Valérie Pécresse : « Sauver notre système de santé pour mieux soigner les Français »

Valérie Pécresse était à Oyonnax avec Damien Abad pour présenter son plan santé.

La priorité c’est de sauver notre système de santé pour soigner mieux et sans délai. Alors que notre système de santé est à bout de souffle, tenu à bout de bras par les soignants épuisés et déconsidérés, Valérie Pécresse porte un projet ambitieux et global pour notre système de santé.

Sauvetage de l’hôpital, revalorisation salariale et professionnelle des professionnels de santé, recrutement de soignants, plan de lutte contre la désertification médicale, valorisation de la médecine de ville, révolution en faveur de la prévention santé, santé des femmes, lutte contre les cancers pédiatriques, santé mental… Retrouvez les propositions pour mieux soigner les Français.

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Bruno Retailleau : « Il faut agir vite pour agir fort ! »

De passage ce vendredi 28 janvier dans le Var et les Alpes-Maritimes, le chef de file des sénateurs LR dénonce la « pensée métallique » d’Éric Zemmour et dévoile les mesures que Valérie Pécresse souhaite mettre en œuvre « dans les cent premiers jours » si elle est élue en avril.

Toulon, Nice, Cannes et enfin Le Cannet-Rocheville, après une halte probable chez son « ami Jean Leonetti » à Antibes : Bruno Retailleau s’apprête à parcourir le Var et les Alpes-Maritimes au pas de course. Le patron des sénateurs LR en profite pour battre en brèche le prétendu « gaullisme » d’Éric Zemmour, et distiller les points forts du programme de Valérie Pécresse.

Éric Zemmour prétend que Pétain a sauvé les juifs français pendant l’Occupation. Comment réagissez-vous à ces propos ?

Ils sont intolérables et témoignent d’une profonde méconnaissance de notre histoire. Un vrai gaulliste ne confond pas collaboration et Résistance. Vichy est à jamais une tache sombre de notre histoire. La France ,en 1940, n’était pas à Vichy : elle était à Londres !

Une partie de la droite républicaine est séduite par les idées de Zemmour. Certains, comme Éric Ciotti, se disent en phase avec lui sur de nombreux points. Qu’en pensez-vous ?

Je pense qu’Éric Zemmour est le meilleur chemin pour ceux qui veulent prolonger le mandat d’Emmanuel Macron. Donner sa voix à Zemmour, c’est donner une chance au Président sortant de faire un second mandat. La seule qui peut le battre, c’est Valérie Pécresse. Éric Zemmour fait de bons diagnostics, mais c’est un intellectuel : il a un esprit de système, une pensée métallique qui écrase la complexité des vérités humaines.

En mars 2021, dans Valeurs actuelles, vous avez estimé que le bilan d’Emmanuel Macron, « c’est deux millions d’immigrés en plus ». Dans le calcul des flux migratoires, vous ne comptez pas les sorties du territoire ?

Ceux qui partent ne sont pas des étrangers; ce sont surtout des Français ! Mettre en balance les entrées et les sorties, c’est une ruse statistique pour minimiser les flux migratoires. Et quand on prend en compte les clandestins, on est sans doute largement au-delà de ce chiffre ! L’an dernier, les records ont été pulvérisés. On accueille toujours plus, on expulse toujours moins. Il faut que cela cesse !

En 2019, vous proposiez de « supprimer les aides sociales » aux femmes « récidivistes » portant le voile intégral. Souhaitez-vous que cette proposition soit reprise par Valérie Pécresse ?

Bien sûr. Nous sommes engagés dans une guerre contre un nouveau totalitarisme : après les nazis, après les Soviétiques, il y a les islamistes ! La burqa est interdite en France depuis 2010. Une femme qui porte cet habit s’exclut de la communauté nationale : il n’y a aucune raison qu’elle bénéficie de la solidarité nationale. Le voile est un signe de séparatisme. Notre combat n’est pas religieux, mais politique.

Vous avez renoncé, en août dernier, à vous présenter à la présidentielle. Sans regret ?

