La question de la semaine : production d’énergie
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Dans la préparation des élections législatives, la Commission Nationale d’Investiture des Républicains a souhaité apporter son soutien aux candidats suivants :
SOMME (80)
1ère circonscription : Mathilde Roy (LR)
2ème circonscription : Aurélien Caron (LR)
3ème circonscription : Réservé
4ème circonscription : Martin Domise (LR)
5ème circonscription : Réservé
Christian JACOB
Président Les Républicains
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Dans la préparation des élections législatives, la Commission Nationale d’Investiture des Républicains a souhaité apporter son soutien aux candidats suivants :
ALLIER (03)
1ère circonscription : Pierre-André Périssol (LR)
2ème circonscription : Jean-Jacques Kegelart (LR)
ARDECHE (07)
2ème circonscription : Marc-Antoine Quenette (LR)
3ème circonscription : Réservé
LANDES (40)
2ème circonscription : Marc Vernier (LR)
PAS-DE-CALAIS (62)
1ère circonscription : Marie Bernard (LR)
2ème circonscription : Emmanuelle Lapouille-Flajolet (LR)
3ème circonscription : Claudine Lambre (DVD)
4ème circonscription : Réservé
6ème circonscription : Faustine Maliar (LR)
7ème circonscription : Réservé
8ème circonscription : Jonathan Truant (LR)
9ème circonscription : Clément Huchette (LR)
11ème circonscription : Denis Hocquet (LR)
12ème circonscription : Martine Belot (LR)
HAUTES-PYRENEES (65)
1ère circonscription : Romain Giral (LR)
2ème circonscription : Véronique Dutrey (LR)
SAONE-ET-LOIRE (71)
2ème circonscription : Réservé
5ème circonscription : Gilles Platret (LR)
SAVOIE (73)
2ème circonscription : Réservé
3ème circonscription : Réservé
VAUCLUSE (84)
1ère circonscription : Dominique Brogi (LR)
3ème circonscription : Gilles Vève (LR)
VAL-DE-MARNE (94)
2ème circonscription : Thierry Hebbrecht (LR)
4ème circonscription : Marie-Carole Ciuntu (LR)
5ème circonscription : Paul Bazin (LR)
6ème circonscription : Céline Martin (LR)
7ème circonscription : Vincent Jeanbrun (LR)
8ème circonscription : Réservé
9ème circonscription : Michèle Bonhomme-Afflatet (DVD)
10ème circonscription : Yamina Amzal (LR)
11ème circonscription : Mahrouf Bounegta (LR)
Christian JACOB
Président Les Républicains
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Christian Jacob, président des Républicains, arrive à La Réunion vendredi pour une visite de cinq jours, marquée par plusieurs rencontres avec les acteurs économiques, agricoles, industriels et associatifs de l’île.
En préambule, Christian Jacob nous a exposé les grandes lignes du programme de Valérie Pécresse, candidate LR à la présidentielle et évoqué la vision de son parti sur les nouvelles manières d’orchestrer la décentralisation dans les outre-mer.
Vous arrivez à La Réunion le 17 décembre, précédant de peu Marine Le Pen qui sera sur l’île le 19, après avoir présenté son programme pour l’Outre-Mer mardi dernier. Sébastien Lecornu est attendu pour sa part avant la fin décembre. Êtes-vous en situation de tracer quelques-uns des axes du programme ultramarin qui sera porté par Valérie Pécresse au nom des LR et de l’UDI ?
Valérie Pécresse ne manquera pas de détailler son programme dans les mois qui viennent. Nous proposerons un ensemble de mesures fortes pour répondre aux défis de chacun des territoires ultramarins. À la Réunion, nous construirons davantage de logements et nous rénoverons les logements sociaux qui sont souvent dans un état indigne. Je pense aussi à nos agriculteurs –à la filière canne-sucre de la Réunion – où la concurrence déloyale les accable de normes et de charges. Il faut par ailleurs continuer à développer les autres productions et encourager les filières d’excellence, qui existent depuis plusieurs années.
