Réunion publique du Conseil national
Suivez en direct la réunion publique du Conseil national à la Maison de la Mutualité à Paris.
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Gérard Larcher, président du Sénat, était l’invité de TF1.
Il est revenu sur le conclave sur les retraites, le budget 2026, le mariage avec une personne en situation irrégulière et l’opposition à l’introduction de la proportionnelle pour les élections législatives.
La réforme des #retraites était indispensable mais elle ne sera pas suffisante dans les années à venir, c’est la réalité : il y a de moins en moins d’actifs et de + en + de retraités. Soit on change de modèle (#capitalisation) soit il faudra travailler plus et plus longtemps ! https://t.co/5KrrKTTP6I
— Gérard Larcher (@gerard_larcher) June 26, 2025
#Budget #PLF2026 – Nous sommes à 3300 milliards € de dettes. Il faut dépenser moins ! La préparation budgétaire nécessite vérité et courage. Mais la solution, dans le pays le plus fiscalisé d’ #Europe, ce n’est pas l’ #impôt ! Pour le reste, tout est sur la table. https://t.co/9Ehu1258Iw
— Gérard Larcher (@gerard_larcher) June 26, 2025
Mariage avec une personne en situation irrégulière : “Demandez à un maire qui voit devant lui quelqu’un qui est sous OQTF et à qui on demande de célébrer un mariage au nom de la loi de la République. Il y a un côté quasi schizophrénique”, @gerard_larcher#BonjourLaMatinaleTF1 pic.twitter.com/sZAlikuDJl
— TF1Info (@TF1Info) June 26, 2025
“La proportionnelle, j’y suis totalement hostile”, @gerard_larcher dans #BonjourLaMatinaleTF1 pic.twitter.com/UZ02Nf90po
— TF1Info (@TF1Info) June 26, 2025
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La ministre de l’Agriculture Annie Genevard assistait, lundi 23et mardi 24 juin, à un Conseil des ministres de l’Agriculture européens à Luxembourg. Sur la table, deux sujets brûlants : le Mercosur et la prochaine politique agricole commune . Elle l’évoquera aussi à Rome vendredi, avec son homologue italien Francesco Lollobrigida.
Depuis la signature de l’accord avec les pays du Mercosur, le 6 décembre, vous êtes engagée dans un combat contre sa mise en œuvre, au motif qu’il pourrait nuire à plusieurs filières agricoles (viande bovine, volaille, sucre, éthanol). Trouvez-vous des appuis en Europe ?
La position de la France est claire et constante. Le président l’a dit, le Premier ministre, le ministre des Affaires européennes et moi-même le répétons : le projet tel que conclu à Montevideo n’est pas bon, car il ne contient ni mécanismes de protection de nos agriculteurs, ni clauses de sauvegarde pour nos filières, ni garanties sanitaires pour les consommateurs, ni même études d’impact. Nous ne sommes pas contre les accords de libre-échange, qui, d’ailleurs, bénéficient à l’agriculture et à l’agroalimentaire européens. Ces secteurs génèrent un solde commercial positif de 64 milliards d’euros. Mais l’accord du Mercosur est daté. Il a été négocié à une époque où les exigences sociales, sanitaires et environnementales étaient moindres, et où les conditions économiques des filières étaient sans doute moins tendues. L’Europe veut repenser les principes généraux qui régiraient les accords commerciaux du futur, en sanctuarisant la protection des filières agricoles et sa vigilance sanitaire. Le Mercosur n’intègre rien de tel.
Pensez-vous pouvoir faire bouger les lignes en Europe ? Atteindre une minorité de blocage, soit au moins quatre pays et 35 % de la population ?
Les lignes évoluent déjà. Je comprends des échanges que j’ai eus ces derniers jours à Luxembourg que la Pologne, l’Autriche, la Hongrie, l’Irlande ne veulent pas voter pour un tel accord. D’autres pays expriment des inquiétudes, demandent que les études d’impact soient généralisées – la Finlande, par exemple, s’inquiète des effets cumulés des différents accords, rarement pris en compte. L’Italie, grand pays agricole, émet maintenant des réserves ; je vais en rediscuter vendredi à Rome avec mon homologue. Nous pourrions donc obtenir une minorité de blocage. Mais il est aussi possible que des pays s’abstiennent finalement lors d’un vote. La majorité requise pour valider l’accord (65 % de la population européenne) pourrait alors ne pas être atteinte. La France reste active et mobilisée.
