Congrès Les Républicains de décembre 2021

Le journal Libération a publié ce jour une « enquête » sur le Congrès des Républicains de décembre 2021 qui a permis de désigner le candidat du mouvement à l’élection présidentielle.

Dès le début du processus de désignation, Les Républicains ont mis en œuvre un ensemble de mesures permettant d’assurer la sécurité des opérations électorales. Celui-ci s’est déroulé sous l’autorité d’une instance de contrôle, d’un huissier de justice et d’un expert informatique indépendant chargés de s’assurer du bon déroulement du scrutin notamment du contrôle des adhésions et des opérations de vote.

Conformément aux règles définies par la CNIL, Les Républicains ont exigé le niveau de sécurité maximal auprès du prestataire chargé de la mise en œuvre des opérations électorales.

C’est la raison pour laquelle des conditions très strictes ont été exigées afin de pouvoir participer au scrutin :

– Être à jour de cotisation avant le 16 novembre 2021
– Fournir 2 moyens d’identification : adresse postale, téléphone portable
– Limitation à 4 adhésions avec le même moyen de paiement
– Vérification d’une corrélation entre les données bancaires et les données personnelles

Ces nombreuses mesures de sécurité ont permis de définir un collège électoral en excluant de la liste des adhérents à jour de cotisation au 16 novembre 2021 ceux qui ne répondaient aux conditions énoncées précédemment.

Par un ensemble d’éléments avancés, Libération opère une confusion douteuse entre un supposé « fichier adhérents » et la liste électorale du scrutin.

S’agissant des adhérents annoncés comme « décédés » par Libération, aucun d’entre eux n’a pu prendre part au vote, soit parce qu’ils étaient effectivement décédés, soit parce que leur numéro de portable n’était pas renseigné.

Par ailleurs, Libération ironise sur la participation d’un chien prénommé « Douglas » qui aurait pris part au vote dans la région PACA. Plusieurs adhérents Les Républicains portent ce prénom. Celui cité par Libération résidant en PACA n’a pas pu prendre part au vote puisqu’il ne remplissait pas les critères demandés.

S’agissant des allégations du journal Libération sur Mayotte, l’ensemble des cas cités ont fait l’objet d’un contrôle et ont été exclus du corps électoral à l’issue de ce dernier pour non-respect des conditions demandées. Au total, 222 adhérents de Mayotte n’ont pas été intégrés au corps électoral.

Au niveau national, suite à la stricte application de nos critères de sécurité, ce sont plus de 9000 adhérents qui ont été exclus du corps électoral.

Le Congrès des Républicains a été en tous points exemplaire, tant par son organisation que par sa mobilisation, en témoigne l’absence de recours des autres candidats.

La méthode utilisée par Libération dans cette pseudo « enquête », enquête basée sur des approximations, des sous-entendus et des allégations infondées, vise clairement à délégitimer la candidate des Républicains à l’élection présidentielle.

Face à cette tentative de déstabilisation, le président des Républicains a demandé à son avocat de saisir le procureur de la République de Paris contre le journal Libération et les auteurs de cet article.

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Nos sénateurs interrogent le gouvernement

Ce mercredi après-midi, lors de la séance de questions au gouvernement, six sénateurs du groupe les Républicains ont interpellé l’exécutif.

Pour commencer, Roger Karoutchi, sénateur des Hauts-de-Seine, a interpellé le Premier ministre sur la politique étrangère de la France.

Politique extérieure :
“Changeons de politique en France et en Europe, pour être forts !”
Face à des dirigeants nationaux qui ne respectent pas le droit international, @RKaroutchi appelle à un sursaut général pour affirmer et défendre nos valeurs et positions.#QAG pic.twitter.com/46B6qzIIQ2

— Républicains Sénat (@lesRep_Senat) February 23, 2022

François-Noël Buffet, sénateur du Rhône, a interrogé la ministre déléguée auprès du ministre de l’Intérieur, chargée de la Citoyenneté sur les chiffres sur la sécurité.