J’ai fait ce choix pour deux raisons. D’abord, il y avait déjà beaucoup de candidats : il n’était pas utile de rajouter de la division à la division. Ensuite, il faut parfois faire preuve de modestie. La ligne que je portais n’aurait pas permis de réunir toute ma famille politique. Valérie, elle, a pu rassembler plus largement que nous l’avions fait en 2017 avec François Fillon.

Vous êtes chargé de préparer les « 100 premiers jours » du quinquennat Pécresse. Quelles sont vos priorités ?

Les Français ont souvent été déçus par des promesses non-tenues. Il faut agir vite pour agir fort sur les trois axes définis par notre candidate : laprotection, l’éducation et la santé.

Plus concrètement ?

Protéger les Français, c’est d’abord mettre fin au désordre. Nous réaffirmerons une nouvelle politique de sécurité, avec des peines de prison ferme dès qu’il y a atteinte à l’intégrité physique. Nous rétablirons la double peine : un étranger qui commet un délit ou un crime ne doit pas rester chez nous ! Nous organiserons un référendum sur l’immigration afin que les juges ne puissent pas détricoter ce que les Français ont décidé.

La « protection », pour vous, inclut des mesures de pouvoir d’achat ?

Tout à fait. Nous augmenterons de 10 % les salaires nets dans le privé, jusqu’à 2,2 Smic, en baissant les cotisations sociales. Pour les fonctionnaires, les rémunérations pourront être augmentées en contrepartie de la suppression de 200 000 postes sur le quinquennat et d’une révision du temps de travail. Pour les retraités, nous porterons les plus petites pensions au niveau du Smic. En contrepartie, nous allons augmenter l’âge de départ à la retraite.

Quelles sont vos priorités en matière d’éducation ?

Nous voulons une école de l’exigence, avec davantage d’heures de français et de mathématiques, et un examen à l’entrée en sixième –les élèves qui ne seront pas admis iront en classe de consolidation. Il faut donner de vrais pouvoirs aux directeurs et rendre les établissements autonomes.

Et en matière de santé ?

Nous souhaitons mettre fin aux déserts médicaux. À la fin de leurs études, les futurs médecins généralistes devront valider une année supplémentaire de professionnalisation, au cours de laquelle ils devront se rendre dans une zone sous-dotée. Cela nous permettra, en parallèle, de revaloriser leurs honoraires.

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Christian Jacob : « Valérie Pécresse a su redonner espoir »

Le président des Républicains défend la candidate à la présidentielle qu’il estime capable de « répondre aux préoccupations des Français ».

Le compte à rebours est enclenché… Comment sentez-vous la campagne à droite ?

Je sens une belle mobilisation et une belle motivation de nos militants depuis la victoire de Valérie Pécresse au congrès LR. Elle a su redonner un vrai espoir au peuple de droite. On le voit parmi les militants mais aussi bien au-delà, chez les sympathisants. Je suis vraiment confiant pour la présidentielle.

Sur quoi la droite doit-elle faire campagne ?

La crise sanitaire a généré beaucoup d’inquiétude. Les Français attendent des réformes après un quinquennat pour rien. Emmanuel Macron, ça n’a été que du verbe et de la communication. Le président a abdiqué sur tous les sujets, il n’a pas su incarner l’autorité ni remettre les finances publiques en ordre. Quant à la gestion de la crise sanitaire, le moins que l’on puisse dire c’est qu’elle a été erratique ! Aujourd’hui, répondre aux préoccupations des Français, c’est bien l’enjeu de la prochaine élection présidentielle, et je trouve que Valérie Pécresse le fait très bien de façon précise et concrète. Elle n’est pas dans l’incantation ni dans le constat gratuit mais dans des propositions précises, solides, étayées.

Jean-Christophe Lagarde s’est montré très critique sur l’influence d’Éric Ciotti dans la campagne. Que lui répondez-vous ?

Je fais confiance à Valérie Pécresse, c’est elle qui mène la campagne. La droite a toujours été diverse, c’est ce qui fait notre richesse. Éric Ciotti apporte beaucoup, bien sûr, sur la sécurité mais aussi sur bien d’autres sujets comme les droits de succession.

Valérie Pécresse et Marine Le Pen sont au coude-à-coude. Comment réenclencher une nouvelle dynamique ?