L’accès à la santé et à l’éducation dans tous les territoires doit être une priorité. Le pouvoir d’achat a baissé sous Emmanuel Macron, les prix augmentent et l’Etat est impuissant. Il faut assurer la continuité territoriale des marchandises, en particulier les produits de première nécessité en contrôlant les hausses de prix qui handicapent les familles réunionnaises. C’est dans cet esprit que Valérie Pécresse fera des propositions fortes pour le pouvoir d’achat. Grâce aux économies de fonctionnement qu’elle propose, elle rendra de l’argent à la France qui travaille en baissant les charges pour augmenter les salaires nets de 10% jusqu’à 2,2 SMIC. Elle défend aussi la protection du pouvoir d’achat des retraités, durement éprouvés pendant ce quinquennat, et la relance d’une grande politique familiale avec une prime à la natalité dès le premier enfant.
En 2017, lors de la précédente élection présidentielle, le rapport de forces au premier tour avait placé en tête Jean-Luc Mélenchon, Marine Le Pen ; le score de M. Fillon avait certes été modéré par les événements que l’on sait. Au-delà, et cette fois à l’échelle de l’ensemble de l’outre-mer, ce sont Marine Le Pen et Jean-Luc Mélenchon qui trustaient les deux premières places, devançant de peu M. Fillon. Qu’est-ce qui, dans la candidature de Valérie Pécresse, pourrait faire bouger les lignes aujourd’hui ?
Valérie Pécresse est originellement une chiraquienne. Nous allons renouer le lien singulier que Jacques Chirac avait tissé avec les Outre-mer : les Réunionnais l’avaient placé largement en tête en 1995. Valérie Pécresse apportera des réponses fortes et précises aux préoccupations des Réunionnais et à l’ensemble des ultra-marins. C’est une femme de parole et une femme d’action.
Impossible d’envisager une élection présidentielle sans son corollaire des législatives. Jusqu’à ce que le Congrès LR décide de l’identité du candidat unique des LR et de l’UDI, les candidats réunionnais à la candidature s’étaient tenus à une prudente réserve ; quand les investitures seront-elles attribuées ?
Les investitures seront bouclées fin janvier pour tous les départements.
Une visite de Valérie Pécresse, candidate LR-UDI, est bien évidemment espérée à La Réunion : pouvez-vous éclairer quelque peu son calendrier électoral ?
Bien évidemment que Valérie Pécresse se rendra à la Réunion. Elle dévoilera prochainement son calendrier.
Qu’en est-il de l’avenir des LR à La Réunion ?
À la Réunion comme partout en France, notre famille politique part à la reconquête de la confiance des Français. Nous avons doublé notre nombre d’adhérents en un an. Et nous avons désormais un mouvement de jeunesse structuré et autonome qui rassemble de plus en plus de jeunes.
Valérie Pécresse est la candidate unique des LR et de l’UDI suite au ralliement de Jean-Christophe Lagarde. Qu’en est-il à La Réunion où l’histoire récente des « centristes » fait état de positionnements parfois, opportunistes…
J’ai toute confiance en Michel Fontaine et David Lorion pour préparer dans les meilleures conditions les élections législatives.
Comment imaginez-vous l’évolution des collectivités ultramarines, plutôt portée sur des réformes statutaires ou sur des évolutions normatives ? Le cas de la Nouvelle-Calédonie devrait, en la matière, s’avérer révélateur s’agissant de la construction d’un nouveau type de collectivité, mêlant autonomie administrative et politique…
Permettez-moi d’abord de dire à quel point j’ai regretté qu’Emmanuel Macron ne prenne pas position pour que la Nouvelle Calédonie demeure française. Les Néo-Calédoniens ont marqué pour la troisième fois leur attachement à la France. C’est une grande nouvelle. Nous avons à écrire une nouvelle page de l’histoire ultra-marine de la France. Avec Valérie Pécresse, nous proposons une nouvelle étape de décentralisation pour l’ensemble des collectivités locales qui se verront confier de nouvelles compétences avec des moyens à la hauteur de leurs ambitions : formation et orientation professionnelles, politique de l’emploi, politique du logement… Notre objectif est une action publique de proximité, moins bureaucratique et plus efficace.