Insécurité :
“Malgré l’augmentation budgétaire, il n’y a pas eu d’effets par rapport à lutte contre les violences.” @fnb_officiel interpelle le gouvernement sur la hausse des violences dans notre pays.#QAG pic.twitter.com/3dTCPEmy5X

— Républicains Sénat (@lesRep_Senat) February 23, 2022

Dominique Estrosi-Sassone, sénatrice des Alpes-Maritimes, a questionné le Premier ministre sur la politique du logement du gouvernement.

Politique du logement :
“Cette crise est peut-être l’une des plus graves depuis 1954 et l’appel de l’Abbé Pierre.”@Dominiq_Estrosi pointe du doigt le bilan d’Emmanuel Macron sur la politique du logement et les décisions prises qui ont pénalisé le secteur.#QAG pic.twitter.com/ZbDGLdyHbw

— Républicains Sénat (@lesRep_Senat) February 23, 2022

Christine Lavarde, sénatrice des Hauts-de-Seine, a interpellé le Premier ministre sur la gestion des finances publiques par le gouvernement.

Réformes structurelles :
“Des mots à la réalité des faits, il y a un grand pas.”@LavardeC interroge le premier ministre sur l’état des finances publiques et dénonce les discours de façade. #QAG pic.twitter.com/vJiqiFlOja

— Républicains Sénat (@lesRep_Senat) February 23, 2022

Max Birsson, sénateur des Pyrénées-Atlantiques, a interrogé le ministre de l’Éducation nationale, de la Jeunesse et des Sports sur son bilan.

Ecole :
“Non, définitivement, l’école ne se porte pas mieux aujourd’hui qu’en 2017.”@max_brisson interpelle le ministre de l’Education nationale sur son bilan après cinq ans d’exercice.#QAG pic.twitter.com/lk3NIwaviY

— Républicains Sénat (@lesRep_Senat) February 23, 2022

Pour finir, Chantal Deseyne, sénatrice d’Eure-et-Loir, a questionné le ministre des Solidarités et de la Santé sur la situation des soignants en période de crise sanitaire.

Crise sanitaire :
“Comment se fait-il que des centaines de soignants qui se sont portés volontaires pour aller sur le front du Covid ne soient toujours pas rémunérés ?”
Chantal Deseyne interpelle le gouvernement sur cette situation intenable pour ces soignants.#QAG pic.twitter.com/hGRw8OmVUo

— Républicains Sénat (@lesRep_Senat) February 23, 2022

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Valérie Pécresse : « Je veux permettre aux jeunes d’oser leurs projets »

Invitée par France Inter et l’association Chemins d’avenirs, Valérie Pécresse a exposé ses propositions pour la jeunesse devant 100 jeunes de 15 à 24 ans le mardi 22 février, à l’occasion de la journée exceptionnelle « Des candidats & des jeunes ». Un résumé de son programme pour la jeunesse.

1.Une banque nationale des jeunes

Mesure concrète en faveur de l’égalité des chances, Valérie Pécresse veut créer une grande banque nationale des jeunes « pour financer tous les projets d’étude, de formation, de création d’entreprise. »

En France, seulement 10 % des étudiants ont recours à un prêt chaque année, contre 70 % en Angleterre ou en Suède. Présidente, Valérie Pécresse débloquera 200 000 prêts de ce type dès la première année, pour une enveloppe globale de 50 à 100 millions d’euros.

Je veux aider les jeunes à vaincre l’autocensure !

Je veux leur permettre d’oser leurs projets. C’est pourquoi je vais créer une banque nationale des jeunes pour financer tous les projets d’étude, de formation, de création d’entreprise des jeunes. #Pecresse2022 pic.twitter.com/2n4g1Cozt0

— Valérie Pécresse (@vpecresse) February 22, 2022

2. Vers 1 million de talents dans le numérique

Le monde évolue. Nos méthodes et secteurs d’enseignement doivent s’adapter. Le monde du numérique connait un essor aujourd’hui, et il faut que nous puissions répondre aux besoins de recrutement dans ce domaine. Nos jeunes doivent être encouragés à construire la France numérique de demain.