La Commission européenne devrait présenter le 16 juillet, en même temps que son cadre financier pluriannuel, les grandes lignes de la PAC 2027-2032. Quelle PAC la France défend-elle ?
D’abord, comme tous les autres pays européens, la France dit son inquiétude sur le devenir de ce qui reste le plus important budget de l’Union européenne et la politique commune la plus aboutie. Le commissaire à l’Agriculture, Christophe Hansen, nous dit qu’il y a d’importantes pressions sur le budget agricole, une réticence des Etats à fournir de nouvelles ressources. Il maintient aussi que la PAC doit rester une politique autonome, commune, indépendante des autres politiques de l’UE, et il pense l’obtenir. La France demande un budget doté de moyens à la hauteur des enjeux et des défis. Selon moi, le budget de la PAC doit être maintenu, en intégrant l’inflation, afin d’éviter une érosion continue, comme celle qu’on observe depuis plusieurs années.
Mais il faut aussi renforcer la défense européenne, rembourser l’emprunt Covid de 600 milliards d’euros… Comment faire ?
Les choix budgétaires sont des choix politiques. Il y a des priorités : ce n’est pas chars ou nourriture, mais chars et nourriture, au même niveau. On aura beau défendre militairement l’Europe, si elle est dépendante de puissances potentiellement hostiles pour se nourrir, elle sera vulnérable. Le budget doit absolument intégrer la dimension stratégique de l’alimentation.
Les enjeux sont vitaux : il s’agit de la sécurité et de la souveraineté alimentaires de l’UE, dans un monde beaucoup moins sûr qu’il y a cinq ans. Les relations internationales se sont tendues, avec le retour de barrières douanières imprévues en Chine, aux Etats-Unis. L’alimentation est devenue un enjeu géopolitique, une arme de guerre, comme le conflit russo-ukrainien le montre, un élément de déstabilisation, comme les printemps arabes l’ont prouvé, comme maintes fois dans l’histoire de l’humanité. Il faut un secteur agricole solide pour résister. Il doit aussi affronter le changement climatique, qui bouleverse les choix culturaux et fait peser de nouvelles menaces épizootiques sur les élevages. Il doit poursuivre une transition écologique de fond, en économisant l’eau, les intrants. Et il doit aussi affronter le vieillissement des agriculteurs et se renouveler.
La perspective d’une « décommunautarisation » de l’agriculture, avec une latitude plus grande laissée aux Etats, pour contourner la baisse du budget, vous semble-t-elle souhaitable ?
Absolument pas. L’organisation de la PAC doit rester articulée autour de deux piliers qui garantissent le revenu des agriculteurs et les aspects communs de la politique. Une renationalisation de la PAC porterait atteinte à l’unicité du marché intérieur et créerait des distorsions de concurrence entre Etats. Ce serait une erreur politique majeure. La PAC doit se simplifier, trouver un équilibre entre la norme et la liberté d’entreprendre, et favoriser la sauvegarde de la compétitivité ; elle doit inciter aux bonnes pratiques environnementales et climatiques. Pour cela, elle doit rester une œuvre européenne collective.
Le travail sur la politique agricole commune recèle une très importante inconnue. Que faire de l’Ukraine ? Le pays demande son adhésion accélérée à l’Union, qui pourrait intervenir avant la fin de la prochaine PAC. L’Europe peut-elle faire face ?
La perspective d’adhésion de l’Ukraine à l’UE est effectivement un sujet de préoccupation important dans le cadre de la PAC… d’autant que la libéralisation des échanges pour soutenir le pays au début de la guerre a eu des effets importants sur certains marchés agricoles européens (volailles, céréales, sucre…), et sur les pays voisins. Il va déjà falloir revoir l’accord commercial actuel, en prévoyant des clauses de sauvegarde pour les productions européennes.
Avec l’Ukraine, on parle d’un modèle agricole à très grande échelle, sans équivalent dans l’Union actuelle. Une éventuelle intégration rapide me semble soulever de nombreuses questions. Il faut évaluer précisément les conséquences, et s’assurer que les productions ukrainiennes respectent nos normes de qualité, sanitaires, environnementales et sociales. Avant l’échéance de la prochaine PAC, une telle intégration me semble inenvisageable.
>> Lire l’interview sur l’Opinion.fr
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Ce mardi après-midi, lors de la séance de questions au gouvernement à l’Assemblée nationale, un député du groupe Droite Républicaine a interpellé le gouvernement.
