Nos sénateurs interrogent le gouvernement

Ce mercredi après-midi, lors de la séance de questions au gouvernement, six sénateurs du groupe les Républicains ont interpellé l’exécutif.

Pour commencer, François-Noël Buffet, sénateur du Rhône, a interpellé le Premier ministre sur l’avenir de la Nouvelle-Calédonie.

“Nos compatriotes de Nouvelle-Calédonie ont fait le choix de rester Français ! Comment envisagez-vous la construction d’un projet institutionnel pour établir la #NouvelleCalédonie durablement dans la République ?”@fnb_officiel interpelle le gvt. #QAG https://t.co/TMvDIBzKnK

— Républicains Sénat (@lesRep_Senat) December 15, 2021

Alexandra Borchio-Fontimp, sénatrice des Alpes-Maritimes, a interrogé le Premier ministre sur le temps de parole des candidats à l’élection présidentielle.

“Ce soir le Président parle, vive le candidat! N’est-il pas temps urgent qu’un débat loyal entre tous les candidats s’installe ?” @AlexndraBorchio interpelle le gvt à qq heures de l’intervention d’E. #Macron sur TF1. #QAG https://t.co/aRNevrsODn

— Républicains Sénat (@lesRep_Senat) December 15, 2021

Alain Milon, sénateur de Vaucluse, a questionné le ministre des Solidarités et de la Santé sur les plans blancs à l’hôpital.

“Les besoins en #lits croissent chaque jour. Pour les armer, il faut pouvoir recourir à des personnels médicaux supplémentaires.” @SenateurMilon interpelle le gvt sur la situation de l’hôpital. #QAG https://t.co/asRsnlfy2p

— Républicains Sénat (@lesRep_Senat) December 15, 2021

Florence Lassarade, sénatrice de Gironde, a interpellé le Premier ministre sur les violences contre les maires.

“Quel signal d’autorité allez-vous envoyer ? Comment comptez-vous sanctionner les agressions d’élus ?” @flolassarade interroge le gvt. #QAG https://t.co/gulXO0DuDL

— Républicains Sénat (@lesRep_Senat) December 15, 2021

Philippe Tabarot, sénateur des Alpes-Maritimes, a interrogé le ministre délégué auprès de la ministre de la Transition écologique, chargé des Transports sur la grève de la SNCF.

“Les gares se transforment en camps de fortune.” @PhilippeTabarot interpelle le gvt sur les #grèves prévues par la #SNCF. #QAG https://t.co/9u0NG3IPig

— Républicains Sénat (@lesRep_Senat) December 15, 2021

Pour finir, François Bonhomme, sénateur du Tarn-et-Garonne, a questionné le ministre de l’intérieur sur les visas médicaux.

“Quelles mesures comptez-vous prendre pour lutter contre ceux qui utilisent de façon dévoyée notre système de soins ?” @F_Bonhomme interroge le gvt. #QAG https://t.co/lBRNfkL8rO

— Républicains Sénat (@lesRep_Senat) December 15, 2021

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Aurélien Pradié : « Emmanuel Macron me fatigue et je crois qu’il fatigue aussi les Français »

Aurélien Pradié, secrétaire général de notre mouvement et député du Lot, était l’invité de Public Sénat.

Il est revenu sur la crise sanitaire, la vaccination des enfants contre la Covid-19, l’interview d’Emmanuel Macron et la candidature de Valérie Pécresse à l’élection présidentielle.

Crise sanitaire : “Ne pas durcir les règles, c’est aussi faire confiance à nos concitoyens. Cette infantilisation permanente de la société fabrique des robots plus que des citoyens. L’accoutumance aux privations de liberté est un sujet politique.” @AurelienPradie #BonjourChezVous pic.twitter.com/mjYAaJucWI

— Public Sénat (@publicsenat) December 15, 2021

Vaccination des enfants : “Je n’y suis pas favorable, nous n’avons pas assez de recul scientifique. La prudence est aussi une exigence de santé publique. On ne peut pas lancer une grande campagne de santé publique avec une défiance qui plane.” @AurelienPradie #BonjourChezVous pic.twitter.com/QCz4wFwItH

— Public Sénat (@publicsenat) December 15, 2021

Intervention d’@EmmanuelMacron : “Il me fatigue et d’ailleurs je crois qu’il fatigue les Français. Ces exercices narcissiques sont devenus insupportables. C’est une attitude de petit mec, pas de Président de la République.” @AurelienPradie #BonjourChezVous pic.twitter.com/dAACXNYaJc

— Public Sénat (@publicsenat) December 15, 2021

@vpecresse est urbaine, peut-être, mais elle connaît parfaitement les territoires ruraux. @GDarmanin est devenu le roquet de la Macronie. Valérie Pécresse n’est pas Versaillaise, elle est française.” @AurelienPradie #BonjourChezVous pic.twitter.com/xLW4WquIS0

— Public Sénat (@publicsenat) December 15, 2021

 

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Bruno Retailleau : « Le décompte du temps de parole doit être imposé. Je demande l’équité »

Bruno Retailleau, président du groupe les Républicains au Sénat et sénateur de Vendée, était l’invité de France 2.