Au nombre des problématiques qui balisent la campagne électorale, celle de l’immigration résonne ici de façon très particulière, et la sécurité de même, avec la situation de Mayotte, toute proche, où la population est à 50% étrangère… Les Mahorais – nombreux à La Réunion – craignent de ne plus avoir accès aux services publics, et l’insécurité hypothèque le développement du plus récent des départements français. Quel message portez-vous sur ces sujets ?
À Mayotte, la situation est devenue critique en raison de l’immigration de masse. Comme le propose Valérie Pécresse, nous mettrons fin au droit du sol automatique. Nous conditionnerons l’aide au développement aux pays de départ et la délivrance de visas au retour des immigrés illégaux chez eux. Nous mettrons fin aux régularisations d’immigrés illégaux et les demandes d’asile devront être déposées depuis les pays d’origine. Ce n’est pas aux passeurs de décider qui entre en France ; c’est aux Français d’en décider. Face à l’insécurité qui frappe les Outre-mer, Valérie Pécresse a un programme de fermeté : peines-plancher pour ceux qui s’en prennent aux forces de l’ordre, construction de places de prison, déploiement de brigades « coup de poing » avec le soutien de l’armée dans les territoires les plus exposés à l’insécurité.
Le droit à la « différenciation », dont on parle depuis 2018, constitue-t-il, au sein de la décentralisation, une voie d’adaptation rationnelle des collectivités d’outre-mer aux droits communs français et européen, selon vous qui présidez le parti LR ?
Il faut accorder davantage de souplesse aux collectivités locales : on a vu pendant la crise sanitaire qu’elles pouvaient se montrer plus efficaces que l’État. Au Sénat, nous avons défendu le droit à la différenciation. Mais le plus important est de transférer de nouvelles compétences aux collectivités locales avec les ressources financières correspondantes.
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Ce mercredi après-midi, lors de la séance de questions au gouvernement, six sénateurs du groupe les Républicains ont interpellé l’exécutif.
Pour commencer, François-Noël Buffet, sénateur du Rhône, a interpellé le Premier ministre sur l’avenir de la Nouvelle-Calédonie.
“Nos compatriotes de Nouvelle-Calédonie ont fait le choix de rester Français ! Comment envisagez-vous la construction d’un projet institutionnel pour établir la #NouvelleCalédonie durablement dans la République ?”@fnb_officiel interpelle le gvt. #QAG https://t.co/TMvDIBzKnK
— Républicains Sénat (@lesRep_Senat) December 15, 2021
Alexandra Borchio-Fontimp, sénatrice des Alpes-Maritimes, a interrogé le Premier ministre sur le temps de parole des candidats à l’élection présidentielle.
“Ce soir le Président parle, vive le candidat! N’est-il pas temps urgent qu’un débat loyal entre tous les candidats s’installe ?” @AlexndraBorchio interpelle le gvt à qq heures de l’intervention d’E. #Macron sur TF1. #QAG https://t.co/aRNevrsODn
— Républicains Sénat (@lesRep_Senat) December 15, 2021
Alain Milon, sénateur de Vaucluse, a questionné le ministre des Solidarités et de la Santé sur les plans blancs à l’hôpital.
“Les besoins en #lits croissent chaque jour. Pour les armer, il faut pouvoir recourir à des personnels médicaux supplémentaires.” @SenateurMilon interpelle le gvt sur la situation de l’hôpital. #QAG https://t.co/asRsnlfy2p
— Républicains Sénat (@lesRep_Senat) December 15, 2021
Florence Lassarade, sénatrice de Gironde, a interpellé le Premier ministre sur les violences contre les maires.