Guillaume Lepers, député de Lot-et-Garonne, a interrogé le Premier ministre sur les violences urbaines.
“La sécurité des Français est un droit fondamental.”
Évoquant l’agression dont il a été victime, @GuillaumeLEPERS (DR) alerte le Gvt sur le “climat d’insécurité” dans les villes moyennes : “Cette insécurité n’est plus réservée aux grandes villes.”#DirectAN #QAG pic.twitter.com/iA974nPHB7
— Assemblée nationale (@AssembleeNat) June 24, 2025
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François-Xavier Bellamy, vice-président délégué de notre mouvement, député européen et président de la délégation française du groupe PPE au Parlement européen, était l’invité d’Europe 1 et CNews.
Il est revenu sur le conflit entre Israël et l’Iran et les débordements lors de la fête de la musique.
La destruction du programme nucléaire iranien ne peut être qu’une bonne nouvelle pour la sécurité du monde. Mais aussi, pour nos pays, une alerte nécessaire : la diplomatie ne peut rien sans la possibilité de la force. pic.twitter.com/HcXrYCuKqa
— Fx Bellamy (@fxbellamy) June 23, 2025
Fête de la musique : “Ce qui était supposé être l’occasion de la paix et de l’unité, devient la cible de la violence” déclare @fxbellamy #LaGrandeITW #Europe1 pic.twitter.com/ht2v6PMTxl
— Europe 1 (@Europe1) June 23, 2025
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Porte parole adjoint des Républicains et Vice-président de la région normandie, Jonas Haddad appelle à « réarmer l’Etat » dans une France ensauvagée où chaque moment de joie devient une flambée de haine.
Chaque moment festif en France est aujourd’hui devenu une alerte rouge pour nos forces de l’ordre. Le 31 décembre, au lieu des traditionnels vœux de paix et de joie, ce sont des centaines de voitures qui partent en fumée, des policiers caillassés, des pompiers agressés. Lorsque le PSG atteint une finale de Ligue des champions – comme il y a quelques semaines – le pays devrait exulter.
Et pourtant, on y recense trois morts, plus de 500 interpellations, près de 200 blessés. À Crépol, paisible commune de la Drôme, c’est un jeune Français, Thomas, qui a été poignardé à mort lors d’un simple bal populaire.
Il y a quelques années encore, la France était ce pays de liberté, de douceur, d’insouciance. Cette « douce France » a cédé la place à une France « aigre-douce », où chaque moment de joie se transforme en flambée de haine. Aujourd’hui, une fête nationale devient un cauchemar pour les habitants. Un feu d’artifice annonce aussi bien le 14 juillet que des nuits d’émeutes.
La moindre célébration devient prétexte à pillage, violence gratuite, haine déversée contre notre République. La France, notre France, a changé de visage. Il y a encore quelques décennies, elle était ce pays de liberté, de douceur, d’insouciance.
Comment avons-nous pu en arriver là ? Cette spirale infernale ne doit rien au hasard. Elle est le fruit d’un laxisme judiciaire, d’un aveuglement idéologique notamment de la gauche, et d’une perte de repères gravissime pour nos jeunes qui n’ont plus la notion de bien ou de mal.
À force de fermer les yeux sur la délinquance, de minimiser les faits, de refuser de nommer les coupables, nous avons laissé s’installer une culture de l’impunité. Ce sont toujours les mêmes zones, les mêmes profils, les mêmes mécanismes. Et toujours les mêmes conséquences : des familles endeuillées, des citoyens abandonnés, des policiers à bout de souffle.
Il est temps que cela cesse. Il est temps de réarmer l’État. Il est temps de restaurer l’autorité. Il ne suffit plus de condamner avec des mots. Il faut agir vite et maintenant. La loi doit changer.
Ceux qui troublent l’ordre public, qui agressent, qui tuent, doivent être mis hors d’état de nuire sans délai, sans faiblesse, sans excuses. La France mérite mieux que le chaos. Elle mérite de retrouver la paix, la sécurité, l’autorité, et la fierté d’être elle-même.
>> Lire la tribune sur ValeursActuelles.com
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L’explosion du narcotrafic, une menace existentielle pour la France
Jamais autant de drogue n’a été saisie en France (111 tonnes de produits stupéfiants saisies par les douanes en 2024, soit une hausse de 74 % par rapport à 2023).
Pourtant, la consommation augmente sans cesse et le narcotrafic n’épargne désormais plus aucun territoire, en ville comme à la campagne. Les drogues, y compris les plus dures, sont désormais disponibles partout, sur des points de deal comme par le biais d’internet avec une livraison à domicile et l’ubérisation du trafic.
