire, le gouvernement Macron continue de faire payer les Français et, en premier lieu, les classes moyennes. L’Insee a chiffré à 4,5 milliards d’euros les hausses d’impôt pour les ménages en 2018.

Dès janvier, huit millions de retraités ont vu leur CSG augmenter de 25 %. Pourtant, qui peut penser qu’un retraité avec une pension de 1 250 euros, qui a travaillé toute sa vie et doit faire face à des dépenses de santé de plus en plus élevées, est un privilégié ?

Mais Emmanuel Macron ne s’en prend pas qu’aux retraités. Depuis le 1er janvier 2018, le litre de diesel à la pompe a augmenté de 7,6 centimes par litre. Pour une famille qui fait chaque année 30 pleins de 60 litres, cela fera 137 euros de plus à payer en 2018. Quant aux jeunes parents des classes moyennes, ils vont être touchés de plein fouet par la réduction de la prestation d’accueil du jeune enfant.

Il est irresponsable de continuer à s’attaquer à la politique familiale, alors que les familles ont été les premières victimes du quinquennat Hollande et que la France observe, pour la troisième année consécutive, une baisse de la natalité.

Chaque jour, nous constatons le mépris du président pour la France des territoires, cette France des gens modestes qui prennent leur voiture pour aller travailler et qui, eux, ne profiteront pas des dispositions sur les produits financiers.

2. Le Gouvernement ne fait rien pour restaurer l’autorité de l’Etat.

Ces dernières semaines, les actes de délinquance se sont succédé. Des agressions lâches et inacceptables à l’encontre de nos forces de l’ordre, à Champigny-sur-Marne et dans bien d’autres villes. Des gardiens de prison blessés. Un train pris d’assaut par des gens du voyage. Des zadistes qui triomphent d’avoir fait capituler l’Etat.

Il est trop facile de s’indigner et de ne rien faire. Nous appelons à en finir avec la culture de l’excuse et le sentiment d’impunité que le laxisme des années Taubira a laissé s’installer. La peur doit changer de camp et les délinquants doivent savoir que cela les conduira systématiquement derrière les barreaux, et pour longtemps.

C’est la raison pour laquelle Laurent Wauquiez et l’équipe dirigeante des Républicains ont demandé le rétablissement des peines plancher pour les agressions commises contre un policier, un gendarme ou toute autre personne dépositaire de l’autorité publique. En outre, il ne doit plus y avoir aucun aménagement de peine pour les condamnations qui sanctionnent des violences à l’encontre des dépositaires de l’autorité. 

3. Depuis les premiers mois d’Emmanuel Macron, on assiste à une explosion de l’immigration en France.

Depuis plusieurs semaines, le gouvernement nous présente une supposée politique de fermeté sur l’immigration. Il ne faut pas se contenter des discours qui relèvent d’un art de l’enfumage, mais regarder les faits.

Emmanuel propose un catalogue de mesures techniques qui ne changeront rien à la vague migratoire. En 2017, 262 000 premiers titres de séjour ont été donnés à des étrangers. C’est du jamais vu en plus de 40 ans. Cela veut dire que chaque année, la France accueille désormais l’équivalent de la ville de Bordeaux !

Le nombre d’immigrés clandestins qui arrive sur notre pays explose lui aussi. Pour la première fois, nous avons franchi le nombre de 100 000 demandeurs d’asile en 2017, alors que chacune année plus de 60% des demandes sont rejetées car considérées comme infondées. Notre pays n’a plus la capacité d’accueillir autant d’étrangers. 

Face à la gravité des enjeux, le gouvernement pratique la politique de la porte ouverte. Alors que seuls 4% des déboutés du droit d’asile sont expulsés, les crédits consacrés à l’éloignement des étrangers en situation irrégulière sont en baisse de 7% pour 2018. Dans le même temps, les crédits de l’Aide médicale d’Etat ont augmenté de 13% pour se porter à près d’1 milliards d’euros.

Il faut que la France reprenne le contrôle en décidant, chaque année, dans le cadre d’un débat au Parlement, le nombre d’étrangers que nous sommes en capacité d’accueillir et d’intégrer. Ce n’est pas aux passeurs de décider combien on accueille d’étrangers sur notre territoire, mais bien aux Français.

Les jeunes Républicains se mobilisent en Morbihan. Le Week-End du 20 janvier dernier, sur initiative de Yvan-Pierre le Guidec (RDJ du Morbihan), Théo Thomas et Mandy Prima, les Jeunes Républicains de Bretagne se sont réunis à Vannes pour un grand repas régional, suivi d’un après-midi convivial et d’une grande soirée ‘’Jeunes Républicains’’. Pour l’occasion, les fédérations jeunes d’Indre et Loire et du Loiret étaient également présentes.

Cet événement fut l’occasion de débuter la nouvelle année sur la base de l’unité et de la cohésion. Après une année 2017 éprouvante et des élections internes importantes pour désigner le nouveau président du parti, le mot d’ordre de l’événement était clair : le Rassemblement !

Ce rassemblement qui aux yeux de tous était une réussite, a permi également de planifier les futures grandes actions de l’année.

En bref : l’utile et l’agréable étaient donc au rendez-vous durant ce grand Week-End ‘’Jeunes Républicains’’ !