.@vpecresse : “On va avoir besoin d’1 million de talents d’ici 2030 dans les métiers du numérique. Je propose qu’en Seconde on fasse un grand rendez-vous du numérique, et qu’on réunisse les jeunes qui ont vraiment du talent pour cela.” #Elysee2022 #DesCandidatsEtDesJeunes pic.twitter.com/M5v3PdpIC5

— France Inter Pol (@InterPolitique) February 22, 2022

3. Encourager les synergies

Pour Valérie Pécresse, l’école doit permettre au jeune de s’épanouir et de trouver sa voie. Plusieurs solutions doivent êtres mises en place et le programme de Valérie Pécresse est clair et précis :

Rétablir les bourses au mérite pour les bacheliers défavorisés qui obtiennent la mention très bien au baccalauréat.
Créer des externats d’excellence dans les collèges et lycées des zones prioritaires ouverts jusqu’à l’heure du diner, pour fournir un accès privilégié à la pratique culturelle et sportive.
Accueillir des premières années universitaires dans les lycées, pour que des possibilités nouvelles soient offertes dans les territoires.
Développer l’apprentissage en exonérant de toute charge patronale les entreprises de moins de dix salariés qui accepteraient de prendre en charge la formation d’un apprenti.
Mieux préparer au monde du travail :
+ Développer une orientation personnalisée qui sera confiée à des intervenants missionnés par les régions.
+ Rapprocher les lycées professionnels des entreprises en confiant les lycées professionnels, oubliés du quinquennat d’Emmanuel Macron, aux Régions. Un objectif : 100% d’alternance pour les formations en lycée professionnel d’ici 2027.

.@vpecresse : “Je voudrais transférer les lycées professionnels aux régions. Je voudrais que 100% de ces filières puissent être faites en alternance. Car c’est très attractif pour les jeunes.” #Elysee2022 #DesCandidatsEtDesJeunes pic.twitter.com/C6HbXGVUO7

— France Inter Pol (@InterPolitique) February 22, 2022

+ Développer les partenariats entre les universités et les lycées pour qu’il soit possible de suivre une première année d’université dans un lycée et ainsi lutter contre l’autocensure des bacheliers liée au coût de la vie dans les villes
Faire de Parcoursup un vrai outil d’orientation sélective à l’université, fondé sur le mérite et la motivation de chacun.

.@VPecresse : “Je suis très favorable à un droit au mentorat pour tous les jeunes. J’ai aussi, lorsque j’étais ministre des Universités, créé les cordées de la réussite, pour briser le délit d’initié.” #Elysee2022 #DesCandidatsEtDesJeunes pic.twitter.com/BTYOgFDuJb

— France Inter Pol (@InterPolitique) February 22, 2022

En synthèse :

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Gérard Larcher : « Seule Valérie Pécresse peut gagner la présidentielle en alternative à Emmanuel Macron »

Gérard Larcher, président du Sénat, était l’invité de France 2.

Il est revenu sur la situation en Ukraine, les parrainage pour l’élection présidentielle et le programme de Valérie Pécresse.

#Ukraine

« Il faut que les sanctions soient fortes et massives, la suspension de #NordStream2, les sanctions financières personnelles.» @gerard_larcher Président du @Senat

#Les4V @GuillaumeDaret pic.twitter.com/J3zBWxXVec

— Info France 2 (@infofrance2) February 23, 2022

#Parrainages

«Il y a 3 voies possibles: le retour à l’anonymat, le parrainage obligatoire ou un mix entre un collectif citoyen et une part moins importante d’élus.» @gerard_larcher Président du @Senat

#Les4V @GuillaumeDaret pic.twitter.com/7SdDMUPrzg

— Info France 2 (@infofrance2) February 23, 2022

Campagne de V. #Pécresse ne décolle pas

«Il faut que les Français confrontent au bilan d’Emmanuel Macron les projets des uns et des autres et la campagne électorale prendra une autre couleur.» @gerard_larcher Président du @Senat

#Les4V @GuillaumeDaret pic.twitter.com/SPKI4jE57Z

— Info France 2 (@infofrance2) February 23, 2022

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Nos députés interrogent le gouvernement

Ce mardi après-midi, lors de la séance de questions au gouvernement à l’Assemblée nationale, sept députés du groupe les Républicains ont interpellés l’exécutif.

Pour commencer, Damien Abad, président du groupe les Républicain à l’Assemblée nationale et député de l’Ain, a interpellé le Premier ministre sur ma crise en Ukraine.

