Valérie Pécresse : « Ensemble nous allons relever la France »

Valérie Pécresse tenait une réunion publique ce samedi à Caen (Calvados).

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Valérie Pécresse : « Les femmes de mon âge ont presque toutes subi des agressions sexuelles sans oser en parler »

Sa vie de femme, de mère, d’épouse, son enfance… Délaissant, le temps d’une rencontre avec le magazine Closer, les dossiers techniques d’une candidate à la présidentielle, Valérie Pécresse se raconte.

On parle beaucoup de vous, mais on ne sait pas grand-chose de vous… On vous reproche d’être une bourgeoise, distante, trop « première de la classe ». Qu’est-ce que les Français seraient surpris de découvrir ?

Mon grand-père était psychiatre, un des pionniers de la lutte contre la dépression nerveuse. Comme ma mère était son assistante, j’allais chaque jour à son cabinet après l’école. J’ai assisté en direct à des scènes marquantes d’appels de personnes en grande détresse. J’ai grandi avec cette idée de vouloir réparer les âmes. La politique, c’est aussi apporter son aide aux plus fragiles.

Vous donnez l’impression d’être forte, mais avez-vous connu des périodes de fragilité ?

J’ai failli tout laisser tomber après la défaite de 2012. Tous les politiques de mon parti se bagarraient et je l’ai très mal vécu. Je suis partie trois semaines marcher en pleine nature. Une coupure réparatrice.

Finalement, quel est le plus grand malentendu à votre sujet ?

En CE2, ma professeure m’a dit que je n’arriverai pas à faire d’études parce que j’étais trop timide. Ma vraie personnalité a pris le dessus au collège. J’étais déléguée de classe. Je dénonçais les injustices et défendais les plus faibles. Les gens pensent que je suis froide, alors que je suis plutôt du genre hyperbouillante ! Disons que je suis une cheffe de bande version Mère Teresa.

Quelle adolescente étiez-vous ?

Aventureuse. J’ai visité l’Asie en sac à dos avec des copains et, dès 16 ans, je partais en Russie dans les camps de jeunesse communiste. Et j’ai toujours été passionnée par le cinéma. Quand j’aimais un film, j’achetais la B.O. et je l’écoutais en boucle. J’avais tapissé ma chambre de posters de la comédie musicale Hair. J’étais transportée par les chansons qui parlaient de liberté et d’amour.

Avez-vous encore le temps d’aller au cinéma ?

J’ai vu le dernier Almodovar, Madrés paralelas, une histoire de bébés échangés à la naissance, avec deux beaux portraits de femmes. En ce moment, quand je rentre, je lis juste quelques pages en me couchant, c’est le régime marathon. Habituellement, pour me détendre, je regarde des séries comme Dix pour cent, The Crown, Le Bureau des légendes.

A 28 ans, vous avez été retoquée d’un poste de direction du Centre national du cinéma parce que vous étiez enceinte. Comment l’avez-vous vécu ?

Pendant ma première grossesse, on m’a refusé deux postes et, à l’époque, je m’étais résignée. Pourtant, un mois plus tard, un des chefs du Conseil d’Etat m’a proposé de devenir rapporteure publique. « Votre grossessene doit pas vous freiner ! », m’a-t-il dit. C’est bien la preuve qu’il existe des hommes qui font progresser le droit des femmes.

Vous êtes une femme dans un monde d’hommes. Comment gérez-vous la misogynie du milieu politique ?

La politique est un combat permanent, parce que les femmes se sentent toujours illégitimes. On les juge sur des détails absurdes. Le plus gros handicap des femmes en politique, c’est la voix, et je sais de quoi je parle.

Faire campagne pour une présidentielle est long et difficile. Faites-vous attention à votre hygiène de vie ?

J’essaye, mais je suis très gourmande. Avant, j’éliminais en faisant de la boxe et en allant à la piscine, mais en ce moment, je suis plutôt Pilâtes et yoga. Cela dit, je récupère très vite, je suis une adepte des micro-siestes.

Vous arrive-t-il de ne rien faire ?