Par la crédibilité du projet. C’est ce que fait Valérie Pécresse en détaillant son programme et en répondant aux attentes des Français, sur la santé, la sécurité, l’immigration, l’agriculture, l’éducation ou encore la transmission. C’est tout cela qui trace le fil rouge et dessine un projet en répondant aux préoccupations des Français.

Si Marine Le Pen, comme l’a raconté Le Figaro, ne parvient pas à financer sa campagne, n’est-ce pas problématique ?

C’est un problème pour elle. Elle devrait peut-être s’interroger sur sa propre crédibilité. Les règles sont connues, ce sont les mêmes pour tout le monde. Ce n’est pas à nous de nous préoccuper de savoir si untel a ses signatures, si une telle a son financement. Nous, on s’occupe de notre campagne derrière Valérie Pécresse et on trace notre sillon.

Quelle est la règle pour un maire LR qui parrainerait Éric Zemmour ?

Il y a une règle claire : quand on est membre des Républicains, on soutient le candidat LR, c’est-à-dire Valérie Pécresse. Je n’imagine pas que certains maires LR soutiennent un autre candidat. Le cas ne s’est de toute façon pas présenté. Les coups de billards à trois bandes des uns qui n’auraient pas leurs signatures me font sourire. C’est un marronnier populiste qui revient à chaque présidentielle, manié par les extrêmes, de gauche comme de droite. La mascarade, on la connaît : prétendre incarner le peuple contre les élus. Mais à chaque fois ils ont leurs signatures. Donc arrêtons la comédie…

Guillaume Peltier a rejoint Éric Zemmour. Craignez-vous un effet Peltier auprès des élus ? On parle beaucoup de Gilles Platret…

Absolument pas. C’est un retour aux sources pour Guillaume Peltier. Ça n’empêche pas une certaine déception. Ce n’est pas le premier dans une campagne à s’être fourvoyé. D’autres sont revenus en rasant les murs comme après les régionales de 1998. Quant à Gilles Platret, je n’y crois pas un seul instant. Il a toujours été très fidèle à sa famille politique, et a d’ailleurs obtenu l’investiture LR pour les législatives à l’unanimité de la CNI.

LR investira-t-il un candidat aux législatives face à Guillaume Peltier ?

Bien sûr. Il est désormais avec Éric Zemmour.

Ne craignez-vous pas une union des droites sur laquelle Éric Zemmour fait campagne ?

Aujourd’hui, c’est surtout l’union de ceux qui retournent leur veste et trahissent leur camp, à coups de petits débauchages et de petites combines. Tout cela ne fait pas un projet politique. Éric Zemmour est dans l’incantation permanente, mais où sont ses propositions sur le pouvoir d’achat, la santé, l’éducation, la lutte contre le réchauffement climatique?

Lundi, Emmanuel Macron a dit qu’il faudrait attendre « le prochain épisode » pour sa candidature. Lui demandez-vous de descendre dans l’arène ?

Il y est déjà. Pourquoi Emmanuel Macron retarde-t-il son annonce de candidature? Parce qu’il n’a pas de bilan à présenter. Il fait campagne avec les moyens de l’État, ce qui n’est pas acceptable. On n’est pas loin du détournement de fonds publics.

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Rachida Dati : « Le vrai sujet de la présidentielle, c’est le pouvoir d’achat et le niveau des salaires »

Rachida Dati, maire du VIIè arrondissement de Paris et conseillère politique des Républicains, était l’invitée de RTL.

Elle est revenue sur le pouvoir d’achat, la gestion de la mairie de Paris et la crise des consommateurs de crack.

Le vrai sujet de la #présidentielle2022, c’est le pouvoir d’achat et le niveau des salaires, notamment des travailleurs les plus modestes. #RTLMatin @RTLFrance pic.twitter.com/M4qxsJVe9V

— Rachida Dati ن (@datirachida) January 27, 2022

Le @GpeChangerParis est le premier groupe politique au #ConseildeParis. @Anne_Hidalgo vit un chemin de croix pour diriger la Ville avec des alliés EELV qui la contestent en permancence. Il faudra qu’elle en tire les conséquences. @RTLFrance @VenturaAlba #RTLMatin pic.twitter.com/8PdrVBuFLo

— Rachida Dati ن (@datirachida) January 27, 2022

Le #crack est un sujet qu’@Anne_Hidalgo n’a jamais voulu traiter sérieusement. Je lui ai proposé de prendre en charge les toxicomanes à l’Hotel Dieu pour les soigner. Elle a refusé! Il serait temps qu’elle agisse. @RTLFrance @VenturaAlba #RTLMatin pic.twitter.com/A2WKRJjars

— Rachida Dati ن (@datirachida) January 27, 2022

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Annie Genevard : « Celui qui agresse un élu doit dormir le soir en prison ! »

Annie Genevard, vice-présidente de l’Assemblée nationale et vice-présidente déléguée de notre mouvement, était l’invitée de Public Sénat.