Il est revenu sur le bilan d’Emmanuel Macron, la campagne de vaccination contre la Covid-19, les thérapies de conversion et l’interview d’Emmanuel Macron.

Bilan d’Emmanuel #Macron

«Est-ce que la France va mieux aujourd’hui ? L’insécurité a explosé, l’immigration n’a pas régressé, les Français ne sont pas mieux soignés.»
@BrunoRetailleau Pdt groupe @lesRep_Senat

#les4V @Caroline_Roux pic.twitter.com/kg9tb1QZ3u

— Caroline Roux (@Caroline_Roux) December 15, 2021

Obligation vaccinale

«Je suis contre car cela diviserait encore plus la société française mais il faut se faire vacciner pour éviter l’effondrement de l’hôpital.»
@BrunoRetailleau LR

#les4V @Caroline_Roux pic.twitter.com/Y8D76QEOCC

— Caroline Roux (@Caroline_Roux) December 15, 2021

Thérapie de conversion

«Je suis contre les thérapies de conversion mais j’ai voté contre car il y avait également la notion d’identité de genre et je souhaite protéger les mineurs contre cette idéologie.»
@BrunoRetailleau LR

#les4V @Caroline_Roux pic.twitter.com/MQKHQVMn39

— Caroline Roux (@Caroline_Roux) December 15, 2021

Emmanuel #Macron : une émission de candidat ?

«Le décompte du temps de parole doit être imposé. Je demande l’équité.»
@BrunoRetailleau Pdt groupe @lesRep_Senat

#les4V @Caroline_Roux pic.twitter.com/VgVWOKsO4o

— Caroline Roux (@Caroline_Roux) December 15, 2021

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Nos députés interrogent le gouvernement

Ce mardi après-midi, lors de la séance de questions au gouvernement à l’Assemblée nationale, sept députés du groupe les Républicains ont interpellés l’exécutif.

Pour commencer, Constance Le Grip, députée de Hauts-de-Seine, a interpellé le Premier ministre sur la dégradation du Mont Valérien.

@ConstanceLeGrip : “Abject, révoltant. Quelle ne fut pas la consternation, la tristesse et la colère de nombreux de nos compatriotes devant la dégradation du Mont Valérien. Cette insulte à nos résistants tombés pour la Libération doit faire l’objet d’une sanction exemplaire.” pic.twitter.com/4OV8pkv8XC

— Députés Les Républicains (@Republicains_An) December 14, 2021

Philippe Gosselin, député de la Manche, a questionné le Premier ministre sur le respect du temps de parole des candidats à l’élection présidentielle.

@phgosselin: “L’émission de demain est bien une émission de campagne, personne ne s’y trompe! Mais le Président refuse de s’appliquer les règles sur les temps de parole que doivent respecter les autres candidats. Comment peut-il se soustraire délibérément à la règle commune ?” pic.twitter.com/2KGax0795L

— Députés Les Républicains (@Republicains_An) December 14, 2021

Emilie Bonnivard, députée de Savoie, a interrogé le Premier ministre sur les mesures sanitaires mises en place pour les touristes européens venant en France pour les fêtes de fin d’année.

@BonnivardE: “Je suis très attachée aux séjours en montagne pour les jeunes issus des milieux populaires. Ils sont une opportunité extraordinaire pour faire vivre les valeurs républicaines. Il est essentiel que @education_gouv stoppe les annulations en chaîne de ces séjours !” pic.twitter.com/4yTnKeNFND

— Députés Les Républicains (@Republicains_An) December 14, 2021

Eric Diard, député des Bouches-du-Rhône, a interpellé le ministre de l’Éducation nationale, de la Jeunesse et des Sports sur l’augmentation des expressions religieuses dans les lycées.

@DiardEric : “1 lycéen sur 2 a déjà été confronté à une expression religieuse dans son établissement, malgré le principe de laïcité. 47% des élèves ont constaté des demandes pour des menus confessionnels et 28% ont constaté l’absence de filles en EPS au nom de la religion !” pic.twitter.com/N68JbG6gSn

— Députés Les Républicains (@Republicains_An) December 14, 2021

Dino Cinieri, député de la Loire, a interrogé le ministre de l’Intérieur sur les violences contre les forces de l’ordre.