J’adore ça, mais comme mon mari est hyperactif, je vous avoue que les temps calmes sont très rares…

La jeunesse est radicale dès qu’elle parle du mouvement #MeToo.Avez-vous déjà eu des affrontements avec vos enfants sur ce sujet ?

Je réalise grâce à eux que la nouvelle génération est beaucoup plus solidaire que la mienne et a fait énormément avancer les mentalités. Les femmes de mon âge ont presque toutes subi du sexisme, du harcèlement, voire des violences, sans oser en parler.

Vous avez déjà été agressée ?

Oui, dans une cage d’escalier. J’avais 22 ans. Heureusement j’ai crié, un voisin a entendu et a mis en fuite mon agresseur. J’ai mis du temps à en parler.

Avez-vous connu des chagrins d’amour ?

Des petits, mais pas des grands. J’étais une jeune fille plutôt romantique, un peu cœur d’artichaut, et puis Jérôme est arrivé…

Comment vous êtes-vous rencontrés ?

On se connaissait depuis des années, mais on s’est vraiment rencontrés le jour du mariage de mon meilleur ami. Jérôme était persuadé que j’étais la mariée, mais j’étais juste la témoin ! Il a multiplié les stratagèmes pour me séduire, alors que j’étais en couple. Ça a duré six mois et j’ai craqué pour lui. Deux mois plus tard, il m’a demandée en mariage lors d’un voyage en Andalousie. Mes amis nous ont mis en garde : c’était bien trop rapide. Ça dure depuis vingt-huit ans.

C’est quoi, le ciment dans votre couple ?

Nous avons des rites ensemble. Faire des grandes marches partout en France, cuisiner, nous retrouver en Corrèze, à la Baule.

Si vous êtes élue Présidente, quel sera le statut de votre mari ?

Nous y réfléchissons… Une chose est sûre : il n’y aura pas de Statut particulier pour le « premier homme ».

Les gens qui ont une grande carrière ont souvent le regret de ne pas avoir été de bons parents. Est-ce votre cas ?

Mes adversaires ont toujours essayé de me culpabiliser là-dessus. Jérôme et moi, nous nous sommes organisés afin d’être toujours présents pour les enfants, quels que soient nos agendas. On a longtemps sacrifié les sorties et les amis. Nous sommes une famille très soudée. La preuve, cet appel à l’instant, c’est ma fille qui me demande de l’aide pour récupérer sa machine à laver ! (Rires.) Je n’aurais pas pu me lancer dans cette campagne sans le soutien total de ma famille. Et pourtant, ça fait vingt ans qu’elle morfle. Mon fils a passé sept heures en garde à vue pour un joint. Mes adversaires ont prévenu les médias, ça tournait en boucle sur les réseaux. Mon fils était majeur, étudiant, et il n’habitait plus à la maison… Il a été très meurtri. Mais c’était destiné à m’atteindre. Cela aurait pu briser notre famille.

Comme l’ex-chancelière allemande Angela Merkel, faites-vous vos courses vous-même chez Carrefour ?

En ce moment, c’est plutôt à la supérette du coin de la rue… Les gens sont toujours assez surpris de me voir pousser un caddie !

On juge beaucoup les femmes sur leur look. Avez-vous été approchée par de grands designers ?

Je suis plutôt tailleur -pantalon et bottines. J’aime les acheter chez The Kooples, Claudie Pierlot, Georges Rech ou Zadig & Voltaire. J’achète aussi des basiques chez Mango ou Zara. Et il m’arrive de porter des pièces de jeunes créateurs d’Ile-de-France. 54 ans, c’est l’âge de la liberté.

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Gérard Larcher : « Le Sénat, c’est une voix différente »

Alors que s’achèvent les travaux législatifs, le président du Sénat Gérard Larcher revendique « une voix différente », déconnectée de l’échéance présidentielle et non « alignée ».

Vous avez posé le Sénat, dominé par la droite, en contre-pouvoir face à Emmanuel Macron. A-t-il tenu ce rôle ?