@damienabad: “Les tensions entre la Russie et l’Ukraine ont atteint leur paroxysme. Face au pire, la Nation et l’Europe doivent tenir. C’est la crédibilité de l’Union européenne et de la Présidence française qui se joue. Nous ne pouvons accepter d’être marginalisés!” #DirectAN pic.twitter.com/gnGrywqQuU

— Députés Les Républicains (@Republicains_An) February 22, 2022

Véronique Louwagie, députée de l’Orne, a questionné le Premier ministre sur les finances publiques.

@VeroLouwagie: “En 2017, le gouvernement promettait d’en finir avec le laxisme budgétaire des années Hollande. 5 ans plus tard, nous achevons un quinquennat désastreux. La dette a augmenté de 17 points. La dépense courante a augmenté de 140 milliards d’€ en 5 ans !” #DirectAN pic.twitter.com/8NA2o1ikwe

— Députés Les Républicains (@Republicains_An) February 22, 2022

Maxime Minot, député de l’Oise, a interrogé le Premier ministre sur l’arrêt du passe vaccinal.

@MaximeMinot: “Monsieur le Ministre, vous annoncez qu’à un mois des élections présidentielles vous allez supprimer le Pass Vaccinal. De qui vous moquez-vous? Des Français, des personnels soignants qui font preuve de courage et d’abnégation ? Quelle incohérence !” #DirectAN pic.twitter.com/kFCYiABdwc

— Députés Les Républicains (@Republicains_An) February 22, 2022

Guy Teissier, député des Bouches-du-Rhône, a interpellé la ministre des Armées sur la vente de Rafale.

@guyteissier « Si nous pouvons nous féliciter du succès grandissant de nos Rafales à l’export, ces contrats ne sont pas neutres pour l’@Armee_de_lair. C’est à elle que seront prélevés les appareils. L’ère du tout-rafale est loin pour notre armée. Il faut compenser ces pertes! » pic.twitter.com/Zr2gldhK9G

— Députés Les Républicains (@Republicains_An) February 22, 2022

Jacques Cattin, député du Haut-Rhin, a interrogé la ministre de la Transition écologique sur la réduction de l’artificialisation des sols.

@CattinJacques : «Les décrets d’application de la loi Climat sont en cours de rédaction. L’obligation de réduire l’artificialisation des sols de 50% d’ici 2030 inquiète. Quid de la consultation des élus locaux subissant ces lois sans prise en compte des spécificités locales ?» pic.twitter.com/rsqEheTNhY

— Députés Les Républicains (@Republicains_An) February 22, 2022

Jean-Pierre Door, député du Loiret, a questionné le ministre des Solidarités et de la Santé sur l’échec du Dossier Médical Partagé.

@doorjean : “M. le ministre de la Santé, vous réactivez le dossier médical partagé numérique après son échec et son coût. Pourquoi réactiver une telle dépense d’environ 2 milliards d’€, avec les mêmes acteurs numériques ? Ce qu’il faut, c’est un DMP simple et non-piratable!” pic.twitter.com/qFQCmHkwXN

— Députés Les Républicains (@Republicains_An) February 22, 2022

Pour finir, Josiane Corneloup, députée de Saône-et-Loire, a interpellé le ministre délégué auprès du ministre de l’Économie, des Finances et de la Relance, chargé des Petites et Moyennes Entreprises sur les problèmes des artisans.

@J_Corneloup: “J’ai récemment reçu des artisans de ma circonscription: tous sont excédés! Ils aimeraient que le gouvernement les entende. Annulation des chantiers, explosion du coût des matières premières, difficultés pour recruter…Quelles réponses pouvez-vous leur apporter?” pic.twitter.com/jJxu03i9e1

— Députés Les Républicains (@Republicains_An) February 22, 2022

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Valérie Pécresse : « La crise en Ukraine doit être un électrochoc pour l’Union européenne »

Lors de la matinale du mardi 22 février, Valérie Pécresse a répondu aux questions de Léa Salamé, de Nicolas Demorand et des auditeurs de France Inter. L’occasion de revenir sur la crise ukrainienne et de proposer une nouvelle idée de la France.