@DinoCinieri: “Pour la 3ème fois en 2 jours, une voiture de police a été incendiée devant le commissariat de Firminy dans la Loire suite à des jets de cocktails Molotov. Les policiers de l’ensemble du territoire national vous demandent de les protéger. Que comptez-vous faire?” pic.twitter.com/g7LAxzq0WH

— Députés Les Républicains (@Republicains_An) December 14, 2021

Valérie Bazin-Malgras, députée de l’Aube, a questionné le secrétaire d’État auprès de la ministre du Travail, de l’Emploi et de l’Insertion, chargé des Retraites et de la Santé au travail sur la revalorisation des retraites.

@VBazinMalgras: “Le Président avait promis que «toute retraite pour une carrière complète devra être supérieure à 1000€/mois». Des millions de retraités, qui ont travaillé toute leur vie jusqu’à 40h par semaine, attendent toujours! Allez-vous maintenir leur pouvoir d’achat ?” pic.twitter.com/eQ0z2mtzsJ

— Députés Les Républicains (@Republicains_An) December 14, 2021

Pour finir, Sylvie Bouchet-Bellecourt, députée de Seine-et-Marne, a interpellé le Premier ministre sur la pauvreté en France.

@SBouchetB: “Des actifs ou retraités disent faire attention pour pouvoir donner un billet aux enfants à Noël. Les priorités du Président paraissent bien éloignées de leurs préoccupations quotidiennes. Comment justifier votre inertie sur la pauvreté structurelle de notre pays?” pic.twitter.com/TMIuDWLduN

— Députés Les Républicains (@Republicains_An) December 14, 2021

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Emmanuel Macron méprise les territoires

Le centralisme bureaucratique d’Emmanuel Macron

Emmanuel Macron n’a jamais été élu local et a multiplié les décisions déconnectées des réalités de terrain dont la crise des gilets jaunes a été l’une des conséquences. Depuis son élection, il s’est inscrit dans le pire centralisme technocratique au détriment des collectivités territoriales: le non-cumul des mandats a déconnecté les parlementaires du terrain ; la suppression de la taxe d’habitation a abouti à une mise sous tutelle financière des collectivités territoriales la campagne « #BalanceTonMaire » a été le signe le plus saillant du mépris des élus territoriaux. Conséquence de ce mépris des territoires, la majorité présidentielle a perdu toutes les élections locales: municipales, régionales et départementales, et c’est David Lisnard, maire LR de Cannes, qui a été largement élu président de l’Association des maires de France.

Les effets pervers de la suppression de la taxe d’habitation

Jamais un gouvernement n’a porté un tel coup à l’autonomie fiscale des collectivités territoriales. Si la perte des recettes pour les communes est compensée par le Gouvernement par un transfert d’une partie des recettes de la taxe foncière (d’un montant de près de 3 milliards d’euros}, ce mécanisme crée finalement « des transferts de communes en moyenne moins peuplées et à plus faible revenu vers des communes en moyenne plus urbaines où le pouvoir d’achat des résidents est plus important », comme le relève un rapport de l’Institut des politiques publiques, déconnectant la fiscalité locale des actions menées par les collectivités territoriales au profits de leurs habitants.

Le rejet de toute avancée vers la décentralisation

Alors que le projet de loi dit« 3DS » devait être« un nouvel acte de décentralisation» annoncé par Emmanuel Macron après le mouvement des gilets jaunes, le gouvernement a rejeté tous nos amendements pour décentraliser et déconcentrer davantage l’action publique. La présidence des ARS confiée aux présidents de région, le renforcement du rôle du préfet comme seul interlocuteur des collectivités territoriales, la décentralisation du service public de l’emploi, le transfert de la compétence de l’apprentissage et de la formation aux régions, le droit de veto des maires pour s’opposer aux projets d’éoliennes qui ne font pas l’objet d’un consens local… Toutes nos propositions sont rejetées par le gouvernement et la majorité.

Les collectivités territoriales ont pallié les manques de l’Etat face à la crise sanitaire

Depuis le début de la crise sanitaire, l’Etat a multiplié les errances et les retards à cause du centralisme bureaucratique : lourdeurs de fonctionnement, retards dans l’exécution, manque de coordination, protocoles sanitaires ubuesques… alors que les collectivités territoriales ont su se montrer agiles dans la distribution de masques, l’ouverture de centres de vaccination ou le déploiement de purificateurs d’air dans les établissements scolaires. Ce sont les collectivités territoriales qui ont permis la mis en œuvre effective des décisions pour lutter contre l’épidémie.

Nos propositions pour libérer les territoires de l’ultra-centralismeNous devons faire confiance aux collectivités territoriales pour mener une action publique de proximité et pour sortir de l’ultra-centralisme. Il faut une nouvelle organisation des pouvoirs publics avec des transferts de compétences, d’effectifs et de moyens budgétaires aux communes, aux départements, aux régions dans certains domaines tels que la santé, la formation professionnelle, la lutte contre la dépendance et l’environnement. L’État doit se concentrer sur ses missions essentielles alors que les territoires requièrent plus de libertés et de responsabilités dans la mise en œuvre des politiques publiques.