“Quel signal d’autorité allez-vous envoyer ? Comment comptez-vous sanctionner les agressions d’élus ?” @flolassarade interroge le gvt. #QAG https://t.co/gulXO0DuDL
— Républicains Sénat (@lesRep_Senat) December 15, 2021
Philippe Tabarot, sénateur des Alpes-Maritimes, a interrogé le ministre délégué auprès de la ministre de la Transition écologique, chargé des Transports sur la grève de la SNCF.
“Les gares se transforment en camps de fortune.” @PhilippeTabarot interpelle le gvt sur les #grèves prévues par la #SNCF. #QAG https://t.co/9u0NG3IPig
— Républicains Sénat (@lesRep_Senat) December 15, 2021
Pour finir, François Bonhomme, sénateur du Tarn-et-Garonne, a questionné le ministre de l’intérieur sur les visas médicaux.
“Quelles mesures comptez-vous prendre pour lutter contre ceux qui utilisent de façon dévoyée notre système de soins ?” @F_Bonhomme interroge le gvt. #QAG https://t.co/lBRNfkL8rO
— Républicains Sénat (@lesRep_Senat) December 15, 2021
L’article Nos sénateurs interrogent le gouvernement est apparu en premier sur les Républicains.
Aurélien Pradié, secrétaire général de notre mouvement et député du Lot, était l’invité de Public Sénat.
Il est revenu sur la crise sanitaire, la vaccination des enfants contre la Covid-19, l’interview d’Emmanuel Macron et la candidature de Valérie Pécresse à l’élection présidentielle.
Crise sanitaire : “Ne pas durcir les règles, c’est aussi faire confiance à nos concitoyens. Cette infantilisation permanente de la société fabrique des robots plus que des citoyens. L’accoutumance aux privations de liberté est un sujet politique.” @AurelienPradie #BonjourChezVous pic.twitter.com/mjYAaJucWI
— Public Sénat (@publicsenat) December 15, 2021
Vaccination des enfants : “Je n’y suis pas favorable, nous n’avons pas assez de recul scientifique. La prudence est aussi une exigence de santé publique. On ne peut pas lancer une grande campagne de santé publique avec une défiance qui plane.” @AurelienPradie #BonjourChezVous pic.twitter.com/QCz4wFwItH
— Public Sénat (@publicsenat) December 15, 2021
Intervention d’@EmmanuelMacron : “Il me fatigue et d’ailleurs je crois qu’il fatigue les Français. Ces exercices narcissiques sont devenus insupportables. C’est une attitude de petit mec, pas de Président de la République.” @AurelienPradie #BonjourChezVous pic.twitter.com/dAACXNYaJc
— Public Sénat (@publicsenat) December 15, 2021
“@vpecresse est urbaine, peut-être, mais elle connaît parfaitement les territoires ruraux. @GDarmanin est devenu le roquet de la Macronie. Valérie Pécresse n’est pas Versaillaise, elle est française.” @AurelienPradie #BonjourChezVous pic.twitter.com/xLW4WquIS0
— Public Sénat (@publicsenat) December 15, 2021
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Bruno Retailleau, président du groupe les Républicains au Sénat et sénateur de Vendée, était l’invité de France 2.
Il est revenu sur le bilan d’Emmanuel Macron, la campagne de vaccination contre la Covid-19, les thérapies de conversion et l’interview d’Emmanuel Macron.
Bilan d’Emmanuel #Macron
«Est-ce que la France va mieux aujourd’hui ? L’insécurité a explosé, l’immigration n’a pas régressé, les Français ne sont pas mieux soignés.»
@BrunoRetailleau Pdt groupe @lesRep_Senat
#les4V @Caroline_Roux pic.twitter.com/kg9tb1QZ3u
— Caroline Roux (@Caroline_Roux) December 15, 2021
Obligation vaccinale
«Je suis contre car cela diviserait encore plus la société française mais il faut se faire vacciner pour éviter l’effondrement de l’hôpital.»
@BrunoRetailleau LR
#les4V @Caroline_Roux pic.twitter.com/Y8D76QEOCC
— Caroline Roux (@Caroline_Roux) December 15, 2021
Thérapie de conversion
«Je suis contre les thérapies de conversion mais j’ai voté contre car il y avait également la notion d’identité de genre et je souhaite protéger les mineurs contre cette idéologie.»