Le principe du bicamérisme donne à notre assemblée un temps différent du quinquennat et nous ne sommes pas la réplique sismique de l’élection présidentielle. Nous ne sommes pas anti-pouvoir, mais nous sommes une assemblée exigeante sur la question des libertés, sur le respect de la Constitution dans l’équilibre Parlement et exécutif. Par exemple, pendant la crise sanitaire, nous avons accompagné bon nombre de décisions, qu’elles soient à caractère sanitaire ou en soutien à l’économie. Le Sénat, c’est aussi le pouvoir constitutionnel. Il a des responsabilités, non pas de bloquer, mais d’essayer de faire des choses qui ne soient pas uniquement la pulsion du moment. On pourra nous en remercier demain notamment sur le dernier projet de révision (pour inscrire le climat dans la Constitution par référendum). Et puis il y a la fonction de contrôle. La plus célèbre de la période c’est bien sûr la commission d’enquête Benalla, mais c’est aussi la sécurité des ponts, Lubrizol, et actuellement la commission d’enquête sur l’hôpital ou encore celle sur la concentration des médias. Voilà comment je vois le Sénat aujourd’hui, c’est une voix différente.

Les prochaines élections peuvent-elles avoir un impact indirect sur l’équilibre politique du Sénat ?

Je crois à la solidité de la majorité sénatoriale. Elle est dans la diversité, solide, unie, et au fond elle n’oscille pas comme ça au gré des alternances liées à l’élection du président de la République et des législatives. Il est possible que quelques-uns, à un moment, se recomposent… Mais au sein des groupes Les Républicains ou centriste, je ne note aujourd’hui aucun départ vers Horizons. Je souhaite la victoire de Valérie Pécresse. Le Sénat gardera son rôle de contre-pouvoir comme il l’a été sous Nicolas Sarkozy. Donc il ne faut pas s’attendre à un Sénat aligné sur quiconque.

Le prochain quinquennat devra-t-il lancer une révision constitutionnelle ?

Valérie Pécresse l’a annoncé. Un certain nombre de mesures à caractère régalien, notamment soumettre au Parlement les politiques de quotas migratoires, nécessiteront une révision constitutionnelle. Ou pour approfondir la décentralisation avec l’autonomie financière des collectivités territoriales. En même temps, il faudra voir comment on approfondit l’exercice de la démocratie. On est bien conscient que la démocratie issue de la représentation reste un élément fondamental, mais qu’il va falloir réfléchir.

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Valérie Pécresse : « Après l’invasion russe de l’Ukraine, les trois défis que l’Europe doit relever »

Vladimir Poutine a attaqué la capitale ukrainienne, le 25 février. La candidate à l’élection présidentielle considère que la France et l’Europe doivent être fortes et unies pour assumer les responsabilités qui leur incombent dans ce conflit.

La guerre déclenchée par Vladimir Poutine nous rappelle que la paix n’est jamais acquise, même en Europe, même à deux heures de Paris. J’en ai la conviction depuis de nombreuses années, pour avoir été aux côtés de Jacques Chirac lors de la guerre dans les Balkans et aux côtés de Nicolas Sarkozy lors du conflit en Géorgie. C’est pourquoi, dès l’annonce des exigences russes en fin d’année dernière, j’avais proposé un plan d’ensemble pour trouver une solution diplomatique pour la paix sur l’ensemble du continent européen.

Nous n’en sommes plus là. Vladimir Poutine a décidé de faire parler les armes et de faire rouler ses chars au travers de l’Ukraine. Les premières victimes sont à déplorer, et leur nombre risque fort de s’accroître dans les heures à venir.

La première mesure est d’obtenir un cessez-le-feu pour éviter un désastre plus grand encore. Je souhaite que la communauté internationale unie l’exige et que l’on saisisse le Conseil de Sécurité en ce sens. Le veto russe bloquera une telle résolution, mais au moins cela permettra de manifester l’unité du reste de la communauté internationale contre l’agression russe. Si un cessez-le-feu intervenait dans les prochaines heures, la recherche de solutions diplomatiques serait à nouveau possible. Vladimir Poutine doit savoir que l’alternative est de faire de son pays un État paria en Europe et plus largement au sein de la communauté internationale.

Une solidarité sans faille doit également se manifester pour condamner et sanctionner les exactions de Vladimir Poutine et mettre en œuvre sans délai des sanctions drastiques, qui ciblent personnellement les responsables de cette guerre et leurs proches.