– Clarifier les compétences des collectivités territoriales et leur garantir des moyens budgétaires adéquats et dynamiques pour les exercer conformément au principe de subsidiarité et pour mettre définitivement fin aux doublons qui persistent avec l’État;

– Transférer aux régions la compétence et les moyens de la formation professionnelle, du service public de l’emploi, de l’orientation, des lycées professionnels et de l’apprentissage et associer les régions aux décisions d’ouverture et de fermeture de places dans l’enseignement supérieur (pour les adapter aux réalités économiques locales) ;

– Territorialiser la politique de santé en faisant présider le conseil de surveillance des ARS par le président de région, en faisant présider le conseil d’administration des hôpitaux par les maires et en faisant des départements les chefs de file de la politique de la dépendance ;

– Remplacer tous les schémas environnementaux existants (Plan régional de prévention et de gestion des déchets, Plan climat-air-énergie territorial, Schéma régional d’aménagement, de développement durable et d’égalité des territoires…) par un schéma environnemental unifié, simplifié et transversal mis en œuvre par les collectivités ;

– Simplifier les normes et supprimer celles qui sont inutiles parmi les 400 000 normes (textes réglementaires et circulaires) qui pèsent aujourd’hui sur l’action des collectivités territoriales ;

– Réaffirmer le rôle du préfet en tant que représentant unique de l’État dans les territoires ;

– Autoriser à nouveau les maires à exercer un mandat parlementaire ;

– Donner aux maires un droit de veto sur les fermetures de classes d’école ou sur les projets d’éoliens.

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Jean-Louis Thiériot : « Pourquoi Valérie Pécresse peut gagner »

Depuis sa désignation par le Congrès, les sondages sont bons, excellents, même, pour Valérie Pécresse. Tous la placent au second tour, en mesure de l’emporter. Sans se laisser griser par une euphorie sondagière fort imprudente, il est des raisons de fond, infiniment plus importantes, qui rendent très crédible une victoire de la candidate de la droite et du centre en avril prochain : son programme, sa méthode, son caractère.

En France, depuis de Gaulle du moins, il n’est pas de victoire à droite sans l’union plus ou moins achevée des trois familles qui la composent, bonapartiste, orléaniste et légitimiste, mises en évidence par René Rémond dans Les Droites en France, devenu un classique. Chez le Général, le bonapartisme, c’est le rétablissement de l’autorité de l’État, la stabilité de la « monarchie républicaine » instituée par la Ve République, l’ordre dans le pays ; l’orléanisme, c’est la libéralisation de l’économie avec les ordonnances Pinay-Rueff de 1959, l’ouverture raisonnée à la concurrence européenne, les grands projets industriels ; le légitimisme, c’est la défense de la famille, articulée notamment autour de la politique nataliste de Michel Debré. Le programme de Valérie Pécresse s’articule autour de ces trois piliers. Quelques exemples suffiront à le démontrer.

Rétablir la sécurité en investissant massivement dans la justice, en construisant 20 000 places de prison, en fixant la majorité pénale à 16 ans quand les délinquants sont de plus en plus jeunes et violents, reprendre le contrôle de notre politique migratoire au travers d’une loi constitutionnelle adoptée par référendum, mettre en place des quotas, conditionner l’octroi de visas aux pays d’émigration à la délivrance de laissez-passer consulaires, relève de la tradition bonapartiste. « Femme de paix, je le suis viscéralement, mais je serai chef de guerre chaque fois que la France est menacée. » Lancée à son premier grand meeting, cette phrase en dit plus long sur ses filiations historiques que toutes les analyses. Elle est d’une candidate qui mesure la tragédie de l’histoire, en assume les exigences régaliennes et porte haut la fierté et la souveraineté française.

Peut-être parce qu’avant de rejoindre la haute fonction publique, elle a fait HEC, l’école des entrepreneurs, Valérie Pécresse assume une vision libérale de l’économie, celle des orléanistes : rétablir l’ordre de nos finances publiques en économisant 45 milliards annuels à l’horizon 2027, tenir un discours de vérité en allongeant l’âge du départ à la retraite en proportion de l’allongement de la durée de vie, gérer intelligemment la fonction publique en réduisant la part de la technostructure mais en renforçant les effectifs dans les secteurs vitaux de la sécurité ou de la santé, baisser certains impôts pour améliorer la productivité et les salaires nets ou revenir sur les 35 heures, en faisant des 39 heures payées 39 la règle, sauf accords d’entreprise ou de branche, reprendre à son compte une partie des propositions d’Éric Ciotti sur la baisse des droits de succession, l’« impôt sur la mort ». Face à tous les discours décroissants de l’écologie de punition, elle assume de faire de la transition écologique « une opportunité pour nos emplois », en libérant énergie créatrice et ressources de la science qui seules permettront de conjuguer croissance et environnement. Elle fait sienne la tradition d’un libéralisme tempéré par l’exigence gaullienne – jamais autant d’actualité – de participation et d’intéressement des salariés aux bénéfices des entreprises.