Chers amis ,

Vous m’avez fait l’honneur de m’élire puis de me réélire à la tête du comité départemental de notre mouvement . J’ai tenté , ces années durant , en étroite liaison avec notre secrétaire départemental Olivier Coulon , d’animer notre action et de préparer les échéances . Ainsi, grâce à chacune et chacun d’entre vous, nous avons remporté les élections municipales de 2014 et les élections départementales de 2015.

En 2017, nous avons vécu une année politiquement très éprouvante . Elle s’est conclue par l’élection  d’un nouveau président des Républicains . Laurent Wauquiez a obtenu une large majorité , y compris dans le Morbihan, qui lui confère une forte légitimité . Tout en lui portant une grande estime , je n’adhère pas à la ligne qu’il a défendue et qu’il met en œuvre .

C’est la raison pour laquelle , tout en restant membre des Républicains , j’ai décidé de mettre fin à mes fonctions de président du comité départemental du Morbihan .

Je suis certain que nous nous retrouverons toujours lorsque l’intérêt de notre pays et celui de nos territoires seront en jeu .

Je veux remercier tous ceux qui ont œuvré et œuvrent pour promouvoir et défendre nos idées dans le Morbihan .

Croyez , chers amis , à l’assurance de mes sentiments fidèles .

François GOULARD

En ce dernier jour de campagne, Guillaume Larrivé, Député de l’Yonne, est venu à Vannes soutenir Laurent Wauquiez à la présidence des Républicains.

A quelques heures du scrutin il a souhaité rappelé les échecs du Président Macron.

Tout d’abord, en dénonçant les déficits qui se dégradent inexorablement et le choc fiscal qui feront une fois de plus les classes moyennes les victimes du Gouvernement. En effet, la réforme de la taxe d’habitation est de la fausse monnaie qui sera financée par le contribuable.

Tout aussi grave est la décision de sortir de l’état d’urgence. Aujourd’hui l’Etat se prive ainsi d’instruments indispensables pour faire face à des individus qui veulent nuire à la France.

De même nous assistons à une continuité de la politique migratoire laxiste des années Holande et nous constatons un silence radio sur la question de la laïcité. Emmanuel Macron a une vision post-nationale. Pour lui, la nation est seconde. Elle doit être d’un côté dissoute par les communautés et de l’autre par une intégration européenne très poussée.

En conclusions, Guillaume Larrivé a rappelé que Les Républicains étaient attachés à une seule communauté et refusaient le multiculturalisme. Ainsi, notre volonté de vivre sur un territoire conservant son unité nous amène à refuser de voir la France se morceler entre des zones rurales, des métropoles et des ghettos dirigés par des groupes communautaristes.

 Les 3 qualités de Laurent Wauquiez selon Guillaume Larrivé : intelligent, déterminé, réfléchi. 

Le dimanche 10 décembre, je vote !

Le dimanche 10 décembre 2017, vous êtes invités à participer à l’élection à la présidence de « les Républicains ». Le dimanche 10 décembre, il n’y a qu’un seul mot d’ordre : Je vote !

Je vote ! Après une année électorale sans précédent, marquée par deux défaites historiques, il est essentiel que notre famille politique s’incarne à nouveau afin de se relever et de proposer un nouveau projet pour la France.

Je vote ! Car chacun de vos votes apportera une preuve supplémentaire de la vitalité de notre mouvement. Nous avons entamé un travail important de refondation dès le 5 juillet dernier et nous sommes tous mobilisés pour participer à cette élection interne organisée dans des conditions exemplaires.

Je vote ! L’illusion de la révolution macronienne se dissipe chaque jour un peu plus avec une personnalisation et une pratique du pouvoir qui n’ont rien du « nouveau monde ». Sur la réduction des déficits publics, sur l’immigration, sur la défense de la France et de ses valeurs, sur la refondation de l’Europe, la droite doit faire entendre sa voix et ne pas laisser aux extrêmes le monopole de l’opposition.

Je vote ! L’enjeu de la participation est important pour notre famille politique. Nous avons besoin d’une voix qui compte face à la tentation hégémonique de l’actuel chef de l’Etat.

Je vote ! Certains chefs de parti sont désignés par le fait du prince, d’autres sont élus. Alors que Christophe Castaner, candidat unique désigné par Emmanuel Macron, vient d’être élu par un conseil restreint lors d’un vote à main levée, soyons d’autant plus fiers d’être adhérents d’un mouvement, les Républicains, qui n’a pas peur de la démocratie interne. Le 10 décembre, tous les adhérents des Républicains à jour de cotisation sont appelés à voter.

Je vote ! Voter est un droit, c’est aussi un devoir. Ne pas voter, c’est refuser de faire un choix, si ce n’est celui du renoncement, et laisser les autres décider pour vous. En adhérant à un mouvement politique, vous avez montré votre attachement à la démocratie. Souvenez-vous que voter n’est jamais un acte banal. Chaque voix comptera, alors faites entendre la vôtre !

Je vote ! Notre famille politique va écrire une nouvelle page de son histoire. Elle le fera avec les militants, en partant de la base. Faites de ce 10 décembre un acte fondateur pour la reconstruction de notre mouvement en vous mobilisant massivement.

Comptant sur votre mobilisation,

       Bernard Accoyer

Président Les Républicains