Cette solidarité doit se manifester en France d’abord. J’ai toujours prôné une attitude ouverte envers la Russie, mais la complaisance de ceux qui ont pris le parti de Vladimir Poutine est inacceptable. Je dénonce les compromissions des candidats sous l’influence politique et financière de Moscou au risque de compromettre les intérêts de la France. Je demande la convocation sans délai de la représentation nationale pour débattre de cette situation de crise, conformément à la Constitution. Solidarité aussi au sein de l’Union européenne, pour laquelle cette guerre doit être un électrochoc. Le temps de la naïveté est terminé. Désormais, la plus grande lucidité s’impose. Solidarité, enfin, avec nos alliés de l’OTAN, dont certains à l’Est du continent, craignent pour leur sécurité.

Tout doit être fait pour protéger les populations civiles et l’on doit sans délai mettre en place un plan d’aide humanitaire. Si la situation l’exigeait, je souhaiterais que la France manifeste sa solidarité en accueillant des réfugiés ukrainiens, qui justifieraient de ce statut, bien davantage que les faux réfugiés qui sont indûment entrés en Europe ces dernières années. Le gouvernement ukrainien a aussi présenté des demandes en matière d’équipements de défense. Je souhaite que l’on y réponde de manière positive et concertée.

Cette crise nous oblige à relever plusieurs défis. Le premier défi est celui de la paix, en arrêtant de penser qu’elle va de soi. Là encore, soyons reconnaissants au Général de Gaulle qui a souhaité doter la France d’une force de dissuasion. Notre dissuasion doit rester la pierre cardinale de notre sécurité, au-delà de l’effort plus général de défense qu’il faudra maintenir. Le second défi est celui de la sécurité des pays membres de l’Union européenne. Trop de nos partenaires ont baissé la garde au fil des ans, pour s’en remettre au seul parapluie américain. Nous, Européens, toujours solidaires dans l’OTAN, devons nous doter d’une véritable capacité de défense autonome. Le troisième défi, face au chantage gazier russe, est celui de notre indépendance énergétique au sein de l’Union européenne. Le dernier défi est celui de notre souveraineté alimentaire et agricole.

La France, qui préside aujourd’hui le conseil de l’Union Européenne, doit être une force de proposition pour relever ces défis. Nous avons aujourd’hui rendez-vous avec l’Histoire. La France doit être forte et unie pour assumer les responsabilités qui lui incombent.

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Le Mot du Secrétaire Départemental

Un nouveau site pour aller plus loin et plus fort.
Vous serez très certainement heureux comme moi de visiter le nouveau site des Républicains du Morbihan !

Un site d’accueil pour vous tous nos amies, et nos amis, pour nos adhérents et nos militants, mais aussi pour ceux qui s’intéressent à l’avenir de notre pays, c’est à dire à la politique dans le sens noble du terme.

Avec mes adjoints Jean-François GUEZET, Jean-François STÉPHAN et Hugues JEHANNO, nous avons voulu construire un nouveau site. Un site qui exprime une nouvelle vision de la chose publique, ce que l’on appèle la “res publica“.

Il nous fallait en effet, aller plus loin qu’un simple site informationnel.

Alors, nous vous proposons aujourd’hui de prendre de la hauteur pour engager, susciter, organiser la réflexion utile au débat démocratique.

D’où venons-nous ?, Qui sommes nous ? Où allons-nous ?
C’est à partir de ce triptyque, auquel nous avons joint « Notre territoire », que pour mieux structurer ce qui nous doit nous guider dans ce monde si fragmenté, si déstructuré, si archipelisé, nous avons élaboré l’organisation de ce nouveau site.

Ainsi, nous sommes prêts pour engager de nouveaux combats pour notre pays, pour les français, pour les morbihannais, pour les bretons que nous sommes tous de cœur.

Que vogue ce nouveau site des Républicains du Morbihan !
Menons ce grand combat pour la Nouvelle France avec Valérie Pécresse.
Bon vent à vous tous !


Alain-Michel RICHER

Secrétaire départemental

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Le Mot de la Présidente des Républicains 56

Chers adhérents, chers amis,

Les prochaines élections présidentielle puis législatives et les semaines les précédant sont cruciales pour notre famille politique.