“Il faut porter un projet pour la France. Et ce projet, qui est le mien, c’est celui qui va réparer le pays. Mon projet, c’est de ramener l’ordre, mais aussi de reconstruire nos services publics et notre économie.” @vpecresse #Pecresse2022 pic.twitter.com/JidbBFEOIs

— Pécresse 2022 (@avecValerie) February 22, 2022

1. Une politique européenne forte

Il est inacceptable que l’intégrité territoriale et la souveraineté d’un État soient violées de manière aussi flagrante. Valérie Pécresse condamne sans réserve la décision prise Vladimir Poutine et souhaite que les Européens s’entendent sans délai sur la réaction la plus ferme et sur une stratégie de sanctions immédiates. Cette crise doit être un électrochoc pour l’Union européenne qui doit accepter de prendre en main son destin et celui de la sécurité du continent tout entier.

Je condamne fermement cette violation du droit international. On ne peut pas reprocher au Président de la République d’avoir tenté de dialoguer avec Poutine mais ce dialogue a été trop tardif et solitaire. Il est temps que l’UE définisse une stratégie pour la paix en Europe. pic.twitter.com/t3tsEM3fQf

— Valérie Pécresse (@vpecresse) February 22, 2022

Il faut garder une position ferme à l’international, et construire des alliances avec tous les partenaires possibles. « Faire la guerre à l’Ukraine est une erreur majeure, rompre les accords de Minsk, c’est une faute », a ajouté la candidate à l’Elysée, en référence aux accords signés en 2015 censés pacifier l’Est séparatiste de l’Ukraine.

La diplomatie, c’est savoir construire des alliances et un réseau d’influence. Emmanuel Macron a mené une diplomatie arrogante et solitaire mais quand je vois Eric Zemmour et Marine Le Pen s’aligner sur les positions de la Russie, je me dis qu’ils veulent voir la France à genoux. pic.twitter.com/uQYsGPSUO4

— Valérie Pécresse (@vpecresse) February 22, 2022

Valérie Pécresse a voulu marqué sa solidarité avec le peuple ukrainien à nouveau éprouvé par l’histoire.

2. Une vraie reconquête républicaine

62 ! Il existe 62 quartiers en France où la République n’a pas sa place. Valérie Pécresse propose une solution simple : punir plus sévèrement délits et crimes commis dans les quartiers de “reconquête républicaine”.

Pour la justice, Valérie Pécresse souhaite un “plan Orsec” : 9 milliards d’euros pour les tribunaux et 16 000 recrutements dont 3 000 juges, 3 000 greffiers et 2 000 procureurs. Elle propose également un retour des peines planchers pour les multirécidivistes, réforme phare de Nicolas Sarkozy, qui avait été supprimé par Christiane Taubira…

Je ne me résous pas à l’impuissance publique parce que c’est ça qui fait monter les extrêmes.

Dans les quartiers de “reconquête républicaine”, je propose d’instaurer une circonstance aggravante pour les crimes, comme c’est déjà le cas dans les écoles ou les transports en commun. pic.twitter.com/q06RvpvkOz

— Valérie Pécresse (@vpecresse) February 22, 2022

3. La mise en place de quotas migratoires

Comme le font de nombreux pays, Valérie Pécresse mettra en place des quotas migratoires afin d’empêcher la poursuite de la “Bérézina migratoire”. Les demandes d’asiles doivent se faire dans la mesure du possible depuis les pays étrangers, traversés par les demandeurs, et non directement en France. Enfin, les demandeurs d’asile déboutés doivent être renvoyés dans leur pays. Appliquons réellement la loi en matière d’immigration et de demande d’asile !

#Immigration : “On doit pouvoir choisir qui on accueille. Je mettrai en place des quotas migratoires. Les pays qui reprennent leurs clandestins auront des visas, ceux qui ne reprennent pas leurs clandestins auront zéro visa.” @vpecresse #Pecresse2022 pic.twitter.com/VpSFmbq1YO

— Pécresse 2022 (@avecValerie) February 22, 2022

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Michel Barnier : « Vladimir Poutine a un problème avec la démocratie, l’Ukraine et l’Union Européenne »

Michel Barnier, conseiller auprès de Valérie Pécresse et ancien commissaire européen, était l’invité de CNews.