@BrunoRetailleau LR
#les4V @Caroline_Roux pic.twitter.com/MQKHQVMn39
— Caroline Roux (@Caroline_Roux) December 15, 2021
Emmanuel #Macron : une émission de candidat ?
«Le décompte du temps de parole doit être imposé. Je demande l’équité.»
@BrunoRetailleau Pdt groupe @lesRep_Senat
#les4V @Caroline_Roux pic.twitter.com/VgVWOKsO4o
— Caroline Roux (@Caroline_Roux) December 15, 2021
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Ce mardi après-midi, lors de la séance de questions au gouvernement à l’Assemblée nationale, sept députés du groupe les Républicains ont interpellés l’exécutif.
Pour commencer, Constance Le Grip, députée de Hauts-de-Seine, a interpellé le Premier ministre sur la dégradation du Mont Valérien.
@ConstanceLeGrip : “Abject, révoltant. Quelle ne fut pas la consternation, la tristesse et la colère de nombreux de nos compatriotes devant la dégradation du Mont Valérien. Cette insulte à nos résistants tombés pour la Libération doit faire l’objet d’une sanction exemplaire.” pic.twitter.com/4OV8pkv8XC
— Députés Les Républicains (@Republicains_An) December 14, 2021
Philippe Gosselin, député de la Manche, a questionné le Premier ministre sur le respect du temps de parole des candidats à l’élection présidentielle.
@phgosselin: “L’émission de demain est bien une émission de campagne, personne ne s’y trompe! Mais le Président refuse de s’appliquer les règles sur les temps de parole que doivent respecter les autres candidats. Comment peut-il se soustraire délibérément à la règle commune ?” pic.twitter.com/2KGax0795L
— Députés Les Républicains (@Republicains_An) December 14, 2021
Emilie Bonnivard, députée de Savoie, a interrogé le Premier ministre sur les mesures sanitaires mises en place pour les touristes européens venant en France pour les fêtes de fin d’année.
@BonnivardE: “Je suis très attachée aux séjours en montagne pour les jeunes issus des milieux populaires. Ils sont une opportunité extraordinaire pour faire vivre les valeurs républicaines. Il est essentiel que @education_gouv stoppe les annulations en chaîne de ces séjours !” pic.twitter.com/4yTnKeNFND
— Députés Les Républicains (@Republicains_An) December 14, 2021
Eric Diard, député des Bouches-du-Rhône, a interpellé le ministre de l’Éducation nationale, de la Jeunesse et des Sports sur l’augmentation des expressions religieuses dans les lycées.
@DiardEric : “1 lycéen sur 2 a déjà été confronté à une expression religieuse dans son établissement, malgré le principe de laïcité. 47% des élèves ont constaté des demandes pour des menus confessionnels et 28% ont constaté l’absence de filles en EPS au nom de la religion !” pic.twitter.com/N68JbG6gSn
— Députés Les Républicains (@Republicains_An) December 14, 2021
Dino Cinieri, député de la Loire, a interrogé le ministre de l’Intérieur sur les violences contre les forces de l’ordre.
@DinoCinieri: “Pour la 3ème fois en 2 jours, une voiture de police a été incendiée devant le commissariat de Firminy dans la Loire suite à des jets de cocktails Molotov. Les policiers de l’ensemble du territoire national vous demandent de les protéger. Que comptez-vous faire?” pic.twitter.com/g7LAxzq0WH
— Députés Les Républicains (@Republicains_An) December 14, 2021
Valérie Bazin-Malgras, députée de l’Aube, a questionné le secrétaire d’État auprès de la ministre du Travail, de l’Emploi et de l’Insertion, chargé des Retraites et de la Santé au travail sur la revalorisation des retraites.