Nous devons les aborder avec réalisme, le combat sera rude mais également conscients de nos forces.

L’organisation de la consultation interne destinée à désigner notre candidat à l’élection présidentielle a créé une dynamique d’adhésions portant “Les Républicains“ au nombre de 150 000 membres, en faisant ainsi le plus grand parti politique de France.

Cette consultation a permis aux cinq candidats de développer un programme et mis en valeur le fait qu’il y a plus de choses qui les unissent que de choses qui les séparent.

Cette unité a été démontrée par le soutien immédiat apporté par ses concurrents à la candidate désignée pour représenter la Droite et le Centre à l’élection présidentielle, Valérie PECRESSE.

Valérie PECRESSE est une femme d’expérience. Actuellement réélue à la tête du Conseil Régional d’Ile de France, elle a également été député et surtout ministre du gouvernement FILLON pendant les cinq années de la présidence de Nicolas SARKOZY.

A ce titre, elle a mené la difficile réforme de l’autonomie des universités en tant que ministre de l’enseignement supérieur.

A ces années d’expérience tant au niveau local que national, Valérie PECRESSE rajoute sa capacité à fédérer autour de sa candidature.

Les quatre autres candidats à la primaire bien sûr, Eric CIOTTIMichel BARNIERXavier BERTRANDPhilippe JUVIN mais également Gérard LARCHERBruno RETAILLEAUDamien ABADFrançois-Xavier BELLAMYLaurent WAUQUIEZDavid LISNARD et bien d’autres encore se sont engagés derrière Valérie PECRESSE.

Cette unité est une chance pour “Les Républicains“ auxquels se sont ralliés l’UDI et Les Centristes d’Hervé MORIN.

Cette unité, c’est aussi à vous, militants, de la porter et de la faire fructifier.

L’électorat est plus que jamais morcelé. La tentation peut exister de rejoindre d’autres candidats au discours séduisant en apparence.

Mais nous ne devons pas nous tromper de combat, il ne s’agit pas seulement de porter à nouveau notre famille politique vers la victoire, il s’agit aussi d’écarter définitivement du pouvoir l’actuel président de la République dont les errements politiques conduisent au déclassement de la France.

Seule l’unité peut nous permettre de mettre fin à ce lent et insupportable glissement de notre pays et, en élisant Valérie PECRESSE, de mettre en œuvre le programme qui permettra de redonner sa fierté à la France !

Muriel JOURDA

Sénatrice du Morbihan

Présidente de la fédération des Républicains du Morbihan

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Michel Barnier : « La stratégie de Poutine est folle »

Michel Barnier, conseiller auprès de Valérie Pécresse et ancien commissaire européen, était l’invité de Sud Radio.

Il est revenu sur la guerre en Ukraine, la campagne de l’élection présidentielle et le dialogue avec la Russie pendant la crise.

[#SudRadio] @MichelBarnier : “Toute guerre est une folie. La stratégie de monsieur #Poutine est folle. Dans son état d’esprit, il y a une animosité fondamentale à l’égard de l’Europe. “

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— Sud Radio (@SudRadio) February 25, 2022

[#SudRadio] @MichelBarnier : “L’Union Européenne doit être davantage indépendante des #Russes concernant l’énergie et l’agriculture.”

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— Sud Radio (@SudRadio) February 25, 2022

[#SudRadio] @MichelBarnier : ” @vpecresse subit une masse d’attaques depuis 3 semaines. Elle reste la femme à abattre à la fois pour l’extrême droite et pour le pouvoir sortant. Elle a du courage politique. “

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— Sud Radio (@SudRadio) February 25, 2022

[#SudRadio] @MichelBarnier : ” @vpecresse a proposé un cadre de discussion avec les #Russes dès janvier. Toutes les tentatives de dialogue du Président #Macron ont été efficaces mais tardives.”#RussieUkraine #Russie #Ukraine

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— Sud Radio (@SudRadio) February 25, 2022

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Déclaration de Valérie Pécresse sur la situation en Ukraine

Cette nuit, Vladimir Poutine a violé les règles les plus fondamentales du droit international en envahissant l’Ukraine, un pays souverain.