Elle est revenue sur la maltraitance dans les EHPAD, la hausse des tarifs de l’énergie, le pouvoir d’achat, les violences contre les élus et le rassemblement autour de Valérie Pécresse.

Maltraitance dans les #EHPAD : “Si les faits sont avérés, ils sont extrêmement graves”, note @AnnieGenevard
“Il y aurait aussi beaucoup à dire sur les #ARS, c’est la technocratie dans toute sa splendeur” #BonjourChezVous pic.twitter.com/1faVJLLFiD

— Public Sénat (@publicsenat) January 27, 2022

“Obliger une entreprise fragile comme #EDF à vendre à ses concurrents son électricité à perte compromet sa viabilité”, alerte @AnnieGenevard “La facture énergétique pèse sur les ménages, les collectivités, les entreprises, mais la solution choisie est périlleuse” #BonjourChezVous pic.twitter.com/ogdMDtG8Ft

— Public Sénat (@publicsenat) January 27, 2022

“Les salaires dans notre pays sont trop faibles, et la ponction publique trop forte”, note @AnnieGenevard Elle rappelle que @vpecresse propose une augmentation de 10% durant le quinquennat, le paiement des RTT et la défiscalisation des heures sup #BonjourChezVous pic.twitter.com/k7ELFVB3KF

— Public Sénat (@publicsenat) January 27, 2022

Violences : “Celui qui agresse un élu doit dormir le soir en prison !”, martèle @AnnieGenevard qui fustige les peines non exécutées. “Toucher aux élus, c’est signifier que la démocratie est en danger” #BonjourChezVous pic.twitter.com/LGkIZO3acr

— Public Sénat (@publicsenat) January 27, 2022

. @vpecresse peut-elle maintenir l’unité de la droite et du centre ? “Toutes ces composantes enrichissent un projet et rassemblent les Français. LR ne peut pas gagner sur la base de LR, il faut savoir ouvrir les bras et rassembler”, estime @AnnieGenevard #BonjourChezVous pic.twitter.com/hqQgx3PbWu

— Public Sénat (@publicsenat) January 27, 2022

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Valérie Pécresse : « Il faut radicalement changer le modèle des Ehpad »

Une civilisation se juge à la place et au respect qu’elle accorde à ses anciens, y compris quand ceux-ci deviennent vulnérables.

Comme tous les Français, j’ai été bouleversée par les révélations du livre-enquête « Les Fossoyeurs » de Victor Castanet sur la maltraitance dans les Ehpad du leader mondial Orpéa. J’avais déjà été alertée sur des situations locales et particulières mais l’ampleur du problème a été mise en lumière lors de la crise Covid. Je veux tirer les leçons de ce naufrage.

Il faut radicalement changer le modèle des Ehpad.

Pour garantir que nos solidarités seront à la hauteur, un référentiel obligatoire sera publié, auquel tout établissement public ou privé devra se soumettre. Les conditions de vie quotidienne seront strictement contrôlées : la qualité de l’alimentation et la durée des repas, la qualité des soins d’hygiène, la taille des chambres, les actions en vue du maintien et du développement d’une vie sociale, le temps consacré individuellement à chaque résident par les soignants, la liberté donnée à la famille concernant les visites en feront partie.

Ces indicateurs de qualité des soins aux résidents seront rendus publics. Par ailleurs, comme il y a eu par le passé une Loi Kouchner pour que les patients soient associés au fonctionnement de l’hôpital, je souhaite que les résidents et leurs familles soient davantage associés au fonctionnement des Ehpad. Je veux que les instances de contrôle jouent pleinement leur rôle dans la prévention de la maltraitance à nos aînés, dans mes établissements publics comme privés.