@VBazinMalgras: “Le Président avait promis que «toute retraite pour une carrière complète devra être supérieure à 1000€/mois». Des millions de retraités, qui ont travaillé toute leur vie jusqu’à 40h par semaine, attendent toujours! Allez-vous maintenir leur pouvoir d’achat ?” pic.twitter.com/eQ0z2mtzsJ
— Députés Les Républicains (@Republicains_An) December 14, 2021
Pour finir, Sylvie Bouchet-Bellecourt, députée de Seine-et-Marne, a interpellé le Premier ministre sur la pauvreté en France.
@SBouchetB: “Des actifs ou retraités disent faire attention pour pouvoir donner un billet aux enfants à Noël. Les priorités du Président paraissent bien éloignées de leurs préoccupations quotidiennes. Comment justifier votre inertie sur la pauvreté structurelle de notre pays?” pic.twitter.com/TMIuDWLduN
— Députés Les Républicains (@Republicains_An) December 14, 2021
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Le centralisme bureaucratique d’Emmanuel Macron
Emmanuel Macron n’a jamais été élu local et a multiplié les décisions déconnectées des réalités de terrain dont la crise des gilets jaunes a été l’une des conséquences. Depuis son élection, il s’est inscrit dans le pire centralisme technocratique au détriment des collectivités territoriales: le non-cumul des mandats a déconnecté les parlementaires du terrain ; la suppression de la taxe d’habitation a abouti à une mise sous tutelle financière des collectivités territoriales la campagne « #BalanceTonMaire » a été le signe le plus saillant du mépris des élus territoriaux. Conséquence de ce mépris des territoires, la majorité présidentielle a perdu toutes les élections locales: municipales, régionales et départementales, et c’est David Lisnard, maire LR de Cannes, qui a été largement élu président de l’Association des maires de France.
Les effets pervers de la suppression de la taxe d’habitation
Jamais un gouvernement n’a porté un tel coup à l’autonomie fiscale des collectivités territoriales. Si la perte des recettes pour les communes est compensée par le Gouvernement par un transfert d’une partie des recettes de la taxe foncière (d’un montant de près de 3 milliards d’euros}, ce mécanisme crée finalement « des transferts de communes en moyenne moins peuplées et à plus faible revenu vers des communes en moyenne plus urbaines où le pouvoir d’achat des résidents est plus important », comme le relève un rapport de l’Institut des politiques publiques, déconnectant la fiscalité locale des actions menées par les collectivités territoriales au profits de leurs habitants.
Le rejet de toute avancée vers la décentralisation
Alors que le projet de loi dit« 3DS » devait être« un nouvel acte de décentralisation» annoncé par Emmanuel Macron après le mouvement des gilets jaunes, le gouvernement a rejeté tous nos amendements pour décentraliser et déconcentrer davantage l’action publique. La présidence des ARS confiée aux présidents de région, le renforcement du rôle du préfet comme seul interlocuteur des collectivités territoriales, la décentralisation du service public de l’emploi, le transfert de la compétence de l’apprentissage et de la formation aux régions, le droit de veto des maires pour s’opposer aux projets d’éoliennes qui ne font pas l’objet d’un consens local… Toutes nos propositions sont rejetées par le gouvernement et la majorité.
Les collectivités territoriales ont pallié les manques de l’Etat face à la crise sanitaire
Depuis le début de la crise sanitaire, l’Etat a multiplié les errances et les retards à cause du centralisme bureaucratique : lourdeurs de fonctionnement, retards dans l’exécution, manque de coordination, protocoles sanitaires ubuesques… alors que les collectivités territoriales ont su se montrer agiles dans la distribution de masques, l’ouverture de centres de vaccination ou le déploiement de purificateurs d’air dans les établissements scolaires. Ce sont les collectivités territoriales qui ont permis la mis en œuvre effective des décisions pour lutter contre l’épidémie.
Nos propositions pour libérer les territoires de l’ultra-centralismeNous devons faire confiance aux collectivités territoriales pour mener une action publique de proximité et pour sortir de l’ultra-centralisme. Il faut une nouvelle organisation des pouvoirs publics avec des transferts de compétences, d’effectifs et de moyens budgétaires aux communes, aux départements, aux régions dans certains domaines tels que la santé, la formation professionnelle, la lutte contre la dépendance et l’environnement. L’État doit se concentrer sur ses missions essentielles alors que les territoires requièrent plus de libertés et de responsabilités dans la mise en œuvre des politiques publiques.