La guerre est de retour au cœur du continent européen. Cela fait près de 25 ans que nous n’avions pas connu cette situation. Je le dis avec gravité.

Je condamne fermement cette invasion. Par sa brutalité, elle nous éclaire, de manière crue, sur la personnalité de Vladimir Poutine, son régime et les opérations de déstabilisation qu’il conduit en Europe mais aussi en Afrique, au travers notamment de l’action des milices Wagner. Nous l’avons vu au Mali.

Je suis convaincue que ce régime ne correspond pas à l’aspiration à la paix du peuple russe.

Cette attaque doit être l’occasion d’un électrochoc pour l’Europe. Le temps de la naïveté est fini. Désormais la plus grande lucidité s’impose. Et il faut que cette lucidité soit partagée par tous, en France comme en Europe.

Je marque mon entière solidarité avec le peuple ukrainien, comme j’ai eu l’occasion de le dire hier personnellement à l’Ambassadeur d’Ukraine à Paris. Je demande que tout soit fait pour protéger les populations civiles et faire face à la crise humanitaire qui se profile. Je pense à nos compatriotes sur place et je sais tous les efforts qui sont faits aujourd’hui pour les protéger.

Cette invasion appelle une réaction immédiate. Je souhaite que l’Union européenne, en coordination avec les Etats-Unis, le Royaume-Uni et les autres membres de la communauté internationale, s’accordent dans les plus brefs délais sur les sanctions les plus fermes, qui ciblent personnellement les responsables de cette guerre.

Je demande que l’Union européenne mette en place immédiatement un plan d’aide répondant aux attentes de l’Ukraine, qu’il s’agisse d’aide humanitaire, ou de ses demandes spécifiques en matière d’équipements de défense.

Il nous faudra tirer les leçons de cette crise. Elle place l’Union européenne au pied du mur. Elle nous oblige à relever plusieurs défis. Nous devrons prendre dans les semaines qui viennent des initiatives fortes.

Le premier défi est celui de la paix. Sous le préalable de l’arrêt immédiat des hostilités, le moment viendra, comme je l’ai proposé le 26 janvier, de définir et d’organiser dans la durée une nouvelle architecture pour la sécurité de notre continent.

Le deuxième défi est celui de la sécurité des pays membres de l’Union européenne. Nous, Européens, toujours solidaires dans l’OTAN, nous devons nous doter d’une capacité autonome de défense pour assurer notre propre sécurité.

Le troisième défi, face au chantage gazier russe, est celui de notre indépendance énergétique au sein de l’Union européenne.
Le dernier défi est celui de notre souveraineté alimentaire et agricole.

Sur ces quatre défis, la France qui préside aujourd’hui le conseil de l’Union européenne, doit être à l’offensive et travailler de manière collective.

Je demande la convocation sans délai de l’Assemblée nationale et du Sénat pour débattre de cette situation, en application de la Constitution.

Dans un monde qui n’a jamais été aussi menaçant, je m’engage, si les Français me font confiance, à renforcer notre effort de défense et à doter nos forces armées des moyens indispensables pour assurer la sécurité et la protection de nos compatriotes et de nos intérêts fondamentaux en Europe et dans le monde.

Le moment grave où nous sommes doit être un moment de responsabilité et d’action pour nous tous.

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Valérie Pécresse : « Les Français méritent un vrai débat »

Valérie Pécresse a répondu le mercredi 23 février pendant plus de deux heures aux questions des journalistes de BFMTV dans Face à BFM.

La nécessité d’un vrai débat

A 50 jours de l’élection présidentielle, Valérie Pécresse s’est dit « indignée du niveau de cette campagne ». Alors que les sujets de pouvoir d’achat, de sécurité et de relations internationales sont au cœur de l’intérêt des Français, les médias passent leur journée à « ergoter sur une boule puante », visant à déstabiliser Valérie Pécresse. Les Français veulent un débat d’idées, pas une succession de faux scandales.

Je suis indignée du niveau de cette campagne.