Derrière l’explosion de la consommation de stupéfiants, complaisamment banalisée par l’extrême-gauche mélenchoniste, il y a des organisations criminelles et des réseaux mafieux qui tuent et qui torturent. Il y a une double-menace : celle de l’hyperviolence au quotidien, générée par le narcotrafic, avec des victimes et des auteurs d’agressions de plus en plus jeunes ; celle du risque de basculement de notre pays dans la « cartellisation », comme en Amérique du Sud, la menace que fait peser le couple corruption-violence sur la démocratie et les intérêts fondamentaux de la nation.
Face à cette menace existentielle, nous n’avons pas le droit de céder à l’impuissance et à l’immobilisme. Dès septembre 2024, au ministère de l’Intérieur, Bruno Retailleau a intensifié toutes les actions déjà engagées pour lutter contre le narcotrafic avec les moyens existants. Il a relancé des campagnes de communication avec des images chocs, pour pointer les ravages réels causés par ce fléau.
Une nouvelle loi pour lutter plus efficacement contre le narcotrafic
Instituée à l’initiative du groupe LR du Sénat, la commission d’enquête sur l’impact du narcotrafic en France a dressé en mai 2024 le constat inquiétant d’une véritable submersion de notre pays en la matière et réclamé des moyens supplémentaires pour faire reculer le narcotrafic et la criminalité organisée. Il fallait agir vite, d’où la proposition de loi, reprenant les recommandations de la commission, déposée par son rapporteur, le sénateur LR Etienne Blanc, et par son président socialiste. Car, c’est un vrai combat national que notre pays doit mener, comme il l’a fait contre le terrorisme islamiste.
L’arrivée de Bruno Retailleau au ministère de l’Intérieur a permis d’accélérer la discussion au Parlement de ce texte et de le renforcer encore davantage. Comme Bruno Retailleau l’a souligné devant l’Assemblée nationale : « c’est un texte de combat, un texte refondateur pour faire reculer le narcotrafic. C’est un combat vital pour sauver des vies humaines, protéger ceux qui craignent de mourir parce qu’ils habitent des quartiers dont ils ne peuvent déménager, protéger ceux qui démolissent leur vie dans les addictions, protéger ceux qui se perdent dans les trafics ou les règlements de compte ».
Ce que la nouvelle loi apporte et va permettre de faire
Au niveau national :
– Renforcement du tandem Police-Justice pour combattre encore plus efficacement le narcobanditisme, avec la création d’un état-major autour de la direction nationale de la police judiciaire pour mieux coordonner l’action de l’ensemble des services de l’Etat – intérieur, justice, finances, armées – dans la lutte contre la criminalité organisée.
– Création d’un Parquet national anti-criminalité organisée comme il existe un Parquet national anti-terroriste spécialisé, avec des juges qui connaissent parfaitement les réseaux mafieux et les profils des délinquants du narcotrafic.
– Création dans les prisons de quartiers de lutte contre la criminalité organisée, pour appliquer un strict régime carcéral d’isolement aux chefs du narcotrafic et création de deux prisons ultra-sécurisées pour y enfermer les 200 d’entre eux les plus dangereux.
– Renforcement des moyens de détection et de répression du blanchiment, avec pouvoir donné à la justice de confisquer les biens et les avoirs aux origines douteuses. Car, il faut aussi frapper les narcotrafiquants au portefeuille.
– Renforcement des moyens d’action sur l’espace cyber, notamment pour bloquer l’accès à des contenus sur internet qui proposent l’achat et la livraison de stupéfiants.
Par contre, le Rassemblement national et la gauche ont combattu et fait tomber à l’Assemblée une disposition du texte du Sénat donnant accès aux services de renseignement aux messageries chiffrées souvent utilisées par les trafiquants.
Dans nos villes et nos campagnes :
– Pouvoirs donnés au préfet d’expulser un trafiquant de son logement social, afin qu’il ne pourrisse pas la vie des honnêtes gens, de fermer des commerces qui blanchissent de l’argent sale et d’empêcher des individus connus de paraître autour d’un point de deal. Nous devons reprendre le contrôle de l’espace public.
– Frapper vite, c’est répondre tout de suite, dès qu’il y a un problème dans le quartier.