Il est revenu sur la crise en Ukraine, la campagne présidentielle et la difficulté pour certains candidats d’obtenir des parrainages.

Michel Barnier : «Poutine a un problème avec la démocratie, l’Ukraine et l’Union européenne» #LaMatinale pic.twitter.com/pUzAJAr856

— CNEWS (@CNEWS) February 22, 2022

Michel Barnier : «Emmanuel Macron est déjà en campagne» #LaMatinale pic.twitter.com/42ipqDh5L7

— CNEWS (@CNEWS) February 22, 2022

«Oui, il y a un problème démocratique», affirme dans #LaMatinale Michel Barnier au sujet des parrainages #Présidentielle pic.twitter.com/T4TwTXj2ds

— CNEWS (@CNEWS) February 22, 2022

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Valérie Pécresse : « Je ferai de la santé des femmes une grande cause »

La candidate Les Républicains a reçu quatre de lectrices du magazine Femme Actuelle à son QG parisien. L’occasion de détailler son programme et de se dévoiler davantage.

Noa : Vous voulez abaisser la majorité pénale à 16 ans… Dans quel but ?

Valérie Pécresse : C’est d’abord une mesure symbolique. Avec l’excuse de minorité, le jeune bénéficie d’une demi-peine. Or, dealer, trafiquer, agresser, harceler à 16 ans ne peut être impuni du seul fait de l’âge. Abaisser l’âge, c’est dire stop à l’impunité. Bien sûr, les mesures éducatives restent au coeur du dispositif : « tu casses, tu répares ». L’objectif global est bien de protéger ces jeunes, de prévenir la récidive, et – par les mesures éducatives – de leur faire prendre conscience de leurs actes.

Liliane : Comment rendre du pouvoir d’achat aux consommateurs au quotidien ?

Dès cet été, dans un projet de loi, nous proposerons que les produits d’hygiène féminine et les couches soient considérés comme des produits de première nécessité et donc taxés à 2,2%. Pour les produits alimentaires déjà à 5,5%, il coûterait beaucoup trop cher de les passer à 2,2%. Je veux également redonner du pouvoir d’achat aux Français sur leur premier poste de dépenses, le logement. On va construire et rénover 500.000 logements par an (contre 360.000 actuellement). Et le prêt à taux zéro qui remplace l’apport initial deviendra disponible sur tout le territoire. La mesure sera applicable tout de suite.

Pauline : Les élèves passeront un examen avant l’entrée en 6e pour évaluer leur niveau. Cela risque de creuser les inégalités…

C’est exactement l’inverse ! C’est l’uniformité qui crée les inégalités. D’abord celle de ne pas maîtriser les bases : lire, écrire, compter. Il faut prévenir le décrochage. Il y aura donc plus d’heures de français et de mathématiques en primaire et un examen en fin de CM2. Les élèves qui ne le valideront pas passeront en 6ème et suivront des cours de consolidation pour se remettre à niveau, le temps nécessaire. Les enseignants volontaires pour les accompagner seront rémunérés au titre des heures supplémentaires.

Laurence : Comment améliorer l’inclusion scolaire des élèves en situation de handicap ?

Il est important, dans l’apprentissage de la vie, que nos enfants rencontrent la vulnérabilité. C’est très précieux pour eux d’être confrontés à la différence. Pour les enseignants, c’est très lourd à gérer, ils sont souvent démunis. Je veux que les AESH (accompagnants) aient un vrai statut, une vraie formation. Dès qu’on a deux enfants par classe en situation de handicap, ou avec des difficultés d’apprentissage (dys), je souhaite qu’il y ait un deuxième adulte dans la classe. Il faut proposer aux AESH des contrats sur cinq ans, voir également s’ils peuvent évoluer vers d’autres métiers (documentariste, enseignant..) en les accompagnant dans un vrai parcours de formation. Le fait actuellement que ces AESH aient des contrats de courte durée, sans perspectives, les démotive.

Liliane : Vous êtes opposée à la légalisation du cannabis. Maintenez-vous l’amende forfaitaire de 200 euros contre les consommateurs ?