Nous sommes à 5 semaines d’une élection cruciale pour l’avenir du pays et les médias passent la journée à ergoter sur une boule puante qui vise uniquement à me déstabiliser. Les Français méritent un vrai débat. #FaceàBFM pic.twitter.com/lDhfJeF3vM

— Valérie Pécresse (@vpecresse) February 23, 2022

Les indignations proférés par Marine Le Pen et Éric Zemmour en lien avec leur manque de parrainages reste « une mise en scène que l’on a à chaque élection ». Toutefois, Valérie Pécresse considère que « parrainer n’est pas soutenir ». Plusieurs élus LR se sont engagés dans cette voie : le maire de Cannes David Lisnard a parrainé Jean-Luc Mélenchon, et le député européen François-Xavier Bellamy a donné sa signature à Eric Zemmour. Le « temps du débat » est arrivé dans cette campagne présidentielle.

Une position ferme face à la Russie

Après une escalade des tensions, la Russie de Vladimir Poutine a franchi le Rubicon en envahissant militairement l’Ukraine. C’est la guerre en Europe. « Ce que je crois, c’est que le Vladimir Poutine que j’ai connu quand j’étais chez Chirac, n’est plus le Vladimir Poutine d’aujourd’hui », explique Valérie Pécresse. Pour elle, Poutine est devenu « imprévisible » et « incontrôlable ».

En réalité, le travail aurait dû être fait « en amont ». Valérie Pécresse reproche à Emmanuel Macron de ne pas avoir assez anticipé la situation et d’avoir agi seul, sans l’appui des autres pays européens.

Non seulement je serai cheffe de guerre mais je souhaite aussi redonner à nos armées les moyens de nos ambitions. La France doit rester une grande puissance militaire et diplomatique. #NouvelleFrance #FaceàBFM pic.twitter.com/CgIeZXfV5b

— Valérie Pécresse (@vpecresse) February 23, 2022

Valérie Pécresse s’est opposée à l’envoi de troupes françaises en Ukraine, comme l’a demandé le Président ukrainien, estimant qu’il n’en était pas encore question à ce stade.

La réflexion doit se faire au niveau européen. Les Européens ne peuvent plus se contenter de l’OTAN pour assurer leur sécurité. Une véritable politique doit être envisagée dans le cadre de l’Union Européenne. « Ce que je crois, c’est qu’il faudra tirer un enseignement. Le destin de l’Union européenne est entre ses mains. On ne peut plus s’en tenir seulement à l’Otan pour la sécurité ».

Quand je vois Marine Le Pen et Éric Zemmour faire allégeance à la Russie, je me dis que ce n’est pas la France gaullienne que je défends, ce n’est pas une France debout, c’est une France à genoux. #Pecresse2022 #FaceABFM pic.twitter.com/QwpTm599tp

— Valérie Pécresse (@vpecresse) February 23, 2022

Augmenter les salaires, baisser les dépenses publiques

Valérie Pécresse veut baisser les charges pour augmenter les salaires. Or, « pour baisser les charges, il faut baisser les dépenses publiques. Je suis la seule candidate à vouloir réduire les dépenses. Nous sommes les champions du monde de la dépense publique » !

Valérie Pécresse propose aussi de supprimer le RSA jeune d’Emmanuel Macron « qui plonge les jeunes dans l’assistanat ». Une fois Présidente, Valérie Pécresse créera le RJA, le revenu jeune actif, une rémunération pour tous les jeunes qui s’engagent à suivre une formation professionnalisante dans les secteurs qui recrutent.

Oui ! J’assume de vouloir augmenter les salaires nets de 10% pour une grande majorité de Français.

Le dire, c’est une chose. Moi, je le démontre. #FaceàBFM #Pécresse2022 pic.twitter.com/bndnHHlDdj

— Valérie Pécresse (@vpecresse) February 23, 2022

Sans augmenter le point d’indice pour les fonctionnaires, Valérie Pécresse veut rationaliser les budgets de l’État et supprimer 200.000 postes de fonctionnaires. « On peut faire mieux avec moins » ! Toutefois, elle souhaite créer 50 000 dans des secteurs précis, notamment la santé et l’éducation. « Ce ne sera pas de l’austérité, ça n’a aucun effet récessif de supprimer des doublons et des effectifs », explique Valérie Pécresse, qui veut également « digitaliser » certaines fonctions.