J’assume que les Ehpad qui ne respecteront pas ces indicateurs seront fermés et les exploitants qui mettent leur profit avant le sens de leur mission, en portant atteinte à la dignité humaine de leurs résidents, serons poursuivis.

Parallèlement, j’engagerai une révolution dans la prise en charge du vieillissement. Je donnerai la priorité au maintien à domicile, avec notamment un doublement des crédits d’impôt pour les services à la personne et l’aménagement, dans les centres-villes, de logements adaptés et de logements intergénérationnels.

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Nos sénateurs interrogent le gouvernement

Ce mercredi après-midi, lors de la séance de questions au gouvernement, six sénateurs du groupe les Républicains ont interpellé l’exécutif.

Pour commencer, Pascale Gruny, sénatrice de l’Aisne, a interpellé la ministre déléguée auprès du ministre de l’Économie, des Finances et de la Relance, chargée de l’Industrie sur la gestion de la crise sanitaire.

#Quoi qu’il en coûte :
“Venez au plus près du terrain !”@PascaleGruny02 interpelle le gouvernement sur sa gestion de la crise trop centralisée et peu lisible sur le terrain.#QAG pic.twitter.com/qbz2whxJsu

— Républicains Sénat (@lesRep_Senat) January 26, 2022

Laurence Garnier, sénatrice de la Loire-Atlantique, a interrogé le ministre de l’Intérieur sur la lutte contre les violences urbaines.

“Nantes est devenue la capitale des manifestations ultra-violentes” @LGarnier44 dénonce la réaction bien trop tardive du ministre de l’Intérieur au regard des violences urbaines menées à #Nantes depuis des années par des groupuscules d’ultra-gauche.#QAG pic.twitter.com/VkExiGAwJk

— Républicains Sénat (@lesRep_Senat) January 26, 2022

Antoine Lefèvre, sénateur de l’Aisne, a questionné la ministre déléguée auprès de la ministre de la Transition écologique, chargée du Logement sur la hausse des tarifs de l’énergie.

“Tout au long de ce quinquennat, le gouvernement a eu un sacré problème avec le logement social”
@AntoineLAON interpelle la ministre sur “l’oubli” des HLM dans le bouclier tarifaire sur le coût de l’énergie.#QAG pic.twitter.com/dDj06cz6H6

— Républicains Sénat (@lesRep_Senat) January 26, 2022

Stéphane Piednoir, sénateur de Maine-et-Loire, a interpellé la secrétaire d’État auprès du ministre de l’Éducation nationale, de la Jeunesse et des Sports, chargée de l’Éducation prioritaire sur l’abandon des parcours d’excellence dans l’enseignement public.

“Notre pays est fier des ses filières d’excellence ouvertes à tous”@StephPiednoir regrette la fin du régime d’exception pour les lycées Henri IV et Louis-le-Grand et dénonce l’abandon des parcours d’excellence dans l’enseignement public.#QAG pic.twitter.com/lOxytJfh2T

— Républicains Sénat (@lesRep_Senat) January 26, 2022

Frédérique Puissat, sénatrice de l’Isère, a interrogé le secrétaire d’État auprès de la ministre du Travail, de l’Emploi et de l’Insertion, chargé des Retraites et de la Santé au travail sur le télétravail.

Amendes pour les entreprises:
“C’est un nouveau clivage: les chefs d’entreprise contre le reste de la population !”@frederiquep04 dénonce l’attitude illisible et incohérente du gouvernement sur les mesures sanitaires en entreprise.#QAG pic.twitter.com/7W4RfJtpLc

— Républicains Sénat (@lesRep_Senat) January 26, 2022

Pour finir, Françoise Dumont, sénatrice du Var, a questionné le secrétaire d’État auprès du ministre des Solidarités et de la Santé, chargé de l’Enfance et des Familles sur la formation des pompiers aux soins d’urgence.