Elle est également la seule à avoir placé la famille, marqueur par excellence de la droite légitimiste, au cœur de son programme. En restaurant l’universalité des allocations familiales, en élargissant son bénéfice au premier enfant, en doublant le crédit d’impôt pour les emplois à domicile, elle entend mettre fin à la casse de la politique familiale initiée par François Hollande qui a fait décrocher la natalité française, alors que c’était une réussite exemplaire de notre pays depuis les années 1960.

Quelque excellent que soit un programme, il n’est rien sans les moyens de le mettre en œuvre. Visiblement, Valérie Pécresse a réfléchi aux conditions de l’action. Elle a fait sienne la leçon tirée de tous les grands réformateurs – de Gaulle en 1958, Margaret Thatcher dans ses deux premiers mandats, Gerhard Schröder en 2003 – que les réformes de fond ne peuvent aboutir que si elles sont menées tambour battant, à l’issue du scrutin, bénéficiant de l’onction du suffrage universel. Elle a promis que l’essentiel serait bouclé en six mois.

Dénonçant l’administration « administrante », celle de l’État Cerfa, des rapports interminables et des « fiches actions », elle renoue avec la distinction chère à Edgard Pisani et à Michel Debré entre administration de mission et administration de gestion. À travers le « comité de la hache » qu’elle propose pour supprimer lourdeurs technocratiques et innombrables comités Théodule, elle a compris le mal français. Il ne s’agit pas de pratiquer des coups de rabot à l’aveugle mais de disposer d’un État modeste, agile et puissant, concentré sur l’essentiel.

Enfin, il n’est pas de grande politique sans caractère. À la région Île-de-France, Valérie Pécresse a prouvé qu’elle ne se laissait pas dicter ses choix par la bien-pensance. Elle tient ses positions : charte de la laïcité, « bouclier de sécurité » (actions de la région en matière de sécurité, par exemple la vidéosurveillance dans les transports publics), interdiction du burkini dans les bases de loisirs, volonté de supprimer le tarif réduit sur la carte Navigo pour les clandestins. Elle rejette sans faiblir le wokisme – « Je ne laisserai pas réécrire l’histoire (…). C’est une “cancel culture”, c’est la dictature d’un politiquement correct qui veut réécrire notre histoire avec la vision du XXIe siècle ». Elle assume l’identité française, de la fierté nationale aux petits riens du quotidien qui en font le sel.

Réunissant dans sa personne un programme, une méthode, un caractère, portée par un esprit d’unité de sa famille politique qui n’est pas feint, Valérie Pécresse a tout pour mettre en œuvre le programme de redressement qu’attend la grande majorité des Français, plus à droite que jamais.

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Agnès Evren : « Je dis aux électeurs tentés par Zemmour : revenez à la maison »

Agnès Evren : « Je dis aux électeurs tentés par Zemmour : revenez à la maison »

Agnès Evren, vice-présidente de notre mouvement et députée européenne, était l’invitée de Sud Radio.

Elle est revenue sur la candidature de Valérie Pécresse à l’élection présidentielle.

[#SudRadio] @AgnesEvren

@vpecresse est la seule capable de faire la synthèse de la #droite forte jusqu’à la droite sociale. On a montré l’image d’une famille totalement rassemblée et unie derrière une vision commune”

https://t.co/Ld6wUOQ50D pic.twitter.com/ovRRqippOP

— Sud Radio (@SudRadio) December 13, 2021

#SudRadio] @AgnesEvren

#Pecresse, ce n’est pas du robinet d’eau tiède, c’est une femme de conviction et de solution. Je le dis à tous les électeurs qui sont tentés par #Zemmour : “revenez à la maison”. @ZemmourEric est une impasse électorale”

https://t.co/Ld6wUOQ50D pic.twitter.com/1Mkt9UGmQQ

— Sud Radio (@SudRadio) December 13, 2021

#SudRadio] @AgnesEvren

“Les attaques subies par @vpecresse ? C’est un excellent signe ! C’est la panique à bord chez la Macronie. Ils ne savent plus quoi inventer. Dire qu’elle est Versaillaise, c’est quoi l’étape d’après ? La traiter de bonde ?”

https://t.co/Ld6wUOQ50D pic.twitter.com/6iRcBWUQ4t

— Sud Radio (@SudRadio) December 13, 2021

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Laurent Wauquiez : « Nous devons stopper le déclin français »

Laurent Wauquiez a réaffirmé son soutien « total » à Valérie Pécresse, candidate investie lors de la primaire de son parti, dans une interview dans le « Journal du Dimanche ». Pour le président (LR) de la Région Auvergne-Rhône-Alpes, voter Zemmour, c’est « permettre à Macron de poursuivre sa politique ».