Je conserve la mesure. Je veux protéger les jeunes. Si on légalise, je crains qu’il n’y ait plus de tabous, d’interdits. Et puis, les trafiquants mettront sur le marché du cannabis surdosé, encore plus toxique. Il faut empêcher la banalisation de la consommation de cannabis, développer la prévention en milieu scolaire et faire notamment témoigner les jeunes qui sont tombés dans la drogue. Cela a beaucoup d’impact auprès des élèves, davantage que l’amende forfaitaire. J’entends mener ce combat pour une jeunesse sans drogue.

Noa : Faut-il repousser le délai de l’IVG de 12 à 14 semaines ?

Je suis pour le libre choix des femmes. J’avais voté en 2014 le texte réaffirmant le droit à l’IVG comme un principe fondamental. Ce genre de loi, c’est une fuite en avant. Je n’y suis pas très favorable. Le vrai problème, c’est l’accès aux centres IVG dans le délai de 12 semaines, sur tout le territoire, pour toutes. Les moyens des centres seront accrus. On doit garantir cet accès et en faire une priorité de santé publique.

Laurence : Autoriserez-vous le suicide assisté, comme le réclament 88% des Français ?

C’est vraiment un choix très intime. La première responsabilité, c’est d’aider les Français à partir sans douleurs. La loi Clayes-Leonetti permet déjà la sédation profonde, mais elle n’est pas appliquée. Seuls 30% des personnes ont accès à des soins palliatifs. Le sujet, c’est la culture palliative pour tous, y compris, pour ceux qui le souhaitent, à domicile. J’ai personnellement des réticences sur le « suicide assisté ». Mais le référendum d’initiative citoyenne, inscrit dans la Constitution, peut être porté par les Français. Et si telle est leur volonté, je la respecterai.

Noa : Vous êtes contre la GPA. Mais qu’en est-il des enfants nés à l’étranger d’une mère porteuse ?

Cette question puise aussi au plus profond de mes convictions. Je ne veux pas d’une société du tout marchand ni que l’on paye pour utiliser le corps des femmes. C’est d’ailleurs une constante chez moi puisque j’avais voté pour la pénalisation des clients des prostituées, hommes ou femmes. Sur la question des enfants nés de mère porteuse, je revendique de dire que l’intérêt de l’enfant prime. Cela veut dire que le juge décidera au cas par cas [comme c’est actuellement le cas, ndlr.]. Ce n’est peut-être pas totalement cohérent, mais c’est une question d’humanité pour ces enfants. Le système actuel restera donc en l’état si je suis élue.

Laurence : La Ligue contre le Cancer demande la création d’un congé proche aidant pour les personnes qui s’occupent de malades du cancer. Que lui répondez-vous ?

Je souhaite que ce soit le cas pour les parents d’enfants atteints de cancer. Ce droit sera ouvert aux parents qui ont besoin d’être au chevet de leur enfant malade. Je veux faire des cancers pédiatriques une grande cause de santé publique de mon quinquennat, avec la santé des femmes et la santé mentale. On a fait beaucoup de progrès en terme de traitement des cancers de l’adulte mais hélas pas chez l’enfant. C’est d’ailleurs la première cause de mortalité.

Pauline : Vous voulez instaurer un congé parental aménageable entre les parents jusqu’aux 18 ans de l’enfant. Comment le rendre plus attractif pour les pères ?

Je ne peux pas donner un congé parental aux pères avec le maintien de salaire, c’est impossible. Je souhaite que cette mesure permette à davantage de pères de prendre ce congé durant six mois. Les pays qui pratiquent un maintien du salaire sont souvent ceux qui n’ont pas de crèche ni de maternelle. Or nous finançons les deux. Je préfère travailler sur les offres existantes. Je suis plus favorable à mettre le paquet sur l’accueil du jeune enfant, particulièrement dans les territoires ruraux où les services publics ne sont pas aussi nombreux que dans les grandes agglomérations.

Laurence : 2/3 des branches professionnelles proposent des salaires inférieurs au Smic. Obligerez-vous les entreprises à les augmenter et comment ?