“Les pompiers méritent vraiment mieux que des paroles en l’air, il est grand temps d’agir.”@FrDumont83 presse le gouvernement de mettre en action la loi dite Matras concernant notre modèle de sécurité civile.#QAG pic.twitter.com/Q5dqDjMqjQ

— Républicains Sénat (@lesRep_Senat) January 26, 2022

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Valérie Pécresse : « L’intégration de l’Ukraine dans l’OTAN ne me semble pas une priorité dans une Europe pacifiée et réconciliée »

La candidate Les Républicains propose la réunion d’une « Conférence sur la sécurité européenne » réunissant l’UE, la Russie et les pays européens « de l’Atlantique à l’Oural ».

Dans son discours du 23 novembre 1959 à Strasbourg, le général de Gaulle appelait de ses vœux la constitution d’une « Europe des nations », rassemblée de l’Atlantique à l’Oural. Encore une fois, le Général faisait preuve d’une vision qui traversait le siècle, par-delà les circonstances stratégiques du moment, qu’il savait passagères.

Oui, cette vision pouvait sembler irréaliste au moment où l’Allemagne était divisée et où l’Armée rouge asservissait la moitié du continent. Mais le général de Gaulle s’adressait, au-delà des idéologies, dont il faisait peu de cas, aux pays et aux nations, « toutes ces vieilles terres où naquit, où fleurit la civilisation moderne ».

Aujourd’hui, nous y sommes. La chute du rideau de fer a déclenché une formidable vague démocratique qui a submergé le continent et a permis à la famille européenne de se réunir. L’histoire de ces quarante dernières années, c’est l’histoire d’un continent qui retrouve ses racines, même si tous les fruits de cette réconciliation restent encore à cueillir.

Un monde multipolaire a émergé

Au moment où s’engage une escalade des tensions autour de l’Ukraine et où se déroulent des discussions entre Américains et Russes sur l’avenir de la sécurité en Europe, sans les Européens, j’appelle chacun à revenir à la vision prémonitoire du général de Gaulle. A la Russie qui a adressé ses propositions aux Etats-Unis pour régler les questions de sécurité sur notre continent, je dis : ne vous plaignez pas d’être considérée avec les yeux de la guerre froide, si vous en revenez à l’approche la plus rétrograde de celle-ci.

Je conçois bien que l’effet miroir d’un axe Moscou-Washington attise la nostalgie d’un temps passé, mais je le dis à nos amis russes, l’époque du condominium mondial est révolue. Un monde multipolaire a émergé, de nouvelles puissances ont pris leur place sur la scène internationale. La Russie, la Russie éternelle, celle de Tolstoï et de Pouchkine, que je connais et que j’aime, fait avant tout partie du continent européen et ne doit plus rêver de se partager le monde dans un tête-à-tête avec les Etats Unis.

Aux Etats-Unis, je dis : acceptez enfin que les Européens puissent prendre en charge les problèmes de leur propre famille. Les Américains sont venus par deux fois au secours des démocraties européennes durant le siècle passé et je n’oublierai jamais ce que nous leur devons. Je ne dirai jamais que l’OTAN est « en état de mort cérébrale », propos irresponsables, car l’Alliance atlantique reste un pilier majeur de l’équilibre et de la sécurité du continent.

L’urgence absolue est d’obtenir un gel de la situation

De grâce, évitons les sautes d’humeur lorsqu’il s’agit des intérêts vitaux du pays. Durant les présidences de Jacques Chirac et Nicolas Sarkozy, la France a normalisé sa place au sein de l’Alliance atlantique et nous devons en rester l’un des pays les plus actifs. Mais cela ne doit pas nous empêcher d’avoir une vision proprement européenne de la sécurité de notre continent.

Et à nos partenaires de l’Union européenne je dis : rassemblons-nous pour prendre notre destin en main. A quoi sert d’afficher une politique étrangère de l’Union européenne, si elle n’est pas capable de peser sur la destinée du continent ? Je suis pour une France forte dans une Europe puissante. Avec l’Allemagne, qui est le meilleur symbole et la plus belle réalisation de la réunification du continent européen, nous, Français, devons former le fer de lance de cette émancipation européenne.

Alors que faire ? Car il ne suffit pas d’invoquer la réunification du continent, en ignorant les problèmes immédiats qui se posent et les bruits de bottes inquiétants qui résonnent aux frontières de l’Ukraine. L’urgence absolue est d’obtenir un gel de la situation au pourtour de l’Ukraine et d’appeler à une désescalade dans les propos et dans les actes. On n’engagera pas avec la Russie une discussion sur une nouvelle architecture de sécurité européenne avec un couteau sous la gorge et nul ne doit menacer les frontières ou l’intégrité territoriale de l’Ukraine.