Malgré les quelques désaccords qu’il a pu avoir avec Valérie Pécresse, Laurent Wauquiez assure de son soutien « total » à la candidate à l’élection présidentielle fraichement investie par Les Républicains. «  Je ne suis pas guidé par les rancœurs », a confié le président de la région Auvergne-Rhône-Alpes dans une interview au Journal du Dimanche.

Valérie Pécresse a remporté le congrès des Républicains. Est-ce une bonne candidate pour 2022 ?

J’ai toujours dit que je serais totalement engagé derrière la personnalité qui sortirait vainqueur de notre congrès. Mon soutien à Valérie sera donc total, et je serai pleinement engagé dans cette campagne.

A quelle place souhaitez-vous participer à sa campagne ?

Je ne m’engage pas pour une place. Ce qui sera utile, je le ferai. Le seul sujet, c’est réussir le redressement de notre pays, et j’y consacrerai toute mon énergie.

Lorsque vous présidiez le parti, Valérie Pécresse vous accusait de « rétrécir » la droite. Tout est pardonné ?

Je ne vais pas faire semblant : il nous est arrivé d’avoir des désaccords. Mais on ne construit pas en regardant vers le passé. Je ne suis pas guidé par les rancœurs. Ce congrès a montré une vraie convergence des positions, chez tous les candidats. La droite est désormais rassemblée autour d’une vision commune, forte sur le régalien, exigeante sur la revalorisation du travail et la baisse de la dépense publique. Ces thèmes-là, je les défends depuis des années. Ça me fait plaisir de voir que les esprits ont évolué. L’époque où on nous parlait de droites irréconciliables est derrière nous.

La présidentielle de 2022 est-elle gagnable pour la droite ?

La question n’est pas de savoir si on peut gagner. On doit gagner. Appelons les choses par leur nom : ce que nous vivons, c’est la décadence de notre pays, et ce, depuis des années. La responsabilité de notre génération pour cette élection est immense : la France va-t‑elle décrocher de l’Histoire durablement, changer de nature et s’appauvrir, ou est-elle capable de retrouver un élan ? Je m’engage dans cette campagne aux côtés de Valérie Pécresse avec une seule obsession : stopper le déclin français et retrouver l’espoir.

Vous retrouvez-vous dans le projet de Valérie Pécresse, ou faut-il qu’elle l’amende ?

Que Valérie Pécresse reste fidèle au programme sur lequel elle a été élue me semble indispensable. Rien ne serait pire que changer de discours une fois la primaire passée, comme le suggèrent certains stratèges politiques en chambre soucieux d’acquérir des parts de marché politique. L’inconstance a beaucoup coûté à la droite par le passé. De grâce, gardons notre colonne vertébrale. Cela a toujours été mon repère en politique : soyons fidèles à nos convictions.

Quels doivent être les sujets majeurs de cette présidentielle ?

Pour pouvoir se reconstruire, la France doit trancher deux nœuds gordiens. Le premier, c’est la déconstruction de notre rapport au travail. Il y a dix ans, je mettais en garde contre le danger que l’assistanat devienne un cancer pour notre société. Nous y sommes. Aujourd’hui, les entreprises n’arrivent pas à recruter, malgré le taux de chômage. Les Français n’ont pas perdu le sens du travail, c’est le travail qui a perdu son sens. Car la différence entre ce qu’on gagne en travaillant et ce qu’on gagne en restant chez soi est trop faible. La volonté de Valérie Pécresse de recreuser cet écart est donc fondamentale.

Elle souhaite augmenter de 10% les salaires, jusqu’à 3 000 euros net, ce qui coûterait 20 milliards d’euros… N’est-ce pas là « l’argent magique » que vous dénonciez ?

Cela doit être financé par des économies, et nous avons montré dans nos Régions que nous savions faire. J’ai baissé de 15 % les dépenses administratives, dans ma Région. Les deux sont liés : tout ce que nous économiserons pourra être rendu aux Français. C’est le contraire du « quoi qu’il en coûte » : cesser de ponctionner des sommes toujours plus importantes et d’appauvrir les classes moyennes pour financer un appareil d’État dépensier. On peut rendre un service public meilleur sans injecter plus d’argent.

Son projet répond-il selon vous à la préoccupation identitaire ?