– Clarifier les compétences des collectivités territoriales et leur garantir des moyens budgétaires adéquats et dynamiques pour les exercer conformément au principe de subsidiarité et pour mettre définitivement fin aux doublons qui persistent avec l’État;
– Transférer aux régions la compétence et les moyens de la formation professionnelle, du service public de l’emploi, de l’orientation, des lycées professionnels et de l’apprentissage et associer les régions aux décisions d’ouverture et de fermeture de places dans l’enseignement supérieur (pour les adapter aux réalités économiques locales) ;
– Territorialiser la politique de santé en faisant présider le conseil de surveillance des ARS par le président de région, en faisant présider le conseil d’administration des hôpitaux par les maires et en faisant des départements les chefs de file de la politique de la dépendance ;
– Remplacer tous les schémas environnementaux existants (Plan régional de prévention et de gestion des déchets, Plan climat-air-énergie territorial, Schéma régional d’aménagement, de développement durable et d’égalité des territoires…) par un schéma environnemental unifié, simplifié et transversal mis en œuvre par les collectivités ;
– Simplifier les normes et supprimer celles qui sont inutiles parmi les 400 000 normes (textes réglementaires et circulaires) qui pèsent aujourd’hui sur l’action des collectivités territoriales ;
– Réaffirmer le rôle du préfet en tant que représentant unique de l’État dans les territoires ;
– Autoriser à nouveau les maires à exercer un mandat parlementaire ;
– Donner aux maires un droit de veto sur les fermetures de classes d’école ou sur les projets d’éoliens.
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Depuis sa désignation par le Congrès, les sondages sont bons, excellents, même, pour Valérie Pécresse. Tous la placent au second tour, en mesure de l’emporter. Sans se laisser griser par une euphorie sondagière fort imprudente, il est des raisons de fond, infiniment plus importantes, qui rendent très crédible une victoire de la candidate de la droite et du centre en avril prochain : son programme, sa méthode, son caractère.
En France, depuis de Gaulle du moins, il n’est pas de victoire à droite sans l’union plus ou moins achevée des trois familles qui la composent, bonapartiste, orléaniste et légitimiste, mises en évidence par René Rémond dans Les Droites en France, devenu un classique. Chez le Général, le bonapartisme, c’est le rétablissement de l’autorité de l’État, la stabilité de la « monarchie républicaine » instituée par la Ve République, l’ordre dans le pays ; l’orléanisme, c’est la libéralisation de l’économie avec les ordonnances Pinay-Rueff de 1959, l’ouverture raisonnée à la concurrence européenne, les grands projets industriels ; le légitimisme, c’est la défense de la famille, articulée notamment autour de la politique nataliste de Michel Debré. Le programme de Valérie Pécresse s’articule autour de ces trois piliers. Quelques exemples suffiront à le démontrer.
Rétablir la sécurité en investissant massivement dans la justice, en construisant 20 000 places de prison, en fixant la majorité pénale à 16 ans quand les délinquants sont de plus en plus jeunes et violents, reprendre le contrôle de notre politique migratoire au travers d’une loi constitutionnelle adoptée par référendum, mettre en place des quotas, conditionner l’octroi de visas aux pays d’émigration à la délivrance de laissez-passer consulaires, relève de la tradition bonapartiste. « Femme de paix, je le suis viscéralement, mais je serai chef de guerre chaque fois que la France est menacée. » Lancée à son premier grand meeting, cette phrase en dit plus long sur ses filiations historiques que toutes les analyses. Elle est d’une candidate qui mesure la tragédie de l’histoire, en assume les exigences régaliennes et porte haut la fierté et la souveraineté française.