Sans la présence et l’engagement de Bruno Retailleau au ministère de l’Intérieur, sans le soutien et le travail des députés et sénateurs LR, cette loi n’existerait pas. Comme il l’a rappelé : « ce combat contre le narcotrafic prendra des années. Mais si nous avons la volonté de le gagner, dans la durée, nous le remporterons. »
L’article Contre le narcotrafic : une loi pour frapper plus vite et plus fort est apparu en premier sur les Républicains.
Michel Barnier, président du Conseil national de notre mouvement et Ancien Premier ministre, était l’invité de Sud Radio.
Il est revenu sur le conflit entre Israël et l’Iran, le conclave sur les retraites, la motion de censure contre son gouvernement, son bilan et l’Europe.
Israël-Iran : “Personne ne sera mécontent si le régime iranien change. Mais doit-on le changer par une force extérieure ? Pour changer un régime, il vaut mieux compter sur le peuple. Les bombes ne changent pas un régime de manière durable” pour @MichelBarnier pic.twitter.com/9xw006XYIk
— Sud Radio (@SudRadio) June 18, 2025
La sécurité d’Israël n’est pas et ne sera jamais négociable.
— Michel Barnier (@MichelBarnier) June 18, 2025
Retraites : “Notre pays se porterait mieux si l’on faisait davantage confiance aux partenaires sociaux. Il ne faut pas revenir sur l’âge de départ à la retraite, ce n’est pas négociable, mais des tas de Français doivent partir plus tôt” déclare @MichelBarnier pic.twitter.com/w9fqQBQ8Yc
— Sud Radio (@SudRadio) June 18, 2025
.@MichelBarnier, ancien Premier ministre : “Je regrette de ne pas avoir eu le temps nécessaire pour agir. Le @partisocialiste a dit qu’il allait me censurer avant même que j’ouvre la bouche” pic.twitter.com/6KAxDH0exg
— Sud Radio (@SudRadio) June 18, 2025
.@MichelBarnier, ancien Premier ministre : “J’espère avoir été utile aux Français. En tout cas, je suis sûr d’avoir été digne” pic.twitter.com/t1OxMcI4xf
— Sud Radio (@SudRadio) June 18, 2025
.@MichelBarnier : “Je suis un Européen, mais pas fédéraliste. Je ne veux pas que l’avenir de nos enfants soit décidé à Washington ou à Pékin” pic.twitter.com/JdqVgx9AeZ
— Sud Radio (@SudRadio) June 18, 2025
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Bruno Retailleau, ministre de l’Intérieur et président de notre mouvement, était l’invité d’Europe 1 et CNews.
Il est revenu sur notre nouvelle campagne d’adhésion, la réforme du droit pénal, le conflit entre Israël et l’Iran et l’immigration.
Je veux m’adresser à la majorité nationale : la France des honnêtes gens. pic.twitter.com/JvpDI29j1X
— Bruno Retailleau (@BrunoRetailleau) June 18, 2025
Il faut un droit pénal plus favorable à la victime qu’à l’auteur. pic.twitter.com/UhTPZNG1dD
— Bruno Retailleau (@BrunoRetailleau) June 18, 2025
.@BrunoRetailleau, ministre de l’Intérieur : “L’Iran constitue une menace existentielle pour Israël”, dans #LaGrandeITW sur #Europe1 pic.twitter.com/ViUpH9mL8V
— Europe 1 (@Europe1) June 18, 2025
.@BrunoRetailleau, ministre de l’Intérieur : “Sur l’immigration, il faudra changer la Constitution française pour qu’il y ait un recours au référendum des Français”, dans #LaGrandeITW sur #Europe1 pic.twitter.com/HEsYjpvJ5l
— Europe 1 (@Europe1) June 18, 2025
L’article Bruno Retailleau : « Je veux m’adresser à la majorité nationale : la France des honnêtes gens » est apparu en premier sur les Républicains.
Ce mardi après-midi, lors de la séance de questions au gouvernement à l’Assemblée nationale, un député du groupe Droite Républicaine a interpellé le gouvernement.
Patrick Hetzel, député du Bas-Rhin, a interrogé le Premier ministre sur le conflit entre Israël et l’Iran.
“Qu’adviendra-t-il d’Israël si l’Iran détient des capacités nucléaires militaires?”
Pour @patrickhetzel (DR), l’Iran “constitue une menace existentielle pour Israël”. Il appelle la communauté internationale et la France à “œuvrer à la désescalade dans la région”.#DirectAN #QAG pic.twitter.com/5NWG8UOzif
— Assemblée nationale (@AssembleeNat) June 17, 2025
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