C’est le deuxième nœud gordien : identité, défense de la France et reprise en main des sujets de sécurité. Valérie Pécresse a été d’une très grande clarté sur sa volonté de retrouver une fierté et une identité commune française.

La croissance va dépasser les 6% cette année, le chômage baisse. Est-ce que la droite aurait fait mieux ?

Il serait caricatural de prétendre que rien n’a été fait. Mais ­Emmanuel Macron a-t‑il stoppé la décadence de notre pays ? La montée de la violence a-t-elle été endiguée ? La tendance à produire de moins en moins et importer de plus en plus a-t‑elle été enrayée ? Le communautarisme et l’islamisme ont-ils régressé dans nos quartiers? Non. Les fractures françaises ont continué à se creuser.

Emmanuel Macron a appelé cette semaine à ne pas « manipuler » l’Histoire. Qu’en pensez-vous ?

Ce qui me laisse songeur chez Emmanuel Macron, c’est cette capacité à dire une chose et son contraire… Quand le même président de la République expliquait qu’il n’y avait pas de « culture française », que la colonisation était un « crime contre l’humanité », quand il est allé en Algérie humilier la France, n’était-il pas dans la manipulation de l’Histoire ? Mais je le dis aussi avec netteté : quand Eric Zemmour prétend que le régime de Pétain aurait sauvé des Juifs, c’est inacceptable pour l’historien que je suis.

Eric Zemmour, est-ce un ami ou un adversaire ?

Je ne me livrerai pas à la facilité de la diabolisation. Il y a, c’est une évidence, une angoisse des Français qui ne veulent pas que le pays change de nature. Mais Eric Zemmour ne peut pas gagner. Voter pour lui n’aura qu’une conséquence : permettre à Macron de poursuivre la politique qu’il mène et que pourtant une majorité de Français rejette.

Pourquoi ?

Parce qu’il confond fermeté et brutalité. Les outrances ne font pas la force des convictions. Et puis il a la lucidité du constat, mais où est l’espoir ? Où est l’avenir ? Pour redresser le pays, il faudra de la lucidité et de l’optimisme. La lucidité, quand Emmanuel Macron préfère raconter une belle histoire plutôt que voir ce qu’il se passe. Et l’optimisme, parce qu’il n’y a aucune fatalité. Je suis convaincu que nous pouvons renouer avec un élan français.

Vous saluez sa « lucidité ». Zemmour a-t‑il aussi raison sur le constat d’un « grand remplacement » ?

Il y a un danger qu’on ne reconnaisse plus, demain, la France qu’on aime. C’est une évidence, même si je n’utiliserais pas les mêmes mots.

La Nouvelle-Calédonie vote sur son indépendance. Auriez-vous souhaité qu’Emmanuel Macron s’engage davantage pour qu’elle reste française ?

La Nouvelle-Calédonie doit rester française. Quelle autre question est plus importante que de savoir si un pays se sépare d’une partie de son territoire ou s’il reste uni ? Imagine-t‑on le général de Gaulle rester silencieux et caché dans un tel moment ?

>> Lire l’interview sur le LeJDD.fr

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Réunion publique de Valérie Pécresse à Paris

Suivez en direct la réunion publique de Valérie Pécresse à la Mutualité de Paris.

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Décision de la Commission nationale d’investiture

Dans la préparation des élections législatives, la Commission Nationale d’Investiture des Républicains a souhaité apporter son soutien aux candidats suivants :

AISNE (02)

1ère circonscription : Paul Mougenot (LR)
2ème circonscription : Réservé
4ème circonscription : David Bobin (LR)
5ème circonscription : Jade Gilquin (LR)

COTE-D’OR (21)

1ère circonscription : François-Xavier Dugourd (LR)
2ème circonscription : Réservé
3ème circonscription : Valérie Grandet (LR)
4ème circonscription : Hubert Brigand (LR)

DORDOGNE (24)

1ère circonscription : Elisabeth Marty (LR)
2ème circonscription : Christophe Rousseau (LR)
3ème circonscription : Myriam Thomasson (LR)

DOUBS (25)

1ère circonscription : Michel Vienet (LR)
2ème circonscription : Chafia Kaoulal (LR)
3ème circonscription : Christophe Froppier (LR)
4ème circonscription : Matthieu Bloch (LR)
5ème circonscription : Réservé

FINISTERE (29)

1ère circonscription : Valérie Lecerf-Livet (LR)
4ème circonscription : Marie-Claire Hénaff (LR)
6ème circonscription : Gaëlle Nicolas (LR)
7ème circonscription : Eric Le Guen (LR)
8ème circonscription : Claire Gourlaouen (LR)

GIRONDE (33)