Montrer une position européenne forte

Je suis pour tendre la main à la Russie qui est une grande puissance et un grand pays européen, mais pas de manière isolée et naïve. La réception du président Poutine à Versailles m’a fait penser à cette phrase du général de Gaulle : « l’ambition individuelle est une passion enfantine ». Ce n’est pas comme cela que l’on convaincra le président Poutine, c’est en lui montrant que l’on a une position européenne forte, que l’on a une vraie proposition à lui faire et que l’on trace clairement les conditions de sa mise en œuvre.

Une négociation internationale, c’est du donnant donnant, ce n’est pas un jeu de posture. Je le dis sans détour : l’intégration de l’Ukraine dans l’OTAN ne me semble pas une priorité dans une Europe pacifiée et réconciliée. Mais cela suppose que ses frontières ne soient plus menacées et que sa souveraineté et son intégrité soit respectées.

Oui, le continent européen peut être le cadre de nouveaux développements de coopérations politiques, économiques et humaines dans lequel la Russie prendra toute sa place, mais il appartient au gouvernement en place à Moscou d’en faire le choix. Une fois ce préalable acquis, je proposerai la réunion d’une « Conférence sur la sécurité européenne » réunissant l’Union européenne, la Russie et les pays européens « de l’Atlantique à l’Oural ».

Cette conférence serait chargée de définir une nouvelle architecture de sécurité européenne, tirant les leçons de l’évolution des quarante dernières années et prenant en compte les préoccupations légitimes des uns et des autres. Près de cinquante ans après les accords d’Helsinki qui ont créé la Conférence sur la sécurité et la coopération en Europe, devenue Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe, il est temps de refonder l’architecture de la sécurité européenne, afin de donner enfin au continent européen le cadre de sécurité qui lui fait défaut.

Pas d’Union européenne puissance sans des nations fortes

Dans le cadre de ces nouvelles institutions, nous pourrions étudier les conditions de la création d’un Conseil de sécurité européen, qui n’affecterait en rien les prérogatives du Conseil de sécurité des Nations unies, mais qui serait un cadre de dialogue permanent avec la Russie sur les questions de sécurité du continent. Cela serait aussi l’occasion d’affirmer l’autonomie stratégique de l’Union européenne.

Avoir un strapontin dans une négociation menée par d’autres sur les questions de sécurité en Europe est indigne. Je souhaite que l’Union européenne joue un rôle de premier plan. C’est un chantier historique, complexe et difficile, qui se heurtera à de nombreuses appréhensions et à certaines réserves, j’en ai bien conscience. Mais la France sera dans son rôle en portant cette ambition.

Si les Français me confient la haute charge de présider notre pays, j’en ferai un axe majeur de la politique extérieure de la France pendant mon quinquennat. Trente-trois ans après la chute du mur de Berlin, le continent européen a de nouveau rendez-vous avec l’histoire. Il tient à nous de relever ce défi. A nous, Européens, qui devons montrer que l’Union européenne est capable d’être l’Europe puissance que j’appelle de mes vœux. A nous, Français, car il n’y aura pas d’Union européenne puissance sans des nations fortes, sans une France forte.

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Gérard Larcher : « Il va falloir avoir une politique en direction du pouvoir d’achat et des salaires »

Gérard Larcher, président du Sénat, était l’invité de CNews.

Il est revenu sur le pouvoir d’achat, le déroulement de la campagne électorale pendant la crise sanitaire et la crise en Ukraine.