Sur la fonction publique, on peut faire mieux avec moins !

Je supprimerai 200 000 postes de fonctionnaires dans l’administration administrante. Je recréerai 50 000 postes dans les trois missions principales de l’État : protéger, éduquer, soigner. #Pecresse2022 #FaceABFM pic.twitter.com/yqYmrtI4AO

— Valérie Pécresse (@vpecresse) February 23, 2022

Les Français ont tous le droit à la justice

Valérie Pécresse a défendu son projet de territorialisation des sanctions, avec des peines plus sévères dans les zones de reconquête républicaine. « On a 30 % de policiers supplémentaires dans les zones de reconquête républicaine, les habitants de ces quartiers ont le droit à la justice » a-t-elle déclaré.

Ça ne vous choque pas vous qu’il y ait en France des quartiers de “reconquête républicaine”, c’est-à-dire des quartiers où la République n’est plus ? Moi si ! Je rendrai ces quartiers à la République. Leurs habitants ont le droit à la sécurité. #FaceàBFM #Pécresse2022 pic.twitter.com/bghagSWDdI

— Valérie Pécresse (@vpecresse) February 23, 2022

« Aujourd’hui, les courtes peines ne sont pas exécutées, elles ne sont pas exécutées parce que les prisons sont pleines », a fustigé Valérie Pécresse. elle s’est aussi indigné de l’état de délabrement des prisons, et de l’absence de considération du gouvernement pour les prisonniers. Toutefois, « ce n’est pas parce qu’on a des prisons indignes qu’on ne doit plus incarcérer : il faut incarcérer plus dès maintenant ».

Aujourd’hui les courtes peines ne sont pas exécutées parce que les prisons sont pleines.

Je veux ouvrir des centres d’incarcération provisoires pour exécuter les peines de prison le temps que les places de prison que je propose soient construites. #Pecresse2022 #FaceABFM pic.twitter.com/1uITccbYTg

— Valérie Pécresse (@vpecresse) February 23, 2022

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Aurélien Pradié : « Aucune circonstance atténuante, aucune excuse à ce que Poutine est en train de faire »

Aurélien Pradié, secrétaire général de notre mouvement et député du Lot, était l’invité de Public Sénat.

Il est revenu sur la guerre en Ukraine, les soupçons de fraude lors de la désignation de notre candidat, la campagne de l’élection présidentielle et les parrainages.

#Ukraine : “Il s’agit d’une violation intégrale du droit international. Tout cela est inacceptable. Il n’y a aucune circonstance atténuante, aucune excuse, aucun élément de compréhension à ce que Vladimir Poutine est en train de faire” @AurelienPradie #BonjourChezVous pic.twitter.com/XRYnacCxGq

— Public Sénat (@publicsenat) February 24, 2022

Accusation de fraude chez les LR : “Ce vote, cette organisation ont été exemplaire. Le chien dont on parle n’a pas voté. On a nettoyé les listes électorales avant qu’il y ait une opération de vote”, assure @AurelienPradie “On a supprimé près de 9000 personnes” #BonjourChezVous pic.twitter.com/yCaNgQXowK

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Présidentielle : “Quand sa majesté acceptera de venir jouer le jeu de la démocratie, ça ira quand même beaucoup mieux !”, tacle @AurelienPradie “C’est fou, @EmmanuelMacron, qui se dit courageux, chevalier, se planque depuis plusieurs semaines” #BonjourChezVous pic.twitter.com/t97YFhAyYM

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#Parrainages : “Tout cela c’est du cinéma de la part de @JLMelenchon, @MLP_officiel et @ZemmourEric On a déjà vécu ce petit numéro de Calimero pour avoir les parrainages”, dénonce @AurelienPradie qui les soupçonne d’avoir déjà leurs 500 signatures #BonjourChezVous pic.twitter.com/2fuJQr3RhG

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L’article Aurélien Pradié : « Aucune circonstance atténuante, aucune excuse à ce que Poutine est en train de faire » est apparu en premier sur les Républicains.

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