1ère circonscription : Nicolas Florian (LR)
3ème circonscription : Marion Lafuente (LR)
5ème circonscription : Viviane Chaine-Ribeiro (LR)
6ème circonscription : Thomas Dovichi (LR)
7ème circonscription : Benoît Rautureau (LR)
8ème circonscription : Yves Foulon (LR)
9ème circonscription : René Cardoit (LR)
10ème circonscription : Jacques Breillat (LR)
11ème circonscription : Bruna Carla Vallivero-Belmondo (LR)
12ème circonscription : Christiane Dulong (LR)

HERAULT (34)

4ème circonscription : Michel Garcia (DVD)
5ème circonscription : Lewis Marchand (LR)
8ème circonscription : Nathalie Lefeuvre (LR)
9ème circonscription : Virginie Rage-Andrieu (LR)

LANDES (40)

1ère circonscription : Marie-Christine Harambat (LR)

LOIRE-ATLANTIQUE (44)

1ère circonscription : Stéphanie Houël (LR)
2ème circonscription : Foulques Chombart de Lauwe (LR)
3ème circonscription : Sophie Van Goethem (DVD)
4ème circonscription : Sophie Pavageau (LR)
6ème circonscription : Alain Hunault (LR)
7ème circonscription : Bertrand Plouvier (LR)
8ème circonscription : Andréa Porcher (LR)
10ème circonscription : Charlotte Luquiau (LR)

LOT-ET-GARONNE (47)

2ème circonscription : Martine Calzavara (LR)
3ème circonscription : Jean-Louis Costes (LR)

MAINE-ET-LOIRE (49)

1ère circonscription : Roch Brancour (LR)
2ème circonscription : Maxence Henry (LR)
3ème circonscription : Réservé
4ème circonscription : Régine Catin (LR)

MOSELLE (57)

1ère circonscription : Marie-Louise Kuntz (LR)
2ème circonscription : Thierry Hory (LR)
3ème circonscription : Nathalie Colin-Oesterlé (Les Centristes)
4ème circonscription : Réservé

SARTHE (72)

1ère circonscription : Fabienne Labrette-Menager (LR)
2ème circonscription : François Le Forestier (LR)
3ème circonscription : Béatrice Latouche (DVD)
4ème circonscription : Emmanuel Franco (DVD)
5ème circonscription : Réservé

SEINE-MARITIME (76)

1ère circonscription : Marie-Hélène Roux (LR)
2ème circonscription : Jonas Haddad (LR)
5ème circonscription : Eddy Lefaux (LR)
6ème circonscription : Robin Devogelaere (Les Centristes)
7ème circonscription : Jacques Forestier (LR)
10ème circonscription : Pascal Houbron (Les Centristes)

YVELINES (78)

5ème circonscription : Alexandra Dublanche (LR)
8ème circonscription : Réservé
10ème circonscription : Anne Cabrit (LR)
11ème circonscription : Réservé

VIENNE (86)

1ère circonscription : Sylviane Mauxion (LR)
2ème circonscription : Anthony Lhermitte (LR)
3ème circonscription : Léonard Zerbib (LR)
4ème circonscription : Anne-Laurence Bourat (Les Centristes)

YONNE (89)

1ère circonscription : Réservé
2ème circonscription : Réservé
3ème circonscription : Gilles Pirman (LR)

SEINE-SAINT-DENIS (93)

1ère circonscription : Sophia Bahri (LR)
2ème circonscription : Sinaa Thabet (LR)
3ème circonscription : Marie-Blanche Pietri (LR)
4ème circonscription : Marie-Claude Goureau (LR)
5ème circonscription : Réservé
6ème circonscription : Ling Lenzi (LR)
7ème circonscription : Julien Guillot (LR)
8ème circonscription : Alex Bonneau (LR)
9ème circonscription : Roberson Pierre (LR)
10ème circonscription : Réservé
12ème circonscription : Franck Barth (LR)

VAL-D’OISE (95)

1ère circonscription : Réservé
2ème circonscription : Caroline Berdou (LR)
3ème circonscription : Sarah Nerozzi-Banfi (LR)
4ème circonscription : Patrick Boullé (LR)
5ème circonscription : Gilles Savry (LR)
6ème circonscription : Nicolas Flament (LR)
7ème circonscription : Martine Bidel (LR)
9ème circonscription : Anthony Arciero (LR)
10ème circonscription : Patricia José (LR)

FRANÇAIS ETABLIS HORS DE FRANCE (FEHF)

2ème circonscription : Bertrand Dupont (LR)
3ème circonscription : Artus Galiay (LR)
5ème circonscription : Laurent Goater (LR)
6ème circonscription : Régine Mazloum-Martin (LR)
7ème circonscription : Aurélie Fondecave (LR)
8ème circonscription : Réservé
10ème circonscription : Aurélie Pirillo (LR)
11ème circonscription : Catya Martin (LR)

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