Ce sera effectivement l’un des sujets au menu de la grande conférence sur les salaires que je mettrai en place dès mon élection. Il faut remonter les salaires, c’est une évidence. Je commencerai par une augmentation de 3% des salaires dès juillet en enlevant une part de cotisations retraites. Je veux que les entreprises, de leur côté, augmentent les salaires, davantage que l’inflation. Je pense qu’elles y sont prêtes. Pour quelqu’un qui perçoit 1.300 euros nets, ça lui permettra de gagner 500 euros nets supplémentaires sur l’année. Il y a effectivement des branches où les minima sociaux sont inférieurs au Smic. Ce n’est pas normal. Dans les faits, ces salariés sont payés au Smic mais le restent lorsqu’il y a des augmentations. Il n’y a pas de progression de leur salaire. Avec les entreprises, ce sera un donnant-donnant.

Pauline : Vous souhaitez repousser progressivement l’âge légal du départ à la retraite à 65 ans. Comment inciter les entreprises à garder leurs salariés dans cette tranche d’âge ou surtout à embaucher ?

Sans réforme, on ne parviendra pas à équilibrer les régimes. Je ne suis pas très inquiète concernant l’employabilité des seniors. On a remarqué qu’en reculant l’âge de départ, l’âge moyen des salariés augmentait également. Par ailleurs, pour améliorer le taux d’emploi des seniors, je veux libéraliser le cumul emploi-retraite. Ceux qui veulent travailler davantage doivent pouvoir le faire. Et pour ceux qui veulent retrouver un emploi après 50 ans, je souhaite qu’ils puissent devenir des formateurs, en centre de formation. Cela permettrait d’envisager des fins de carrière plus douces, de valoriser la transmission, les salariés pouvant être formateurs à mi-temps tout en restant en poste le reste du temps.

Liliane : Faut-il modifier le délai de prescription des crimes sexuels sur mineurs ?

Il faut faire attention à ne pas demander l’imprescriptibilité à chaque fois qu’on a une émotion sur un crime atroce. Donc, ça ne sera pas possible. En revanche, je pense qu’il y a un cas de figure sur lequel l’imprescriptibilité devrait être établi, c’est l’inceste. Ce n’est pas seulement un crime sur un mineur, mais c’est un crime sur un mineur commis par sa famille. Ce sont les crimes les plus difficiles à dénoncer. Si on dit à un jeune de 18 ans qu’il peut dénoncer un crime sexuel durant 30 ans, il le dénoncera. En revanche, pour l’inceste, l’imprescriptibilité se justifie.

Noa : Y a-t-il une manière féminine d’exercer le pouvoir ?

Le fait qu’une femme devienne présidente de la République doit faire la différence pour les femmes. Je veux m’occuper des victimes de violences – je créerai un parquet spécialisé – , des pensions de reversion de celles qui n’ont pas de carrière complète. Je veux faire de la santé des femmes une grande cause, en créant notamment des consultations mère-enfant. Je m’attaquerai aussi aux « Everest », ces postes de présidents qui n’ont jamais été fémininisés : conseil constitutionnel, conseil d’Etat, Assemblée nationale… Je veux qu’on escalade ces Everest.

Pauline : Ferez-vous rentrer Gisèle Halimi au Panthéon ?

Le Panthéon, ce n’est pas toutes les semaines… Il y a des femmes fantastiques dans l’histoire de France. Ce n’est pas l’alpha et l’omega de la reconnaissance. Il y a des dizaines de femmes qui mériteraient d’y entrer. Bien entendu, Gisèle Halimi est une personnalité fantastique. Dans le féminisme, d’autres femmes ont également porté le combat. Ce ne sera pas ma priorité.

Laurence: Qui sera votre Premier ministre ?

Je n’ai pas encore choisi ! Cela pourrait être une femme, je n’ai pas de tabou là-dessus. La campagne va permettre de révéler le profil dont nous aurons besoin pour gérer, à mes côtés, l’ensemble de l’équipe gouvernementale.

Liliane : Quel serait votre premier déplacement si vous êtes élue ?

Pour la Fondation Jacques Chirac sur le plateau de Millevaches. 7.000 Français, autistes, souffrant de handicaps lourds, doivent partir en Belgique car on ne dispose pas des structures pour les accueillir en France. La Fondation a créé des centres d’accueil pour eux. Ce lieu sera symbolique pour moi. Dans ma France, je veux que les plus vulnérables aient toute leur place.

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