Gérard Larcher : «Il va falloir avoir une politique en direction du pouvoir d’achat et des salaires […] La question du pouvoir d’achat et de la santé sont les deux principales interrogations des Français» dans #LaMatinale pic.twitter.com/p8DYkdV7SL

— CNEWS (@CNEWS) January 26, 2022

Gérard Larcher : «Les Français ne doivent pas être privés d’un débat et d’une campagne électorale. Le président ne pourra pas se cacher éternellement en candidat masqué derrière un président […] Il faut redonner de la force à la démocratie» dans #LaMatinale pic.twitter.com/4RjCFyxHBQ

— CNEWS (@CNEWS) January 26, 2022

Gérard Larcher : «Je pense qu’il faut dialoguer avec la Russie […]Je constate simplement que ce dialogue se fait aujourd’hui uniquement entre Russes et Américains avec une Europe absente» dans #LaMatinale pic.twitter.com/NUkD3svaF4

— CNEWS (@CNEWS) January 26, 2022

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Nos députés interrogent le gouvernement

Ce mardi après-midi, lors de la séance de questions au gouvernement à l’Assemblée nationale, sept députés du groupe les Républicains ont interpellés l’exécutif.

Pour commencer, Eric Diard, député des Bouches-du-Rhône, a interpellé le ministre de l’Éducation nationale, de la Jeunesse et des Sports sur le séparatisme dans les écoles.

@DiardEric:«Dimanche soir, un reportage édifiant nous montrait combien l’islam radical gangrène une partie de nos services publics. Les enseignants internationaux de langue étrangère sont désignés par leurs pays d’origine, sans concertation avec les élus locaux. Est-ce normal?» pic.twitter.com/9zJv8b3OQw

— Députés Les Républicains (@Republicains_An) January 25, 2022

Julien Aubert, député de Vaucluse, a questionné la ministre de la Transition écologique sur la situation d’EDF.

@JulienAubert84 : « Le ministre de l’Économie a annoncé la limitation de la hausse du prix de l’électricité à 4%. Votre solution ne fonctionnera pas éternellement car on ne pourra pas éternellement braquer EDF. Jurez-vous de dire toute la vérité aux Français ? » #DirectAN pic.twitter.com/C0HwcC02CD

— Députés Les Républicains (@Republicains_An) January 25, 2022

Maxime Minot, député de l’Oise, a interrogé le Premier ministre sur le pouvoir d’achat.

@MaximeMinot:« Le gouvernement veut reprendre la proposition de @vpecresse de relever le barème des indemnités kilométriques pour aider les Français qui doivent aller travailler en voiture. Très bien, pourquoi ne pas appeler à voter Valérie Pécresse, vous gagnerez du temps ? » pic.twitter.com/zypqVDqK6b

— Députés Les Républicains (@Republicains_An) January 25, 2022

Frédérique Meunier, députée de Corrèze, a interpellé le Premier ministre sur les oublis du Ségur de la santé.

@fmeunier19: « Les acteurs corréziens des secteurs du handicap et du social m’ont fait part de leur inquiétude envers l’inégalité de traitement des salariés, suite au Ségur de la Santé. M. le Ministre, quand étendrez-vous une revalorisation salariale à tous les professionnels?» pic.twitter.com/cinBBdEoTw

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Eric Pauget, député des Alpes-Maritimes, a interrogé le Premier ministre sur l’inquiétude des restaurateurs.

@EricPAUGET1: « M. le 1er Ministre,
plus de 80% des cafetiers et des restaurateurs connaissent une baisse d’activité. Ceux qui ont perdu 49% de leur chiffre d’affaires ne seront pas éligibles à votre dispositif d’aide.
Adapterez-vous les dispositifs de soutien à ce secteur ? » pic.twitter.com/eHvjDhJw98

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Pierre Cordier, député des Ardennes, a questionné le Premier ministre sur la destruction d’emplois dans les Ardennes.

@CORDIERPierre08 : « Après l’échec de l’implantation de Cevital, où 1000 emplois étaient promis par E.Macron, ce sont maintenant 120 emplois supprimés à Fromlet dans les Ardennes ! Comment allez vous soutenir les représentants et des élus pour sauver ces 120 emplois menacés ? » pic.twitter.com/alvT8XywsD

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Pour finir, Geneviève Levy, députée du Var, a interpellé la ministre déléguée auprès de la ministre de la Transition écologique, chargée du Logement sur le mal-logement.

@genevievelevy83: «Le candidat Macron avait promis la construction de 60000 logements étudiants et un toit pour tous les sans-abri. En matière de logement, ce quinquennat est un échec. Cessez d’alourdir les réglementations, la pénurie de 150000 logements/an n’est plus tenable!» pic.twitter.com/yHD2yF0qe7

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