Peut-être parce qu’avant de rejoindre la haute fonction publique, elle a fait HEC, l’école des entrepreneurs, Valérie Pécresse assume une vision libérale de l’économie, celle des orléanistes : rétablir l’ordre de nos finances publiques en économisant 45 milliards annuels à l’horizon 2027, tenir un discours de vérité en allongeant l’âge du départ à la retraite en proportion de l’allongement de la durée de vie, gérer intelligemment la fonction publique en réduisant la part de la technostructure mais en renforçant les effectifs dans les secteurs vitaux de la sécurité ou de la santé, baisser certains impôts pour améliorer la productivité et les salaires nets ou revenir sur les 35 heures, en faisant des 39 heures payées 39 la règle, sauf accords d’entreprise ou de branche, reprendre à son compte une partie des propositions d’Éric Ciotti sur la baisse des droits de succession, l’« impôt sur la mort ». Face à tous les discours décroissants de l’écologie de punition, elle assume de faire de la transition écologique « une opportunité pour nos emplois », en libérant énergie créatrice et ressources de la science qui seules permettront de conjuguer croissance et environnement. Elle fait sienne la tradition d’un libéralisme tempéré par l’exigence gaullienne – jamais autant d’actualité – de participation et d’intéressement des salariés aux bénéfices des entreprises.
Elle est également la seule à avoir placé la famille, marqueur par excellence de la droite légitimiste, au cœur de son programme. En restaurant l’universalité des allocations familiales, en élargissant son bénéfice au premier enfant, en doublant le crédit d’impôt pour les emplois à domicile, elle entend mettre fin à la casse de la politique familiale initiée par François Hollande qui a fait décrocher la natalité française, alors que c’était une réussite exemplaire de notre pays depuis les années 1960.
Quelque excellent que soit un programme, il n’est rien sans les moyens de le mettre en œuvre. Visiblement, Valérie Pécresse a réfléchi aux conditions de l’action. Elle a fait sienne la leçon tirée de tous les grands réformateurs – de Gaulle en 1958, Margaret Thatcher dans ses deux premiers mandats, Gerhard Schröder en 2003 – que les réformes de fond ne peuvent aboutir que si elles sont menées tambour battant, à l’issue du scrutin, bénéficiant de l’onction du suffrage universel. Elle a promis que l’essentiel serait bouclé en six mois.
Dénonçant l’administration « administrante », celle de l’État Cerfa, des rapports interminables et des « fiches actions », elle renoue avec la distinction chère à Edgard Pisani et à Michel Debré entre administration de mission et administration de gestion. À travers le « comité de la hache » qu’elle propose pour supprimer lourdeurs technocratiques et innombrables comités Théodule, elle a compris le mal français. Il ne s’agit pas de pratiquer des coups de rabot à l’aveugle mais de disposer d’un État modeste, agile et puissant, concentré sur l’essentiel.
Enfin, il n’est pas de grande politique sans caractère. À la région Île-de-France, Valérie Pécresse a prouvé qu’elle ne se laissait pas dicter ses choix par la bien-pensance. Elle tient ses positions : charte de la laïcité, « bouclier de sécurité » (actions de la région en matière de sécurité, par exemple la vidéosurveillance dans les transports publics), interdiction du burkini dans les bases de loisirs, volonté de supprimer le tarif réduit sur la carte Navigo pour les clandestins. Elle rejette sans faiblir le wokisme – « Je ne laisserai pas réécrire l’histoire (…). C’est une “cancel culture”, c’est la dictature d’un politiquement correct qui veut réécrire notre histoire avec la vision du XXIe siècle ». Elle assume l’identité française, de la fierté nationale aux petits riens du quotidien qui en font le sel.
Réunissant dans sa personne un programme, une méthode, un caractère, portée par un esprit d’unité de sa famille politique qui n’est pas feint, Valérie Pécresse a tout pour mettre en œuvre le programme de redressement qu’attend la grande majorité des Français, plus à droite que jamais.
L’article Jean-Louis Thiériot : « Pourquoi Valérie Pécresse peut gagner » est apparu en premier sur les Républicains.

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